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Critiques de Brian Wood (222)
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DMZ, tome 9 : Coeurs et esprits

Après un tome qui proposait une sorte de parenthèse à l’histoire principale, consacrée aux destins d’hommes et de femmes transformées par cette guerre civile qui déchire les Etats-Unis, ce neuvième volet, qui reprend les épisodes #45 à #49 de la saga US, renoue avec la trame principale.



Il est donc temps de se rafraichir un peu la mémoire. Lors du sixième tome, plus politique que militaire, Matty Roth avait déjà tourné le dos à sa neutralité journalistique pour soutenir Parco Delgado lors des élections. Le changement de personnalité et d’orientation professionnelle se poursuivait lors du volet précédent, où Matty devenait le livreur attitré de Delgado et se transformait même en trafiquant d'armes de destruction massive pour le compte du nouveau régime. Si ce nouveau rôle manquait un tout petit peu de crédibilité, Brian Wood continue de mettre à mal son héros dans cet album.



Le lecteur retrouve donc le journaliste de Liberty News en tant que porte parole de Parco Delgado. Bien loin de toute objectivité journalistique, il s’est donc engagé politiquement et a même reçu la tâche d’aller négocier des cessez-le-feu avec les mouvements ou groupes locaux. Mais avant cela, il va d’abord faire une déclaration qui va bouleverser l’équilibre de la DMZ et faire monter la tension d’un nouveau cran. Cette conférence de presse où il annonce que l'état de Manhattan possède dorénavant l'arme nucléaire va faire l’effet d’un coup de tonnerre et mettre définitivement le feu aux poudres. L’utilisation d’une arme de destruction massive sur le sol américain est un thème sensible, qui ne laisse personne indifférent et qui va d’ailleurs précipiter la descente aux enfers de Matty Roth. Ce héros qui cherche sa place au sein de cette guerre civile qui déchire les Etats-Unis semble donc avoir emprunté un chemin périlleux, sans retour possible.



Les planches de ce neuvième tome sont également accompagnées d’une nouvelle voix, celle de la "free DMZ radio", dont les paroles accompagnent le rythme assez lent du récit. Au niveau du graphisme, le travail de Riccardo Burchielli, qui dessine l’entièreté de ce tome, est toujours aussi bon.

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DMZ, tome 8 : Notes de l'autre monde

En reprenant les épisodes #42 à #44, ainsi que l’épisode #50, « Notes de l’autre monde » propose une sorte de parenthèse à l’histoire principale. Matthew Roth n’apparaît d’ailleurs quasiment pas dans ce huitième volet, consacré aux destins d’hommes et de femmes transformées par cette guerre civile qui déchire les Etats-Unis.



L’épisode #50 propose une série d’histoires courtes illustrés par plusieurs dessinateurs, dont certains de renom (Rebekah Isaacs, Jim Lee, Fábio Moon, Ryan Kelly, Lee Bermejo, Riccardo Burchielli, Philip Bond, John Paul Leon, Eduardo Risso, Dave Gibbons). Les styles varient énormément et la qualité de ces histoires souvent trop courtes, qui invitent à suivre des personnages secondaires, voire inconnus, est également assez variable.



Les trois épisodes suivants (No Future) invitent à suivre la descente aux enfers d’un ancien policier qui a perdu sa famille lors de l’évacuation de Manhattan. Brian Wood montre comment une secte de mercenaires ayant pris possession de l’Empire State Building exploite le désespoir et la colère de cet homme qui a tout perdu. Si les mécanismes utilisés par ces groupes terroristes ou sectes, afin d’endoctriner et de manipuler leurs membres, sont connus, la narration de Brian Wood s’avère particulièrement efficace et accompagne brillamment les pensées de cet ex-flic.



Retrouvez ce comics dans MON TOP 2011 !
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DMZ, tome 7 : Les pouvoirs de la guerre

Ce septième tome reprend les épisodes #35 à #41 de la saga US et contient trois histoires.



La première histoire ne se concentre plus sur les habitants de la DMZ, mais sur les militaires stationnés à Staten Island. L’auteur s’y intéresse à la vie des militaires et à la relation entre les soldats américains et ceux des états libres. Au fil des deux épisodes qui composent cette histoire, la fraternité qui lie les deux camps adverses sur cette île isolée du reste du conflit, va lentement s’effriter, montrant la fragilité de toute forme d’amitié en temps de guerre.



Après ce récit sympathique, mais loin d’être indispensable, Brian Wood renoue avec l’histoire principale et ramène Matthew Roth à Manhattan. Lors du sixième tome, plus politique que militaire, Matty avait déjà tourné le dos à sa neutralité journalistique pour soutenir Parco Delgado lors des élections. Le changement de personnalité et d’orientation professionnelle se poursuit lors de ces quatre nouveaux épisodes, où Matty devient le livreur attitré de Delgado. Si ce nouveau rôle manque un tout petit peu de crédibilité, c’est surtout le contenu de ces livraisons/missions qui m’a laissé perplexe. L’histoire de l’or de Wilson m’a semblé assez invraisemblable et je ne parle même pas du petit paquet que Matty doit ramener de chez Soames. Mais, même si je me suis posé quelques questions au niveau du scénario, l’histoire de ce héros cherchant sa place au sein de cette guerre civile qui déchire les Etats-Unis demeure tout de même intéressante.



Le dernier épisode de l’album, invitant à suivre les pas de Zee après son départ de Parco City, est par contre totalement anecdotique et assez dispensable.



Au niveau du graphisme, le travail de Riccardo Burchielli sur l’histoire principale est toujours aussi bon. Les dessins de Kristian Donaldson sur la première histoire et de Nikki Cook sur la conclusion, ne sont pas mauvais, mais tranchent un peu trop avec le style de Burchielli
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DMZ, tome 6 : Un jeu sanglant

Après un hors-série qui invitait à suivre six personnages secondaires au sein de cette guerre civile qui déchire les Etats-Unis, Brian Wood renoue avec l’histoire principale et livre une nouvelle enquête de notre journaliste sur place : Matthew Roth !



On a même droit à un cessez-le-feu, à la vieille des élections qui se profilent au sein de la DMZ. Le combat de ce sixième tome n’est donc plus vraiment militaire, mais plutôt politique. Matt va y suivre la montée en puissance de Parco Delgado, un candidat outsider, issu de la population de la DMZ. Au sein d’une ambiance où la neutralité n’a plus vraiment sa place, Matt va

prendre partie pour ce nouveau candidat. Si le contexte politique est parfaitement maîtrisé et à nouveau assez réaliste et que cette élection constitue une sérieuse évolution pour le conflit, c’est surtout la présence des parents de Matt qui ajoute un peu de piment à cette histoire. Si l’on fait ainsi connaissance avec la mère de Matt, l’auteur en profite également pour développer la relation sentimentale entre Matt et Zee.



Au niveau du graphisme, les six épisodes (#29 à #34) sont cette fois dessinées par Riccardo Burchielli, dont le travail est toujours aussi bon.

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DMZ, tome 5 : La guerre caché

Pour ce cinquième tome, Brian Wood abandonne son personnage principal et livre le portrait de six personnages secondaires. A travers ces six épisodes (#23 à #28), on découvre la destinée de personnes dont le quotidien a été chamboulé par cette nouvelle guerre civile qui divise les Etats-Unis.



Le fait de se concentrer sur d’autres personnages, le temps d’un album qui a tout d’un hors-série, permet d’offrir d’autres perspectives sur ce conflit. On suit ainsi Décade, un taggeur à la recherche de son chef-d’œuvre malgré la guerre, Random Fire, un DJ qui va connaître une soirée assez explosive et quelques anciens tels que Amina, l’ex-terroriste, Kelly Connolly, la collègue journaliste de Matt, Wiston, le nouveau chef de la pègre et Soames, l’ancien militaire qui règne sur Central Park.



Au dessin, le travail de Riccardo Burchielli est à nouveau excellent et l’on notera également un épisode dessiné par Danijel Zezelj et un autre par Nathan Fox, déjà excellent sur le tome précédent.



Un tome qui à le mérité d’offrir une perspective différente sur les événements et d’en apprendre plus sur certains personnages secondaires, mais personnellement, je ne suis pas trop fans de ces histoires trop courtes et situées hors continuité.
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DMZ, tome 4 : Tirs amis

Après avoir infiltré une cellule terroriste lors du tome précédent, Matthew Roth s’attaque à une enquête journalistique plus classique.



Chargé de couvrir un procès militaire, Matt va tenter de reconstituer les événements tragiques du «Jour 204». Que c’est-il vraiment passé lors de cette journée où l’armée américaine a ouvert le feu sur un groupe de manifestants (pacifiques). Sur le banc des accusés, un bouc émissaire, désigné comme seul responsable du massacre ...



Le récit de Brian Wood est à nouveau parfaitement construit et conserve constamment un voile d’incertitude sur les véritables causes de cette bavure militaire. Au fil des interviews, la balance penche d’un côté, puis de l’autre, jusqu’au verdict final, pas forcément juste, mais terminant l’histoire de manière bouleversante. Sur base d’interviews de soldats et de témoignages de civils témoins du drame, Matt effectue une reconstitution journalistique de cette tragédie où des militaires sous pression ont causés des dommages collatéraux ... de nationalité américaine. Et c’est bien la que se situe l’une des forces de cette saga, car si ouvrir le feu dans un pays étranger est psychologiquement lourd à porter, cette seconde Guerre Civile américaine oblige les militaires à s’en prendre à des compatriotes.



Au niveau du graphisme, ce quatrième volet réserve quelques surprises. Lorsqu’il doit livrer le point de vue des soldats, Riccardo Burchielli abandonne le dessin à Nathan Fox et Viktor Kalvachev. Les deux livrent de l’excellent travail sur ces flashbacks qui reviennent sur l’horreur des événements, avec une mention spéciale pour Nathan Fox. Le troisième épisode est dessiné par Kristian Donaldson, dont le style tranche un peu plus avec le reste. La colorisation de Jeromy Cox contribue néanmoins à livrer une certaine uniformité graphique à l’ensemble.
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DMZ, tome 3 : Travaux publics

Troisième tome et nouveau reportage pour Matthew Roth, ce jeune journaliste qui se retrouve coincé par hasard en pleine zone hostile.



L’action se déroule à nouveau au cœur de l’île de Manhattan, dans une ville de New York en plein chaos, ravagé par une seconde Guerre Civile américaine imaginaire, dont la ligne de front se situe dans la Big Apple. Matt décide cette fois d’enquêter sur les agissements de la société Trustwell, l’entreprise chargée de la reconstruction de Manhattan et de ses nombreux symboles : l’Empire State Building, Central Park et Ground Zero... Une immersion au sein des ouvriers qui reconstruisent la ville et une investigation qui va le conduire à intégrer un groupuscule terroriste.



Le scénario d'anticipation de DMZ continue donc de mêler habilement fiction et réalité. Les thèmes abordés font clairement référence à l’actualité et aux guerres en Irak et en Afganistan. Des multinationales qui profitent de la guerre pour s’enrichir via des programmes de reconstruction lucratifs, aux actions suicides de terroristes, en passant par l’impuissance des forces de l’ONU, le no man's land imaginé par Brian Wood est des plus crédibles. Malgré le côté fictif évident de ce Manhattan en guerre et une image des Etats-Unis qui est bien loin de la vision idéalisée dont on a l'habitude, c’est pourtant le réalisme de cette saga qui fait sa force. Le dessin de l'artiste d'origine italienne, Riccardo Burchielli, contribue d’ailleurs également à donner un côté réaliste à l'intrigue imaginée par Brian Wood.



Le personnage de Matt a également évolué de manière intéressante au fil des tomes. Il a évolué du photographe stagiaire dépassé par les événements au journaliste de terrain aguerri, qui comprend parfaitement les lois qui régissent cette zone démilitarisée et utilise son métier pour influencer le conflit ou dénoncer ses déboires.
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DMZ, tome 2 : Le corps d'un journaliste

Trop occupée à gérer ses guerres à travers le monde, l’Amérique a commis l’erreur de négliger ses problèmes internes. Elle se retrouve maintenant victime d’une terrible guerre civile déclenchée par des milices anti-gouvernementales et opposant l’armée régulière aux armées dites « libres ». La ligne de front se situe à Manhattan, où 400.000 personnes sont livrées à elles-mêmes dans une zone convoitée par les deux camps : la DMZ (DeMilitarized Zone). Un jeune photographe stagiaire se retrouve un peu malgré lui au beau milieu de cette zone démilitarisée en proie au chaos. Faisant face aux nombreux dangers qui sévissent dans l’épicentre des hostilités, Matty Roth va se lancer dans une quête de vérité que jalouserait tout correspondant de guerre. Premier journaliste au cœur de la DMZ, sa popularité grandissante des deux côtés de la zone va lui valoir une interview exclusive du redouté leader des armées libres et va le propulser dans un rôle de médiateur entre les deux camps.

Ce deuxième volume édité par Panini reprend les épisodes US #6 à 12 de cette série de la collection Vertigo. Les quatre premiers chapitres (Body of a Journalist), signés Brian Wood et Riccardo Burchielli, poursuivent l’immersion de Matty Roth dans les déboires quotidiens des citoyens de Manhattan, tandis que Zee (dessiné par Kristian Donaldson) remonte au début des affrontements et se concentre principalement sur cette jeune infirmière qui a porté secours à Matthew dans le tome précédent. Le dernier volet de ce recueil (NY Times) se présente comme un guide du New York de DMZ, proposant entre autres des notes sur le Lower East Side, Central Park, Chinatown, Washington Heights et Ground Zero.



Le scénario d’anticipation de DMZ captive essentiellement grâce au réalisme avec lequel il dépeint la fiction est impressionnant. A l’instar de Guerres Civiles chez Futuropolis, il plonge le lecteur le lecteur au cœur du chaos sans passer par une introduction géopolitique ou une mise en place détaillée. Pas de superhéros ni de technologies avancées, juste des civils livrés à leur propre sort qui donnent naissance à un récit très humain. Il y a d’abord la découverte de cette ville de New York ravagée par une seconde Guerre Civile américaine imaginaire dont le centre névralgique se situe dans la Big Apple. Il y a ensuite les déboires d’un photographe qui se retrouve coincé par hasard en pleine zone hostile, un stagiaire dont le travail de reporter va permettre de découvrir et de comprendre les lois qui régissent la vie des différentes communautés de cette zone de non-droit.



Alors que le volet précédent présentait plusieurs tranches de vie, celui-ci se focalise sur ce jeune héros malgré lui. Un personnage qui va perdre de sa naïveté au fil des pages et finir par s’adapter aux conditions de (sur)vie difficiles et aux manipulations politiques dont il est victime. L’épisode consacré au personnage de Zee permet quant à lui de mieux comprendre le point de vue des autochtones. Ce deuxième tome va également lever une partie du voile sur l’origine de ce conflit qui divise le pays et sur les influences gouvernementales qui œuvrent en coulisses et mettent en péril l’objectivité du journalisme de guerre.



L’approche de DMZ est originale car elle permet de livrer une image des Etats-Unis bien éloignée de la vision idéalisée habituelle. Avec ses accents de critique acerbe envers la politique US, le récit de Wood n’hésite jamais à mettre en avant l’hypocrisie et les mensonges du gouvernement américain en période de guerre. Et malgré le côté fictif évident de cette ville américaine mise à feu et à sang, le lecteur n’aura aucun mal à tirer le parallèle avec le climat politique actuel concernant la crise iraquienne. Le graphisme de Riccardo Burchielli n’est d’ailleurs pas étranger au réalisme de cette saga. En montrant des rues newyorkaises désertées et une Statue de la Liberté mutilée, l’artiste d’origine italienne parvient à instaurer une ambiance urbaine crasseuse et une impression de désolation pesante qui rendent ce no man’s land tout à fait crédible.



Le corps d’un journaliste confirme en tous points l’aspect prometteur de la mise en place de cette série qui en est déjà à son vingt-huitième numéro outre-Atlantique.
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Rome West

Deux navires de la Rome Antique sont pris dans une tempête énorme et se retrouvent échoués sur une terre inconnue, les romains viennent de découvrir l'Amérique !



Au fil des siècles et des millénaires on suit la lignée des Valérius : ses rapports avec les autochtones et, surtout, avec tous ceux qui accosteront sur ce qui est devenue leur colonie au fil des ages.







Si l'on retrouve en substance beaucoup de ce qui a fait le sel de grands titres de Bryan Wood, on peut néanmoins se demander quelle a été son implication sur le résultat final.



En effet, sur le papier Rome West a tout de l'uchronie prometteuse et riche en possibilité, mais un traitement relativement expéditif des différentes périodes historiques abordées nuit quelque peu à l’intérêt que le lecteur pourrait attacher entre autre aux différents protagonistes (ce qui est d’habitude l'un des point fort des récits de Wood).

Pensé en série au long cours le concept aurait peut être mieux fonctionné.



Coté dessin, Mutti a un style qui n'est pas sans faire penser à celui de Sean Phillips, avec cet aspect sombre et brut de décoffrage qui sert bien la violence de certaines scènes et la noirceur relative de l'ensemble.



Voici tout de même de quoi agrémente votre lecture : http://bobd.over-blog.com/2019/03/rome-eternelle/rome-west-vs.hell-in-the-pacific.html
Lien : http://bobd.over-blog.com/20..
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Rome West

Les choix ne sont ici malheureusement pas les bons et le découpage trop brutal en micro-épisodes de quelques pages ne sied pas à cette fresque.
Lien : http://www.bodoi.info/rome-w..
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Rome West

Partant d’une belle promesse, Rome West n’arrive malheureusement pas à la tenir. Portée par une idée originale et un graphisme impeccable, la lecture manque de profondeur pour devenir une uchronie de grande qualité.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
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Starve : Cuisine & dépendance

Un propos politique, dans une fiction énergique, mais pas toujours très subtile.
Lien : http://www.actuabd.com/Starv..
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Demo

Étrange autant qu’inclassable, Demo est à lire en plusieurs fois ou à dévorer d'une seule traite !
Lien : http://www.bdgest.com/chroni..
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Starve : Cuisine & dépendance

La relecture attendue, sauce comics, du Festin Chinois, le film de Tsui Hark sur un concours culinaire filmé comme un film de sabre, laisse un peu sur sa faim.
Lien : http://www.bodoi.info/starve/
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Starve : Cuisine & dépendance

Efficace, haletant, Starve est tout ­autant un « comic » brillant qu'une critique sociale d'une rare virulence, qui fait écho aux réflexions de certains chefs « en rupture », comme Gilles Stassart
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
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Demo

Des histoires courtes de jeunes gens ayant un pouvoir extraordinaire qui va bouleverser ou influencer le sens de leurs vies.
Lien : http://www.avoir-alire.com/d..
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Starve : Cuisine & dépendance

(LX971) J'ai voulu y croire, au moins au début, et puis j'ai fini par baisser pavillon. Le style assez rythmé, l'univers un peu glauque et le graphisme plutôt sympa n'ont pas suffi car l'histoire est vraiment trop tirée par les cheveux. Et puis, au final (assez vite quand même), ça ne vole pas très haut. Bref, à oublier à mon avis pour le Prix BDz'îles.
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Demo

Brian Wood nous démontre une nouvelle fois qu'il est possible de faire du décompressé sans pour autant étioler son intrigue sur 6 numéros ou encore sans aller faire du remplissage avec des dialogues à rallonge.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Starve : Cuisine & dépendance

Un très bel album qui fait réfléchir sur la déliquescence de notre société et l'importance de l'authenticité !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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The Massive, tome 1 : Pacifique noir

Le dernier volume est horrible mais les quatre premiers valent vraiment la peine d'être lu. J'ai aimé assez en tout cas pour lire Ninth Wave par après
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