Carole Stivers

Instinct maternel

En 2049 l’armée américaine met en œuvre Tabula Rasa une opération de guerre bactériologique en Afghanistan, malgré l’avis négatif des scientifiques consultés. Faire table rase, à l’aide de nanoparticules d’ADN synthétique (NAN-CI) capables de simuler un virus pulmonaire et de tuer l’hôte en quelques semaines (« une arme de précision qui ne laisserait pas de traces. Aucune trace d’elle-même, aucune trace de son origine. Une arme qui se contente de tuer, puis de disparaître. »). Une opération sans risque, à priori, car les NAN-CI ne sont pas contagieuses. Malheureusement, rien ne s’est déroulé comme prévu : si les cibles ont bien été contaminées et éliminées, les résidus de NAN-CI (ceux qui n’avaient pas été inhalé) ont trouvé le moyen de se reproduire et à contaminer « une espèce réceptive d’archéobactéries présente dans le sable du désert » capable d’infecter n’importe quel organisme notamment l’être humain. Les militaires sont forcés de le reconnaître : cette « chose » est hors de contrôle. A terme (quelques années dans le meilleur des cas) toute la population mondiale sera touchée et disparaîtra, aucun vaccin, aucun remède ne pouvant être mis au point et produit en quantité suffisante pendant ce laps de temps –très court- … C’est perdu d’avance, la race humaine va être éradiquée. C’est alors qu’une idée folle est émise : et si des embryons humains (dont l’ADN modifié les immuniserait contre la NAN-CI) étaient confiés à des robots bourrés de technologies et d’intelligence artificielle afin qu’ils les mettent au monde, puis les élèvent ? Comme des mères.

Avec ce point de départ, l’auteure, qui est biochimiste, a bâti une formidable fiction d’anticipation autour de la maternité, de l’instinct maternel, l’appartenance et du lien d’attachement.

La grande originalité du roman, qui pouvait se cantonner à un récit apocalyptique (très réussi d’ailleurs), réside dans l’inventivité des « robots cocons » pouvant (vraiment ?) remplacer les humains et sauver l’humanité. Les robots-mères sont dotés d’une intelligence artificielle nourrie par la personnalité de différentes femmes, le code-mère. Ces « mères » sont donc capables de s’occuper d’un enfant, de ses besoins élémentaires bien sûr, mais au-delà : de les éduquer, de les protéger et… de les aimer (la réciproque étant vraie). Mais une machine, aussi sophistiquée soit-elle, peut-elle remplacer l’humain et le lien si particulier qui relie l’enfant à sa mère ?

Les enfants nés de ces robots-mères sont éparpillés dans le désert de l’Utah mais ils vont peu à peu se retrouver et former de petites communautés. Des liens vont se créer… Les enfants, devenus des adolescents, vont-ils s’émanciper de leurs « mères », celles-ci ont-elles été programmées pour les laisser les quitter ? Nous suivons plus particulièrement Kaï et sa « mère » Rho-Z, et les voyons évoluer.

Plusieurs thèmes sont abordés dans ce roman : la manipulation génétique (les dérives, mais aussi les espoirs suscités sur le plan médical), le développement de l’intelligence artificielle (là encore avec tous les dangers redoutés mais aussi les différentes applications qui pourraient améliorer notre vie), l’avenir de l’humanité et le développement des enfants, à travers des personnages attachants, pris dans le piège d’une véritable course contre la montre au sein d’un univers dans lequel les robots semblent finalement plus sensibles et aimants que les humains…

Me revoilà avec l'un de mes genres fétiches ... Ici nous sommes emportés dans un futur proche où l'humanité se meurt (de son propre fait ...) et décide de créer quelques bébés aptes à survivre dans le monde d'après sous la protection de robots intelligents faisant office de mères.

Un livre très prenant avec une première partie alternant des séquences pré apo (centrées sur les adultes) et des séquences post apo (centrées sur les enfants et leurs mères artificielles) et une deuxième partie où les deux périodes se rencontrent.

Au-delà de l'histoire et de l'intrigue, les questionnements sur l'intelligence artificielle sont intéressants même s'ils auraient pu être approfondis davatange.

Absolument génial !



WOW !!! Ça c’est du roman addictif !!!!

Commencé ce matin je viens de refermer ce bébé d’un peu plus de 400 pages et maintenant j’attends l’adaptation de Spielberg avec grande impatience.



2049, un virus incontrôlable et mortel est lâché dans la nature. L’Apocalypse est pour bientôt. Les scientifiques sont incapables de trouver un antidote alors ils élaborent un nouveau plan. Des fœtus génétiquement modifiés pour résister au virus seront implantés dans des cocons robots qui les élèveront dans les confins du désert de l’Utah. Ces machines géantes sont dotées d’une IA unique : le code mère.

Kai est l’un de ces enfants. Accompagné de Rho-Z, il devra survivre dans ce monde post-apocalyptique.



Le roman alterne les chapitres avant et après l’apocalypse.

Je ne sais pas trop dans quelle catégorie le ranger : dystopie ? SF ? Anticipation ?

En tout cas, il est hautement addictif. J’ai enchaîné les chapitres, complètement prise par cette histoire qui ne semble pas tirée par les cheveux. Carole Stivers est une scientifique. Elle prend appuie sur des progrès scientifiques réels (l’IA n’est plus du tout un fantasme, les autotaxis par exemple existent déjà, quant à la naissance du virus, je ne doute pas un instant que ce genre de choses sont arrivées ou arriveront...). Mais elle n’assomme pas le lecteur avec ses connaissances en biologie, informatique ou psychologie, la plume est toujours agréable, immersive.

Il y a le code mais il y a mère aussi. C’était beau ça ! J’ai retenu in extremis ma larme au prologue mais je suis certaine que Spielberg va me faire pleurer comme une madeleine. La maternité, forcément, c’est un thème qui parle tellement...

Qu'est-ce qui fait notre humanité finalement ?



Quelle découverte en tout cas ! J’ai vraiment adoré !!!



Un roman de SF qui plaira autant aux amateurs du genre qu'à ceux qui ne sont pas forcément férus d'IA grâce à des thèmes universels.

A lire !
Lien : https://demoisellesdechatill..

Je ne suis pas un grand adepte de science-fiction. C'est un genre qui m'attire mais qui me fait en même temps peur. Peur que cela soit trop long, trop détaillé, peu fluide. J'ai commencé Mother Code avec quelques a priori, qui furent malheureusement confirmés dans la première partie du roman. Nous croulons sous une avalanche de détails techniques sur l'origine de la maladie, sur les recherches scientifiques d'un remède, tout ça ne m'a pas beaucoup botté. J'ai eu du mal à me lier aux différents personnages mis en place et à comprendre l'intérêt des différents lieux.

Bref, cela n'a pas très bien commencé ! Mais j'ai tenu bon, l'intrigue était intéressante, notamment grâce aux deux chronologies (au moment de l'épidémie et quelques années plus tard). Et j'ai eu le nez creux, la deuxième partie du roman m'a nettement plus motivé. Le récit devient dynamique, les personnages gagnent en profondeur, plusieurs scènes sont très touchantes et la vraie problématique soulevée par ce roman s'installe : la relation humain - machine, ou comment retranscrire l'amour d'une mère dans une machine (le Code-Mère).

En conclusion, voici une lecture qui m'a sorti de mes habitudes et je suis content de l'avoir fait. Il faut certes surmonter un début un peu compliqué, mais ensuite, quelle histoire !

Mother Code écrit par Carole Stivers est un chef d'oeuvre. Je me suis évadée dans ce roman qui mêle épidémie et robot.



Dans ce roman nous suivons plusieurs personnages dans différentes périodes. Nous allons dès le départ apprendre qu'une épidémie va avoir lieu et qu'il va railler l'humanité de la carte mais une poignée de scientifique vont tout faire pour sauver leurs espèces.



Tout d'abord nous faisons la connaissance du Docteur James Said et de Rick Blevins, nous apprenons avec eux qu'une épidémie se répand dans le monde provoquée par les humains et des guerres et conflits en Afghanistan.

Au fil de la lecture nous allons rencontrer plusieurs personnages qui vont tout faire pour trouver un moyen de sauver l'humanité comme Rose McBride, Kendra Jenkins ou encore Rudy Garza.

Nous allons suivre leurs méthodes atroces et méprisables pour trouver un antidote, mais aussi pour protéger l'humanité.



Nous rencontrons aussi Kai un bébé, né en cocon, qui va devenir la nouvelle génération de l'humanité. Il est accompagné de Rho-Z baptisé Rosie, un robot qui est sa Mère. Il va s'aventurer dans un nouveau monde à la recherche d'autre vie.



"Peut-être que ces Mères robots n'avaient pas été programmées pour opérer avec de vrais enfants, des enfants qui avaient besoin de nourriture, d'eau... et d'amour. "



Un récit de fin du monde spectaculaire où nous suivons nos héros de 2049 à 2065.

Un livre qui mêle survie, guerre, épidémie, fin du monde, et espoir.



Ce roman dramatique nous fait ressentir de l'angoisse, de la crainte, de la peur et de la terreur dans cette fin du monde détaillée à la perfection mais avec une touche d'espoir et d'amour qui donne de l'optimisme.



"La nature dictait toujours les règles du jeu, nul besoin d'avoir un doctorat pour le comprendre "



Carole Stivers a su nous transmettre un récit fort sur un climat froid avec l'épidémie, la puissance des robots, et la fin de l'humanité. Un roman qui est un grand chef d'oeuvre de la science-fiction et qui peut se révéler réel pour le futur.

Ce livre m’a été offert par mon fils, afin de me faire sortir de ma zone de confort. Un pari réussi car c’est un coup de coeur !



Résumé Editeur : « 2049. La race humaine est en péril. Les habitants de la Terre n'ont plus qu'un seul recours : placer des enfants génétiquement modifiés dans les cocons de robots géants. Après une période d'incubation, ils seront mis au monde et élevés par des machines. L'ultime espoir de préserver la société humaine réside dans ces robots dotés d'une intelligence artificielle qui rend chacun d'entre eux unique : le code-mère. Kai est né dans le désert de l'Utah, avec pour seule compagnie son robot-mère, Rho-Z. Dotée des connaissances et des instincts d'une mère humaine, Rho-Z élève Kai et lui apprend à survivre. Mais à mesure que les enfants comme Kai grandissent, leurs mères se transforment également, d'une façon que nul n'avait envisagé. Quand les membres survivants du gouvernement ordonnent leur destruction, Kai doit faire un choix. Renoncera-t-il au lien qu'il partage avec Rho- Z ? Ou se battra-t-il pour sauver le seul parent qu'il ait jamais connu ? »



MOTHER CODE est un roman de science-fiction qui ne peut que nous interpeler à l’heure où notre monde subit une pandémie, que nous ne pouvons pas encore stopper, même si les deux fléaux sont très différents l’un de l’autre.



L’autrice aborde également l’intelligence artificielle, un sujet dont je m’étais jusqu’ici tenue éloignée. Elle développe le lien mère-robot/enfant d’une façon vraiment très intéressante. La maternité est un thème qui touche à tous coups.



Carole Stivers, biologiste de métier, a su rendre son style clair, et nous emporter dans son univers.



Ce roman ouvre à la réflexion, et j’aime retrouver cela dans mes lectures. Je vous recommande vivement cette lecture !

L’idée de ce roman m’a d’abord beaucoup plu : la manière dont la conception de ces robots est amenée est très plausible. Ce qui est intéressant c’est qu’on alterne le point de vue des scientifiques avant l’Épidémie (eh oui, encore une, je ne l’avais pas vue venir !) et celui des enfants presque livrés à eux-mêmes et dans une quête de leurs semblables. Peu à peu, on comprend d’ailleurs le lien qu’il existe entre ces deux moments. L’idée d’une nouvelle forme de maternité m’a aussi pas mal accrochée.



Néanmoins, même si je suis parvenue à la fin du roman, la narration n’a pas pris avec moi. Au début du roman, l’autrice, docteure en biochimie, nous abreuve de vocabulaire scientifique (pas évident pour des non-initiés). Même si le propos redevient accessible par la suite, il m’a manqué quelque chose : un peu plus d’émotions, un peu moins de technicité ? Quelques réflexions en fin de roman, sur le rapport entre l’humain et la machine, auraient mérité plus de pages à mon goût.

L'auteure a un doctorat de biochimie ; cela implique des termes techniques.



Personnellement, je n'y comprends pas grand chose mais je ne suis pas réfractaire à ce langage : ADN, nanoparticules, nanostructures d'acide nucléique, archéobactéries...



Ceci pour vous dire que les 42 premières pages sont un peu indigestes mais cela permet de poser la problématique.



Ensuite nous rentrons dans l'histoire :

En 2049, nos chers américains ont voulu éliminer quelques insurgés en Afghanistan et pour cela ont créé un truc biochimique qui devait tuer des hommes et ensuite se désintégrer. Seulement, cela ne s'est pas passé comme prévu. Et cet ennemi mortel biochimique se répand et attaque notre planète.



Nous suivons donc des militaires et scientifiques qui essaient de contrôler cette invasion biochimique ; et également pensent à l'avenir de l'humanité en créant des Mères-Robots qu'ils enverront dans le désert pour ne pas qu'on les découvre.



Et parallèlement, nous nous retrouvons 20 ans plus tard avec des robots-cocon qui enfantent, éduquent et protègent ces enfants génétiquement modifiés. Mais le climat dans le désert se détériore et les réserves s'amenuisent. Les quelques scientifiques survivants essaient de trouver un moyen de les sauver de la catastrophe.



Ce qui m'a plu, Ce lien particulier que les Mères-Robots et les enfants ont réussi à créer par leurs interactions. Les Mères Robots qui ont chacune leur personnalité. Les retrouvailles des enfants, leur intelligence et bien entendu, l'énergie des scientifiques pour essayer de les sauver.

J'ai lu beaucoup de critiques de Mother Code, particulièrement élogieuses, et j'ai donc l'impression d'être passée à côté de quelque chose en rédigeant la mienne.



Les thématiques abordées sont clairement propices à la réflexion, comme le danger des guerres bactériologiques, l'éthique dans la recherche génétique, et la pandémie, malheureusement d'actualité (même si le Covid-19 ne peut même pas être qualifié de challenger face à la NAN-CI).



Cependant, le synopsis du roman laissait penser à une profonde réflexion sur l'intelligence artificielle, ses limites, sur notre rapport aux machines intelligentes, mais j'ai trouvé cet aspect survolé, ce qui m'a déçue. On nous explique la nature du Mother Code, mais le côté "machine intelligente" est en réalité méchamment accéléré sur la fin, au point qu'on a l'impression que les Mères sont devenues conscientes presque par magie.



De mon côté, je n'ai même pas eu l'impression de voir une réelle forme d'intelligence artificielle : l'histoire montre que les Mères sont, comme n'importe quelle machine, vulnérables au piratage ou aux reprogrammations. Elles ne se comportement comme des mères que parce que leur code l'exige. Il n'y a même pas vraiment de réflexion sur la nature d'une mère...



J'ai donc trouvé cet aspect un peu décevant. Cependant, c'est un roman qui tient bien en haleine et propose malgré tout d'intéressants sujets de réflexion.
Lien : https://catladyquilit.wordpr..

J’ai lu ce roman pour m’inspirer sur le lien entre IA et maternité que je traite dans la nouvelle que je suis en train d’écrire.



J’ai globalement un avis mitigé sur ce roman. Les réflexions sur la maternité, les IA ou la survie de l’espèce humaine sont hyper intéressantes mais mal portées par le récit à mon sens. L’histoire est assez lente pendant quasiment tout le roman, puis tout se conclut en quelques pages finales, très denses.



Forcément, il manque certaine choses dans cette fin. Certains personnages secondaires n’ont pas de conclusions. Les « méchants » changent d’avis en quelques phrases peu convaincantes, sur la dernière page et avec comme seul argument « l’amour, c’est magique ». (Je caricature un peu, mais la fin m’a beaucoup déçu)



Réflexions intéressantes & inspiration pour l’écriture : Le lien entre IA et enfant et l’apprentissage croisé entre les deux

Avant de me lancer, j’avais vu plusieurs avis mitigés qui se plaignaient entre autres que « c’est pas du tout ce à quoi je m’attendais en lisant la 4e de couverture, je suis déçue ». Je ne lis plus les 4e de couverture. Faites comme moi : 0 attente, 0 spoil.



Bien sûr, je m’attendais à une histoire avec des robots, des IA, des scientifiques, etc., dans un univers post-apocalyptique. Ce à quoi je ne m’attendais pas, c’est une épidémie (pandémie pour ceux qui jouent sur les mots). Et on n’a pas seulement l’après, on est témoin de tout le déroulement, on a la cause et l’après. J’ai trouvé ça super, d’autant plus que la chronologie s’y prête bien : alternance de chapitres post- et pré-apocalypse.



Comme beaucoup de livre SF, encore plus avec les IA ou les nanotechnologies, on a droit à un jargon assez scientifique. Ça peut en refroidir certains, mais perso je trouve que même sans connaitre la signification de tous les termes spécialisés, c’est vachement compréhensible. La plume est très agréable et fluide, j’ai rapidement enchainé les chapitres.



L’intrigue est vraiment intéressante, et si ce livre est passé à ça (smiley) du coup de cœur, c’est surtout parce que le rythme se relâche un peu dans la 2e partie du livre, que j’ai moins appréciée (mais qui reste très bien quand, dans l’ensemble ce livre est super !).



Enfin, je ne m’attendais pas à être aussi touchée par ma lecture, surtout quand il est question de robots. Et pourtant, j’aurais dû m’en douter : des enfants qui naissent et grandissent avec leur Mères, des IA programmées pour les protéger et les éduquer, seuls dans un monde post-apocalyptique désert.



Un one-shot que je conseille, qui pourra entretenir le débat sur les IA mais aussi sur les conséquences des actes de l’humain sur la nature et de son besoin de tout contrôler.

Il s'en est fallu de peu pour que je l'abandonne... La première partie est extrêmement indigeste, on comprend pas grand chose : bien trop de termes techniques, médicaux, scientifiques... La deuxième partie est déjà bien plus facile à comprendre. Cependant, il manquait quelques chapitres je trouve sur la perception et le ressenti des enfants. Mais sinon, ça reste une bonne découverte.

Les hommes ont joué avec le feu et l'humanité va disparaitre infectée par un virus. Militaires et scientifiques se penchent pour trouver une solution. Ce sera, grâce à des "mères" robots, de faire naître et de protéger une nouvelle génération d'êtres immunisés. Mais comment retrouver ces enfants perdus, quand on ne peut les localiser et que leurs "mères" ont la mission de les protéger de tous les ennemis extérieurs quels qu'ils soient. Un chouette roman de SF, pour ados et adultes, avec des enfants isolés cherchant à survivre, des adultes moribonds repentants, des robots humanistes dont un film devrait être réalisé par Steven Spielberg... Un conte futuriste et moralisateur.

Des robots pour mère, un monde dévasté mais où l'espoir persiste, c'est ce que dépeint par la biologiste Carole Stivers dans un roman émouvant et très actuel dans les thèmes abordés : intelligence artificielle, pandémie, relation à la technologie... Mother Code se dévore.
Lien : https://www.scifi-universe.c..

Un bon livre de science fiction qui se lit facilement et que l'on peut aussi très facilement s'imaginer adapté au cinéma. Cela peut aussi faire réfléchir sur l'avenir des humains et des machines. Une bonne lecture donc, sans trop de prise de tête. N'hésitez pas.

Une lecture en demi-teinte. J'ai bien aimé l'idée de départ. Mais j'ai trouvé que le rythme s'essoufflait parfois. J'ai bien aimé certains personnages notamment Kai , la vraie Rose, Sela, les relations entre les enfants et leurs robots maternels, l'utopie des scientifiques ... Mais j'ai décroché du récit à plusieurs reprises quand cela me semblait trop invraisemblable !

au jour de la pandémie de covid , voilà une éventualité intéressante . Et si un virus venait à bout de l'humanité , comment assurer une continuité ?

du même coup arriver à donner une vraie humanité à des robots mères , tout un programme , plutot bien abordé .