Christophe Bertschy

Le diablotin le plus taquin de la BD continue ses aventures en trois cases et une ligne de strip. Gags garantis. L'apparition du bébé de la sœur de Julie vient compliquer encore un plus la tâche de celle-ci, déjà qu'elle avait deux enfants qui passent leur journée à manger et à dormir : Nelson et Floyd.

Un tome 3 où Nelson le diablotin à l'imagination sans limites continue de perturber la vie de Julie, à la maison et sur son lieu de travail, bouscule Floyd, le sympathique mais lent du cerveau labrador, et va même jusqu'à rendre l'enfer difficile à vivre pour son principal occupant, le Diable lui même, qui subit lui aussi les bêtises énormes de Nelson.

Rire assuré.

Challenge Petits Plaisirs 2014/2015



Fidèle à lui-même Nelson multiplie les farces et les bourdes dans ces strips humoristiques. De petites scènettes à la mesure de ce diablotin infatigable. On reste dans l'esprit du premier tome et on ne que sourire devant la légèreté et la bonne humeur qui se dégage de cet album.

Un tome assez faiblard. Cela tire dans tous les sens. Pas de ligne de gags récurrente où on pourrait capitaliser sur un certain comique de répétition.



Le seul apport plus ou moins comique, c'est le père de Nelson qui débarque. Il est à l'image de son fils, goinfre, égoïste et de mauvaise foi. A part ça, quelques gags avec Floyd et sa descendance sortent aussi du lot. Sinon, RAS.

19eme tome déjà!

Pas de nouveauté, on a toujours les mêmes personnages, les mêmes blagues, trés classique.

Nelson est un diablotin facétieux, gourmand et possédant un sens de l'humour assez acerbe. Il rassemble des caractéristiques de plusieurs "héros" de bande dessinée en 3 cases, comme Garfield, par exemple. Le côté diablotin est moyennement rendu. On a le plus souvent l'impression d'avoir un animal de compagnie doté de la parole.



Le tome parle de voyages (d'où le titre). Les îles exotiques d'abord. Puis les vacances à la ferme ensuite. Les déboires de la propriétaire de Nelson sont innombrables à la ferme, en bonne citadine qu'elle est (idem pour Nelson). Pour le reste, cela reste relativement drôle, enfin pour des gags en 3 cases. Mais on est en-dessous de Garfield ou des Peanuts, à mon avis.

Né pour faire rire ce diablotin…

Il ne pense qu’ à vider le frigo et regarder la télé. Il pourrit la vie de Julie, met le foutoir au bureau, multiplie les farces aux dépends de Floyd, le labrador. Ce chien n’est toutefois pas qu’un comparse, il est même question dans un de ces strips de rebaptiser la série « Floyd » avec enseigne à clé…

J’oubliais Stupidon, qui se présente ainsi « Je suis Stupidon, et avec mon arc je sème l’amour, la paix et l’harmonie » Ce à quoi, Nelson répond : « Je suis Nelson, le diablotin, et je fais EXACTEMENT le contraire »...

C’est fun et ça ne prend pas la tête.

Une série de strips et de gags efficaces, où Nelson, diablotin imaginatif à l’appétit insatiable, trouve tous les moyens de perturber la vie de Julie et de son labrador Floyd.

Cette BD part d'un concept tout simple : quelles bêtises énormes pourraient être faites dans le quotidien. A peine imaginé et et hop, Nelson (et Bertschy) les font.

Très sympathique et sans prise de tête.

La suite des strips mettant en scène le diablotin orange Nelson, sa jolie maîtresse – victime Julie, et Floyd, son labrador un peu lent du cerveau, complice malgré lui de Nelson.



Cette série est toujours aussi détendante, les gags fusent tout en suivant la vie quotidienne de Julie, son travail ou ici ces vacances à la campagne. L'occasion pour Nelson de découvrir les animaux de la ferme... et d'y mettre la panique.

J'aime la façon dont sont faits les dessins. Nelson le petit diablotin est un personnage de BD que j adore et la manière dont est fait le livre est chouette. J'espère que dans les prochains tomes il y aura plus de personnages.

Un BD qui permet de passer un agréable moment avec un petit diablotin, de bons sketchs . Destiné à tous types de lecteurs qui souhaite se détendre un peu.

C'est une des BD préférée de mon fils, j'ai donc profité de l'occasion pour lire ce premier tome. J'ai beaucoup rigolé, ce petit diablotin va venir mettre la pagaille dans la vie de Julie mais aussi dans la vie de son chien Floyd! Une véritable petite terreur. Les dessins sont très explicites et les événements vont faire effet boule de neige. Un très très bon moment. J'aime beaucoup quand Nelson utilise la photocopieuse (petit coquin) ou le fax :)
Lien : http://chezcookies.blogspot...

J'ai découvert le personnage de Nelson avec ce huitième tome. Nelson est un petit diablotin qui est apparu auprès de Julie pour lui rendre la vie impossible. La bande dessinée réunit l'ensemble des petites histoires, des comic strips, mettant en scène ce personnage orange et malicieux.



Essentiellement constitués de gags courts, le tout se lit vite . On peut démarrer l'album à la page que l'on veut, se laisser guider par le hasard pour combler quelques minutes d'attente ou d'ennui.



Ce n'est pas constamment à mourir de rire, parfois ça fait juste sourire ou alors on passe à la suivante. Mais globalement j'ai bien aimé.

Je ne pense pas que j'aurais acheté l'album par moi-même mais, offert, ça se laisse ranger dans la BD-thèque.

J’aime bien écrire une critique pour me souvenir de ce que j’ai pensé d’une histoire, d’une BD…

Force est de constater qu’après 25 tomes, Nelson ne permet pas de se souvenir de grand-chose…

C’est le genre de strip qu’on lit vite fait quand on a 5 minutes, qu’on peut même relire quelques semaines après en les redécouvrant tant il n’y a pas grand-chose…

C’est un instantané de trois cases, une blague à la Toto, jamais très légère ou super creusée, une blague de comptoir qui fait sourire sur le coup et qu’on oublie…

L’auteur étire parfois une idée sur plusieurs bandes, ça marche le temps qu’on passe devant et puis voilà, c’est déjà pas mal…

Je viens de découvrir cette bande dessinée, grâce aux packs confinement des éditions Dupuis.

Nelson est un vrai petit diablotin qui en fait voir de toutes les couleurs à Julie, et à son chien Floyd, un peu bêta.

Les sketchs sont assez inégaux. J'ai globalement passé un bon moment de lecture, mais sans plus.

A vue de nez, 45 pages avec 4 gags par page, cela fait 180 jours, 180 gags publiés dans Le Matin. On couvre donc 6 mois et au vu des gags, on démarre de la rentrée scolaire jusqu'à la Saint-Valentin.



Nouveauté, en ce qui me concerne, on aperçoit (pour Halloween) le boss de Nelson. Le diable en personne. Mais il n'effraie pas Julie, la maîtresse de Nelson, qui pense qu'il s'agit de son collègue de travail déguisé.



Un bon mélange de gags impliquant Floyd le chien, les collègues de bureau, et Nelson avec Julie. On a même droit à quelques gags avec le Père Noël et ses rennes.



Donc, y'en a pour tous les goûts.



Cela dit, Cyclone Destroy, qui évoque clairement à mon avis Seek and Destroy, ne contient pas de références musicales.

Etant une grande fan de Nelson, je ne manque jamais la sortie d'un nouvel album, tout simplement parce que c'est une BD qui me fait beaucoup rire.



J'adore toujours autant voir Julie se débattre avec sa vie en compagnie de Nelson et Floyd, surtout que ces deux-là sont rarement là pour améliorer les choses. Que du contraire !



J'ai beaucoup apprécié ma lecture de ce dernier tome, qui commence déjà très bien avec un titre très accrocheur. J'avoue que "crétin des Alpes" est une expression que j'affectionne beaucoup, et qui évidemment colle très bien avec le contexte de la BD.



Voir nos deux héros bêtes et maladroits essayer de se débrouiller en montagne est tout de même très drôle à suivre et on ne s'en lasse pas.

On a parfois un peu pitié de la pauvre Julie qui doit se trimballer ces deux andouilles partout, mais on ressent cela à peu près dans chaque tome.

Mais c'est toujours aussi comique.



En bref, je ne suis pas déçue de ce dernier numéro proposé par Bertschy. Il est dans la lignée des précédents et c'est agréable à parcourir.
Lien : http://www.cranberriesaddict..

Encore un agréable moment de lecture avec ce petit diablotin de Nelson. De bon gags, et cette petite virée chez les scouts dans la nature est assez plaisante.

17 tomes et les gags écrits par Bertschy sont toujours aussi bons. C'est toujours un plaisir de lire les gags de Nelson qui sont toujours drôles, fins et surtout diversifiés. Ce qui est intéressant pour un abonné du mag Spirou comme moi c'est qu'une partie ( environ 30%) de l'album est inédit car non publié dans son mag de prépublication.

Un tome 16 où tous les héros sont toujours aussi désopilants. Un très bon moment de détente en lisant cette BD. Des gags justes et parfois très bien pensés.