Christian Boivin

Bon je me suis laissé tenter par les contes interdits. Et oui clairement ça n'a rien d'un conte. Certains passages sont choquants à la limite du supportable pour certaines personnes...

Cependant je considère que c'est un livre qui mérite un peu d'attention. Si vous aimez l'horreur, le malsain c'est un livre qui reflète bien certains vices de l'humanité.

Le suspense est maintenu jusqu'au bout. Une fois plongé dans l'univers gore des contes interdits on a envie de connaître le fin mot d'histoire. Mais je trouve cependant que certains passages sont pas très réalistes.

Quelle fin décevante!! Je sais que les auteurs aiment souvent terminer leurs récits avec des surprises/revirements de situations, mais il faut au moins le faire avec doigté pour faire en sorte que la fin colle parfaitement avec toute l'histoire cumulée de leurs romans, ce qui n'est malheureusement pas le cas ici. Par exemple, pourquoi l'oeil-qui-voit-tout présentait toujours Sokar comme étant le fils d'Orrotaresh alors que c'était Maya? L'explication qui a été fournie était vague et peu crédible. Le livre manque d'ailleurs de respect à Maya (et aux lecteurs), dont la relation d'amour avec Sokar a été profondément et chaleureusement développée à travers les 4 livres de la série et à la fin, on la tue presque comme si de rien n'était; pas de "Au revoir", ni de paroles ou de mots doux qui refléterait l'immense peine que doit subir Sokar avant d'accepter de tuer sa bien-aimée. Finalement, le livre laisse en plan plusieurs facettes importantes de la série, surtout l'Ordre des moines-guerriers! Que se passe-t-il avec eux? Vont-ils se reconstruire ? Aurora va t-elle continuer à régner seule sur eux? Sokar va t-il exiger des changements dans cet ordre vu qu'il est maintenant roi? Pourtant cet ordre fait partie du titre du livre et on ne s'en est pas préoccupé du tout. Quel dommage.

Les 3 petits cochons :



Il était une fois une princesse,

Douce, gentille, jolie

Voilà comment la voyait son frère le bandit

Quand elle disparue, il en fut peiné

Et l’enquête il alla mener



Très vite il comprit

Que sa sœur avait bien grandi

Et naïve elle n’était plus

Luxure, drogue elle avait connu

Bien qu’il semblerait que ce soit à son insu



Car c’est dans la jungle de la grande ville

Que les trois gros porcs les plus vils

Choisissent de jolies demoiselles

Pornographie, cannibalisme et nécrophilie

Rien n’est épargné aux plus belles



C’est donc dans les bois

Que s’en va notre héros aux abois

Chercher la vérité

Et sa sœur venger



Cependant, comme dans les contes rien n’est évident

Attendez avant d’en tirer des conclusion!

Du loup et de l’agneau, qui sera le plus méchant ?


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Je n'avais jamais eu de coup de cœur pour les contes interdits, mais j'avais généralement passé de bons moments. Avec celui ci, c'est la douche froide. Pour être franche je n'ai quasiment rien aimé.



Seul point positif, l'histoire. L'idée était bonne, un frère qui cherche à découvrir la vérité sur la mort de sa sœur, des évènements inattendus, des personnages qui apportent du peps et des rebondissements.



Mais quel lenteur. J'ai trouvé certains passages réellement longs, inintéressant et sans aucun intérêts pour l'histoire en elle même. Et cette obsession sur le sexe, le corps des femmes, le moindre truc. Vraiment, ça m'a excédé.



Toute les 3 lignes, le sujet revenait sur le tapis et tout finissait par tourner autour de ça, alors que réellement je n'en voyait pas du tout l'intérêt. C'est quoi cette obsession d'un mec qui b**de sur tout ce qui bouge, qui se bat pour une paire de seins ?



En bref, je n'ai pas aimé du tout ce livre. Trop de sexe, trop d'obsessions, de passages inutiles, trop de trop qui m'ont fait sauter des lignes et passer complètement à côté de l'histoire.

C’est le premier conte interdit que j’ai lu et j’ai été déçu. Notamment du fait qu’il y avait un potentiel énorme dans le fait de revisiter le vilain petit canard au travers d’un geek asocial qui en pince pour sa jolie voisine.



Mais l’auteur a fait le choix de nous parler de vampires et au final il n’y a aucun rapport avec le conte de base. Les scènes gores gratuites sont mal écrites. Le porno et la torture font juste penser à un snuff movie raté et le personnage principal n’a rien d’attachant.



D’ailleurs la fin n’avait ni queue ni tête et le format est trop court pour tenter de développer un univers comme celui choisi par l’auteur.

Un thriller gore et vulgaire où un tueur à gage tente de percer le mystère sur la disparition de sa sœur. Les chapitres premiers porteront sur le héros et les chapitres seconds porteront sur sa sœur, quelques mois auparavant.

En réalité, il n’y a pas grande surprise. Trois hommes pervers, une jeune femme un peu idiote que cela ne gêne pas d’uriner dans la bouche de quelqu’un ou de se retrouver nue sur une table en échange d’argent, une gothique stylisée, du BDSM, des bonnes grosses scènes de sexe violent, de la nécrophilie, du cannibalisme, de la torture, du viol… Le synopsis ne mentait pas.

Néanmoins, malgré des personnages complètement idiots et peu attachants, c’est un récit qui se laisse lire. Les personnages masculins sont tous des pervers ou des tueurs. Les personnages féminins sont toutes prêtes à vendre leurs corps en échange d’argent, à faire tomber tomber la robe à la moindre occasion d’être à poil ou à se faire violenter joyeusement. Personne n’est choqué de rien. Mais faut pas chercher plus loin, c’est la volonté de l’auteur.

En tout cas j’étais satisfait de ma lecture et j’ai bien aimé la fin.

Assez déçue par le final. Le contenu est certes très violent, mais rien qui ne me fasse dresser les cheveux sur la tête. J'en attendais plus de cet ouvrage côté '' horreur'', et finalement rien d' horrifique. L'histoire en elle même est correct. Âme sensible s'abstenir.

Une version horrifique vraiment tordue du conte des Trois Petits Cochons, où personne n'est vraiment innocent et où tout le monde peut mourir à n'importe quel moment, de façon atroce de préférence. L'auteur, Christian Boivin, s'amuse à nous emmener toujours plus loin dans la violence décrite de façon très crue, qu'elle soit physique ou sentimentale. Les multiples références qui parsèment ce court roman sont toutes expliquées, même les plus évidentes, ce qui rend ce récit très accessible. Il faut parler un peu anglais pour comprendre certaines répliques ou paroles de chansons exploitées dans le texte, mais à part ça c'est un niveau très -trop- abordable.





Si vous n'avez pas peur des ténèbres, de la violence, du sang et de la rage pure, alors sautez le pas vous aussi et plongez la tête la première dans les tréfonds de la noirceur humaine, pour voir tout ce dont notre espèce est capable quand elle décide de faire le Mal. Un conte loin d'être destiné aux enfants vous l'aurez compris, et ce n'est que le troisième de la collection que je lis ! Ayez le cœur bien accroché et mettez votre sensibilité de côté car elle sera rudement mise à l'épreuve autrement.
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L’histoire est bien repensée, avec des références aux cochons, on comprend à la fin le rapport avec le loup. C’est bien de lire un conte qui ne finis pas « bien ». Dommage le côté français / anglais m’a deranger un soupçon. J’aime le côté féminin mis en avant tout le long du roman. C’est gore, mais pas repoussant.

Bien écrit des scènes gores bref un conte horrifique !

Pas un des meilleurs de la collection des contes interdits mais il se laisse lire quand même. Très sanglant en revanche sur certains passages. A découvrir pour les accros à l'hémoglobine !

L’écriture de l’auteur est vraiment agréable et les références au conte des trois petits cochons sont partout. Dans le nom des personnages, dans les chansons, dans le nom du restaurant...c’est vraiment un gros point fort. L’utilisation des mots associés aux cochons et au loup est vraiment brillante.



Le personnage principal Peter Wolf est terrible et attachant. On est dans une histoire complètement tordu ou les personnages sont plus tordus les uns que les autres et c’est là que notre moralité débarque parce que l’on veut qu’il fasse payer les maudits cochons alors qu’il est lui-même peu « legit ».



Les changements de narration entre le passé et le présent, avec Alicia et Peter sont intéressants. Malgré une ligne directrice somme toute assez claire, on dirait que je l’ai perdu au milieu de livre.



La finale est la partie la plus violente physiquement et elle est pleine de rebondissements!
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Bon ben voilà lecture terminée avec un goût d’inachevé d’autant que le 4ème de couverture nous met l’eau à la bouche. Franchement je m’attendrais à un peu plus voire vraiment plus de croustillant. L’idée de revisiter les histoires enfantines est bonne mais mal exploitée à mon goût. Je ne sais pas si je reviendrai vers d’autres lecture de ce style. Malgré tout un bon moment de lecture.

Je n'ai pas du tout apprécié ma lecture.

J'avoue que le québécois a été un véritable frein à mon immersion. De plus j'ai trouvé certaines scènes "trop". Trop crues, trop violentes, trop obscènes. Je n'ai rien contre la violence dans la littérature mais là on a des passages à rallonge qui ne servent pas à progresser dans l'histoire, ils sont juste là pour choquer.

Une lecture assez originale, qui m'a énormément surprise, je ne m'attendais pas à lire une histoire de vampire dans la collection des contes interdits, ce fut une agréable surprise.

Le personnage principal se retrouve transformé en vampire du jour au lendemain, commence alors sa transformation, il dois apprendre à se contrôler, apprendre à chasser, jusqu'au jour où lui même est chassé par un groupe anti-vampire.
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Dans ma découverte des contes interdits, je trouve que celui-ci sort un peu du lot avec une adaptation un peu particulière mais pas sans charme. Je trouve que la mise ne place du roman est un peu long ce qui fait que la fin est un peu bâclé à mes yeux mais pas sans intérêt. Les contes interdits réserve parfois de bonne surprise.

J’ai aimé l’histoire avec les déviances de chacun les liens était subtil parfois avec la vrai histoire mais le livre ses lu rapidement histoire fluide j’ai bien aimé

Quelle déception. Dès le début de ma lecture, je n’ai pas réussi à me laisser guider par l’auteur. On se retrouve face à un narrateur banal dans un quotidien banal sans rien de réellement intéressant ou même de sympathique. Clay est un trentenaire asocial qui ne trouve de plaisir que dans les jeux vidéos et qui peine à aller vers sa voisine plus que charmante qui sort on ne sait où toutes les nuits. Invité un soir à les rejoindre, elle et son ami surnommé Démon, dans un night-club clandestin, Clay va vivre la soirée la plus dingue de sa vie et connaître une transformation scellant sa nouvelle existence. Moins gore que d’autres de la saga, ce livre laisse tout de même échapper pas mal d’hémoglobine et de fantasmes violents qui s’apparentent à de la torture.



En commençant cette lecture, j’ai été rapidement lassée par l’abondance de détails inutiles que s’évertue à nous offrir Christian Boivin, freinant le rythme déjà pas très dynamique au départ (Clay va-t-il prendre les escaliers ou l’ascenseur ? Quel sandwich va-t-il tenter d’engloutir ? Quand va-t-il aller uriner ?) et ne m’invitant pas à me plonger pleinement dans le récit. Le style m’a paru assez amateur ou alors c’est le roman qui est tout simplement brouillon et mal construit car malgré cela, l’auteur a de bonnes idées. Mais alors où est la connexion entre les scènes ? La cohérence ?



Il y a un réel problème au sein de la construction de l’histoire, certains moments s’enchaînent sans tellement de finesse et d’explications, on a l’impression de rater des informations tellement le récit file à toute allure. Et puis, agissant avec lui comme s’il était maintenant un apprenti dans sa nouvelle vie nocturne, on prévient Clay qu’il doit rester le plus discret possible pour ne pas avoir d’ennuis. Mais que font-ils, lui et ses nouveaux amis, pendant toute cette histoire ? Totalement le contraire et bizarrement, il n’y a jamais vraiment de conséquence.



Hormis à la fin du roman où les révélations s’enchaînent trop brusquement. Néanmoins, ces dernières n’étant pas mauvaises, je les placerai volontiers dans les points positifs, il faut dire qu’il y en a peu de mon point de vue. Pour finir, avant de commencer cette lecture, j’ai voulu me remémorer l’histoire originale, et difficile de voir en ce roman une réécriture tellement il y a peu de références au matériau d’origine contrairement aux autres livres de la collection que j’ai déjà pu lire.
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Simple histoire de vampires au Canada....

Sans plus !!

Mon premier des contes interdits. Je comprends mieux pourquoi cette série porte ce nom, on est loin des contes de notre enfance. Une lecture assez crue, tordue, horrible même mais j'ai bien aimé et j'en lirai d'autres.