Christophe Bertschy

Challenge Petits plaisirs 27/40



J’ai découvert Nelson depuis quelques mois, dans les pages de Spirou magazine, et j’ai immédiatement adhéré. Aussi lorsqu’un nouvel album est sorti au début du mois de janvier je me suis empressé de le lire afin de découvrir de nouveaux gags.



Nelson c’est un peu comme Garfield. Au lieu d’avoir un chat, on a un diablotin mais sinon les blagues sont non pas similaires, mais dans le même esprit. Toujours prêt à faire des crasses, toujours très porté sur la nourriture, Nelson persécute son entourage pour notre plus grand plaisir.



Les dessins sont vifs, modernes et contrairement à Garfield, il y a un réel suivi de pages en pages. Ici le tome commence pendant que Nelson débute un stage chez les scouts, et se termine lorsqu’il rentre chez lui, et que sa maitresse reprends son travail. Je pense me procurer les 14 premiers tomes prochainement, afin de les lires dans l’ordre de parution et ainsi voir l’évolution de la série.



Si vous aimez les BD en 3 cases de style Garfield ou autre, foncez, Nelson est tout aussi drôle.

J’ai découvert Nelson dans le journal de Spirou. Après avoir acheté récemment le dernier tome paru (le tome 15) que j’ai vraiment adoré, j’ai décidé de commencer l’intégrale de la série, mais dans l’ordre cette fois-ci.



L’humour est déjà très présent et le style graphique également même si l’on sent que l’auteur se cherche encore un peu. En tout cas, toutes les bases sont là, et j’ai pris beaucoup de plaisir à découvrir l’origine de Nelson et son intégration à la famille.



Dans le même genre que Garfield, mais un peu plus moderne tout de même, avec des dessins plus fins, puisque entièrement fait à la tablette graphique (lu dans une interview de l’auteur ).



C’est simple, comme du Garfield, comme du Kid Paddle ou du Game Over, chaque planche ou presque est drôle, et c’est tout ce qui importe dans ce type de BD.

1ère lecture pour moi.

Sans plus.

Entre Julie, Nelson, Floyd, et autres personnages, celle que je préfère, finalement, c'est la soeur de Julie !

Julie est une jeune femme qui vit seule avec son chien Floyd. Son quotidien est bouleversé par une "chose" orange prénommé Nelson.

Nelson est issue du monde inférieur... un petit diable. Mais qu'à donc fait Julie pour se retrouver avec un diablotin ?

Tout simplement, elle a eut le malheur de voler du papier toilette appartenant à l'entreprise où elle travaille.

Disproportionné comme punition !? Peut être pas ! Sa vie est certes un enfer depuis l'apparition de Nelson, mais où serait notre plaisir de rigoler aux (mauvaises) blagues de ce monstre orange ?!

D'autant plus, qu'au fil des strips de Christophe Bertschy, ce n'est pas Julie qui subit le plus les facéties du diablotin, mais Floyd.

Les seuls dégâts qui rendent furieuse Julie, c'est le frigo qui est rapidement vidé par son démon.

Premier volet d’une intégrale strip (gag horizontal de peu d'images) et publiée dans un format à l’italienne.

Entre deux lectures plus "sérieuses" se replonger dans les strips en trois cases du suisse Bertschy est un bon moment de détente. Avec ce vingt-deuxième tome les personnages sont maintenant bien en place, les gags entre Nelson, Julie et Floyd prévisibles, mais le charme opère toujours.

Nelson c'est l'insupportable Diablotin qui vient s'incruster dans la vie de Julie , une jeune et jolie célibataire. Assez marrant à lire.

Nelson, c'est l'insupportable DIABOLTIN (de couleur ORANGE) qui vient s'incruster dans la vie de "Julie", une jeune et jolie célibataire, et de son labrador engourdi "Floyd". Mais attention, personne n'est à l'abri de cette malédiction orange! Nelson a largement assez de défauts pour dynamiter le quotidien de tous les infortunés qui croisent son chemin....

Bref une BD a croquer sans modération!!!

Parce que Julie a "empreinté" un rouleau de papier toilette à son bureau, elle doit être punie. Arrive Nelson, tornade rousse qui enchaîne les gags , les tours et les mauvais coups; parfois à son détriment mais le plus souvent à celui de Floyd, chien labrador ayant quelques difficultés cognitives.

Drôle, sans prétention, un bon moment ed détente

Décidément le petit diablotin Nelson me fera toujours rire. Très agréable moment avec Julie, Nelson, et bien sûr Floyd.

Je ne me lasse jamais de lire Nelson, les gags sont toujours aussi comiques.

Comme toujours, la plupart des gags sont bâtis sur le trio infernal Julie-Nelson-Floyd avec quelques apparitions du collègue niais et lourdingue.



Signe des temps, le tome datant de 2023, une large proportion des gags aborde la nourriture, mais sous un angle soit diététique (sans que ce soit lié à un régime féminin, ouf!), soit de la malbouffe et de son impact sur la planète. Un bon pourcentage de gags se connecte aussi aux préoccupations environnementales, en ce comprises les problématiques de biodiversité, pollution, réchauffement... C'est assez étonnant, et cela tape souvent assez juste. Un tome qui me semble moins creux que les autres, qui étaient simplement basés sur un humour de situation ou de quiproquo.



Pourvu que cela dure.

Décidément le petit diablotin Nelson me fera toujours rire.

Après une dure journée quelle plaisir de lire Nelson, ses bêtises me met de bonne humeur.

Quelle plaisir de lire Nelson, cela me fait toujours plaisir de lire ses bêtises.

Julie décide de partir en vacances à la ferme avec Nelson ainsi que son chien Floyd, entre gags et rire on s’amuse toujours autant.

Toujours aussi génial, notre petit diablotin Nelson.

Le diablotin orange a encore frappé. En trois cases et avec efficacité. Quelques bons éclats de rire, de la vraie détente. Abordable de 7 à 177 ans (et oui l'espérance de vie s'est allongée depuis Hergé), comme l'explique Nelson plongé dans un livre sur le cerveau : "Ce livre dit qu'on n'utilise que 10 % des capacités du cerveau ! ... Ouf ! Il dit aussi ça devrait suffire pour piger des petites BD en trois cases".

C'est sur une méprise que Julie achète Floyd, un labrador idiot... Si le vendeur avait mieux tenu ses fiches, le destin de la famille en aurait été totalement changé... Donc, bienvenue à Floyd qui va devenir le souffre-douleur de Nelson pour une bonne partie des gags. Une autre partie non négligeable des gags met en scène la soeur gothique de Julie. Ce sont encore ceux qui m'amusent le plus... Oups...



Globalement, cela se feuillette distraitement, sans trop d'émotions, ni positives, ni négatives. L'art du strip est complexe.

Côté pile, nous sommes en 2010, et quelques gags abordent le réchauffement climatique et la pollution des océans. C'est déjà pas si mal.



Côté face, le malheur a voulu que j'enchaîne deux tomes de Nelson à la suite (le 9 et le 7)... et on a des gags assez semblables. Comme celui de la langue gelée collée à un poteau ou à une truffe. Quelques gags saisonniers autour du Père Noël aussi.



Ce qui est dommage dans les gags de Nelson, c'est qu'ils n'ont aucune suite. Dans Dilbert, les Peanuts, ou d'autres comic strips de très bonne qualité, même si ce sont des gags en 3 cases, on a parfois des gags qui constituent des suites de gags précédents. Chez Nelson, rien de tout cela. Sa maîtresse revient de la coiffeuse, un gag, et on ne revient pas dessus, alors que cela aurait été possible. Pas de running gag, et on est donc dans l'instantané, ce qui en dit long sur le type d'humour et l'optique poursuivie (d'où le fait que l'auteur se répète parfois d'un tome à l'autre, d'ailleurs).

L'origine de Nelson... le non-partage d'une chaîne via e-mail par sa future maîtresse... et le vol d'un rouleau de papier WC du bureau. Petit vol, petit démon...



Voilà les deux premiers "gags" du premier tome des aventures de Nelson.



Le reste met en place l'univers de Julie qui héberge malgré elle le diablotin Nelson. On a Floyd le labrador indolent et le bureau avec les collègues. Par rapport à d'autres tomes que j'ai pu survolé (soyons honnêtes, lire un tome de Nelson de A à Z est quasi impossible), on a davantage de gags quiu se font au détriment de Nelson. Et pas mal d'interaction avec Floyd, qui évoquent Garfield et son pote. Nelson découvre aussi le monde des humains et il se méprend souvent sur l'usage réel des objets ou des services. Cela fait sourire en amenant une réflexion sur les codes de notre monde.