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Citations de Christophe Chabouté (232)


Le crime parfait, c'est un crime sans faute et sans coupable.

Parfois sans victime avérée !
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André ! De toute façon, je l'ai pris en photo. Tu pourras le regarder à l'hôtel ce soir. Dépêche-toi On a encore le Louvre à faire.
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Et qu'y connaissez-vous en chaussures...
...Vous n'avez jamais eu de pieds, cher ami !
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- Ne surtout jamais se fier à l'apparence du client ! Quand il prenait encore des taxis, Donald Trump ne laissait que 50 cents de pourboire... Lorsque je conduisais, j'ai hésité un jour à prendre une femme dans mon taxi. Un vieux jogging, deux sacs en plastique troués... une vraie clocharde... C'était Meryl Streep !
(p. 35)
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[ une classe d'ados devant l'« Olympia » de Manet ]
- M'sieur ! C'était des meufs que le peintre avait pécho, les nanas à poil qu'il peignait ?
- Je ne peux rien affirmer. Mais certains devaient ma foi entretenir des relations peut-être plus intimes avec leurs modèles. Cela va sans dire.
(p. 115)
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- Rendez-vous compte qu'il y a un mois à Beaubourg, ils ont trouvé le moyen d'accrocher un monochrome de Klein à l'envers...
- Proprement scandaleux !
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[Deux personnes devant le même tableau]

- Substantifique. Constitutif ! Dans cette toile, l’eurythmie de la pluralité chromatique, la concaténation et la contexture des constituants picturaux, l'édulcoration des flexuosités, ce degré supplétif, cette primauté à la peinture sensorielle, insufflent incontestablement et de manière apodictique les prémices de l'abstraction.

- Cette douceur... ce calme... cette sérénité... on entend le doux et léger frottement de l'herbe contre les robes.
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- André !! André, dépêche-toi !
- C... C'est magnifique ! Si beau !
- André ! De toute façon, je l'ai pris en photo. Tu pourras le regarder à l'hôtel ce soir. Dépêche-toi, on a encore le Louvre à faire.
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- Maman ? Pourquoi elle parle tout le temps la dame ?
- Ben elle est guide, elle explique les tableaux aux gens.
- Ah !... Ils regardent avec les oreilles alors... ben, la dame qui parle tout le temps, elle dit juste aux gens ce qu'ils doivent regarder et comment regarder !
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- Un je ne sais quoi... comment dire... un sentiment de... comme si... enfin ce profond... c'est tellement... la composition, l'harmonie... je n'arrive pas à... je ne... les mots me manquent...
- Alors, tais-toi ! Ressens ! Simplement...
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A chaque fois qu’un passager entre dans mon taxi, tout est possible.
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Est-ce si important de savoir pourquoi ?
On en profite. On savoure. On vit !
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Substantifique, constitutif ! Dans cette toile, l’eurythmie de la pluralité chromatique, la concaténation et la contexture des constituants picturaux, l'édulcoration des flexuosités, ce degré superlatif, cette primauté de la peinture sensorielle, insufflent incontestablement et de manière apodictique les prémices de l'abstraction.

(p. 52)
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Ben là, c'est juste une asperge.
Le tableau est tout rikiki.
Le peintre devait plus avoir assez de peinture pour faire un grand tableau...avec les autres légumes
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Ce matin, une petite fille s’est mise à danser devant une toile de Degas. Elle imitait les ballerines. Sa maman l’a regardé faire un moment, et puis, elle a posé son sac… et s’est mise à danser avec sa fille.
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Tu as vu, les gens se promènent tous avec un petit rectangle dans la main, ils le regardent sans cesse.
Souvent ils nous le montrent, les bras tendus.
Ils se le collent à la joue aussi.
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Aujourd'hui, un monsieur s'est approché de moi... il m'a regardée longuement.
Puis il a lentement et très délicatement effleuré ma cuisse du bout des doigts.
Après avoir retiré sa main... il est resté là un moment, l'air embarrassé... confus, et après un long silence, il m'a fait des excuses.
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Cette douceur... ce calme... cette sérénité... on entend le doux et léger frottement de l'herbe contre les robes.
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Cet après-midi, un non voyant accompagné de sa petite fille a discrètement posé ses mains sur la statue de Tanagra...Ses mains caressaient le marbre. Il semblait regarder doucement et délicatement du bout de ses doigts.
Un surveillant posté non loin a voulu intervenir, mais il s'est ravisé. Il a fait semblant de ne pas voir... et a laissé faire le vieux monsieur.

(page 113)
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- Les tableaux sont ... vides !
- Oui bien sûr... Les plats se promènent. Ils sortent du cadre. Ils vont se dégourdir les jambes.
- L ... Les plats ?
- Ben oui, les plats ... Ils sont plats ... Ils restent plats ... Des tableaux quoi ... Par contre, on ne sait pas où ils vont. Mais hors cadre, c'est certain.


(page 108)
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