Retour en enfance avec Léonard le génie
Je me souviens que c'est la bande dessinée que j'aimais le plus étant petite. J'ai ri des malheurs de disciple et de son manque de chance
La mairie fonctionne à nouveau pour moi Léonard n'a pas pris une ride.
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Retour en enfance avec Léonard le génie
Je me souviens que c'est la bande dessinée que j'aimais le plus étant petite. J'ai ri des malheurs de disciple et de son manque de chance
La mairie fonctionne à nouveau pour moi Léonard n'a pas pris une ride
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Lucky Luke doit assurer la protection de Frédéric Rémington, le peintre du Far West , qui doit se rendre dans des région inhospitalières , mais vu son gabarit en a - t- il vraiment besoin ?
Nos deux compères vont chemin faisant , rencontrer un tas de personnages plus belliqueux les uns que les autres avant d'arriver à destination chez le chef indien Hiawatha afin de faire son portrait ...
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N'étant pas grand fan de cette série , j'ai trouvé l'album plutôt agréable , avec des gags un peu habituels et des méchants un peu sots ; on aurait dit du Vil Coyote et même du Obélix , mais lui mange des dindes ... c'est malgré tout assez amusant avec quelques gentilles blagounettes ...
L'album se lit assez vite et l'histoire sans être innovante est sympa . Bagarres au saloon , boissons et repas énormes accompagnent le récit .
Au final ,j'ai plutôt bien aimé .
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Un livre toujours aussi drôle
J'aime toujours autant disciple qui passe plus de temps à l'hôpital que dans l'atelier de Léonard
Un livre qui pour moi ne prend pas une ride et qui est toujours aussi drôle
Je vais continuer de lire un album de temps en temps par nostalgie et pour disciple
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Retour en enfance ou j'ai le souvenir de rire sur les malheurs de disciple
Je ne suis pas déçu par ce petit air de nostalgie
J'aime toujours autant cet BD et ces deux personnages principaux
J'aime les idées loufoques de Léonard
Je continuerai régulièrement à me plonger dans cette saga
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Une évasion, un hold-up plus fantastique que celui du train postal Glasgow- Londres , un incident diplomatique et vous avez les ingrédients des nouvelles aventures de Clifton, retraité des services de police de sa majesté ; le tout avec le flegme et le charme de tout britannique qui se respecte.
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Voici le premier tome d’une intégrale qui reprend les aventures d’un héros récurrent du journal Tintin des années 1970 et 1980, le colonel Clifton. Les plus de … enfin d’un certain âge, amateur du périodique se souviendront sans doute du détective amateur, ancien des services secrets, aux belles moustaches et au caractère si typically english.
Ce personnage a, en vérité, été créé une décennie plus tôt, toujours dans Tintin par Raymond Macherot qui était alors et restera longtemps, le roi des BD animalière dont Chlorophylle et Sibylline seront les meilleurs exemples.
Cette intégrale reprend donc les trois aventures imaginées à l’aube des années 1960. Une autre époque pour l’Europe et pour la BD.
Dans le premier épisode, Les enquêtes du colonel Clifton, un gros diamant, le Kohr-I-Door, a été confié à des joailliers londoniens et placé dans un coffre fort inviolable. Mais pendant la nuit, le coffre fort disparaît. Pour éviter une mauvaise publicité, les victimes engagent le colonel Clifton. On découvre donc notre détective, dirigeant un camp scout et acceptant l’affaire dans laquelle, sans traîner, ils se trouvent plongé jusqu’au cou. Il utilise les méthodes de Sherlock Holmes et s’il découvre assez vite les bandits, leur mettre la main dessus va être plus difficile. Les courses poursuites, les pièges se succèdent avec le rythme effréné des BD de l’époque, faite pour donner envie de lire la suite la semaine prochaine dans le même magazine.
La deuxième aventure, Clifton à New York retrouve notre détective chez les Yankees a essayer de sauver un chanteur à la mode, roi du « slurp », style musical très sirupeux. Ce dernier a été enlevé par un ex-dictateur qui veut demander une rançon pour reconquérir le pouvoir. Les bandits sont bêtes et méchants, comme souvent dans les BD de cette époque et le côté comique l’emporte sur l’intrigue assez simple.
Dans la troisième histoire, Clifton et les espions, l’intrigue prend de l’épaisseur avec une histoire de documents secrets volés, d’ancien camarade accusé de collusion avec l’ennemi qui se trouve être, lui aussi une ancienne connaissance du colonel.
Ces trois histoires sont scénarisées et dessinées par Macherot avec talent. Alors bien sûr, lu aujourd’hui, cela fait sourire, mais cela fonctionne toujours avec des yeux d’enfants. Les intrigues sont simples, mais dynamiques et les dessins sont déjà incroyables dans le style des Tintin et des Spirou mais avec dix ans d’avance. Des atmosphères nocturnes ou hivernales sont très bien rendus et l’ambiance so british du début des sixties également.
L’intégrale comprend aussi un quatrième album, Les lutins diaboliques, que j’ai un peu moins apprécié. Il a été réalisé presque dix ans plus tard à l’aube des seventies pour une éventuelle reprise du personnage dans Tintin. L’histoire de Greg est excellente. Un paisible village anglais est victime d’attaques de lutins surnaturels. Tout le monde a peur. Clifton lui même n’en mène pas large, mais saura déjoué la terrible machination qui se cache derrière ces apparitions terrifiantes.
J’ai juste eu un peu plus de mal avec le dessin d’Azara, qui souffre de la comparaison avec Raymond Macherot.
Une intégrale qui fleure donc bien la nostalgie d’une époque révolue. Une autre de ces madeleines de Proust que l’on redécouvre de temps en temps avec beaucoup de plaisir.
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Une bande dessinée de ma jeunesse que je retrouve avec un esprit bien plus critique (coucou la blague raciste en plein milieu de l'album).
Cet ouvrage peut se lire indépendamment des tomes précédents, le principe est d'une page par gag ou presque.
Les running-gags se retrouvent dans la totalité des albums donc bon, là sur un tome c'est à peine lourd mais faut être inspiré pour tous les lire. Un disciple qui se fait maltraiter par son maître, de la violence à chaque page. Dommage car ça gâche les bons jeux de mots, accessibles aux enfants et les petites punchlines sympathiques.
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Je replonge dans des lectures qui remontent à quelques années.
Le Bandit Manchot est deuxième Lucky Luke post décès de René Goscinny. Morris a confié le scénario et les dialogues à Bob de Groot, qui s'était illustré auparavant dans la série Léonard.
Le style Goscinny est inimitable, il est aussi difficile de créer une complicité comme Morris et Goscinny ont pu avoir. Il est très difficile de trouver d'entrée sa place et d'imposer sa patte son style, car le lecteur a ses habitudes, a ses repères dans le dessin mais aussi dans le texte. La difficulté était de ne pas faire du "Goscinny" mais aussi de ne pas reproduire l'univers verbal de Léonard. Mais il fallait aussi répondre au cahier des charges posé par Morris.
Donc ce premier opus commun laisse le lecteur sur sa faim. Dans cette aventure, on ne retrouve pas l'énergie et la verve des albums précédents. Finalement c'est assez plat mais cela se laisse lire car c'est Lucky Luke et on se reporte encore plus sur le dessin. La caricature de Louis de Funès vaut son détour. On retrouve les mimiques et les attitudes du comique français.
Ce n'est pas un Lucky Luke à mettre au sommet des aventures de ce cow-boy solitaire mais tout n'est pas à jeter.
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Cela faisait un moment que je n'avais pas lu un album du fameux Léonard ; j'avais oublié à quel point ça pouvait me faire rire !
Dans cet album, nous suivons donc Léonard, Basile son disciple, et son chat Raoul, dans une aventure complète.
Suite à une mauvaise manipulation de la nouvelle invention de Léonard, Basile a fait disparaître toutes les couleurs dans la ville de Vinci. Il leur faut alors partir en quête de ces couleurs dans un drôle de pays : la Cour des Contes, où ils rencontrent entre autres le Petit Poucet format géant, et Blanche-Grêle avec sept lutins.
J'ai beaucoup aimé l'humour de cet album, mention spéciale à Raoul avec des paroles hors des véritables dialogues, mais qui m'ont beaucoup fait rire. Et sans doute que mon engouement pour cette histoire est liée aux clins d’œil pour les contes populaires, ainsi que la quête des couleurs.
Un très bon moment !
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Je me souviens avec beaucoup de plaisir de ma soeur qui pleurait de rire en lisant cette BD.
J'étais plus réservée mais je prenais tout de même plaisir, ado, à lire quelques gags de cette série.
Cela ne m'apporte même plus l'ombre d'un sourire.
Je trouve l'humour poussif, lourdement répétitif et finalement c'est surtout la façon dont Léonard arrivera à blesser, mutiler ou briser le disciple qui est la seule dynamique des inventions de Léonard.
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Enfant, j'étais fan du duo Turk et De Groot, avec Robin Dubois et Clifton. La série Léonard à commencé alors que j'étais déjà plus grand, je ne m'y suis jamais vraiment intéressé, j'en ai lus quelques uns par-ci par-là, sans jamais être enthousiasmé. J'ai trouvé cet album chez moi, sans doute offert à un de mes enfants pour une fête d'anniversaire. Il date de 2008, et ça parle entre autres de réchauffement climatique, audacieux pour une histoire qui se passe aux alentours de 1500, mais c'est très mal exploité, on sort une machine à voyager dans le temps, elle reservira d'ailleurs pour plusieurs autre histoires, c'est la facilité pour parler de thèmes actuels, rien de plus, l'humour est laborieux, un peu de burlesque, du running gag poussif avec le tromblon, je n'ai jamais ri, même pas un sourire, je suis même parfois agacé, l'acharnement sur le souffre-douleur est carrément dérangeant.
Reste le dessin rond et expressif de Turk, il faut reconnaître que pour un jeune public, il est plutôt attirant. Il y a actuellement 54 tomes dans cette série, avec une idée de départ assez limitée - un inventeur et son associé en 1500 - on arrive avec un tome 38 sans intérêt, pour le renouvellement on repassera. J'ai relu un Robin Dubois il y a quelque temps, et le constat est un peu le même, ça ne me fait plus rire. Est-ce que l'humour de De Groot a mal vieilli ? Je ne suis pas loin de le penser. Est-ce que la série Léonard s'essouffle ? Sûrement, et en plus, c'était déjà pas terrible au départ.
Cette série existe depuis 1977, cela fait donc 46 ans de harcèlement professionnel et personne ne semble s'en offusquer. Si on en est à 54 tomes aujourd'hui, c'est qu'elle se vend, alors je le dis franchement, achetez autre chose, il y a largement mieux.
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Malgré des efforts pour "coller" à l'histoire, on ne peut pas dire que l'on soit en présence d'un grand Lucky Luke. D'ailleurs le personnage de Lucky Luke dans cet album est particulièrement prétentieux. Pourquoi en faire des tonnes ? L'histoire est poussive, on sent le manque d'inspiration, c'est peut-être la raison. Quand elle semble enfin décoller, oups !, on arrive aux dernières pages. Pourtant cela avait bien commencé avec la description du fonctionnement du , soit-disant, premier exemplaire et le gag de l'attrait addictif exercé par cette machine.
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Léonard, tome 10 : La Guerre des Génies
BD
Turk & De Groot
Ce dixième tome de Léonard est le deuxième de la série à nous proposer une histoire longue plutôt que de courts gags, et cela pour mon plus grand plaisir.
En effet, si Léonard est une série de mon enfance dont je prends plaisir à relire un tome par ci par la, je dois avouer que je ne suis pas le plus grand fan du format gag de quelques pages.
Ainsi, retrouver ce personnage dans des aventures plus longues me plait toujours d'avantage.
Dans ce tome, un dénommé Albert va venir habiter dans le village de Léonard, jusque la pas de soucis, sauf que ce Albert est... un génie.
Evidemment Léonard ne peut pas laisser un autre génie loger en face de chez lui. Cette ville compte désormais un génie de trop, et il va falloir régler ça !
Les deux hommes vont se mener une lutte acharner par inventions interposées.
Un tome qui comme je l'ai dit plus haut me plait déjà rien que par le fait d'être une aventure longue plutôt que de petits gags, mais qui en plus de ça est sympathique à suivre autant pour son histoire que pour ses personnages.
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Premier album de Robin Dubois (si on omet le 0).
Ça nous permet de découvrir les personnages qui sont parfois amenés assez abruptement, sans explication, les chevaliers arrivent comme un cheveu sur la soupe, le shérif semble célibataire mais marié quelques pages plus loin…
Ça part un petit peu dans tous les sens avec parfois une idée (le facteur, par exemple), développé sur 4 gags, parfois des idées solitaires qui viennent de façon incongrue dans l’ensemble…
Des petits gags en une page, qui peuvent souvent faire sourire mais jamais exploser de rire, comme une blague à la machine à café avant de repartir bosser…
Sympa mais un peu fouillis et gentillet.
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C’est le deuxième album de l’après Goscinny. Lucky Luke doit escorter deux bricoleurs de génie pour promouvoir leur nouvelle invention dans les villes du Far West, il s’agit de la première machine à sous. On va passer de ville en ville, avec de nombreuses péripéties. L’histoire est très classique, respectueuse du style de René Goscinny, mais sans grande originalité. Bob De Groot est au scénario (Robin Desbois, Léonard). Il y a quelques bonnes idées, comme l’usage de la caricature de Louis de Funès, mais cela manque de rythme et l’humour n’atteint pas des sommets. Sans atteindre la chute vertigineuse de la série Astérix avec le passage entre Astérix chez les Belge et Le grand fossé, Le bandit manchot reste un album assez moyen, pas déplaisant mais loin des meilleurs Lucky Luke.
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