Mon histoire avec cette saga, ça commence avec un hasard et une déception. J’ai suivi la hype de Noz et des Hugos en déstockage avec un temps de retard, et de tous les magasins que j’ai pu visiter, je n’ai trouvé qu’un seul broché de ma ME préférée : A la grâce de l’automne, le tome 2 des Shakespeare. Je l’ai pris parce que j’avais le seum de faire chou blanc une fois de plus, et c’est seulement 2 ans plus tard que je me suis décidée à commander le tome 1 pour mon anniversaire.
Et qu’est-ce que j’ai bien fait.
Ce tome-ci est un enemies-to-friends-to-sexfriends-to-lovers, supplément cohabitation forcée dans un cadre absolument splendide (les descriptions sont à se taper le cul par terre), elle lui en veut mais il ne sait pas pourquoi, on a le droit à des plots twists, des révélations, ça parle de pardon, de seconde chance, de rêves, et puis encore une fois, les descriptions !!
Alors oui, il faut l’avouer, la saga a un défaut : elle est écrite à la troisième personne. Oui, je sais, c’est carrément rédhibitoire pour moi aussi en temps normal, mais là, on est bizarrement proche des personnages, et en fait, on s’en rend presque pas compte. Au point où j’ai dû aller vérifier dans le livre parce que j’étais absolument pas sûre de ce que j’avançais, c’est dire !
Ne vous laissez pas intimider par ce détail et foncez lire les Shakespeare Sisters. Vraiment, vous vous en mordrez les doigts d’être passés à côté.
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