Conn Iggulden

Ce tome relate l'enfance de Gengis Khan et ce qui l'a amené à devenir un grand Khan qui a changé l'histoire. 

Le style et la construction du récit sont immédiatement immersifs dans un climat rude entraînant ses codes claniques tout aussi difficiles.

L'évolution de l'enfant vers son avenir est pertinemment amenée.  Tous les personnages sont bien travaillés et deviennent attachants, même pour ceux dont on comprend ce qui les a amenés à être des "méchants ".



Il y a toujours beaucoup de similitudes avec la vie des Mongols d'aujourd'hui. Leur climat ne leur permette d'avoir pratiquement que les animaux comme source de nourriture et de matières premières. Ce qui les oblige à vivre en nomades au rythme de leur troupeau, au plus proche de la nature. Seuls les guerriers n'existent plus et il y a plus d'entraide que de guerres de clans.

L'évolution du climat sera probablement très difficile pour eux.

J’ai du mal à me dire que cela fait 5 ans que j’ai lu le premier tome de cette saga. J’ai l’impression que c’était il y a quelques mois tellement je me souvenais bien de certains passages. Le reste m’est revenu en quelques pages.



Après avoir rallié la dernière tribu, les Naïmans, à sa horde et avoir intégré le chaman Kököchu à son peuple, Gengis se lance à l’assaut du royaume des Jin. La tâche n’est pas aisée : ils construisent des forts das les passes et leurs villes sont entourées de hauts murs imprenables.

Mais les Mongols se montrent rusés et rien ne semble les arrêter.



De nouveaux personnages apparaissent qui font avancer l’histoire et évoluer les protagonistes déjà en place :

– le chaman Kököchu que je trouve antipathique prend comme apprenti Temüge, le plus jeune des frères de Gengis et je n’aime pas du tout le chemin qu’emprunte le benjamin.

– Subotei m’a bien plu, il est jeune et loyal envers le kahn.

– certains personnages jin : Chakatei la seconde épouse de Gengis qui me laisse dubitative. Ho Sa, Lian ou Wen Chao passent bien. Le général Zhu Zong m’a fait grincer des dents.

Kachium et Khasar ont une place primordiale dans ce second tome, je ne me souviens plus si c’était autant dans le précédent. J’ai aimé les retrouver au fil des pages. Arslan qui m’a tellement plu dans le premier n’est quasiment pas là, dommage.



L’histoire est rythmée : le récit se partage équitablement entre intrigues et combats. C’était passionnant et il m’est arrivé par moment de ne pas pouvoir interrompre ma lecture pour savoir la suite, et ce, malgré l’heure tardive.

La plume de l’auteur est fluide et entraînante, autant que dans le premier. Je lirai le trois dès que l’occasion s’en présentera parce que j’ai adoré ce second tome et j’ai très envie de découvrir ce que me réserve le prochain.
Lien : https://psylook.kimengumi.fr..

Dans ce roman, on va voir évoluer 6 personnages qui cachent de nombreux secrets mais aussi leur véritable nature : on a un chasseur, un voleur, un mercenaire, une jeune femme, un ancien bretteur et un enfant.



A vue de nez, ils n'ont pas grand chose en commun mais ils vont se cotoyer dans la ville de Darien qui va être le théatre de complots et d'assassinats.



L'univers est riche et bien décrit ; les personnages sont bien développés bien que je n'ai pas pu m'attacher à tous. L'action est en dent de scie, on a l'impression que ça va décoller et puis pouf ça retombe pour reprendre un peu plus loin.



Je trouve que ça coupe vraiment le ryhtme de lecture. J'hésite à lire la suite, peut être me laisserais-je tenter si je les trouve à la bibliothèque mais je reste totu de même assez mitigée sur ce premier volume.

Le tome 2, sans être mauvais, loin de là, faiblit tout de même quelque peu. S’il démarre bien, sa structure devient assez vite répétitive, avec une fin facile à deviner (dans ses grandes lignes du moins) et qui va sans doute un peu trop loin pour demeurer crédible.
Lien : http://www.elbakin.net/fanta..

L’ennui a dominé ma lecture plus que l’envie. [...] J’ai passé beaucoup de temps à m’interroger durant la première partie – sans avoir une once de piste – alors que la deuxième partie passe beaucoup trop vite.
Lien : http://www.emaginarock.fr/20..

une superbe fresque historique relatant l'histoire de Gengis Khan. J'ai eu du mal à la lâcher avant la fin et j'ai hâte de me plonger dans la suite. L'écriture est fluide et nerveuse en même temps, les personnages sont bien travaillés. Vraiment une bonne lecture que je recommande aux amateurs du genre. Par contre, je pense que les pointilleux de l'exactitude historique seront peut être un peu déçus car ce n'est pas la première biographie romancée de Gengis Khan que je lis ou vois à l'écran et il me semble que son histoire est très différente.

Ce troisième et dernier volume de "L'épopée de Gengis Khan", nous permet d'en apprendre encore plus sur l'Homme et sur le chef de guerre.

La lecture est toujours aussi agréable.

Admiratif de la Mongolie, de son peuple et de sa culture, j'aurai bien continué l'aventure.

Ce deuxième tome nous apprend comment les Mongols ont fait plier l'Empire Jin.

La ruse mais aussi la chance ont permis à l' armée de Genghis Khan de triompher.

Quelles sont ses ambitions ? Comment gérer une telle foule composée de tribus belliqueuses ?

Que trament les autres personnages dans son dos ?

L'Hisroire prend de l'épaisseur et on a juste envie de continuer avec le troisième tome.

D'abord, j'ai aimé tous les personnages ! J'ai eu peur au début que Vic Deeds soit un peu caricatural, ou que Daw et Vic se ressemblent trop, mais en fait pas du tout, tout est parfait ! Dans les qualités comme les défauts, j'ai trouvé ces personnages parfaits ! J'ai beaucoup aimé la plume aussi, la manière dont les choses sont menées. La fin se fait à un rythme bon aussi, alors que souvent j'ai l'impression dans ce type d'histoires où la fin explose, que l'auteur est allé à fond la caisse parce qu'il n'avait plus de pages pour prendre son temps.
Lien : https://enirenrekhtoues.blog..

6 personnes aux histoires, aux capacités et aux caractères différents vont être amené à avoir le destin lié, et ce, pour le bien ou le mal de la ville de Darien ...

Un pitch prometteur, mais qui n'a pas du tout su remplir mes attentes.



Tout d'abord, j'ai eu du mal avec l'écriture - ou est-ce la traduction ? -. Des tournures de phrases alambiquées et peu fluides qui donnent une impression d'amateurisme. Telle fut ma première observation. Un début qui me laissait donc perplexe sur la qualité de l'œuvre.



Le second problème conséquent, c'est le rythme de narration. On sent que l'auteur a voulu tout incorporer dans ce tome-ci, et avoir une conclusion nette qui se suffit à elle-même. Grand bien lui fasse ! J'apprécie d'ailleurs beaucoup la chose. Néanmoins, l'auteur a de ce fait instauré une dynamique vraiment trop soutenue à mon goût. J'ai eu l'impression que tout allait trop vite, ce qui rendait les scènes parfois superficielles, peu crédibles, et créer des changements de scènes brutaux, parfois pas très compréhensibles... Petit point positif tout de même, la seconde moitié du livre est plus appréciable et prend davantage le temps d'exploiter les choses. Mais bon, il s'agit de la première œuvre fantasy qu'écrit l'auteur, et ça se ressent.



Ensuite, j'ai eu certains problèmes avec les personnages. Je ne me suis pas le moins du monde attaché à eux. Le problème, -et cela va peut-être de pair avec le rythme de narration -, c'est qu'il y a un manque de développement des personnages. Ils ne sont incarnés que par un trait de leur histoire ou de leur caractère. Ils n’ont pas vraiment de complexités. De même, les relations entre les personnages sont, elles aussi, superficielles : ce n'est pas réellement approfondi, ou tout du moins sur un seul axe, ou trop rapidement. Ce qui crée des dynamiques assez bizarres, crédible voir presque ridicule entre eux. Par exemple, entre le duo Nancy et Draw, où tout va trop rapidement, ne créant absolument aucun attachement pour les deux.



En conclusion, c'est assez dommage parce que l'œuvre avait tout à fait de bonnes bases et des choses intéressantes à exploiter. Si l'auteur s'était donné le temps pour construire ses personnages, son univers et son récit, nous aurions pu avoir un roman très sympathique à lire. Dommage…

Mélange d’Histoire, d’aventures et de magie, ce roman se lit tout seul. Les personnages sont attachants. Même si chaque personnage a son histoire, le tout est bien amené et on ne s’y perd pas.

On ne sait pas trop à quelle époque se situe l’histoire ni dans quel endroit, c’est ce qui fait le côté fiction, la magie est présente mais pas trop. Bref, une bonne lecture qui va m’amener tout droit au deuxième volume.

Ce roman, c'est l'histoire de destins qui se croisent, se mélangent, se dévient. C'est plusieurs histoires qui ne veulent n'en raconter qu'une seule : celle de la ville de Darien. L'auteur nous parle de ces différents personnages, de leurs aventures, leurs objectifs. Ils sont si différents qu'on en vient à se demander ce qui les lie les uns aux autres.

J'ai bien aimé ma lecture même si elle m'a semblé "légère". La plume de l'auteur est froide et reste purement factuelle. Elle permet de donner un rythme soutenu à l'histoire. Mais j'aurais aimé que l'on puisse plus s'attarder sur certaines situations plutôt que de simplement les énoncer. Mais ce rythme m'a plus dans la deuxième partie, plus consacrée à l'action (on pourrait même parler de chaos).

En conclusion, c'était une lecture très plaisante, avec un univers certes simple mais qui fonctionne très bien.

Je me suis laissé tenter à la sortie au format poche de ce roman que j’avais déjà repéré en grand format. Et je ne suis absolument pas déçue de l’aventure. « Darien, Les prodiges de l’empire » appartient au genre de l’héroïque fantaisie. C’est un roman épique qui m’a permis de découvrir un conteur au talent insoupçonné pour ma part.



Darien est le premier tome d’une série en trois volumes. Ce premier livre introduit efficacement les personnages et l’intrigue dont il est question. Le lecteur est rapidement plongé dans une alternance de chapitres dédiés à chacun des duos de personnages. On comprend rapidement que les destins de ceci vont se rencontrer. Et même s’ils ne se connaîtront pas forcément, on les sent liés par la ville de Darien.



Cette ville se définit comme le personnage principal de l’histoire. Elle aspire d’ailleurs chacune des destinées des personnages de l’auteur car tous y sont liés d’une manière ou d’une autre.



Les personnages, autres que Darien, sont bien définis et chacun possède une personnalité bien campée. La plupart d’entre eux mène une vraie réflexion concernant la valeur de la vie. Certains sont d’ailleurs tout à fait aux prises de leur conscience morale. Le fait que le lecteur ait accès à l’intériorité des personnages lui permet de bien comprendre à qui il a affaire. Grâce à cela, on apprécie ou non un personnage pour son intériorité et non uniquement vis à vis de ses actes. Certains des personnages ont des dons particuliers (liés à la magie) et c’est d’ailleurs pour cela qu’on suit leur histoire.



Le style de l’auteur propose peu de description des paysages ou des lieux mais cela ne gêne en rien le récit. En effet, c’est l’action qui est beaucoup décrite et la narration est donc très efficace. Cela permet au lecteur de laisser place à son imagination. Et donc même si j’aime les descriptions (même si elles sont lentes), ici ça ne m’a pas du tout dérangé. En effet, il y a beaucoup de technicité dans les scènes. Elles font toutes avancer l’histoire en plus d’être ingénieuses.



C’est un récit avec beaucoup d’historicité. L’auteur y fait beaucoup allusions même si on n’a pas de flashback ou de passage qui décrivent les temps plus anciens. On ressent toutefois dans les scènes l’héritage de tout ce qui a pu se passer avant. Notre roman n’est qu’une anecdote dans l’univers créé par l’auteur. On a d’ailleurs envie d’en apprendre davantage…



Le système de magie m’a beaucoup séduit. Ici aussi on ressent la forte influence du passé. La magie prend la forme des restes d’une époque antérieure beaucoup plus faste où on la maîtrisait mieux. On comprend que le peuple autour de Darien a peu à peu oublié ses mécanismes. Il ne reste que des reliques ou des dons chez certaines personnes.



C’est un premier tome avec une fin mais qui appelle à en savoir plus. En effet, les actions qui occupent les pages de ce premier opus sont résolues. On veut cependant savoir comment vont évoluer nos personnages maintenant qu’ils ont pris de nouvelles directions. Un très bon roman. C.F.Iggulden est sans conteste un superbe conteur d’histoires. Je découvrirai la suite avec plaisir.

J'ai adoré ce roman, très bien documenté et très fort. On se sent proche des personnages, de leur vie dure et sans cesse en danger. L'auteur est un maître des descriptions et des ambiances. J'ai vu les paysages défiler dans ma tête tout au long de la lecture.

3ème et dernier tome de l'épopée de Gengis Khan.



On y découvre un Gengis de plu en plus impitoyable, allant jusque a ordoner la mort d'un de ses fils.



Comme les deux tome précédent; celui-ci fut passionnant et on termine l'histoire de Gengis sans trop savoir que penser de cet homme. La seul certitude, c'est qu'il fut brave, courageux et sans peur.



Une saga que je conseille a tout le monde.

Premier tome de la trilogie qui retrace la vie de Gengis Khan.



J'ai adoré ce livre que j'ai dévorer d'une traite.



L'histoire est sombre, passionnante et nous apprend beaucoups de chose sur la manière donc vivait ces hommes.



Gengis est un personnage passionnant lui aussi: courageux, impitoyable, fier et plein d'ambition.



Bref; un des meilleurs livre que j'ai lu dans le genre.

Un régal. On peut voir Gengis Khan étendre son influence, son royaume.

Les guerres et les batailles sont étonnantes et palpitantes.

Tactiques et stratégies.

Les problèmes familiaux, les menaces politiques.

Ce 2ème tome est un véritable feu d'artifice.

Vraiment pour lire la suite. Ce n'était pas la panacée, je n'ai pas bien compris pourquoi il était si bien noté. Mais bon, c'est bientôt terminé. Je vais faire l'effort de lire le 3 et on passera à autre chose.

Reste que ça doit être sympa pour les amateurs du genre.

Pour ma dernière chevauchée aux côtés de Gengis Khan et de ses guerriers Mongols, j’ai été servie en action, sang, violences…



Pourtant, ma soif de conquêtes littéraire n’est pas près d’être étanchée, tout comme celle de Gengis, sauf que lui, c’était conquérir des territoires.



Lorsque l’Empire Romain s’est étendu et qu’ils ont conquis toute la Gaule (sauf un village peuplé d’irréductibles Gaulois), ils ont construit des routes, des bâtiments, des aqueducs, apporté leur savoir, leur culture (après avoir saigné à blanc les territoires et les populations, bien entendu).



Bref, ils ont joué au parfait petit colonisateur (ironique) venant apporter la lumière aux barbares, ainsi que leur savoir-faire.



Gengis Khan, lui, n’a rien apporté que la désolation, les pillages, la mort… puisqu’il n’a rien construit sur les territoires qu’il a conquis, n’ayant pas assez de guerriers que pour les occuper et n’ayant pas envie de changer de vie, passant de nomade à sédentaire.



D’ailleurs, lui et ses hommes pillaient les richesses, mais sa yourte ne portait pas de signe de richesse extérieure, ni intérieure. Aucun de ses généraux, les chefs des tumans (10.000 guerriers) n’avait de signe extérieur de richesses et n’occupait leurs postes que grâce à leur mérite.



Dans le dernier tome de cette trilogie (les suivants ne sont pas traduits, dommage), on n’aura aucun moment de répit (ou si peu), sans pour autant que la chevauchée devienne fatigante.



Que du contraire, l’auteur atteint même son apogée avec ce troisième opus de la vie de Gengis Khan. Les descriptions de combats et de violences sont parfaitement décrites (sans jamais devenir lourde).



Après avoir suivi les formations militaires des fils du khan, on assistera, impuissants, aux tensions entre les deux fils aînés de Gengis : Djötchi et Djaghataï, sans qu’aucuns généraux n’osent dire au khan qu’il exagère dans son mépris pour Djötchi. Hé, c’est que le khan, il en impose et que tout le monde est à ses ordres.



Gengis est un assassin en puissance, il a peut-être uni les différentes tribus de son peuple, mais à quel prix ? Celui de la mort et du sang puisqu’il entraînera tout son peuple derrière lui pour attaquer sans cesse ou faire le siège de différentes cités.



Le khan est inflexible, têtu et ne souffre pas qu’on lui fasse l’affront de tuer ses émissaires, alors, il a envahi et razzié le Khwarezm (l’actuel Ouzbékistan et une petite partie du Turkménistan).



Pourtant, si l’on fait les comptes, vu le nombre de vies perdues (dizaines de milliers), même parmi les femmes et les enfants, cela en valait-il vraiment la peine ? Pas besoin d’y répondre, on connaît la réponse.



Aux travers des yeux de ses généraux ou de ceux de ses ennemis, on comprendra ses stratégies de batailles, mais aussi leur manière de vivre, de penser, d’être. C’est tout un pan de la culture mongole, nomade, qui nous est offert. Et ils vivaient à la dure.



Dans ce dernier tome du règne de Gengis Khan, jamais l’auteur ne fait l’apologie des méthodes du grand khan, il le met en scène, lui, ses généraux, ses guerriers, son peuple, nous parle de leur méthode de vie, de leurs pensées, sans jamais prendre parti.



Sa plume virevolte sur les pages mieux qu’un petit cheval mongol et son récit se lit tout seul, les 600 pages passant même trop vite.



Une excellente biographie de Gengis Khan, romancée, tout en restant fidèle à l’Histoire. C’est très instructif à lire, sans jamais devenir redondant, sans jamais être lourd ou chiant à lire. Une fresque historique à découvrir afin de mieux connaître les invasions Mongoles et leur terrible Khan qui fut plus un razzieur, un pilleur, un démolisseur qu’un bâtisseur.


Lien : https://thecanniballecteur.w..

Un livre que je ne saurais pas bien classer, mais je dirais fantasy, roman historique aussi un peu, bref, sympa. Tentant. Proposition random d'un site et j'ai craqué. Ici, des chasseurs, des tireurs (ah! les premières armes à feu), des sorcières, des mages, et des centurions. Et de la magie en veux-tu, en voilà. Un univers étrange, presque opaque, mais captivant au point que, alors qu'on commence pas "oui bon c'est pas tout ça mais...", on continue par "je veux plus lâcher ce bouquin !" Ensorcelant. Plus une suite de scènes qu'une vraie toile qui entortille notre esprit, mais quand même assez de petites piqûres pour toujours y revenir. Ça manque un peu de femmes, soit dit en passant, quoique les trois présences ne manquent pas de panache. Je veux lire la suite. Je veux savoir. Roi, rébellion, colonnes en marche rangée, douze familles, royaumes de l'est et de l'ouest, on ne peut pas en rester là. Surtout quand, au détour d'un pas de Mazer, je retrouve ma capoeira adorée.