Chuck Hogan

Bonjour a tous ,venant de finir la lecture de cette ouvrage ;je suis partagé entre 2 sentiments :

_ 1er :le livre est un peu confus,on se perd un peu au début.

_2 eme :la mise en place est un peu longue a mon goût .

Il manque un peu d action pour tenir en haleine le lecteur mais a côté de cela ,,j y ai découvert quelque rouage du mode opératoire d un négociateur ainsi que de la difficulté d exercer ce métier dont les séquelles peuvent être grande .

La fin du livre m a laissé un goût d inachevé .

Bonjour,

Aujourd’hui je vous propose « Gangland » de Chuck Hogan. Voici un thriller passionnant qui nous plonge dans les arcanes de la mafia américaine. L’auteur nous transporte dans le Chicago des années 70 où sévit Tony Accardo, chef mafieux qui régente la ville. Victime d’un cambriolage perpétré par de petites frappes, Tony fait appel à son lieutenant secret pour faire payer les coupables. Le scénario rappelle étrangement le cambriolage subi par Mémé Guérini dans le Marseille de la fin des années 60 et qui avait valu à son auteur d’être jeté du Cap Canaille avec 8 balles dans la peau. L’ intrigue est parfaitement maîtrisée, peuplée de violence, corruptions, vengeance, loyauté, mensonges , manipulations, double jeu , exécutions…Les personnages sont parfaitement décrits, l’écriture est fluide, visuelle et on vit les scènes d’action comme si on y était . Un très bon moment de lecture avec ce thriller qui ravira les amateurs du genre.

Dans les années soixante-dix, Chicago, comme toutes les grandes villes américaines, est mise en coupe réglée par The Outfit, la mafia locale, qui étend ses tentacules dans toutes les couches sociales. Tony Accardo la dirige d’une main de fer et ne tolère aucune initiative personnelle des malfrats de la ville. Aussi est-il très agacé par le cambriolage sans son accord d’une grande bijouterie par une bande de monte-en-l’air bien organisée. Convoqués par Accardo, les truands sont obligés de céder le butin sans contrepartie, ce qui rend dingue Salita, le cerveau de la bande, un jeune fou qui cherche à se venger.

Nicky Passero, un demi-sel entièrement dévoué à Tony Accardo, qui n’hésite pas à abattre de sang-froid son ancien patron jugé dangereux par l’organisation criminelle, est chargé de régler définitivement le problème. Mais il est approché par un agent du FBI très perspicace et entame avec lui un double jeu très risqué, d’autant que Salita est bien décidé à ne pas se laisser faire.

Archétype du roman de gangsters américain, ce Gangland de Chuck Hogan réunit avec intelligence et efficacité tous les stéréotypes du genre : corruption généralisée, code de l’honneur exacerbé, violence omniprésente, exécutions spectaculaires, machisme ordinaire et soumission au chef.

J’avais déjà côtoyé la plume de Chuck Hogan avec « lignée », sa trilogie fantastique écrite avec Guillermo Del Toro. Je me faisais donc une joie de la recroiser dans un style qui me sied plus. Vous n’êtes pas sans savoir que j’ai une certaine attirance pour les histoires de mafia. Et si, comme moi, vous adorez la série « Les Sopranos », le film « Le parrain » ou les livres de Don Winslow, vous n’allez pas bouder votre plaisir !



En effet, le roman reprend ici tous les codes du genre. L’Outfit, la famille du crime organisé de la ville de Chicago, connait un passage mouvementé lorsque Tony Accardo se fait cambrioler. Cet ancien parrain respecté se lance dans une vengeance sanglante. Pour ce faire, il fait appel aux personnes de son équipe. Les alliances, les allégeances, les promesses volent alors en éclat. Comme souvent avec la mafia, cette organisation structurée, pleine de principes, se met à dérailler à cause d’un orgueil démesuré et de la remise en cause d’un leadership.



Le lecteur suit Nicky Passero, un lieutenant secret de Tony. Suivi par le FBI, il se retrouve pris entre deux feux et va essayer de se sortir de cet étau. L’auteur nous entraine dans ce jeu de dupes avec beaucoup de dialogues et de scènes d’intimidation. En aficionado, j’ai pris beaucoup de plaisir à partager le quotidien de ces hommes capables de tout pour imposer leurs lois ou pour sauver leur peau. Cette aventure oppressante, par son suspense grandissant, a pris une dimension supplémentaire lorsque j’ai appris qu’elle découlait de faits réels et qu’une partie des évènements est réellement arrivée. Dès lors, je suis parti à la recherche d’informations sur cette histoire incroyable et je pourrais la résumer simplement par :



« Personne ne baise Anthony Accardo »
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Fan de littérature concernant les vampires, je n'ai pas été déçue par l'ouvrage de Guillermo Del Toro et Chuck Hogan. Si le mode de transmission décrit par les auteurs diffère de la traditionnelle morsure, on retrouve les incontournables tels que cercueils et maître vampire. Et on est très loin des gentils vampirounets tels Edward Cullen et sa famille. Les créatures de Del Toro et Hogan sont mauvaises, irrécupérables, assoiffées, bref, de vrais terreurs. Le mythe du vampire revisité, loin de toute concession ou d'espoir de trouver une once d'âme chez ces sangsues. J'attend la suite avec énormément d'impatience ! Vraiment !!!

Un Boeing en provenance de Berlin se pose à l’aéroport de New York. Silence radio. A l’intérieur, tous les passagers sont morts. Pas la moindre trace de sang. Juste une indécelable piqure dans le cou. En soute : un cercueil géant rempli de terre polonaise. La Grosse Pomme ne le sait pas encore, mais...
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Ce livre se lit facilement et l'histoire se déroule petit à petit, laissant le suspens s'installer, puis l'horreur gagner le lecteur. Certaines descriptions auraient pu être plus développées, mais malgré cela j'attends déjà la suite!
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Livre long, parfois pénible.

Mon tracas principal est le style littéraire en lui même. Trop descriptif, il se passe ceci, cela, machin prend tel objet.

On saute trop souvent d'un personnage à l'autre. Leur personnalités sont creuses, superficielles. Les dialogues sont assez rares ce qui empêche de vivre l'action en temps réel des scènes "action"

Les pages de bagarres, combat sont ennuyeuses.

L'histoire est très moyenne avec une ambiance pseudo gore/zombie vue dans une pléthore de téléfilms dispensables.

Dans le genre, j'ai préféré "la chose des profondeurs" au scénario similaire.



A subir une seule fois, son seul intérêt est un recyclage des grandes lignes en aventure de jeu de rôle.

La curiosité nous pousse parfois à nous tourner vers des séries qui n’auraient jamais dû exister. Surfant sur la vague, Guillermo Del Toro – réalisateur dont j’aime au moins l’univers esthétique – a annoncé sa propre réinterprétation du mythe avec la volonté de prendre Twilight à contre-pied. Il y en avait assez de ces beaux gosses aux dents longues qui ne s’éveillent plus que pour traquer la pucelle, Del Toro s’est improvisé auteur pour mener sa mini révolution littéraire. Et, sur le papier, on peut dire que le programme était alléchant : vampires dégoûtants, retour aux sources du mythe, histoire sombre et apocalyptique… Pour un lecteur qui s’intéresse aux vampires dans leur version horrifique, il y avait de quoi se laisser tenter.

Mais on ne s’improvise pas auteur, surtout pour faire de l’ombre à une série sans qualité. Conscient de ne pas être très très doué, notre cher Guillermo a fait appel à un vrai écrivain de thriller : Chuk Hogan, aka l’écrivain-super-bon-que-personne-ne-connait. Nous pouvons nous demander pourquoi s’adresser à un inconnu sans talent manifeste lorsqu’on a la notoriété de Del Toro… Le gros mexicain aux lunettes rondes aurait-il fait fuir les plus grands en faisant le résumé de son idée ? « Alors tu vois je vais écrire une série qui sera un mixe de Bram Stoker et Romero pour montrer aux gens que Twilight c’est trop nul ! ». Oui. Il est aisé d’imaginer le désarroi de Stephen King face à un scénario aussi osé.

Ainsi, pauvres lecteurs que nous sommes, nous nous retrouvons avec, entre les mains, un thriller fantastique aussi creux que peut l’être la lecture d’un scénario de film américain un peu bateau. Tous les ingrédients sont là pour faire baver un spectateur peu exigent au cinéma. Et… et ce sera tout. Pourquoi ne pas en avoir fait un film directement ? Del Toro a peut-être rêvé d’un succès aussi grand que celui de Stéphanie Meyer. Mais notre ami s’est un peu raté en oubliant que le public qui n’apprécie pas les romances de vampires à deux sous sera tout autant contrarié par un livre qui sera le concentré des clichés du genre opposé.



La Lignée avait tout de même quelques arguments séduisants. Un avion se pose sur la piste d’un aéroport et il s’avère que les gens à l’intérieur sont tous morts, foudroyés par un virus étrange et non identifié (Romero, un commentaire ?). En fouillant un peu, les chercheurs découvrent aussi un cercueil rempli de terre, car oui, en 2009 Dracula est un vampire moderne. Le bateau, c’est dépassé. Et quel intérêt d’aller envahir la Grande-Bretagne lorsqu’on peut débarquer à New-York pour créer un film à sensation, je vous le demande ! Evidemment, nous découvrons très vite que les morts étaient en fait vivants (horreur !) et les vilains se sauvent de la morgue pour aller faire un petit coucou aux humains.

Si le style est très plat, le scénario se défend un peu en donnant au lecteur une vision plutôt originale des vampires. Les créatures de la nuit attaquent avec leur langue, ont l’intelligence d’un zombie vaguement évolué et envahissent le corps de leurs victimes pour les transformer avec les vers blancs tous frétillants qui se trouvent dans leur sang. Pas de doute, nous sommes bien quelque part dans la tête de Del Toro. Mais ensuite ? Ensuite ça ne ressemble qu’à un mauvais livre de zombie en fait. La tension ne monte pas un seul instant, et on poursuit moins la lecture pour la terreur qu’elle nous inspire que pour chercher quelques révélations intéressantes sur les vampires. Autant le dire tout de suite, il n’y en aura pas.
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J'ai frissonné à cette lecture que j'ai apprécié. Je ne suis pas sure d'être accro au point de lire les 2ème et 3ème tomes mais je reste sur un bon souvenir de lecture.

Un Boeing 777 en provenance d’Allemagne atterrit à l’aéroport de JFK à New-York puis tout s’éteint, rien ne bouge. Qu’est-il arrivé aux passagers ? Le CDC met en place une quarantaine afin de comprendre ce qui a pu se passer. Un gaz, un virus ? Une menace plane sur la ville lorsque les cadavres se réveillent la nuit suivante.

J’étais très enthousiaste en débutant ma lecture : un récit qui revisite le mythe du vampire. Mais (il faut toujours un mais), je suis déçue. J’ai lu ce premier tome sans aucune émotion, avec détachement sans aucun attrait pour les personnages. C’est lent, ça manque d’un je ne sais quoi. Ce premier tome s’axe sur la propagation et que sur la propagation. 446 pages sur ce thème c’est long ! Bref, je me pose la question si je vais lire le second puis le troisième tome. Peut-être pour avoir la réponse à quelques questions qui sont restées en suspens.

Une histoire de "vrais" vampires, qui fichent la trouille! On ne lâche ce livre uniquement pour pouvoir respirer et reprendre son souffle. Le rythme est haletant et il n'y a pas de pause. Les vampires sont lâchés et les héros ont fort à faire.

Une belle découverte !!



Attirée par le nom de Guillermo Del Toro, dont j'admire le travail en tant que scénariste, j'ai acheté ce livre en étant persuadée que ce serait une bouze et que je serais déçue. Et bien, quelle claque!!! J'ai tout simplement adoré !!



L'histoire est prenante, l'écriture fluide et grinçante, malgré les détails parfois techniques on est pas du tout perdu dans le jargon médical.

Le fil conducteur du livre, a savoir les péripéties d'Ephraïm est génial, mais ce que j'ai préféré c'est les histoires " parallèles" c'est a dire, les petits chapitres sur Ansel, sur la petite fille de l'avion, sur Gus ou encore sur Fet.



J'ai aussi énormément apprécié tout les effets de surprises du bouquin, sans spoiler, l'histoire d'Abraham dans les camps de la mort m'a plus, j'ai aimé que l'auteur revienne à la genèse du mal!!!



L'atmosphère, l'ambiance est pesante, on bascule petit à petit vers un monde apocalyptique, j'ai eu la sensation de lire une histoire sortit tout droit de l'imagination de Romero.



La fin du livre nous laisse sur les dents, le livre prend une autre dimension, et on est OBLIGE de lire le deuxième tome.



Je recommande vivement, et pas seulement aux fans de SF. N'étant pas une fan absolue de ce genre de littérature , j'ai pourtant adoré cette histoire, ou le mythe du vampire est retravaillé à la sauce du XXI ème siècle, pour le rendre beaucoup plus réaliste et terrifiant.

Je l'ai trouvé un peu long à démarrer mais ensuite whouah...jai lu la trilogie en peu de tps. Chaque personnage a son importance dans le récit et on aborde enfin le vampirisme sous un autre angle. Je conseille 😉

J' ai été prise dès la première page par ce roman. L' intrigue est originale : cet avion qui atterri sans aucun signe de vie... Aucune place pour l' ennui, le rythme est très soutenu et on a envie d' aller toujours plus loin. Aucun doute que je vais lire les deux autres !

J'ai craqué sur ce livre parce que j'aime beaucoup le travail de Guillermo del Toro au cinéma, tout particulièrement sur le film "Le labyrinthe de Pan". Malheureusement je n'ai pas l'impression d'avoir totalement retrouvé le réalisateur dans ce livre. Attention à ne pas interpréter trop vite mes propos , ça reste un bon livre, j'avais juste de grandes attentes !



J'ai lu ce livre comme je verrai un film, tout est très bien décrit, on est vite plongés dans l'histoire, l'ambiance est géniale et les personnages sont plutôt convaincants bien qu'assez stéréotypés. J'ai aimé le fait que l'histoire se déroule en suivant le point de vue de beaucoup de personnages sans pour autant nous perdre.



Je dois aussi admettre que ça fait du bien de retrouver des vampires cruels et sanguinaires après le mal qui leur a été fait dans certaines oeuvres de littérature jeunesse. Malgré tout, ne vous attendez pas à une histoire de vampires "traditionnels". J'ai trouvé que les créatures décrites dans le livre s'apparentaient davantage à des zombies (notamment dans leur manière de proliférer très rapidement), ce qui n'est pas pour me déplaire.



En bref, ce n'est pas un chef d'oeuvre, mais ce livre est très prenant et j'ai hâte d'avoir le deuxième tome entre les mains !

Il faut drôlement aimer les vampires et toutes les explications qui vont avec.

J'adore les vampires et surtout les 80 dernières pages du livre!!!

Pour le reste, c'est too much.

En Résumé : Avec l'achat de ce livre j'oscillais entre envie et peur d'être déçu avant de l'ouvrir. Finalement il s'agit d'un livre moyen qui ressemble plus à un script qu'à un roman. A croire que Chuck Hogan n'a rien ou n'a rien pu apporter de sa fonction d'écrivain. J'essayerai quand même de lire la suite car la fin est assez ouverte pour donner un minimum envie de savoir, mais le second tome ne fait pas partie de mes priorités.
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Tiens un livre sur les vampires, en cette période fast en bouse twilightienne quel originalité. Tiens ceux la tue des gens, ils ne sont pas végétarien a bouffer du chevreuil et brille dans la lumière tel les vêtements de bee-gees sous une boule a facette. Ce livre commence à être intéressant, on sort de la love story ténébreuse pour tomber dans les ténèbres tout cours.

Au Final un début prometteur, on sent une tension permanente et des personnages qui ont peur et qui le transpire. A voir sur la suite.

À la lecture du résumé je ne m'attendais pas à ça ! J'ai été agréablement surprise de découvrir une histoire de pandémie à la sauce vampirique.



Tout débute assez lentement, et pour moi, ce fut assez addictif: on découvre cet avion qui ne donne plus signe de vie. On est comme les personnages du roman: dans l'attente. Que vont-ils découvrir dans cet avion, pourquoi ?

On se demande ce qu'il se passe et les pages se tournent d'elles même tellement on veut savoir de quoi exactement sont morts les passagers.

Plus on avance et plus on est dans style horrifique. On voit la catastrophe arriver.



L'écriture de l'auteur y fait beaucoup : c'est un style très visuel (normal vous aller me dire vu le nom de l'auteur), mais franchement tout se déroule devant nos yeux tel un film.

L'histoire est prenante et original pour des vampires. La fin appelle à lire la suite car on sent l'apocalypse arriver à grands pas.



Bref, une bonne lecture menée avec brio grâce une écriture fluide, prenante et visuelle.