Citations de Brittainy C. Cherry (2187)
Personne n'a plus le droit d'être témoin de ton amour que la personne qui te regarde dans ton miroir.
-Quand tu auras fini de te chercher... S'il te plaît, viens me trouver.
Parfois, on a besoin de craquer et de voler en éclats pour que la guérison puisse s'amorcer.
Un instant.
Un contexte.
Une phrase.
Il n'en faut pas plus pour faire basculer tout l'univers d'une personne
Le chagrin est comme ça, il ne fait pas de différence. Il submerge tout un chacun, sans discrimination
« si jamais tu dois retomber amoureuse un jour, s’il te plaît, fais en sorte que ce soit de moi. »
Il s'avère que la découverte de soi-même est un processus que chacun explore continuellement. On n'a jamais fini de grandir, on n'arrête jamais vraiment de se découvrir.
On ne peut pas être plus fort que le chagrin. Parfois la guérison, vient de l'acceptation des ténèbres.
- L'acceptation des ténèbres ?
- Oui. Vois le chagrin comme une bête. Un animal puissant et fort que tu es censé vaincre. Alors tu te bats contre lui, tu pousses et tu tires pour essayer de redonner un semblant de normalité à ton univers. Parce que c'est ça qui est détraqué, d'accord ? Tout le monde autour de toi avance beaucoup plus vite que toi. Tout le monde sourit en pensant à la personne disparue alors que tu as toujours envie de pleurer. Tout le monde retourne à sa petite vie comme si la personne qui n'est plus là n'y avait jamais été au départ. Ils parviennent à le faire naturellement parce que la personne décédée n'était pas leur moitié. Cette personne qui n'est plus était la tienne. Elle était les battements de ton coeur, et c'est comme si on te l 'avait volée. Tu es en colère et furieux que les gens autour de toi puissent aller de l'avant alors que toi, tu es toujours en train de sombrer. Alors tu essaies de faire comme eux et tu luttes contre le chagrin. Tu pousses. Tu donnes des coups de pied, des coups de poing, tu hurles, tu te débats, jusqu'à ce qu'il ne te reste plus que la dépression. Oui.
C'est ça...
Je croyais fermement en l'amour de ma mère. Je pensais qu'il était si fort qu'il pouvait battre la mort d'une façon ou d'une autre. Je sentais son amour autour de moi, parfois.
Je me fis aussi une promesse. Si jamais la vie nous remettait en présence l'un de l'autre, si les planètes s'alignaient et que nos chemins se croisaient de nouveau, je me jurait que, telles les vagues sur la plage, je lui tomberais dans les bras sans retenue.
- [...] J'aime tout chez toi, même cette tristesse que tu penses trop lourde pour être aimée. Je pense qu'elle est très belle. Je pense que tout chez toi est parfait, et je voulais que tu saches que tu es la première personne que j'aie jamais aimée, et que c'est facile de le faire. C'est si facile de t'aimer.
C'est triste que tant de gens traversent la vie sans savoir qu'ils sont pleins de magie.
Il y avait quelque chose chez elle qui rendait les jours sombres beaucoup plus lumineux.
- Qu'est-ce qui s’est remis en marche ?
- Mon cœur.
L'espace d'un instant, faisons comme s'ils avaient raison. Faisons comme si au bout du compte, nous serons malheureux. Mais aussi longtemps que l'air entrera et sortira de mes poumons, jusqu'à mon dernier souffle, je me battrai pour toi. Je me battrai pour nous.
Je ne cesserai jamais de vous aimer toutes les deux, Lizzie. Je te promets que pour le reste de ma vie, je te prouverai à quel point je vous aime.
Je l'aime, Lizzie. Je l'adore. Je porterai tous tes bagages pendant le reste de ma vie et ce sera un honneur. Parce que je t'aime. J'aime ton cœur, je t'aime Elizabeth et je ne cesserai jamais de t'aimer ni d'aimer cette belle petite fille.
Montre-moi cette partie de toi que tu essaies de garder enfouie au fond de toi. Montre-moi ce qui te fait le plus souffrir. Je veux voir ton âme.
« Il s’était avéré que chez soi n’était pas un lieu, c’était un sentiment que vous procuraient les êtres à qui vous teniez le plus, un sentiment de paix qui éteignait les incendies de votre âme. »
-Je t'aime, Kennedy. Je t'aime d'un amour plus grand que l'amour. J'aime tes rayons de soleil et tes ombres lunaires, et je vais continuer de t'aimer, toi et tes morceaux brisés, jusqu'à ce que tu perçoives la puissance de mon amour au point que tu oublies que ton cœur a des fèlures. Ensuite. je t'aimera encore davantage.