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Critiques de Cécile Reyboz (19)
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Clientèle

La narratrice est avocate spécialisée dans le droit du travail. Elle décrit ici quelques unes de ses expériences professionnelles avec des clients. Elle gère les dossiers de chefs d'entreprise très importants comme ceux de personnes beaucoup plus modestes. Certains prennent rendez-vous et ne se présentent jamais, d'autres, alors qu'ils ont gagné leur affaire, ne viennent pas récupérer leur argent, d'autres essaient de négocier un licenciement contre des avantages en nature… on voit tout type de personnes. A côté de ça, la narratrice nous raconte sa vie après le travail au cabinet, ses sorties, son inquiétude pour son fils…



J'ai emprunté ce roman à la médiathèque de ma commune car la question du droit du travail m'intéresse à titre personnel. J'ai malheureusement été déçue, j'ai failli abandonner plusieurs fois ma lecture.

Tout d'abord, sur le plan stylistique, l'utilisation de la première personne du pluriel est étonnant et ne m'a pas convaincue du tout. J'ai trouvé ce procédé vraiment lourd et peu impliquant pour le lecteur contrairement à une première personne du singulier ou même à une troisième personne.

Quant au texte en lui-même, ici il s'agit du récit de dossiers mais sans aucune personnalisation, aucun nom ni prénom, aucun détail un peu plus précis. Cette impersonnalité voulue par l'auteur m'a dérangée et je n'ai pas réussi à m'impliquer vraiment dans le récit.

A la fin de chaque chapitre, l'auteur évoque sa vie personnelle, pour moi ces digressions sans aucun lien avec l'histoire n'apportent aucun intérêt et sont même ennuyeuses. La demande de rendez-vous pour son fils chez le psychiatre est terriblement répétitive et lassante.

Dommage, je trouvais l'idée de départ de ce livre originale, au final je me suis beaucoup ennuyée.
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Clientèle

Avocate spécialisée en droit du travail, Cécile Reyboz nous propose un panel de clients. Leurs problèmes au travail les amènent à rencontrer la narratrice, avocate comme elle.

Celle-ci utilise le « nous » à la place du « je » pour raconter ses rencontres avec eux (ce qui est un peu agaçant)

Sa journée finie, elle devient à son tour cliente, de boutiques, de galeries, de restos, de boites de nuit…..

Régulièrement, elle écrit des brouillons de lettres à un psy pour lui demander de prendre en charge son fils attiré par la violence.

C’est bien sûr inspiré de la vie de l’auteur, mais écrit comme un roman.

C’est d’ailleurs bien écrit.

L’alternance des rendez-vous de clientèle et de la vie privée allège le côté professionnel qui pourrait être un peu pesant.

En tout cas, cette avocate est plutôt sympathique et soucieuse de ses clients au-delà du problème qui les fait se rencontrer.

Un roman qui est une bonne manière d’entrer dans le monde des avocats.

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Pouvoirs magiques

Un roman autobiographique atypique, dont l'écriture, étrange et juste, l'est tout autant que l'auteure, que j'ai également trouvée très touchante. En effet, elle nous fait évoluer dans sa sphère familiale proche (parents, soeur et compagnons), tout en nous entraînant dans sa vie parisienne, aspect que j'ai beaucoup apprécié. Au fil des pages, l'héroïne / auteure se dévoile, se dérobe, nous offre ses réflexions sur sa famille, sur les relations familiales et humaines plus généralement. J'ai passé un bon moment avec ce roman acheté au hasard des stands lors de mon premier passage au Salon de Paris.
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Clientèle

Je ne connaissais pas cet auteur, mais avec Actes Sud pas de mauvaises surprises .

Effectivement j'ai été agréablement surprise par cette lecture.

Une avocate raconte ses débuts de contacts avec ses futurs clients.Elle est spécialisée dans le droit du travail, et les licenciements souvent jugés abusifs par les plaignants sont son quotidien.Elle essaie toujours de leur faire raconter l'essentiel , les détails sont pour plus tard ,et le chagrin ressenti par ces hommes et femmes en détresse est souvent profond. L'avocate emploie toujours le « nous » pour décrire ces entretiens.

Mais , en miroir , elle raconte aussi sa propre vie après le travail , pas folichonne non plus, elle est surtout moins sure d'elle que ne pourraient le penser ses clients.

D'ailleurs parfois elle nous propose un brouillon de lettre qu'elle a l'intention d'envoyer à un thérapeute, lettre assez longue au départ, où elle explique son problème, et qui se terminera quasiment en lettre administrative afin d'avoir un rendez-vous.

L'auteur est avocate , ce qui explique certainement la justesse de ton de son livre.
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Face à la pente

A cinquante-huit ans, après une carrière professionnelle quelque peu erratique , mais toujours liée aux mots, Léonore accepte de partir en pré-retraite, dotée d'un petit pécule dont elle ne sait que faire en vérité.

Une série de rencontres improbables-un médium qui lui transmet un message de l'au-delà lui enjoignant de bien regarder, un D.J dont l'heure de gloire est derrière lui - va l'amener dans une petit village de l’Isère.

Totalement ignare en matière de végétation, Léonore prend ses marques en arpentant la campagne et en se liant prudemment aux autochtones, non sans maladresses.En devenant propriétaire d'un terrain qui suscite bien des polémiques dans le village, Léonore parviendra-t-elle à se tenir Face à la pente, au sens propre comme au figuré ?

J'ai adoré ce roman qui fait la part belle à la nature, car oui, Léonore va prendre le temps de regarder , non seulement les paysages, mais aussi les êtres, ce qui nous vaudra une magnifique description du corps nu d'un sexagénaire, entre autres. De plus, la narratrice s'insurge contre la condescendance dont on fait preuve à son égard en tant que retraitée. Comme si l'exclusion du monde du travail entraînait une exclusion de la vie tout court et n'était que l'antichambre de la mort.

A coups de statistiques, elle remet ses idées en place (et les nôtres par la même occasion) afin de nuancer la place que devrait occuper l’emploi dans notre vie . Enfin, sans tomber dans un optimisme béat, elle envisage un avenir non solitaire pour son héroïne , ce qui nous vaut un passage mémorable sur la différence entre "construire" et "poursuivre" (quand je vous disais que Léonore était attachée aux mots et à leurs nuances !). Un livre constellé de marque-pages , qui file, zzz, sur l'étagère des indispensables.
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Clientèle

C'est à une magnifique découverte que nous invite la narratrice, avocate spécialisée dans le droit du travail, celle d'une humanité variée, riche dans ses manifestations, ses réactions, souvent surprenantes .

à travers des entretiens téléphoniques ou des faces à faces, nous découvrons ces hommes et ces femmes, issus de milieux très différents, confrontés souvent à des licenciements abusifs, incapables d'exprimer rationnellement ce qui les amène devant l'avocate, submergés qu'ils sont par des émotions qui n'ont pas vraiment leur place dans ce monde juridique.

En alternance, s'intercale la vie privée de la narratrice et en particulier la rédaction en plusieurs étapes d'un courriel concernant son fils où l'on voit progressivement comment elle- même "dégraisse" son texte des émotions avant de devenir uniquement factuelle. Bref, faire ce qu’elle demande à ses clients ! Il s'y révèle aussi ses failles et une belle analyse des apparences. Un texte à mille lieues du roman que j'avais lu auparavant (les Bestioles) mais effectivement très réussi.
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Clientèle

J’ai trouvé le livre difficile à lire, la lecture n’est pas fluide car le style d’écriture est speciale. Je n’ai pas réussi a le finir
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Pouvoirs magiques

Née à la fin des années 60, Cécile nous raconte sa vie, celle d'une fille souriante (cela exaspère certains), joyeuse, pleine de vie et d'entrain. Il y a les parents, hauts en couleurs, issus de milieux sociaux différents leur union chaotique, la grande sœur Catherine, admirée par Cécile mais qui va progressivement s'éloigner de sa cadette au grand désarroi de celle-ci. Les rôles que nous imposent insensiblement la famille, la société, mais toujours cette volonté de rompre, de faire un écart pour mieux se retrouver.

Cécile Reyboz nous livre ici une autobiographie voilée (au sens où un roue peut l'être), jamais ennuyeuse, toujours savoureuse (la description de sa remise du prix de la Closerie des Lilas est hilarante!), qui évite tous les écueils du genre et nous entraîne à sa suite entre émotion et pudeur dans une lecture effrénée ! Dévoré d'une traite !

Vient de sortir en poche.
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Face à la pente

J’ai beaucoup aimé ce roman. J’ai été emporté dans une belle histoire pleine de sensibilité.



C’est d’une quête dont ce roman parle. La quête de l’essentiel.

Il est bien sur diffèrent pour chacun d’entre nous.



Pour Léonor, l’héroïne du roman, cette quête passera par le dépouillement de ce qu’elle possède pour chercher et trouver son coin de paradis où elle vivra le temps qui reste, à partir de sa préretraite, une vie simple, minimaliste. Une vie loin de de toute agitation à s’enivrer de calme, à savourer le rien, à porter son attention aux petites choses et aux autres.



C’est beau et l’histoire est portée par une très belle écriture.



Je recommande.


Lien : https://zabka.jeanpaul@gmail..
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Face à la pente

L'écriture de Cécile Reyboz m'avait ravie dans

" Pouvoirs magiques ", un précédent roman.



Cette fois, la plume habile et intelligente de l'auteur raconte les aberrations de notre société, ses dérives.



Et l'absolue nécessité de s'accrocher à la rampe, trouver sa place, être utile.



A 58 ans, Léonore bénéficie d'une préretraite.



Elle bazarde tout à Paris et, chèque en poche, direction la montagne !



A la faveur d'une rencontre avec une vieille gloire de la musique, elle a décidé de sa destination.



Sans aucun cynisme, la radiographie d'une époque où s'entrechoquent laideur et poésie.



Un livre plein de belles choses, des phrases qui font mouche, une vraie réflexion.



Une profondeur et beaucoup d'humanité dans ce bel hymne à la vie.



A découvrir !



" Face à la pente " de Cécile Reyboz, aux Editions Denoël.



Bonne lecture et à très bientôt pour de nouvelles chroniques littéraires !
Lien : https://abcdlivres.blog4ever..
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Clientèle

Nous suivons la narratrice au gré d'épisodes évoquant tantôt son quotidien d'avocate en droit du travail, tantôt ceux qui la mettent en scène dans certaines de ses activités exercées à titre personnel. Le récit met ainsi en parallèle sa position de professionnelle faisant face à des clients, et les moments où elle devient cliente à son tour.



Se désignant, dans la première, par le truchement d'un "nous" qui la dépersonnalise au profit de sa fonction, elle démontre au travers de ses dossiers la variété des situations et des profils qu'elle est amenée à défendre. Clients de mauvaise foi ou paranoïaques, vrais victimes d'un monde du travail où sévissent ségrégation, sexisme et harcèlement, cadres supérieurs et ouvriers, employés de bureaux et conseillers clientèle, consultants ou administrateurs, ils sont discrets ou arrogants, hommes ou femmes, jeunes ou quinquagénaires, sourds ou attentifs. Ils pleurent ou crient, s'exaspèrent ou se désolent... Mais pour tous, s'impose ou s'est imposé un impératif : il faut convaincre, vendre, si ce n'est un produit ou un concept, sa propre valeur.



Hors du bureau, récupérant son "je", elle sort avec son petit ami dans des restaurants chics où ils aiment croiser des célébrités et se procurent le vague frisson de n'être pas vraiment à leur place, flâne dans des galeries d'art avec la gène et l'appréhension que suscitent sa conscience de ne pas y être perçue comme une cliente potentielle. Comme si elle était à la recherche du gabarit qui détermine notre place dans ce monde où la valeur des uns se mesure selon besoin des autres, et comme pour expérimenter la mise à l'écart d'une société où on est jugé selon son pouvoir d'achat, catégorisé selon capacité à consommer.



En cantonnant la majorité de son récit aux aspects commerciaux de nos vies, elle met en évidence l'importance, dans les rapports entre individus mais aussi dans l'image qu'on a de soi-même, de la fonction, du métier, qui place socialement et suggère un mode de vie, des contraintes et des avantages, et qui surtout permet de mesurer l'ampleur des ressources. Nous sommes ainsi jugés, comme nous nous jugeons nous-mêmes, à l'aune de normes relevant davantage du plan comptable que de valeurs humaines.



Et elle évoque comme en passant, à l'occasion d'une pensée qui lui traverse fugacement l'esprit, les limites de ce monde capitaliste de multinationales cotées en bourse mais déficitaires, de grands groupes industriels qui polluent, trichent et licencient, "ruines de nos chefs d’œuvres écroulés qui menacent plus qu ils ne protègent", mais autour desquels les salariés, peut-être les derniers de ce monde, "continuent d’espérer et de chercher pitance"... l'argent et la performance sont devenus les cartes maîtresses d'un jeu dont les perdants, nombreux, inspirent une méprisante indifférence que révèlent entre autres les lieux souvent incongrus et difficilement accessibles dans lesquelles se tiennent les instances prud’homales...



"Clientèle" est un récit original, drôle et percutant, constitué d'une succession de paragraphes à la dimension a priori anecdotique et pourtant significative, qui poussent à une réflexion plus profonde que ne pourraient le laisser croire son ton empreint d'humour et l'apparente superficialité de sa narratrice.



Une découverte intrigante, et une lecture fort agréable...


Lien : https://bookin-ingannmic.blo..
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Chanson pour bestioles

Lecture découverte dans une cabane à livres gratuits.



Le style de l'auteur est intéressant mais j'ai eu du mal à adhérer au personnage principal beaucoup trop frivole à mon goût. Un voyage catastrophe avec un enchaînement d'événements amusants, mais une fin attendue.



Ce livre retournera sur les rayonnages de la cabane et poursuivra sa propre aventure !
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Pencher pour

Ce roman de Cécile Reyboz"Pencher Pour" est très surprenant.Un homme au drôle de prénom :Lazor tente de vivre sa vie autrement, il le fait et le dit avec des mots différents...on peut parler d'imaginaire poétique.Cet imaginaire et le style rappellent Marcel Aymé;c'est parfois déstabilisant mais aussi très excitant...autre chose, autrement, ailleurs : vraiment!
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Chanson pour bestioles

Un beau matin, alors qu'elle cogite assise sur son poste de télévision, Marthe décide de changer de vie.

Ni une ni deux, elle saute dans un TGV afin d'aller annoncer la bonne nouvelle à son père.

Outre la décision de tout larguer (travail, appart, amant), Marthe décrète que dorénavant elle ne fera plus que ce qu'elle veut.

Jusque là donc, presque rien d'anormal...

Si ce n'est que Marthe a un curieux rapport à son corps et au monde.



Voilà quelques semaines que je tournais autour de ce livre à la couverture loufoque et poétique. Les pages qu'elle protège le sont tout autant, et il en va de même pour l'esprit de Marthe.

On comprend vite qu'elle appartient à ces têtes étoilées qui peinent à trouver leur place dans notre réalité.

Si Marthe est à la fois, agaçante, rigolote, futile, pathétique, elle est surtout touchante et émouvante. Touchante dans ses tentatives maladroites d'échanges avec ce genre humain que l'on qualifie de normal, et émouvante face à cette liberté nouvellement acquise qui l'emporte avec îvresse vers les autres.



Un premier roman hors des sentiers battus pour nous conter la difficulté du papillon à s'extraire de sa chrysalide
Lien : http://moustafette.canalblog..
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Face à la pente

"Face à la pente", un roman jubilatoire sur la retraite où l'autrice est presque en roue libre […]
Lien : https://www.lalibre.be/cultu..
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Face à la pente

Léonore, jeune retraitée, cherche un endroit où vivre sa liberté. Un bonheur de roman.
Lien : https://www.lemonde.fr/livre..
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Pouvoirs magiques

Radiographie d'une époque et portrait doux-amer d'une famille.



Il y a Juliane et François, les parents. Cécile est la cadette, Catherine l'aînée.



Petite bourgeoisie tranquille de proche banlieue parisienne.



Rien que de très banal. Mais non.



Par le prisme de l'oeil de Cécile, la vie prend une toute autre allure. Tout est plus, plus vif, plus fort, plus dense, plus trouble.



Entière, elle sent confusément que les choses ne sont pas forcément telles qu'elles paraissent alors elle réorganise, elle redessine.



Cécile tente plein de choses dans son émouvante quête de l'inaccessible étoile.



On la suit avec plaisir et empathie dans ses aventures, glissant des rues de Paris à la maison familiale de Belledonne dans les Alpes.



Et puis il y a Catherine, l'ainée fuyante, la blessure secrète de Cécile.



De regards furtifs en conversations loupées, d'évitements en sourires crispés, la petite cherche la grande.



Essaie d'en saisir le mode d'emploi.



Tout cela est si intelligemment écrit que l'on s'interroge à notre tour : qu'est-ce donc qu'une famille ? Doit-on nécessairement s'aimer parce que l'on partage des gènes communs ?



S'asseoir autour de la même table pour le rôti / pommes de terre dominical fait-il le lit de la tendresse ?



L'envie, l'indifférence, la jalousie, l'incompréhension. La rencontre improbable de deux mondes et une volonté farouche de toujours y croire.



Un roman touchant, en creux et bosses, une vraie sincérité, à ne pas manquer !
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Chanson pour bestioles

Je lis une drôle de chanson de Cécile Reyboz, une Chanson pour bestioles.

Marthe est une jeune femme bizarre, un peu dérangée. Elle décide sur un coup de tête de ne plus suivre que ses désirs et prend le train pour annoncer la nouvelle à son père en province. Las, cette miss-catastrophe ambulante enchaîne les bévues et sème le trouble sur son passage. Son désir de communiquer est aussi intense que maladroit.

Bientôt, le train s'arrête en rase campagne, au milieu de nulle part. L'environnement est chamboulé, sans repère et le contrôleur débordé par la situation. Marthe veut prendre les choses en main ; elle y voit le signe de son passage réussi à une nouvelle vie.

Pas plus que les autres passagers, je ne sais à quoi m'attendre de la suite de ce roman original, drôle s'il n'était dérangeant, car en définitive qui (ou quoi) est Marthe ?

Une découverte étrange piochée dans les listes de la bibliothèque. Si la couverture est un peu surréaliste, le roman l'est complètement. Le style est agréable et la lecture, qui m'a plu modérément, glisse toute seule. Il y a manqué sans doute, de mon point de vue, une intention plus évidente.
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Clientèle

Avocate, l’héroïne de « Clientèle » se bat pour des salariés abusivement licenciés. Heureusement, elle a la tendresse des siens.
Lien : http://www.lemonde.fr/livres..
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