Brigitte Coppin

Savais-tu que le verbe baragouiner vient du breton bara, le pain, et gwin, le vin ? Pour boire et manger, les Bretons venus à Paris au siècle dernier ne prononçaient que ces deux mots que personne ne comprenait. Bara ! Gwin ! Qu'est-ce qu'ils baragouinent ?

C'est l'histoire de Aliette une jeune fille de la campagne . Son père est menacé par Seigneur Arnulf . Toute la famille décident de partir de chez eux . Ils marchent longtemps et arrive dans un château.Ils sont héberger par Joffré . Après quelques mois ils decident de partir .Aliette reste prisonniere au chateau elle rencontre Héloise et decident de s'enfuir toute les deux .Elles retrouvent Jan.il les mets a l'abris , un matin Maria la mere de Jan arrive . Ils sortent du territoire de Jordan .Ils rencontrent Frère Bérenger qui essaie de soigner Héloise contre la lèpre .A la fin elle retrouve ses parents grace a Jan . Tout se fini bien.

Victor

Pendant cette longue marche, Aliette a appris à ne plus craindre la forêt. Elle sait trouver un lieu où dormir, faire du feu et rôtir un lapin.
Elle a déniché des oisillons et chassé avec son père, courant chercher le petit gibier qu'il tuait à la fronde. Souvent, le pain a manqué. A la lisière des champs, ils ont cueilli le seigle et l'avoine qu'ils ont cuits en potage ou en bouillie. Ils ont survécu. Ils sont très forts à présent.
- Dans la forêt, on est libre, dit le grand Joffré, les autres humains sont loin.

- Aliette, sais-tu pourquoi le vieux seigneur ne m'a rien fait payer? reprend-il plus calmement. Parce que ta mère lui a offert deux beaux oiseaux en cage, de petits faucons prêts à être dressés. Tu aurais vu comme il était content!
- Tu les avais attrapés? demande Aliette à sa mère.
- Cueillis dans le nid! C'est en souvenir d'eux que nous t'avons donné ton prénom quand tu es née. Aliette: celle qui a des ailes.

Elle tremblait un peu en palpant les objets. Lui avait connu cela avec ses yeux, touché avec ses mains et gueulé plus fort que le vent… A côté du grand souffle qui le faisait vibrer, son écritoire et ses livres à elle n’étaient-ils pas un univers trop étroit ?

Elle se redressa pour mieux crier :
- Je veux que tu vives, tu m’entends ?
Il finit par ouvrir des yeux immenses et balbutia :
- Alors… mon vrai nom à moi c’est quoi ?
Elle crut que la fièvre le rendait fou.

Sire, bien des femmes de votre royaume sont tout aussi intrépides que les hommes.

Elle n'aime pas obéir. En tout cas, elle a compris que souvent, c'est en désobéissant que l'on survit.

Le combat fut effroyable. Quand les mousquets furent vides, ils les empoignèrent pour cogner, assommer, tandis que les lames des coutelas tailladaient en silence. Tous les coups étaient permis. Le sang ruisselait, les corps tombaient. Pour sauver leur vie, certains sautèrent à la mer et gagnèrent le rivage à la nage. De là, ils entendirent un hurlement atroce monter dans la nuit. Ce fut le dernier que poussa Barbe-Noire : Maynard venait de lui trancher la tête. Ce dernier attacha la sinistre dépouille au mât pour faire savoir à tous que le diable en personne était mort. Mais l’on raconte que le corps sans tête du pirate nagea quelque temps autour du navire avant de couler à pic.

Mère, tu m’as élevée autrement et je te remercie pour cela ; je suis né fils d’un gouverneur et d’une noble dame espagnole, mais je porte le nom de Jean Lebesque et de Léonora, son épouse. C’est bien ainsi.

La demoiselle sans visage :
c'est l'histoire d'une jeune fille qui s'appelle Aliette. son père ( le grand Joffré ) est menacé par le seigneur Arnulf parce qu'il c'est marié avec une femme ( Emma ) qui n'était pas dans son village, donc un jour le père de Aliette décide de quitter la maison avec toute sa famille pour etre en sécurité et etre tranquille loin du seigneur Arnulf et de ses hommes. ils font une longue marche de 2mois et se retrouvent dans le Comté de Toulouse. ils sont héberger dans un grand chateau par un homme.Des jours plus tard le père de Aliette croit que toute la famille est en sécurité et tranquille alors que non ! Le seigneur Arnulf a envoyé ses hommes pour aller les chercher et leur faire les corvées du chateau de Arnulf.Dans le chateau Aliette rencontre une jeune fille qui s'appelle Heloise elle est atteinte d'une maladie qui s'appelle la lèpre, dans le Comté de Toulouse tout les paysans l'appelle la demoiselle sans visage.Elle ne sort jamais, dans son chateau elle cache tout le temp son visage et mais un grand voile au tour de sa tete...

AU CŒUR DE LA FORÊT
Entre les château et les villages, malgré les défrichements commencés au XIè siècle, s'étendent encore d'immenses forêts. Ces espaces de nature sauvage, où le voyageur peut se perdre, représentent un monde effrayant, peuplé de bêtes féroces et de dangers où vivent les brigands, les ermites et les exclus.

Là des coffres sont alignés, contenant des sommes enivrantes: un million de livres en or, argent et pierres précieuses. Encore faut-il faire sauter les serrures avant de se servir.Vite! Car les Espagnols préparent une contre-attaque.

Au lieu de s'unir pour résister aux Anglais, les grands seigneurs du royaume se font la guerre et c'est le peuple de France qui reçoit les coups.

Il n’y aura avec son père ni retrouvailles ni affrontement. Elle aurait aimé s’attaché à lui, qui était si peu attaché à elle, uniquement préoccupé de la marier dès ses quinze ans. Mais Jeanne avait refusé d’être l’épouse d’un gros marchand qui suait l’arrogance et étalait un ventre mou débordant de son pourpoint.

Au moyen Age, un livre coûte le prix d'une belle voiture aujourd'hui.

Il était une fois une jeune fille qui devenait amie avec la fille du ségneur. Cette fille avait des plaques rouges sur la peau, des grosses bosses. Elle ne sortait jamais du chateau.

J'ai aimait ce livre .

Jules

Tu vois, Jason, elle a l’air fragile comme le jonc dans nos tempêtes d’automne, mais c’est la seule, des Lebesque, qui a osé entrer dans une maison pestiférée pour aller chercher son oncle. C’est elle encore qui est montée lui porter un dernier adieu avant qu’il ne quitte le monde des vivants. La peste est la maladie la plus terrible que je connaisse…

-Ton coeur dur m'ignore encore ? Soit ! Qu'on me prépare un lit où je dormirait seul !

-Je n'ai ni dureté ni indifférence ! Mais j'ai gardé le souvenir de toi tel que tu es parti... Euryclée, va dresser pour ton maître le grand lit qui était dans sa chambre...

Ulysse a sursauté : -Qui donc a déplacé mon lit ? Je l'avais bâti moi même dans un lit d'olivier et j'avais construit notre chambre autour.

A ces mots, Pénélope se sent défaillir : Ulysse seul connaît tous ces secrets qui les unissent ! Elle court vers lui et il la reçoit dans ses bras. Leurs yeux ne se quittent plus, leurs baisers ont le goût salé des larmes. Là-haut, dans la chambre, leur lit les attend. Et Athéna, dans sa bienveillance, prolonge pour eux la nuit, retenant à l'horizon l'aurore au trône d'or."