Citations de Chrystel Duchamp (162)
Être divorcé et célibataire présentait des inconvénients . Avoir une épouse se révélait pratique pour celui qui n'avait pas les moyens d'embaucher du personnel .
Je vais être concis : l’art et le sexe. Quand Franck ne forniquait pas, il achetait une toile. Quand il n’achetait pas une toile, il forniquait. Tous les commissaires-priseurs, les marchands et les galeries de France le connaissaient. Il avait la frénésie du collectionneur. J’ai une pièce unique, j’en veux une autre. Qui soit encore plus belle, encore plus grosse. Une sorte d’auto-challenge. Pour le sexe, c’était la même chose. Il collectionnait les femmes et les expériences sexuelles. En fonction de son humeur, il dilapidait son argent dans l’une ou l’autre de ses passions. Un tableau de maître, une nuit avec une prostituée. Mais ces derniers temps, je suis sûr qu’il faisait autre chose avec son argent.
mettons un peu d'eau dans notre vin, d'accord? Un week end ensembe, Mat, ce n'est pas la mer à boire
Les humains se fichent de la souffrance des maisons. Savent- ils pourtant qu'elles ressentent de la douleur ? Qu elles éprouvent des sentiments ? Qu'elles ont un coeur qui bat sous leur charpente ?
-Quand on sait les erreurs commises par nos ancêtres, elles ne nous lâchent plus. Elles se terrent dans un coin de notre tête et, insidieusement, se mettent à faire partie de nous. On apprend à les dompter, on les apprivoise. On les cultive comme les fruits défendus d'un jardin et, un beau jour, on tend le bras, on les cueille, on les goûte. Et il est trop tard.
Une ultime chance leur avait été donnée : se pardonner. Mais aucun d’entre eux ne l’avait saisie.
Les émotions non exprimées ne meurent jamais. Elles sont enterrées vivantes et libérées plus tard de façon plus laide. Oui. Cette citation résume parfaitement comment nous en sommes arrivés là.
L'épicurisme, comme toujours, était parvenu à effacer, l'espace d'un instant, le chagrin. Seule maman, le teint blafard et l'air absent, était restée en retrait, spectatrice- sans le savoir- de sa propre Cène.
Être divorcé et célibataire présentait des inconvénients. Avoir une épouse se révélait pratique pour celui qui n'avait pas les moyens d'embaucher du personnel.
Je suis stupéfaite par sa réaction. Patricia continue sur sa lancée sans me laisser le temps de répondre
Je pense à nos ancêtres qui apposaient leurs paumes enduites de pigments sur les parois des grottes. L’art nous est vital depuis la nuit des temps. Laisser une trace est un besoin ancré au plus profond de nous. Une quête d’éternité.
Triste réalité. On ne vire personne dans la police, on fait pire : on colle les indésirables au placard. Les archives, c’est l’enfer sur terre pour des flics de terrain comme nous.
Pression. Rumeur.
Les feux bêtes noires des enquêteurs.
La première semait le chaos, la seconde la discorde.
Les émotions non exprimées ne meurent jamais. Elles sont enterrées vivantes et libérées plus tard de façon plus laide
Si son heure était venue, sa dernière volonté serait de mourir contre cette peau de velours, les poumons gorgés de ce parfum sucré, le nez enfoui dans cette chevelure brune.
Être divorcé et célibataire présentait des inconvénients. Avoir une épouse se révélait pratique pour celui qui n'avait pas les moyens d'embaucher du personnel.
Une vie à bâtir un empire. Quelques secondes pour le réduire à néant.
Les émotions non exprimées ne meurent jamais. Elles sont enterrées vivantes et libérées plus tard de façon plus laide.
Un monde où la haine triomphe. Où des frères et sœurs volent la vie des leurs. Où la mort emporte tout sur son passage
Les gourous du net -les râleurs, les complotistes et tous les autres vers dans la pomme- se distinguaient par leur paresse intellectuelle. Ils ne réfléchissaient pas, rédigeait pas, n'argumentaient pas. La plupart du temps, ils se contentaient de partager un article existant qui illustrait leur propos et injectaient ainsi une dose supplémentaire de paranoïa au sein d'une société déjà mal informée et méfiante.