Citations de Christophe André (3788)
Si vous fondez votre identité sur les ragots, les rumeurs et le qu'en-dira-t-on, vous n'avez pas fini de souffrir!
A force de lorgner vers l'avenir, j'en oublie les mille et un cadeaux qui sont là, à portée de main...
La vie est fragile. Chaque instant est un cadeau qu'il nous incombe d'apprécier à fond. Dépêchons-nous de nous convertir et de devenir plus généreux!
Cultivons les émotions agréables. Prenons soin de les nourrir au-delà de nos automatismes et de nos habitudes.
Quand je suis heureux, il me semble que je me réconcilie avec mon passé et mon avenir; alors que la joie m'ancre vigoureusement dans le présent, et me donne toute la mesure de la grâce que j'ai d'être vivant à cet instant.
Je vois bien que la joie, par son côté contagieux, spontané, presque animal, a des vertus considérables pour les autres: quand les gens que nous aimons sont joyeux, nous sommes prêts à nous laisser contaminer par eux.
Chaque fois qu'on pose un acte de tendresse, d'affection, d'amour, chaque fois qu'on éclaire quelqu'un en lui donnant un conseil, on modifie un tout petit peu l'avenir de l'humanité dans le bon sens.
Le miracle, c'est de marcher sur la terre. (Thich Nhat Hanh)
Savourez le bonheur des autres, c'est aussi un bonheur.
Les individus injustes, agressifs, violents sont eux-mêmes leurs propres victimes. Ils ne sont pas libres, mais esclaves : de leur milieu, de leurs préjugés, de leur passé.
Le bonheur ouvre notre esprit, la souffrance le resserre.
Sourire mobilise quinze muscles, mais faire la gueule en mobilise quarante. Reposez-vous : souriez !
il aurait pu aussi se révolter par la violence, comme d'autres le firent. Mais il eut le courage de se dresser pour combattre, et l'intelligence de le faire de manier non violente : " la raison pour laquelle je m'interdis d'obéir à la philosophie ancienne qui exige "œil pour œil", c'est que celle-ci finit par rendre tout le monde aveugle." arme politique au départ, la non-violence atteignit avec Martin Luther King une dimension psychologique, donc universelle : elle devint une façon d'être au monde, un moyen de changer la conscience et le cœur des humains
"Il faut soumettre l'action à l'épreuve de la pensée et la pensée à l'épreuve de l'action", écrivait Goethe.
Considérer que le calme et le silence sont des nourritures indispensables lorsqu'on est un citadin actif, et que s'en priver trop longtemps nous rend tout doucement malades.
Si nous avancions dans l'existence avec l'obsession de nous poser la question: " est-ce la dernière fois que je viens de faire, de vivre, voir cela ?"
Ainsi, en avançant en âge, nous commençons à vivre des rencontres, des voyages ou des événements dont nous savons parfaitement qu'ils seront les derniers. Que nous souhaitons-nous en faire ? Des occasions de bonheur ou de malheur ?
Sourire augmente légèrement les états d'âme positifs.
Nous apprécions davantage la vie en souriant qu'en nous renfrognant.
Nous avons aussi à accepter qu'il y a plein de choses que nous ne ferons jamais ici-bas. Des petites et des grandes. Depuis les albums photos que nous n'aurons jamais le temps de composer jusqu'au pays ou nous n'irons jamais...
Petits deuils de notre toute-puissance de nos appétits de vie.
Envie de s'arrêter et de savourer
Tu sens que c'est un moment spécial.
Tu restes encore un peu, accroché de ton mieux à l'instant qui s'écoule.
Ressentir, éprouver, ne pas penser, ne pas analyser.
Ne pas bouger, bien-sûr, ne rien faire.
Juste respirer et regarder.
Tout ce que le paradis nous promettait pour demain, le bonheur nous l'offre aujourd'hui. Ces moments magiques nous font vivre l'expérience palpable de ce que peut être le paradis, s'il existe. Et aussi de ce que peut être l'immortalité : ne plus rien craindre de ce qui viendra. Un moment de bonheur, c'est une bouffée de paradis.
Chaque fois que nous sommes heureux, nous sommes immortels. Le paradis, c'est ici et maintenant.
Ce n'est pas la jeunesse qui est la sève de l'arbre du bonheur, mais la vie même.
Accepter le bonheur, c'est aussi apprendre à accepter la douleur de sa disparition.