Citations de Cindy Van Wilder Zanetti (172)
"Personne n'a le droit de vous dire que vous n'avez pas ce qu'il faut là ou il faut ! Votre corps vous appartient ! Quelles que soient votre taille, votre silhouette, votre couleur... Vous avez le droit d'être tels que vous êtes !"
" Le destin n'est pas scellé d'avance, m'a dit le dieu. A toi de l'écrire. "
Les filaments de Brume recouvrant le Sanctuaire tel un linceul évanescent s'arrêtent net autour de l’Éclatante, n'osant pas la toucher.
Et les flammes bleues continuèrent de brûler, en un défi silencieux face à la Brume et à l'abomination qu'elle venait d'engendrer.
Quand elle prend la parole, sa voix est si basse que ses mots se font grondants, tonnerre d'orage avant qu'il n'éclate :
- Notre monde se meurt pendant que vous, vous avez cette... arme entre les mains.
- Qui me parle ?
- Je suis la Brume, entendit-il, et je vais te dévorer.
- Quand comptais-tu me le dire ? je chuchote.
Son expression me dit tout ce que je veux savoir.
Jamais.
Merci d’avoir pris ce risque. Merci d’avoir été là. Merci de rester à mes côtés. Un sourire illumine son visage.
Toutes les luttes de notre histoire ont commencé par là, n’est-ce pas ? Cela n’a jamais découragé les esprits déterminés à faire entendre leur voix, d’aller à contre-courant. D’oser affirmer le contraire. De rassembler, de mener des protestations, des manifestations, des sittings. Jusqu’à ce que l’on reconnaisse enfin qu’ils avaient raison !
Le symbole d'une magie qui m'est encore inconnue.
Fascinée, je tends le bras. Mes doigts frôlent la pierre.
Et je la ressens-cette chaleur, ce picotement sur ma peau.
Cette magie est étrangère. Intacte, cependant.
Irradiant une force...
Tu ne trouves pas bizarre que vous portiez les mêmes prénoms que vos ancêtres ?
Ne résiste pas. Ouvre-moi ton esprit.
L’esprit des hommes est ainsi fait que même à genoux, même défait, il ne renonce jamais à ses rêves de liberté.
Les Outrepasseurs. Tous ceux qui portent la Marque. Regarde ces jeunes gens. Voilà ta seule famille, à présent. Vous combattrez ensemble. Nos adversaires ne s’arrêteront jamais. Les fés nous pourchassent depuis huit siècles. Une éternité pour nous. Un instant pour eux.
Le chagrin me terrasse. J'ai envie de hurler pour que ce cauchemar s'arrête, que ceux que j'aime ne meurent plus devant mes yeux.
La dernière chose que j'entends avant de basculer à nouveau dans la nuit éternelle des esprits est un rire.
Un rire d'homme.
Un rire victorieux.
Je ne peux pas t'empêcher de rêver, mais je peux peut-être apaiser ton esprit.
"J'étais endormi sur mon bateau quand la vague est arrivée, comme venue de nulle part. Une immense déferlante blanche, qui m'a emporté si loin que je n'ai plus jamais retrouvé ma ville. Et quand tout s'est enfin apaisé, le monde tel que je le connaissais avait disparu."
Témoignage d'un Survivant, recueilli quelques jours après le Bouleversement.
Les curieux se dispersent comme par enchantement alors que je grogne de désappointement. J'annule l'enchantement d'un claquement de doigts. Tybalt me décroche un regard furieux.
- Salutations, prêtresse, se hâte-t-il de dire.
Quel lèche-sandales, franchement.
La Brume attaque, corrompt, grignote tout sur son passage. Qui sait ce qui se passerait si nous commencions à en libérer encore davantage dans l'atmosphère ?
Quand l'obscurité vient, les monstres ne sont jamais loin !
Une beauté gâchée, avilie, souillée par la Brume et son appétit sans fin. J’ai la sensation d’un immense gâchis, d’une perte que rien ne pourra jamais combler.