Claude Serre

J'ai choisi de lire Savoir vivre, car je pensais en manquer un peu, parfois sur Babelio, ou ailleurs !

Je n'avais pas remarqué l'absence de trait d'union entre les deux mots, et le fait que j'aie lu ce bouquin d'humour noir sur la Mort le jour de la Toussaint m'a bien amusée ! Quand je vous dis qu'il n'y a pas de hasard !



Alors, comme mis en en-tête :

« La mort est un manque de savoir-vivre » (Pierre DAC) avec trait d'union cette fois !



J'ai tourné les pages de ce petit opus de 1981 aux relents de moisi et de renfermé (oui, je l'ai exhumé d'une bouquinerie), et découvert avec délice de quoi il s'agissait.

On retrouve le trait fourni et puissant à l'encre de Chine, celui de ses premiers livres, qui est dense et exprime tant de choses sans un seul mot ou presque.



La mort est représentée sous toutes ses formes, ou plutôt sans ses formes, puisqu'il ne reste plus que le squelette, décliné lui sous toutes les formes possibles :



– Le porte-manteau où accrocher le vôtre sur une clavicule,

– la prostituée des pompes funèbres qui n'a plus que les habits sur les os,

– L'amoncèlement de crânes venus en solde à 2F20 le kilo

– L'escargot géant dont la coquille n'est autre qu'un… crâne, excellent !

– Pire, le jouet à l'ancienne, vous savez, ces bonhommes Culbuto : son corps culbutant n'est autre qu'un crâne à l'envers !

– Les gardiens de cimetière qui jouent… aux osselets sur une tombe !



J'ai également apprécié tous les croquis délirants autour des cercueils, dont l'un décoré façon valise Louis Vuitton ; adoré comme toujours les maitres d'hôtels collet monté et autre clientèle pincée, le notaire

« Leflouz » qui a bien la tronche de l'emploi…



Pour le peu de planches colorées, ma préférée est celle du tour de magie, celui de la femme que l'on découpe à la scie dans une boite... vous imaginez bien que le sang coule sous la boite, car des gars ont fait une blague au magicien, et lui ont refourgué une boite non truquée !



Pour finir, un corbillard en marche, avec un écriteau accroché à l'arrière : à suivre !!!



Moi aussi, je vous dis "à suivre", car j'ai encore deux ou trois opus à découvrir, MORTE DE RIRE !

Pour pas mal de jeunes, ce sont les vacances en ce moment, et moi, je me suis mise en vacances aussi. Dans ces cas-là, il ne faut pas me laisser rentrer dans une bouquinerie, car je cherche et… je trouve. Je les serre de près les 4 livres de Claude, j'ai commencé par celui qui s'imposait. Il est de 1990, certes, mais toujours d'actualité.



Si j'adore ses dessins à l'encre de Chine (c'est pour eux que je chine), je déplore les planches en couleurs qui ont un crayonné bien simplifié. Ceci dit, comme c'est alterné, je me suis encore bien bidonnée.



Ah la mer, comme je l'aime ! On y trouve de tout sauf des surfeurs, ce qui prouve que le livre est daté ! Par contre, il a fait monter la température, c'est chaud-chaud à l'eau : il s'encanaille avec le temps, nous dessine une véliplanchiste grimpée sur une planche graffée d'un drôle de bonhomme, et je ne vous parle pas du mât.



Sur la page suivante, ça monte d'un cran, il y a du vent dans les voiles et le couple a une drôle de façon de tirer les bords : ♥︎🎵🎶 tout nus et tout bronzés…🎶🎵



Après ça se calme, et je retrouve l'humour noir délicieux quand un plongeur n'a pas vu que la piscine était vide... il a comme un problème... de tête rentrée dans les épaules !



Et quand des parcmètres sont installés sur la plage tous les mètres, il est un peu visionnaire le Serre, non ?



Ma planche préférée ? le type qui s'assoit sur sa valise pour la fermer... on l'a tous fait ? Sauf que lui a laissé ses mains dedans, et moi je me fends drôlement la poire !



Dans les avions les hôtesses de l'air ont de drôles de surprises aussi quand elles parlent de ceinture, certains la défont au lieu de l'attacher, vous voyez que tout l'album se situe en dessous de la… !



Je me méfie des prochains que je vais lire, je vais attendre la fin des vacances.

Je ne suis pas musicienne, et je chante faux, mais autant vous dire que cette fois, c'est de rire que j'ai pleuré, contrairement à d'autres moments ...



SERRE, venez vite que je vous serre dans mes bras, vous qui en deux temps trois mouvements, m'avez fait passer un si bon moment...



J'ai ri de bon coeur toute seule dans mon bureau, et je ris encore ...procurez-vous cet opus sans tarder, les notes sont superbes, des noires et des blanches, quelques rouges mais c'est léger. Un rien Allegro, le tempo est toujours aussi entrainant...rien que la couverture me fait marrer avec ces quatre notes qui braillent !



Hilarant ! Et pour vous faire chanter, il n'a rien trouvé de mieux que de vos présenter une souris, ou de vous coincer les doigts sous le couvercle du piano à queue, notes aiguës assurées !!!



Je me bidonne aussi face au gars en queue de pie qui joue du trombone, celui que vous avez sur votre bureau pour serrer vos dossiers !



Comme toujours, on retrouve deux pages blasphématoires, il ne peut jamais s'empêcher de s'en prendre un peu à Dieu ou à Jésus et ses apôtres .



Et comme il est l'heure de préparer le repas, quoi de mieux qu'une harpe pour trancher vos tomates mozzarella !



De 1993, on le trouve encore dans les médiathèques. Faut que je l'achète celui-là n'est pas à moi !

Excellentissime !

Avec SERRE, c'est toujours musclé et puissant !



Pour moi, c'est le Podium assuré, et je n'ai pas hésité à compléter ma collection , 1977 ou pas, car c'est du haut niveau, ça me rappelle les J.O. de cet été !

J'achète, je suis accro, c'est de la Dope, de la vraie.



On retrouve son trait précis et riche à l'encre de Chine qui nous sculpte chaque partie du corps humain avec une insolence caractéristique de cet humoriste surdoué et je ris encore tellement c'est gore !!!

Ce livre date peut-être de 1972 mais il suffirait de réactualiser quelques dessins en les adaptant au monde d’aujourd’hui, et il gagnerait tout autant un prix de l’humour noir, comme ce fut le cas en 1973.

La finesse des dessins complexes réalisés à l’encre de Chine, et le souci du détail se suffisent à eux-mêmes. Pas la moindre citation à vous mettre sous la dent, et pourtant l’ensemble est mordant, et tordant, au choix.



En introduction, il est noté comme un dossier d’observations médicales, et motif d’hospitalisation :

« M.SERRE Claude 33 ans, entre pour troubles du comportement graphique. »(…) intoxication au dessin de presse à partir de 63. Syndrome de l’illustration galopante (…)Intoxication liquido-tabagique ( 4 litres d’encre de Chine et 25 crayons fumeux par jour)…

« Après une semaine d’observation, le malade est transféré d’urgence en maternité où il a accouché de ce livre ».

Jamais 2 sans 3, voilà, je me suis fait ma série humour noir de l'été, et avec cet opus je me suis régalée… si je puis m'exprimer ainsi, car à elle seule la couverture donne une petite idée du menu.

Claude Serre, en 1984, a concocté un assortiment de plats dignes des plus grands chefs étoilés, à la sauce encre de Chine toujours, agrémentés de quelques filets en couleurs par moment. Ces plats se consomment en silence, pas le moindre phylactère à se mettre sous la dent.

En amuse-bouche, nous avons Adam et Ève revisités, et en dessert, c'est par eux que nous finissons le repas, ils ont juste le poids des années qui pèsent sur eux, et la pomme est devenue une délicieuse compote, ils n'ont plus de dents pour la croquer !

Ce menu gastronomique se poursuit par quelques plats servis avec classe et brio, et au milieu s'insère une statue plus que plantureuse :

« LA VÉNUS de GAULT et MILLAU » !

La carte des vins n'est pas mal non plus, et nous amène peu à peu au vin de messe : je me confesse, j'en ai goûté l'ivresse, quant à la cène et ses apôtres façon MacDo, pas de miracle, depuis toutes ces années, la malbouffe a perduré. Je vous avais bien dit que ces livres étaient toujours d'actualité !

Les plats de résistance demandent une grande résistance pour être consommés, il faut avoir l'estomac bien accroché, lisez, vous me comprendrez.

Après les desserts à volonté, comme on se sent un peu nauséeux, vient l'heure de se rendre aux w.c., et là, nous avons une série de planches qui constituent pour moi la cerise noire sur la gâteau de ces

menus « gastrovomiques »



Passez commande et attablez-vous, après le repas, nous n'aurez plus faim, assurément !

Cynique, absurde, loufoque… Voilà les qualificatifs que l’on rencontre le plus souvent quand on cherche à définir le talent de Serre ; qualificatifs que je reprends en grande partie à mon compte, quand il s’agit du fond.



Et la forme, me direz-vous ? Serre est un immense caricaturiste. Pensez donc, la caricature étant l’art de forcer quelques traits du sujet (ou du personnage) pour en faire comprendre toute la « substantifique moelle »…



Au final, une cinquantaine de planches très réussies. C’est drôle ; pas toujours du meilleur goût… mais c’est toujours drôle.



Une préface de Bernard Haller sous forme de scénette dessinée : « L’arbre de vie » : une preuve, s’il en fallait, que n’est pas dessinateur qui veut…

Si la musique adoucit les moeurs , elle peut également engendrer la gaieté , la joie , le contentement , la jubilation et là j'arrete car je suis à court de synonymes...La preuve en est avec ce petit manuel tordant qui n'épargne rien ni personne ! Du piano à la guitare en passant par misou-misou le pétomane , Serre croque magistralement des situations empruntées aux mélomanes les plus avertis ainsi qu'aux profanes les plus démonstrativement inaptes au 5e art .



Un dessin , deux grand max et Serre vous croquait une posture qui , au mieux vous faisait rire , au pire sourire ! Précision chirurgicale du trait , maitrise parfaite de l'expression , ce bonhomme avait l'art de vous conter une histoire en une seule case ! Fortiche le bougre ! De la blague de potache à la poésie , de l'absurde à l'humour noir , Serre maitrisait toutes les formes d'humour et en abusait facétieusement pour le plus grand plaisir du lecteur !

Disparu en 1998 à l'age de 60 balais , il nous leguait alors une oeuvre magistrale totalement intemporelle !



Musiques de Serre , attention , tout abus nuit gravement à la morosité !

J'ai rechuté, moi aussi. Je suis allée chercher ce tome 2 après avoir dépoussiéré le tome 1 il y a quelques jours, et je n'ai rien regretté.

Le virtuose de l'humour noir au trait précis à l'encre de Chine a réussi à me tirer quelques bons fous rires. Côté graphisme, il est toujours aussi riche, détaillé, parlant, mais j'ai peut-être peu apprécié les nouvelles mises en couleur partielles, qui pour moi n'ajoutent pas grand-chose au délice des dessins.

Le cynisme est toujours poussé aussi loin, les personnages toujours aussi génialement caricaturés, en particulier les bons docteurs et les personnes âgées.



J'ai même eu la chance de trouver deux ou trois mots à citer.



Je m'en vais de ce pas voir si j'ai encore un opus du Maître qui traine sur mes étagères.

Dans cet album, Serre évoque les vacances en quelques zooms classés par thèmes : la mer, la montagne, l'ailleurs, les souvenirs.



Je gardais un excellent souvenir de cet auteur que j'ai découvert dans les années 80-90 : humour subtil, corrosif, souvent sombre, mais réjouissant. Déception trente ans plus tard : cela ne me paraît plus si drôle, en fait. Beaucoup de planches m'ont laissée perplexe. Quelques unes seulement m'ont amusée.

Cela dit, je me promets de relire l'album rapidement, car il peut y avoir des détails qu'on ne perçoit pas d'emblée et qui enrichissent le gag.



Alors, qu'est-ce qui a (mal) vieilli ? ce type d'humour ? moi ? les deux ?



Je trouvais Serre plus pertinent et fin que Binet et ses Bidochon, à l'époque, moins 'premier degré' facile et lourdaud. Aujourd'hui, je m'amuse finalement beaucoup plus avec ce petit couple franchouille.

Il y a longtemps que j'ai découvert les dessins de Serre. J'ai tout de suite été séduit par ce parti pris provocateur, l'ironie et la dénonciation d'une certaine bêtise humaine. Serre n'hésite pas à épingler nos déviances les plus banales ou plus inavouées. Je confonds maintenant les dessins et les albums mais c'est à travers ses dessins que j'ai découvert toute la force que pouvait avoir la BD. Je n'avais pas encore découvert Wolinski et Reiser.

Humoir noir et méchant (le genre humain et le corps médical en prend pour son grade) pour des dessins drôles et mordants à souhait.



Le genre de livre dont je ne me lasserai jamais.

Livre de dessins noirs, à l'humour bien caustique, du génial Claude Serre, illustrateur pour des magasines comme Hara-Kiri ou Lui.

Il est connu pour ses dessins très sombres, en noir et blanc, proche du travail de Franquin avec ses "Idées noires".

On retrouve ici différents corps de métier vu par l'oeil sans pitié de Serre.

C'est un livre très visuel. L'effet est immédiat. On rit jaune parfois... mais c'est toujours bien vu.

Un grand classique.

Truculentes ces caricatures. Ce n'est pas la lecture de cette compilation qui m'a dégouté du sport, j'avais déjà tourné la page après 15 ans de pratique intensive. J'y ai trouvé résumé en un dessin par page un résumé de ma vision.

Attention, je ne suis pas anti-sportif, ni anti-sport. C'est plutôt un lassitude liée à l'excès, à la professionnalisation à outrance, à la place parfois dominante que la page sportive prend (on a le même phénomène avec la météo). Il y a 35 ans, j'étais déjà choqué par les sommes d'argent brassées, les salaires indécents quand la faim tue encore 25000 personnes par jour (dont 10000 enfants) dans le monde etc...

Quand à savoir si la pratique est bonne pour la santé, surement à dose raisonnable mais au-delà ??? Le squelette hyper sollicité trop jeune est atteint : articulations, colonne vertébrale, arthrose ... commotions, hypertrophie musculaire, problèmes cardiaques ... si en plus on ajoute pour certains quelques produits douteux ... Le niveau d'espérance de vie des pratiquants du haut niveau n'est pas la plus élevée. Quand à l'état d'esprit, c'est sans commentaire.

Si vous êtes accro à la production d'adrénaline et endorphines, évitez soigneusement ce livre, sinon, allez-y, Claude Serre est avant tout un excellent dessinateur, un caricaturiste de ... haut niveau.

A vos marques...prêt... PAN ! Attention au faux départs.

Préface de Cavanna : je déteste la chasse et les chasseurs , la peche et les pecheurs . J'ai comme l'impression que Serre ne les aime pas beaucoup non plus . En tout cas , disons que ses dessins n'ajoutent rien à la gloire des assassins du Dimanche . La postface de Ged Marlon est raccord : on dit que le chasseur tire sur tout ce qui bouge , c'est faux ! D'ailleurs , moi je prefere tirer sur tout ce qui bouge pas , j'y arrive mieux...



Tu aimes la chasse ? Tu aimes la peche et tu as un sens de l'humour qui vole aussi haut qu'une galinette cendrée criblée de calibre 12 ? Aie , cet album n'est définitivement pas pour toi et encore à des années lumieres de remplacer dans ton p'tit coeur de faon apeuré ces délicieuses émissions nocturnes au générique si apaisant : POM ! POM ! POMPOMPOM POM ! POM ! Aaaah , histoires naturelles , du reve en technicolor...

Bref , Serre , c'est caustique , noir , absurde mais pour le coup , ça casse vraiment trois pattes à un canard ! Pas de dialogues ( ce qui devrait plaire à nos amis les chasseurs ;) mais des postures rocambolesques qui se suffisent à elles seules ! Le coup de crayon est magistral ! Un noir et blanc accentuant un comique de situation hors norme ! Le trait est d'une précision chirurgicale . Chaque dessin s'apparente à un tableau tant Serre à le souci du détail . Rien ne lui échappe . Il fait mouche et touche sa cible avec la régularité d'un métronome ( ce qui devrait plaire à nos amis les chasseurs mélomanes ;) . Mais l'ami pecheur n'est pas en reste et en prend également pour son grade car Serre , dans un souci de justice et d'équité qui l'honore , a décidé de ne privilégier aucune de ces deux activités cérébrales de haut vol ( réflexions s'accompagnant immanquablement d'un apéro dinatoire-vomitoire digne de ce nom...les préjugés sont tenaces...) .

Une envie de marrade ? La lecture de ce délicieux manifeste animalier devrait vous éviter de revenir brequouille , comme on dit dans le bouchenois...La peche au rire est assurée , ça défouraille à tous les étages ( ce qui devrait plaire...) !



Bon , le mauvais chasseur , y voit un truc , y tire ! Le bon chasseur , y voit un truc , y tire mais c'est un bon chasseur...

Compilation de dessin sur les dangers de la route ou quand la satire graphique dénonce le diktat du tout-voiture. Une publication de 1989, bien représentative de son époque. Un coup de crayon cyniquement drôle et sympathiquement humoristique. À découvrir.

Dans cet album, Serre s'attaque, cette fois, aux petits monstres que sont les enfants.



En préambule, pour planter le décor, la "petite préface puérilophobique" écrite par Pierre Desproges : "Dieu ne fait pas de cadeau. Tout se paie. Le plaisir fugace du coït, chez l'homme, les joies ventrues de l'accouchement, chez la femme, se soldent inexorablement par la venue au monde d'un homocule piaillard et virevoltant dont la venue sur terre reste à démontrer"..



Un dessinateur de génie, tant au niveau du graphisme, de l'humour noir et de l'art de raconter une histoire en un seul dessin.

Un dessinateur intemporel.

Un des premiers albums de l'auteur qui est devenu un des classiques de la BD et qui nous faisait découvrir son humour inégalé.

Chirurgiens, pharmaciens, psychiatres, dentistes, kinés, généralistes passent à la moulinette de son coup de crayon.

Un régal.

Quel petit chef-d'oeuvre et quel talent ! Après une préface sur les chapeaux de roue de Frémion, on retrouve tout ce qui tourne autour de l'automobile, et de son propriétaire... La mangeuse de bitume échange ses boulons contre le cerveau de son conducteur, les embouteillages sont des mers loin de toute terre, le garagiste dépeint votre bagnole qui devient un étron à vos propres yeux, les gendarmes voient des éléphants roses, des corbillards se télescopent sous l'oeil amusé des enfants de coeur, le conducteur préfère être mort s'il reste dans son bon droit, l'avant de la voiture est un vaillant pénis... J'en passe et des meilleures... Et ce sont toujours des hommes, car aucune femme n'est aussi bête (à part peut-être Madame Tatcher). Un plaisoyer contre le bêtise humaine face à l'auto. Les dessins sont sublimes, regardez-les longuement, savourez-en les détails... C'est de l'art...
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Véritable entomologiste du savoir-rire, maître de l'humour noir, grand observateur du comportement humain, Serre traque dans cet album, avec efficacité et précision, tous les petits travers, vice compris, de l'homme moderne. Alors, rions de nous mêmes...