Bob de Groot

Léonard est un génie, un génie un rien tyrannique, teigneux, coléreux toujours à vociférer, à hurler. C’est le plus souvent contre son « disciple » rêveur, empoté, paresseux, maladroit, malchanceux que se dirige son courroux. Léonard a mille idées à la minute, toujours une invention en cours et une autre sur le feu pendant la suivante est sur le point de surgir.



C’est dans ce cadre plus que propice aux mésaventures et péripéties que nos deux protagonistes nous régalent de leur maladresse et de leur balourdise.



Le disciple va successivement être tailladé, écrasé, tronçonné, percuté, perforé, brulé, dynamité et j’en oublie, tout en se faisant bien sûr enguirlandé pour parachever le tout. Il faut bien dire que dans cet univers où l’on voyage parfois dans le temps, les vols d’enclumes sont légions et atterrissent tous inexorablement sur le crâne de ce pauvre disciple.



Ajouté à cela les remarques pleine de bon sens du chat de la maison toujours à se faufiler entre les cases, plus les quelques clins d’œil aussi bien à la culture pop qu’à l’époque actuelle et vous obtenez un moment de détente sans prise de tête, idéal pour se détendre.



Gags et loufoquerie garantis à chaque page !



Un grand merci à Catwoman qui m’a fait découvrir ce personnage de bande dessiné dont je n’avais pour ainsi dire jamais entendu parler.


Lien : http://bouquins-de-poches-en..

Quelques histoires sur plusieurs pages et quelques gags drôles, l’album se lit avec plaisir même si les histoires commencent à manquer d’inspiration.

Certains gags sont sous-exploités comme la visite de la barbe du Génie par le Disciple qui aurait pu être plus développé ou d’autres pas du tout drôle comme le tournage d’une scène de BD.

Le chat qui met une rouste à Léonard, ça vaut son pesant d'or. Léonard invente et expérimente, le disciple essuie les plâtres et paie les pots cassés. L'auteur se renouvelle sans cesse pour notre plus grand plaisir.

Encore une fois, l'oeuvre de Groot ne cesse de nous amuser!

Pas le meilleur des tomes. Le concept s’essoufflerait-il ?

Un album assez réussi dans l’ensemble, drôle avec des inventions étonnantes qui n’existent (heureusement) pas encore (j’ai particulièrement aimé celle qui donne vie aux objets, encore un récit avec du potentiel qui aurait pu être plus développé).

On a toujours droit aux apartés du chat, du crâne et de la souris mais ici qui prend particulièrement à parti le lecteur mais ce n’est pas souvent très intéressant.

Toujours la même qualité : un duo de choc. Toujours le même défaut : les gags. Mais avec un petit plus : une inventivité visuelle débridée, qui si elle n'est pas amusante est toujours inventive...

Même si cet album commence par l’anniversaire du disciple, au cours duquel Léonard lui offre un cadeau improvisé, le vrai héros de cet album, c’est le chat Raoul, qui est plus caustique que jamais !

Sinon, l’album, d’un niveau moyen, alterne des gags courts et des histoires plus longues avec quelques belles trouvailles.

Album fort déséquilibré, avec des gags en une page qui se frottent à des gags plus longs, en général mieux construits, plus aboutis.



Mention honorable pour Raoul le chat qui parle au lecteur (et qui m'a fait penser à la coccinelle de Gotlib), et au crâne qui joue du William Molière, "toubib or not toubib"... on sourit parfois. Cela m'a fait, un peu, penser à Cubitus, pour le côté déjanté, décalé. Par contre la ritournelle sur les inventions anachroniques m'a laissé de marbre.

Un nouveau personnage vient participer de manière active aux gags réunis dans ce nouvel album de la série Léonard. Et ce personnage est… le lecteur ! Imaginez-vous donner la réplique à Raoul ? Du moins, c’est lui qui vous la donne, car vous n’avez pas fini d’attendre qu’il vous réponde. Cette lecture va vous permettre de répondre à cette question.



Le meilleur gag de l’album restera Gros plan. Mais les personnes vivant avec un chat trouveront leur bonheur à plus d’une reprise dans ce tome. La couverture le place sous le signe du cadeau. Et des cadeaux il va y en avoir un certain nombre qui sont échangés, du disciple à Raoul et de Léonard au disciple. Il s’agit là de moments amusants à plus d’un titre.



Vite lu, amusant du début à la fin avec de petites touches de nouveauté (décidément le disciple semble porté par un esprit de contradiction), cet album est une agréable surprise. Les inventions (le pique-nique, le saut à ski, un parfum bien particulier…) passent au second plan et peinent à convaincre un lecteur déjà habitué à mieux. Il s’agit en tous cas d’une idée de cadeau intéressante…

Une bande dessinée de ma jeunesse que je retrouve avec un esprit bien plus critique (coucou la blague raciste en plein milieu de l'album).



Cet ouvrage peut se lire indépendamment des tomes précédents, le principe est d'une page par gag ou presque.



Les running-gags se retrouvent dans la totalité des albums donc bon, là sur un tome c'est à peine lourd mais faut être inspiré pour tous les lire. Un disciple qui se fait maltraiter par son maître, de la violence à chaque page. Dommage car ça gâche les bons jeux de mots, accessibles aux enfants et les petites punchlines sympathiques.

Pas vraiment été emballée par le duo génie-disciple... un peu trop dans les chamailleries... enfantillages...

J'ai plus aimé les digressions du chat, qui parle directement au lecteur, même si j'ai trouvé que l'une d'entre elles était assez limite... un brin raciste, si je puis dire... ça passe moyen chez moi...

De nouvelles aventures de Léonard qui nous font rire et nous distraient. Le chat est un personnage assez drôle. Quand le disciple en prend plein la tête, le chat prend des fessées... Le crâne aussi est top ! un grand philosophe !

Le gag donnant son titre à l'album débute le tome. Une invention pour faire pousser des cheveux au cher disciple. Mais les choses ne sont malheureusement pas simples. Cette histoire de cheveux ou de poil reviendra plusieurs fois dans le tome, mais de manière assez inaboutie. Il y avait pourtant matière à une histoire longue.



Un album très inégal où les inventions occupent le second plan et où c'est l'habituel (et assez lassant car répétitif) jeu du chat et de la souris entre Léonard et son disciple qui occupe l'avant-plan.



J'oubliais: mention "bien" pour le chat, qui releve le niveau et apporte ses petites remarques, mais qui est pompé sur Spip, la coccinelle de Gotlib ou Idefix

J'aime beaucoup les gags d'une planche, mais j'aime surtout les histoires plus longues et dans cet album, il y en a plusieurs. Le disciple tente l'invisibilité, se fait rapetisser et goutte les succulents plats de Mathurine : un Léonard au poil !

Ce livre est vraiment drôle! Je le conseil au personnes qui aime les BDs.

Au poil ! C’est précisément ce que l’on peut déclamer après avoir dévoré ce vingt-troisième album de la série Léonard. Celui-ci est assurément un très bon cru qui saura vous redonner le sourire !



N’avez-vous jamais connu quelqu’un qui souffre d'hypertrichose palmaire ? Ah, je vois vous en souffrez aussi... Bon... alors cet album est fait pour vous ! Et si vous ne savez pas de quoi il en retourne également ! Par ailleurs, vous allez avoir l’occasion de vous familiariser avec le zumbamboula dans ses deux variantes les plus connues. Plus sérieusement, deux histoires (assez longues) présentées ici rappelleront les grandes heures de la saga : Petite histoire et Garanti grand tain.



Si les nombreuses maladresses et la somnolence chronique du disciple donnent lieu à de nombreux gags plus au moins réussis, la récurrence est suffisamment maîtrisée pour ne pas frôler la surdose. Ce qui est hélas le cas pour plusieurs albums, moins inspirés. Les inventions inspirées de Léonard passent en second plan. L’essentiel tient aux échanges entre personnages, calembours, réparties, jeux de mots… Tous s’en donnent à cœur joie. Seule Mathurine fait pâle figure, malgré un sauvetage in extremis (du moins il s’agit d’un sauvetage dont l’intéressée se serait bien passée).



Certaines planches sont curieusement vides et dans d’autres cas le comique de situation est délibérément tiré jusqu’à un point de rupture. Cette impression générale de manque d’inspiration aurait pu être franchement plus dommageable, mais fort heureusement Raoul sauve bien souvent la donne. D’ailleurs, le matou devient un personnage et non plus un faire-valoir.

Un album assez quelconque avec 2 histoires qui auraient mérité plus de développement comme lorsque le disciple devient tout petit ou lorsqu’il passe à travers le miroir et qu’il doit retrouver son reflet.

Pour moi Léonard est une bonne bande dessinée quand on veut se détendre. Les gags sont hilarantes et adore voir ce pauvre disciple ce faire toujours avoir par ce satanique Leonard. Le petit plus dans ce tome est le chat Raoul. Une bonne lecture dont je ne me lasse pas.

Un album ses drôle avec quelques belles trouvailles comme l’histoire où le Disciple et Raoul se retrouvent dans différents jeux vidéos.

Malgré toujours les mêmes ritournelles de gags (le réveil du Disciple, les élucubrations du Chat...), c’est toujours aussi marrant !