Christos Markogiannakis

Second roman que je lis de l’auteur. Celui-ci m’a été offert par mon amie en version dédicacé avec mon prénom écrit en Grec, (enfin, comme je ne lis pas le Grec, j’espère que c’est bien mon prénom.)



Même constat pour celui-ci que pour le précédent, le manque de descriptions fait que je me perds un peu sur les personnages. J’ai du mal à retenir leur nom et donc à savoir qui est qui.

Il y a aussi le fait qu’on ne reste pas vraiment sur l’enquête. Il n’y a pas de réel suivi qui permette de mener sa propre enquête. Pas d’indices, où alors je ne les vois pas !



Les chapitres sont très courts, les phrases et le roman aussi.

Il se lit donc très vite.

On sent l’admiration de l’auteur pour ses confrères et surtout pour ma chère Agatha Christie.

Je relèverai juste cette phrase « Si j’étais Holmes, j’aurais besoin d’un docteur Watson, et si j’’étais Hercule Poirot, il me faudrait une miss Oliver ou un inspecteur Japp. »

J’ai lu tous les romans d’Agatha, et pour moi, Hercule va avec Hastings, son compagnon de toujours !



Le roman reste agréable à lire mais il manque trop d’éléments importants pour que je sois complétement captivée par la plume de l’auteur.

Peut-être serez-vous plus emporté que moi par les enquêtes du Capitaine Markou.

Lecture coup de cœur !



C’est mon 1er polar de l’auteur et la 4ème enquête du capitaine Markou, mais ça ne m’a pas gênée dans ma lecture. Au contraire, j’ai très envie de découvrir les précédents !



C’est un whodunit, dans le style d’Agatha Christie. Des meurtres secouent Athènes. Deux cadavres en un mois, corps mis en scène. Pas de mobile, rien pour avancer. Deux autres suivront, mais toujours pas d’indices. Jusqu’à ce que Markou se rende compte que ces meurtres reproduisent des scènes de crimes de polars. Qu’il a lus, et qu’il possède. La chronologie des meurtres est la même que le classement qu’il a fait dans sa bibliothèque…



Markou est un bon flic, mais assez solitaire. Personne n’est rentré chez lui, sauf Roubini Gaetanou, la profileuse de l’équipe. Ils ont eu une liaison. Mais pourquoi ferait-elle ça ? Lui en veut-elle de la rupture ?



A moins que ce ne soit Costandinos Manias, le nouveau qui travaille avec lui. Markou s’en méfie, il lui semble faux, trop beau pour être vrai. Mais là encore pourquoi ? Ses états de service sont irréprochables.



Pas possible que ce soit son amie Véra. Elle n’est jamais rentrée chez lui. Ils s’appellent, se voient de temps en temps, comme lorsqu’elle l’a trainé dans ce club polars. Markou sait que Véra est discrète et qu’il peut lui parler sans craindre une fuite.



Alors qui « s’amuse » avec lui ?



J’ai adoré cette lecture ! Un polar soft, qui cible l’enquête et les indices. Tout à fait classique, et tellement agréable à lire ! Aucun temps mort, une intrigue captivante. Difficile de lâcher ce livre avant la fin !



J’ai retrouvé ici ce que j’aime dans les romans d’Agatha Christie. La forme, le fond, les indices, ce mystère qui plane… Mais remis au « goût du jour ». Tout est analysé, disséqué. Les fausses pistes côtoient les vraies. A vous de faire le tri, si vous le pouvez…



L’enquête est bien ficelée, réaliste, avec des personnages auxquels je me suis attachée. La fin est arrivée sans que je m’en aperçoive ! Mais pourquoi donc est-ce que j’ai lu si vite ? J’aurais voulu que ça dure plus longtemps !



Un excellent moment de lecture donc, avec des clins d’œil à certains auteurs « classiques » du genre. L’intrigue est maitrisée, logique. Un roman à énigmes comme je les aime, prenant, sans fioritures inutiles, qui est arrivé à me scotcher à ma lecture.

Êtes vous déjà tombé sur ces tutos youtube tellement longs que vous les regardez en lecture accélérée X2 tout en regrettant qu'il n'existe pas une x3 ? Et bien c'est ce qui se passe avec ce livre. J'ai commencé par sauter des lignes puis des paragraphes, enfin des pages entières sans ou autant perdre le fil... Et j'ai abandonné

Avec un style simple et efficace, des chapitres courts, Christos Markogiannakis a le sens des retournements de situation. Un roman intelligent.
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Mon premier polar hellénique et je ne suis pas déçue !



Le capitaine Christophoros Markou découvre, halluciné, qu'une série de meurtres épouvantables est commise selon le classement des livres de sa bibliothèque personnelle.



Il y a de quoi être déstabilisé.



D'autant qu'il ne sait plus à qui se fier au sein de sa brigade.



Entre une collègue avec qui il a eu la faiblesse d'entretenir une brève relation et un nouveau venu à l'attitude étrange, Markou sent que son monde bascule.



Habile et bien menée, une histoire à plusieurs voix qui laisse la part belle à l'imagination.



On se perd en conjectures.



Paranoïa, méandres d'esprits torturés voire folie, voici un thriller psychologique de qualité !



" Auteur de crimes " de Christos Markogiannakis, aux éditions Plon.



Bonne lecture et à très bientôt pour de nouvelles chroniques littéraires !
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Après avoir enquêté, dans les 3 romans précédents, à la faculté de droit, sur la riviera d’Athènes, puis sur l’ïle de Nissos, le capitaine Markou est de retour dans une nouvelle enquête qui le confronte à une série de meurtres qui de prime abord ne semblent avoir aucun lien entre eux. Affublé d’un nouvel et jeune coéquipier au passé mystérieux, Markou finit par réaliser que les meurtres s’inspirent de scène de crimes de grands romans policiers, dans une chronologie qui reproduit le classement de ces romans dans sa propre bibliothèque. Mais très peu de personnes ont eu l’occasion d’entrer dans son appartement…

Cet « Auteur de crimes » vient confirmer, s’il le fallait, le talent de Markogiannakis dans la confection de whodunit efficace. Les chapitres courts donnent le rythme et l’on s’immerge rapidement dans cette enquête qui fait la part belle à des références de la littérature policière : on y trouve Poe, Vargas, Doyle et évidemment Agatha Christie, grande prêtresse du genre et modèle revendiqué par l'auteur depuis longtemps.

Si les romans précédents s’attachaient à transcrire l’atmosphère grecque, c’est moins le cas ici, la recherche du coupable prime et l’on va d’indices en suspicions, jusqu’aux révélations des derniers chapitres qui permettent une réflexion intéressante sur « l’art du crime » d’une part et sur l’invisibilisation de certaines franges de la population, d’autre part. Le tout est mené tambour battant dans une écriture toujours aussi fluide qui sait vous tenir en haleine. Le temps passe tellement vite sous la plume de Markogiannakis que l’on ressort de la lecture avec une impression de « trop court ». On serait volontiers resté plus longtemps avec Markou et l’on se prend à espérer que Christos Markogiannakis a déjà, cachées dans les barbes de sa plume, quelques nouvelles enquêtes dans lesquelles embarquer l’attachant capitaine.

Cet auteur est venu en dédicace dans ma région il y a peu mais je n'ai pas pu me rendre au salon le seul jour où il y était.



Cette couverture m'a fait penser à un cosy mystery, genre dont je ne suis pas très fan, pourtant il n'en est rien. L'histoire est même assez sombre finalement.

Par contre, l'auteur aime son pays, on le sent bien.



Il place son histoire sur l'île de Nissos. En Grèce.

Un crime au marteau lors d'une soirée entre amis.

Un policier en vacances sur cette île qui est présent lors de la soirée. 10 suspects et pas de possibilité de s'enfuir à cause du temps.



Le tout n'est pas sans rappeler différents livres de ma chère Agatha Christie mais l'auteur ne s'en cache pas et les cites même.



Malheureusement, encore une fois, ça ne suffit pas.

J'ai eu du mal à rester dans l'histoire. C'est dû au fait que l'auteur ne décrit pas assez certains de ses personnages dés le départ et en plus on les retrouve avec d'autres noms dans le roman clé.

Il y a un côté assez décousu et j'ai eu l'impression que l'enquête se faisait sans moi.

Une suite d'interrogatoire, des réponses qui n'apparaissent qu'aux yeux de l'enquêteur. Des personnages assez clichés et un mandat de perquisition qui tombe comme un cheveu sur la soupe.



Bref, je ne suis pas convaincue par ce polar mais par contre, je le suis par les îles Grecs.

L'avenir me permettra peut-être de découvrir ces îles et vous de lire ce roman.

Le décor est planté, je suis en Grèce sans avoir pris un seul avion dépaysement assuré. Et me voilà plongée dans une enquête mystérieuse et insoluble. Malgré mes nombreuses lectures du genre impossible de deviner qui quand comment pourquoi.



Je côtoie un univers familier avec les références bibliographiques que glisse l'auteur au milieu de son intrigue. Il y a même Fred Vargas avec son premier roman "L'homme aux cercles bleus", si ça ce n'est pas une mini déclaration d'amour à nos auteurs français je n'y connais rien !



Le capitaine Markou est au bord de l'apoplexie, il en perd son latin (ou son grec), des crimes en série sont perpétrés et pas l'ombre d'une piste. Fait doublement perturbant, le tueur semble s'inspirer des livres de sa propre bibliothèque en suivant un ordre bien particulier et plagiat les crimes de chacun de ses romans. Il devient de plus en plus soupçonneux voire paranoïaque et même sa meilleure amie n'arrive pas à le raisonner. Il ne retrouvera son calme que lorsqu'il pourra enfin arrêter ce tueur machiavélique aux desseins bien difficiles à cerner.



En villégiature en région Attique, je n'ai ressenti ni la chaleur ni l'ennui juste la soif de découvrir le meurtrier assoiffé lui aussi de meurtres littéraires. Quand la passion des crimes rejoint la passion des livres.



Je quitte le capitaine Markou a regret et j'espère le retrouver l'an prochain pour une nouvelle enquête.
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J’ai adoré ! Je savais que cette série était décrite comme étant dans le style Agatha Christie. Je comprends totalement ! Nombre fini de suspects, interrogatoires successifs, raisonnement pour arriver au dénouement décrit par l’enquêteur devant tous les suspects : un vrai régal !



L’histoire se passe dans une université, ce que j’aime beaucoup. Le personnage de Markou m’a beaucoup plu. Il est dans une position peu évidente puisqu’il a fait ses études dans cette fameuse université avec, en professeurs, une bonne partie des suspects !



Christos Markogiannakis est le premier auteur grec que je lis ! Et je continuerai à le découvrir : j’ai hâte de retrouver Markou dans une prochaine enquête ! 😍
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Le Capitaine Markou est dans une posture bien délicate. Les meurtres s’amoncellent et il n’a pas le début d’une piste, d’un suspect ou même d’un indice. Rien. Pourtant les meurtres ne laissent pas indifférents. Aussi atroces qu’incompréhensibles, les morts sont très différentes les unes des autres, des femmes âgées, des jeunes, des hommes… Le tueur ne semble avoir aucune limite ni de faire de distinction, pas de modus operandi commun. Markou est perdu. Il se prend même à suspecter ses propres collègues. Sa collègue Gaetanou, profileuse avec qui il a eu une brève liaison est en particulier dans son collimateur. Quel meilleur mobile pour se venger de lui ! Mais de là à assassiner autant de personnes innocentes pour une simple rupture… Ca n’a pas de sens ! Markou est aussi frustré que désespéré, il aimerait découvrir qui est l’assassin. D’autant que son responsable demande des comptes car lui-même à la pression de sa hiérarchie. Les médias s’en donnent eux aussi à cœur joie tant la police peine à arrêter ne serait-ce qu’un suspect. L’enquête est sur le point de s’enliser lorsque Markou va s’apercevoir que les meurtres suivent les intrigues (et les morts !) des polars rangés dans sa bibliothèque ! Mieux encore, son nez va lui fournir la plus improbable des preuves qui va faire avancer l’enquête à pas de géants. Quelle histoire ! On peine à arrêter une lecture qui fait la part belle à l’intrigue. Pas de digressions, place aux enquêteurs, à l’assassin et à l’enquête. L’auteur sait parfaitement capter le lecteur, le tenir en haleine jusqu’au bout. Un roman qui se lit d’une traite. Espérons que les polars qui nous entourent ne prennent pas vie un jour !
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Chrìstos Markogiannàkis est un auteur grec. Il a étudié le droit et la criminologie à Athènes et à Paris et travaillé pendant plusieurs années comme avocat pénaliste. C’est la première fois que je le lis et je suis ravie de ma découverte.

Son roman se déroule à Athènes, une ville qu’il connaît très bien. Pour la plupart des chapitres, plutôt courts, le lieu, le jour et éventuellement l’heure sont indiqués. De plus, ils ont tous un titre en rapport avec ce qu’on va découvrir. Le personnage principal est le Capitaine Markou, un policier à la bibliothèque bien fournie (il est passionné de polars et aime lire des auteurs différents), qui ne reçoit pas et parle peu de lui au boulot. Il n’a pas de petite amie et il est sur la « réserve » avec le nouveau jeune collègue, Manias, qui vient d’être nommé pour l’aider. Sa vieille voisine l’a pris en affection et c’est un des rares liens qu’il accepte. Il est également assez proche de Vera, une copine d’études.

Le voilà confronté à une série de meurtres qui semblent mis en scène. Les spécialistes (profileur -se, etc) ne pensent pas à un tueur en série et ne voient aucun lien entre les assassinats. Markou et son équipe observent le peu d’éléments qu’ils ont à leur disposition. Pas de mobile, pas de suspect… L’affaire est bizarre, et comme les crimes continuent, Markou veut agir, anticiper la suite. Pour cela, il doit comprendre ce qui se passe…. Pénétrer dans « la tête » de celui, celle, ou ceux qui agissent dans l’ombre. Il essaie de se faire aider par des collègues mais rien ne semble évident.

Heureusement pour qu’il puisse se détendre, Vera l’invite dans un club de lecture autour du polar. Il y rencontre de nouvelles personnes et cela lui donnera, peut-être, une bouffée d’air frais.

Ce qui est sûr c’est que Markou est très occupé. Il ne « sent » pas son jeune coéquipier et se met dans la tête d’enquêter sur lui. Il a eu une aventure avec une femme qu’il connaît et ne sait plus très bien où il en est et en plus, il a des morts sur les bras !

Soudain, c’est le déclic, il a une idée et pense savoir ce qui motive le ou les tueurs. Maintenant il est nécessaire de le ou les prendre de vitesse afin de stopper les exactions. Mais les gens peuvent être retors et peut-être que le Capitaine se fait manipuler…. Et que ce qu’il imagine est totalement faux….

J’ai beaucoup apprécié cette lecture. Ce qui relie les délits est très bien pensé. La mise en place, les détails, tout cela est presque raffiné dans l’atrocité. Et puis les développements des relations de Markou, avec les personnes qu’il croise, sont à découvrir. Ce n’est quand même pas un homme ordinaire.

L’écriture de Christos Markogiannakis est fluide, plaisante, son récit est construit avec doigté, il captive rapidement le lecteur. Il y a du rythme, des rebondissements et notre intérêt ne baisse pas. Les individus ont des noms à consonnance grecque mais on ne se perd pas et si besoin, on peut les noter dans un coin pour les repérer. Peut-être que l’atmosphère du pays aurait pu être un peu plus décrite pour qu’on s’imagine là-bas ?

C’est un texte prenant, addictif, je n’ai pas vu le temps passer !


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Sur cette île grecque paradisiaque où la jet set aime s'y retrouver l'été, le meurtre de Lucy Davis lors de la soirée chez Mariama Miladi fait vraiment mauvais effet.



C'est le capitaine Markou venu d'Athènes quelques jours pour se reposer qui va enquêter. Juste après la découverte du meurte, le vent se lève et empêche toute arrivée ou départ de l'île.



Lucy Davis était journaliste et très appréciée de tous. C'est ce que tous les participants de la soirée vont répéter au capitaine.



Très appréciée et pourtant tuée d'un coup violent sur le crane.

Markou va interroger patientemment tous les suspects, va tenter de collecter sur le terrain les indices qui pourraient lui permettre de décoder ce qui lui semble au départ confus.

La tempête ne permet pas au médecin légiste de venir sur l'île. Le capitaine Markou devra donc enquêter sans les conclusions médicales.



Au fil des investigations, les mensonges et petits secrets surgissent et laissent entrevoir que chacun des protagonistes avait une bonne raison d'en vouloir ou de craindre Lucy Davis.



Lorsque Markou apprend que Lucy Davis écrivait un livre et plus précisémment un roman à clé, l'urgence est alors de trouver son manuscrit, car la réponse à l'énigme est forcément dans les lignes rédigées par la victime.



Tour à tour le lecteur va soupçonner chaque invité de la dramatique soirée et suivre le raisonnement intellectuel de Markou.



De nombreuses références assumées aux oeuvres d'Agatha Christie émaillent cette enquête et quand on est fan comme moi de la reine du crime c'est très plaisant.



Un twist à la fin assez réussi.

L'écriture est fluide, et l'ambiance des îles grecques bien retranscrites. Des suspects aux profils variés pour un très bon moment de lecture.

En quête d’un peu de chaleur (je suis Québécoise et l’hiver peut parfois être (trop) long), j’ai donc fait escale en Grèce et plus précisément à Athènes avec le premier roman publié de Christos Markogiannakis, Au 5e étage de la faculté de droit.



Cinquième étage de la faculté de droit d’Athènes, section de criminologie, Anghélos Kondylis, doctorant en criminologie, découvre le corps sans vie de la professeure Irini Siomo avant d’être tué à son tour. Christophoros Markou nouvellement diplômé est chargé d’élucider le double meurtre.



Bien que l’intrigue démarre bien, l’auteur nous mettant dans le contexte dès le prologue, le roman s’essouffle rapidement. J’ai trouvé le suspens bien mince tout autant que le personnage principal. Une des seules choses que nous apprenons à son sujet c’est qu’il a étudié à cet endroit. J’aime quand l’auteur prend le temps de décrire ses personnages afin de donner du relief à son histoire, ce qui n’est pas le cas ici. À l’instar de l’enquêteur qui mentionne que : « De fait, les conclusions auxquelles j’étais arrivé après ce long cheminement, ces déductions méthodiques … » j’ai trouvé le dénouement beaucoup trop long, pratiquement la dernière moitié du livre. Si l’auteur cherche a étirer son plaisir il a surtout réussit à m’ennuyer davantage. Certains passages du roman prête à rire donc celle-ci : « … conclut Markou, les bras ouverts dans un grand geste théâtral, devant son auditoire médusé. ». C’est bien son auditoire qui est médusé et non le lecteur qui lui se lasse. Bien que le quatrième de couverture parle d’un effrayant dédale force est d’admettre que le tout m’a laissé de glace.



À défaut de monter au 5e étage, je suis plutôt restée au rez-de-chaussée et donc sur ma faim. Ce roman ne m’a malheureusement pas donné le goût de poursuivre mon exploration de l’œuvre de Christos Markogiannakis.

Une premiére pour moi qui n'avait jamais lu de polar d'auteur grec. Et pour le coup c'est une assez bonne surprise.

Au départ cela commence de maniére assez classique avec 2 meurtres et un capitaine de police grec qui enquête dans une fac de droit en Gréce. Donc pas trop d'originalité.

Mais le livre est assez bien écrit, on rentre dans l'histoire et on a envie de savoir qui est ou qui sont les meurtrier(s).

La fin à la Hercule Poirot est assez originale.

Donc pour moi à lire pour découvrir

Un vrai voyage en Grèce, dans le style de Agatha Christie. On peut sentir le soleil mais aussi ce que la douceur de l'été peut cacher ou même … dévoiler. Caractères réels et profonds et un crime qui hante cette île des rêves

J'ai adoré - à ne pas rater

Un polar très fascinant par Christos Markogiannakis.

Cette fois, le Capitaine Markou doit résoudre un crime sur une île grecque idyllique. Beaucoup de suspects, mais un seul tueur. Une histoire avec une intrigue intense et de nombreux rebondissements.

Je recommande fortement ce livre.

Au 5è étage de la faculté de droit d'Athènes, Anghélos, doctorant en criminologie, découvre le corps sans vie de la professeure Irini Siomou. Et est tué à son tour. Christophoros Markou, fraîchement diplômé de cette même université, est chargé de l'enquête. Il va devoir démêler les secrets des uns et des autres au sein de l'université, entre ambitions et affaires personnelles.





Cette enquête est différente de ce que j'avais imaginé. Un peu longue à démarrer, certes, mais finalement une mise en place nécessaire pour comprendre chaque personnage. L'auteur aime Agatha Christie et ça se ressent. Nous ne sommes pas dans un polar où les choses vont vite, avec des enchaînements de découvertes qui vont entraîner une action époustouflante. Ici on prend le temps et ça fait du bien de changer. Tel Hercule Poirot, Markou prend son temps pour comprendre les mobiles potentiels de chacun. La psychologie des personnages est extrêmement bien travaillée. On n'est pas dans un huis clos, mais j'en ai presque eu l'impression. On ne sort pas énormément de cette faculté et finalement, on voit très peu Athènes. Il n'empêche que j'ai passé un très bon moment. Comme un retour aux sources puisque je n'ai pas lu Agatha Christie depuis une bonne vingtaine d'années et que ça m'a bien donné envie de faire quelques relectures. L'auteur connaît son sujet et ça se ressent puisqu'il est formé en droit et en criminologie.

J’ai aimé cette nouvelle aventure de Markou qui nous emmène sur une île paradisiaque. On vibre tout au long du livre en soupçonnant tout le monde. On passe un bon moment sous le soleil et la chaleur grecque et on se dit que le livre était bien trop court !

Polar très intelligent et bien mené.

Markou est toujours aussi attachant. On aime le suivre dans cette île paradisiaque. Il fait beau, il fait chaud, Markou est en vacances bien méritées. De courte durée pour notre plus grand plaisir.

Vivement la suite des aventures.

Sur l'île fictive de Nissos, dans la villa des Miladi, la fête bat son plein jusqu'au moment où on découvre le cadavre de Lucy Davis, une des invitées.

Le capitaine Markou, en vacances sur l'île, se voit confier l'enquête, une tempête empêchant quiconque de quitter ou rejoindre Nissos.

Un huis-clos à la sauce Agatha Christie dans lequel les suspects sont légion. Ceux-ci sont trop caricaturaux à mon goût et je n'ai malheureusement ressenti aucun attachement pour les divers personnages, ce qui est probablement le plus gros bémol de ma lecture. Les rebondissements sont nombreux et l'auteur égare le lecteur à l'envi. Le livre se lit bien, l'écriture étant assez simple mais efficace.

Une lecture plaisante, sans plus, mais on est loin d'Hercule Poirot.