Clémentine Célarié

Parce qu'elle ne supporte plus son métier d'actrice dans une émission qu'elle juge de plus en plus déplorable, Marguerite claque la porte des studios d'enregistrements et rentre chez elle. Croulant sous les dettes en tous genres, ce sont les huissiers qui l'accueillent pour saisir ses meubles.

Le soir même, en errant dans les rues de la ville, son destin va prendre tournure inattendue. Un homme à l'allure saugrenue l'aborde, pensant qu'elle veut se noyer. Tant bien que mal, après avoir mis un terme à cette esclandre, l'inconnu l'entraîne dans une folle soirée festive, dans un somptueux domaine où elle passe une soirée de folie avec d'autres invités. Ce n'est que le lendemain à son réveil, qu'elle constate que cette nuit passée n'est ni plus ni moins qu'un hôpital psychiatrique ! Après avoir quitté ce lieu auquel elle voue un réel attachement par son empathie débordante envers ces personnes " différentes " un projet novateur germe dans son esprit. Rebroussant chemin, Marguerite retourne à l'institution.

Grâce à sa détermination, elle met en place des cours de théâtre à ciel ouvert qu'elle prodigue aux résidents tout en invitant des personnes étrangères à y participer que la curiosité attise. Au fil des jours, le miracle se produit. Plus de prise de médicaments et une vitalité retrouvée chez les malades. Mais le directeur voit tous ces bouleversements d'un très mauvais oeil.



Dans ce récit, Clémentine Célarié nous ouvre les portes d'un monde très particulier, celui de la folie.

Si le début du roman m'a emballé, j'avoue qu'au fil des pages mon enthousiasme a tout de même un peu régressé car trop de personnages plombent le récit.

Cependant, connaissant la nature sans filtre de Clémentine Célarié, j'imagine fort bien qu'elle a voulu jouer sur plusieurs tableaux. Elle aborde avec subtilité le thème de l'amour entre personnes "différentes", dénonce une société de surconsommation, les émissions de téléréalités complètement absurdes qui envahissent de plus en plus les écrans, la violence conjugale ainsi que l'intervention des travailleuses du sexe dans certaines situations, tout en semant par ci-par par là, de belles touches poétiques.



Une lecture que l'on aime, un peu, beaucoup, A la folie ou pas du tout, qui se laisse lire sans déplaisir, écrit par Clémentine Célarié bien connue pour son franc-parler, son intégrité et sa compassion que l'on retrouve tout au long de ce récit.

Réputée pour sa sincérité et son franc-parler, la comédienne Clémentine Célarié révèle dans « Les Mots défendus », son livre paru le 4 novembre dernier aux éditions Albin Michel, qu’elle a dû faire face à un cancer du colon



Clémentine Célarié nous parle cancer mais surtout elle nous parle de ce qu’il a provoqué chez elle. .



Dans « Les mots défendus », Clémentine Célarié raconte pour la première fois sa lutte contre le cancer.



Dans son livre, ce n’est toutefois pas de la maladie en elle-même dont elle veut parler, mais « de ce qu’il a provoqué, du bien qu’il a fait naître.



De la conscience, de la douceur, de la révolte ». Clémentine Célarié on aime sa franchise, son audace, ses engagements parfaitement résumés dans ce témoignage saississant.





Pour l'actrice de 64 ans " Je voudrais que ces mots soient solides pour tous ceux qui ont approché de près ou de loin, gravement ou pas, le cancer. Que ces mots soient comme des pavés quʼon jette contre lʼhypocrisie, les tabous et les faux-semblants. Ce n’est pas du cancer dont je veux parler, mais de ce qu’il a provoqué, du bien qu’il a fait naître".



Suivons Clémentine Célarié sur les chemins de sa réflexion, ce livre est un cri du coeur, une envie de vivre malgré le « pompon » qui s’est invité.



Ne s'épargnant pas toujours dans ses pages, Clémentine Célarié nous parle parle de son rapport avec son public, avec son métier et se tourne vers l’avenir pour une lecture anti-morosité à conseiller pour ce début d'année .


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Je ne sais trop quoi penser de ce livre !!!

J'ai aimé retrouver Clémentine Célarié, que l'on voit trop peu, sa franchise, son franc parler.



Je comprends qu'elle ait eu envie de se confier avec sincérité, dire enfin ce qu'elle a traversé.



Par contre si vous êtes concernés par le cancer, que ce soit de près ou de loin, ce livre ne vous sera pas d'une grande "aide", tant on dérive du sujet. Mais peut-être n'était ce pas le but de ce témoignage.

Une famille riche au train de vie luxueux, composée des parents et 3 enfants, dont deux ado, une fille et un garçon, et un plus petit dont s'occupe la nounou.



Une famille dysfonctionnelle car ils ne communiquent que très peu, chacun d'eux scotché en permanence sur leur mobile, ordinateur ou autres écrans.

La mère un peu toquée plus préoccupée par son allure et en lutte contre les ravages futurs du temps.

Le père auto séquestré dans son bureau ignorant superbement le quotidien de la maison.

Les adolescents agaçants ...

Bref des personnages peu attachants.

Il faudra une tempête de neige et une avalanche qui engloutit la maison devenue inaccessible et coupée du monde extérieur pour lâcher les écrans et se retrouver !

Ils vont devoir se rapprocher, se parler, s'écouter et enfin se soutenir pour surmonter cette épreuve effrayante.



Ce n'est pas un chef d'oeuvre mais le sujet est original et l'intrigue plutôt bien menée.

Un huis clos qui pourrait être porté à l'écran.

On s'aimera était dans ma PAL depuis un bon moment. Il m'avait été conseillé par un proche qui l'avait beaucoup aimé. Ce ne fut malheureusement pas mon cas, comme l'indique ma note.



L'histoire de départ m'attirait. Une famille qui vit sous le même toit, mais dont tous les membres se sont éloignés trop accaparés par leurs écrans, leur travail ou leur train de vie luxueux. Seuls les liens du sang peuvent leur attribuer le nom de "famille", jusqu'au jour où ils se retrouvent coincés chez eux, sans électricité.



J'ai vite déchanté à ma lecture car les personnages sont absolument détestables, antipathiques au possible et très caricaturaux : le père accroché à son téléphone qui ne sort jamais de son bureau, la mère refaite de toute pièce et absorbée par ses séries télévisées, le fils ainé casque vissé sur les oreilles qui fume de l'herbe dans sa chambre et la fille accro aux jeux vidéos et réseaux sociaux. Seul le benjamin de la famille, choyé par sa nourrice Mirette, n'a pas encore été atteint par les vices de leur vie luxueuse. Cette famille m'a vraiment inspiré de la tristesse et de la pitié. Le seul auquel on peut s'attacher c'est le petit dernier et encore c'est affligeant de voir que personne ne se préoccupe de lui ou ne lui donne à manger.



Les personnages ne sont pas nommés au début, du moins pas tant qu'ils ont récupéré une part d'humanité. L'idée est plutôt bonne car ça nous permet de voir leur évolution, mais on peut s'y perdre un peu aussi. Je n'ai pas été spécialement emballée par l'écriture de Clémentine Célarié non plus.



En conclusion, il y avait de l'idée dans ce roman, mais j'aurais préféré une histoire plus réaliste et des personnages plus crédibles, moins caricaturaux. Là ils étaient vraiment très exagérés, ce qui desservait le message : la nécessité de se recentrer sur les choses essentielles. Je suis allée au bout du roman, mais j'ai franchement lutté pour ne pas l'abandonner. C'était un petit peu mieux - moins pire je dirais - à partir de la chanson de Léo Ferré qui donne son nom au roman. 1,5/5

Un boost, une dose de vie.

Quand on lit l’autrice, au-delà de cette bienveillance acharnée et viscérale, on se rend compte -au fil des pages - qu’elle est pétrie de contradictions, qu’elle est boostée par un « imaginaire-remède » contre ce monde dans lequel nous vivons et qui lui ( nous) correspond si peu..

Un hymne à la vie, aux paradoxes, aux personnalités excessives, aux joyeux bordels, à l’être plutôt qu’a l’avoir… des mots qui personnellement me touchent et me parlent .

A lire si vous avez besoin de chaleur, si vous ne vous focalisez pas sur l’écriture , et si vous avez des combats à mener .. surtout !

172 pages

Clémentine Célarié fait partie de ces personnages qu’on aime ou qu’on déteste. Personnellement, je l’aime tellement !

Alors quand j’ai su qu’elle sortait un livre, qui en plus de nous annoncer qu’elle avait eu un cancer, allait nous emmener sur les chemins de sa réflexion, je n’ai pas hésité, j’ai foncé chez le libraire !



Quelle joie de lire les pensées de Clémentine.

Ne vous méprenez pas, ce livre est tout sauf un livre sur le cancer, il est tout sauf triste. Bien au contraire, il est rempli de joie, de bonheur, d’amour malgré le « pompon » qui s’est invité.

Clémentine nous parle d’elle, de ce que cette expérience a changée dans sa vie. Elle nous parle du passé, du présent et de l’avenir.



Un livre d’une grande maturité et des pages anti-morosité !



Merci Madame Célarié ! ♥️
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Belle écriture. Je suis restée un peu sur ma fin.

Le sujet était très intéressant. La vision et le point de vue bien étudié.

Je dois vous avouer qu'au départ, je n'étais pas spécialement attirée par ce livre à sa sortie mais de l'eau a coulé sous les ponts et j'ai eu envie de découvrir ce titre que nous propose Clémentine Célarié et j'ai été agréablement surprise par son roman qui est riche en idée !







Imaginez un peu la scène : une famille se retrouve coincée dans leur maison suite à une avalanche. De ce fait, ils n'ont plus d'électricité, plus de téléphone portable connecté, plus de box donc exit la télé et les jeux en réseaux... J'en passe et des meilleurs ! Si on pourrait se questionner sur leur condition de vie durant cet ensevelissement, on pourrait être étonné d'apprendre que pour eux, le problème se pose sur la technologie. En effet, ces accrocs aux smartphones, internet, box, wifi et tout le bazar sont d'un seul coup démuni, seul alors que ce n'est pas le cas... Bref, cette histoire est un véritable sac de nœuds ! Ils ont pris l'habitude de vivre chacun, dans leur coin, enfermé dans leur bulle, sans que rien ni personne ne les dérange jusqu'au jour où mère nature décide de mettre le dawa dans cette famille...







En étant maman de deux chipies, j'avais beaucoup de mal à me mettre à la place de cette mère qui ne nous renvoie pas une belle image. Elle est devenue hystérique, elle a pété un câble alors que la logique des choses auraient voulu qu'elle se soucie un temps soit peu de ses enfants... Heureusement que tous les personnages ne vont pas rester dans leur coin, l'auteur va réussir par un tour de passe-passe à faire se rapprocher tous les membres de cette famille qui s'était éloignée à cause de la nouvelle technologie.







Le huis-clos ennuyeux devient enfin intéressent pour la lectrice que je suis ! Ils comprennent enfin qu'il faut se serrer les coudes et avancer de concert ! Lorsque la situation va se dégrader, ils vont œuvrer main dans la main ; ils vont réapprendre à vivre ensemble, à partager ensemble des moments simples mais conviviaux. Ils vont réapprendre à s'entendre, à se regarder, à s'écouter, à s'apprécier... Cela peut paraître bête d'exprimer les choses ainsi mais c'est le ressenti que j'ai eu durant tout le long de ma lecture.







Si l'idée de départ m'a beaucoup plu, je suis malheureusement un peu déçue par cette lecture. L'auteur est tombée facilement dans la caricature et a forcé un peu trop le trait ce qui est dommage car la base était bonne. Dommage que l'auteur n'ait pas su rendre un peu plus crédible son histoire car malheureusement, la technologie prend une énorme place dans les foyers, surtout maintenant avec les objets connectés (enceinte intelligente et assistant de maison).







Il y a un personnage qui ressort du lot malgré tout, un petit garçon qui n'est pas encore pris sous l'emprise de la technologie et qui prend plaisir des petites choses simples de la vie. Il est le seul à se réjouir de cette coupure qui va lui permettre de se rapprocher des membres de sa famille qui ne le voyait plus finalement. On espère qu'un miracle va s'opérer dans cette famille et que ce petit bonhomme pourra profiter pleinement des siens.







La plume de l'auteur est simple et agréable à lire mais j'aurai aimé qu'elle nous transmette un peu plus d'émotions dans ses mots parce que parfois, je me suis sentie très en retrait du récit, notamment au début avec cette mère qui mérite des baffes selon moi mais heureusement que ce petit garçon rehausse le niveau de cette famille.







En revanche, pour ce qui est de la fin de l'histoire, je suis passée totalement à côté ou alors je n'ai rien rien compris parce que je ne l'ai pas vu...







Tout ça pour vous dire que ce roman original manque un peu de profondeur et d'attache. Cela dit, il mériterait d'être lu rien que pour montrer ce que peut faire la technologie dans une famille au détriment de l'humain.
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Marguerite, animatrice télé endettée cherche le sens de sa vie et de son travail. Suite à la goutte d'eau de trop, elle s'enfuit de sa vie et se fait 'ramasser' par un drôle de bonhomme qui la conduit dans une grande maison habritant des hommes et des femmes particuliers, souffrant pour la plupart d'un gros trouble psychiatrique.

Ode à l'anormalité, ce superbe roman questionne notre rapport à la norme, à la liberté d'être soi mais aussi à la place donnée ou laissée par la société à ces personnes "bizarres", folles, différentes...

Quelques longueurs mais joli au final.

j'ai beaucoup aimé ce roman. J'ai mis un peu de temps à entrer dans l'histoire mais ensuite j'ai été happé par chacun des personnages qui tous m'ont touché par leur fragilité et leur humanité qui était bien enfouies sous plusieurs couches de vie moderne, stressée et vide de sens.

J'aime beaucoup Clémentine Célarié. J'ai peut-être appris à mieux la connaître. Elle a eu un cancer contre lequel elle s'est battu farouchement. je comprends elle aime son (ou le) public. Bon... A partir de la moitié du livre, je n'avais plus envi de continuer. Et c'est dommage.

Je découvrais l'année dernière "On s'aimera", un titre qui n'avait pas su totalement me convaincre mais qui n'en restait pas moins intéressant. Aujourd'hui, je vous propose de découvrir "A la folie" qui est certes différent du précédant mais il est mieux selon moi.



Marguerite paraît normal. Elle a un bon travail : animatrice télé mais elle est aussi endettée ! Son émission marche du tonnerre et sa production attend qu'elle renvoie une image de femme policée, propre sur elle, sans aucun pli. Le décès d'un proche va venir chambouler son existence, son choix de vie, elle ne veut plus plaire à la petite ménagère qui la suit tous les jours. La jeune femme n'en peut plus nerveusement, elle décide de partir, de s'enfuir, de quitter sa vie. Elle va se faire embarquer par un drôle de bonhomme qui va la conduire gentiment dans une grande maison où se trouvent des habitants un peu particuliers. Il y a des hommes, des femmes, des petits, des grands... Bref, il y a des personnes de tous genres mais qui ont un point commun : un trouble psychiatrique majeur.



A partir de là, nous allons la suivre dans l'aventure de sa vie. Dans ce bâtiment, Marguerite va découvrir diverses émotions qui vont émaner d'elle. Entre la colère et la déception passant par la joie, le bonheur, la passion, l'amour, Marguerite va découvrir que vivre la vie comme elle a toujours eu envie de le faire, c'est une nécessité. Ces pensionnaires vont l'inspirer, vont l'aider à se renouveler, et elle va le leur rendre de la plus belle des façons qui soit.



Ce livre m'a plu d'une part car il ne fait aucune différence entre les personnes et il nous amène à nous poser des questions sur ce qu'est normal et ne l'est pas, il nous amène à nous poser des questions sur la liberté de vivre, la liberté d'être qui l'on veut, comme on veut mais surtout, Clémentine Célarié nous demande quelle place notre société peut-elle laisser aux personnes qui n'entrent pas dans le moule de la normalité sociétale. C'est un véritable phénomène car nous sommes toutes et tous différents mais il y a des différences spécifiques qui font que ces différences dérangent plus que d'autres.



Marguerite va nous emporter avec elle dans son histoire, nous partager ses émotions, nous faire part de ses rencontres et l'impact de celles-ci sur sa vie. Cette plongée dans le monde de la différence est pour le moins étonnante et intéressante. C'est vrai, c'est humain, c'est percutant, on se pose des questions.



La plume de l'auteur est simple et agréable à lire. Je l'ai trouvé plus pointu, émotive et abouti dans ce roman même si quelques longueurs subsistent encore dans le récit.



Tout ça pour vous dire que l'auteur nous amène à nous poser des questions sur les différences, sur les personnes différentes qui nous entourent, qui ne sont pas conforme à la société. C'est un roman tolérant qui prône la différence.




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Il est assez tragique de voir à quel point les humains que nous sommes peuvent perdre le sens des valeurs, des réalités et des sentiments face au pouvoir, à l'argent et aux technologies nouvelles ...

Cette famille va en faire les frais suite à une avalanche qui va les priver de tout contact outre ceux qu'ils pourraient avoir entre eux 5.

J'étais effarée au début de ma lecture de voir à quel point ces gens ne se connaissent pas, ils cohabitent sans aucune interaction entre eux.

Chacun dans sa chambre, dans son monde...

Je n'ai ressenti aucune empathie pour eux sauf pour le petit Mathieu qui lui, craint carrément ses parents...

Ce n'est pas du tout un coup de coeur mais ce livre a le mérite de nous faire relativiser par rapport à toutes ces technologies qui au fur et à mesure nous enferme ds une certaine solitude... ordi portable tv gsm FB et cie...🤪

Dans ce livre nous suivons Marguerite qui est une présentatrice à la télévision, et qui un jour va tout lâcher. Dès cet instant, nous vivons avec elle la folle et merveilleuse aventure que sa vie est en train devenir. Dans cet endroit que Marguerite va découvrir, diverses émotions vont jaillir du plus profond de son être. Entre colere, déception, joie, bonheur, passion, détermination, amour, Marguerite va découvrir que pour vivre la vie qu’elle souhaite depuis toujours, elle doit faire ce qu’elle aime, ce qui la rend heureuse, avec des personnes qui indirectement lui ressemble et qui sont les moteurs de ce bonheur.

Ce livre passionnant nous emporte dans son aventure, dans les ressentis de Marguerite. Chacun des personnages dans sa singularité est touchant et attachant. Ce livre permet également une ouverture d’esprit pour un regard plus neuf.

Titre d'une chanson de Léo Ferré : tout un programme.

Un grand Merci à cette lecture divine,je me suis régalée en découvrant cette nouvelle plume littéraire.

J'aime le dépouillement de cette famille et son rapprochement tout au long du récit.

C'est un reflet d'une grande partie de la vie de famille aujourd'hui, ça ne m'a pas perturbé, ça m'a donné envie d'aller de lire encore plus pour voir de quelle manière il allaient se redécouvrir Famille.

La belle idée de proposer, les Racines humaines, par une nounou Africaine qui a su transmettre au petit de la Famille une clé Humaniste.

J'aime bcp la fin qui m'a emmené dans un fable Amérindienne ou Toltèque.

J'ai été très agréablement surprise par l'écriture de Clémentine Célarié, j'ai beaucoup aimé ce roman pleins de doute, d'effroi et de sentiments. Celà peut mettre mal à l'aise parfois , on aimerait que l'histoire se termine bien mais j'avoue que je n'ai rien compris du final ...et je n'aime pas rester sur un questionnement !

Chronique complète sur le blog :



" En bref, je vais m’arrêter de dire ce que je pense sur ce roman car il n’était pas folichon. Je n’ai pas aimé. Malgré toute la motivation de l’auteur, je pense, qu’il aurait fallu plus imagée, plus vivre à la place de ses protagonistes. Je le conseille aux personnes qui aiment les romans contemporains et qui veulent voir des relations évoluées sinon vous pouvez passer votre chemin.

"
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"A la folie", le nouveau roman de la comédienne Clémentine Célarié, sorti en octobre dernier aux éditions du Cherche Midi, traite avec justesse et humour du handicap.
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