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Citations de Chitra Banerjee Divakaruni (175)


Si j’avais voulu, j’aurais pu faire chanter des maris drogués, des femmes infidèles et des adolescents aux pratiques sexuelles discutables. Mais chez Lola, nous avions un code d’honneur à respecter. Et nous savions que nous mêler des affaires des riches et des puissants ne nous amènerait rien de bon.
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Il parla de leur enfance, évoqua avec lyrisme la maison secrète où ils avaient grandi, mais elle refusa de se plonger avec lui dans ces souvenirs. Seuls les pauvres d’esprit ruminaient ainsi le passé.
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Personne ne s’intéressait aux Chinois… du moins à cette époque. Les Indiens nous considéraient comme un peuple inférieur à eux, parce qu’une grande majorité des nôtres travaillaient dans les tanneries ou les magasins de cuir. Mais ça nous était égal. Nous étions entre compatriotes, et nous avions tout ce qu’il nous fallait.
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Si nous ne sommes pas plus prudents, les choses vont empirer. Nous pouvons continuer à passer nos nerfs sur les autres, au risque de nous enterrer vivants. Ou nous pouvons essayer de nous occuper l’esprit avec autre chose…
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Dans sa jeunesse, avant que le mariage et le service diplomatique ne l’aient pris au piège avec leurs fausses promesses de glamour et d’argent facile, il avait étudié la chimie. Chacune des personnes dans la pièce était pour lui une éprouvette dont le mélange risquait d’exploser si on y ajoutait la plus petite goutte du mauvais ingrédient.
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Naïf, idéaliste, têtu et riche… Quand un jeune homme réunit toutes ces qualités, on peut s’attendre à tout
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On dédaigne ce qui nous tombe tout cuit et on désire l’impossible.
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On peut changer complètement sans même s’en rendre compte. On pense que les épreuves nous rendent aussi durs et froids que la pierre. Mais l’amour entre en nous discrètement, comme une aiguille, pour soudain se transformer en hache et nous mettre en pièces.
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On peut vivre sans amour avec un homme bon.
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L’amour, quand il est encore vibrant et bien vivant, est une guirlande de fleurs. Mais une fois qu’il est mort, c’est un garrot.
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Les gens que vous avez un jour aimés sont ceux qui savent le mieux comment vous blesser.
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Ah, cette bière, sa mousse si douce et lisse laisse dans la gorge une amertume, comme un rêve d’autrefois interrompu. Personne nous avait dit que ce serait si dur ici en Amérique, toute la journée récurer des planchers graisseux, se coucher sous des machines qui pissent leur huile noire, conduire ces monstres de camions vomissants qui encrassent nos poumons. Rester debout derrière des comptoirs d’hôtels sordides où il faut sourire en tendant les clefs des chambres à des putes. Oui, toujours sourire, même quand les gens disent « Salauds d’étrangers qui nous envahissent et nous volent nos boulots », même quand les flics nous malmènent parce qu’on se trouve dans l’autre partie de la ville, les quartiers riches.
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Viennent en premier les pensées des gosses de la nuit, un bourdonnement aigu comme celui qu’émettent des câbles électriques avant l’orage.
O quel pouvoir, quelle joie, la tête nous tourne quand nous arpentons la rue le soir en sifflant et balançant nos chaînes, les gens ils se terrent dans leurs trous, ils se terrent, détalent comme des cafards. Nous sommes les rois. Et la flamme orange qui jaillit de la gueule de nos chéries, nos chéries de métal, nos chéries qui nous donneront la mort, la mort bien plus enviable que l’amour, quand ça nous plaira.
Les gosses de la nuit avec leurs yeux d’albinos, incolores comme l’acide. Ils me glacent le cœur. Je repousse leurs pensées dans l’obscurité qui les a engendrées, mais je sais qu’invisible et inexistant ne sont pas synonymes.
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On peut changer complétement sans même s'en rendre compte. On pense que les épreuves nous rendent aussi durs et froids que la pierre. Mais l'amour entre en nous discrètement, comme une aiguille, pour soudain se transformer en hache et nous mettre en pièces.
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