Corina Bomann

Quelle beauté que ce roman ! Je me suis totalement régalée avec cette lecture qui m’a bien fait penser d’ailleurs à La maison de l’orchidée. Comparer Corina Bomann à Lucinda Riley peut paraitre un peu fort mais j’ai vraiment eu le même ressenti de lectures, des secrets, une double temporalité, du dépaysement, bref tout ce que j’adore dans les romans historiques.



Ici c’est Diane qui va être confrontée aux secrets de sa famille le jour où sa tante décède. Peu à peu, elle est immergée dans une enquête sur les traces de deux sœurs qui sont ses ancêtres, deux anglaises ayant émigré au Sri Lanka avec leurs parents. Dans ce passé, on est d’abord sous le charme de la découverte des lieux, à travers le regard des deux sœurs, conquises par cette nouvelle vie. Leur père a hérité une plantation de thé où Grace va découvrir des conditions de travail qui vont la révolter. C’est un très beau personnage que j’ai adoré découvrir et suivre dans ces décisions toujours personnelles et si fortes. Je n’ai pas du tout été surprise par la décision qu’elle fera pour sa vie, même si celle-ci est totalement à contre courant des vies habituelles des femmes de l’époque.



Le roman a un très bel équilibre entre le passé de Grace et Victoria et l’enquête de Diane, qui va suivre les traces de ses 2 ancêtres et découvrir elle aussi le Sri Lanka. De la même manière, elle va rencontrer de beaux personnages qui l’aideront dans son enquête mais lui apporteront beaucoup également dans sa vie personnelle. Il y a de petites facilités dans l’enquête, les éléments s’enchainent un peu trop facilement parfois et j’ai trouvé que ça manquait donc un peu de crédibilité. Mais j’ai trouvé la lecture tellement plaisante malgré ça que je pardonne volontiers ce point à l’auteure.



L’ile aux papillons est une lecture tellement addictive qu’on tient à tout prix à savoir tout ce qu’a vécu Grace pour être ainsi déshéritée par son père. Et c’est sans surprise que j’ai refermé ma lecture conquise par la destinée de cette héroïne qui aura tout donné par amour. Je vous conseille vivement cette lecture qui mêle admirablement secrets de famille et dépaysement.
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L'histoire d'un violon au coeur de cette romance.

Lilly est antiquaire à Berlin, veuve depuis quelques années, elle reste renfermée sur sa douleur. Un jour un vieil homme lui apporte un violon, une rose gravée dans le dos, violon qui lui appartiendrait. Il s'enfuit avant qu'elle ne puisse lui poser de questions. Cette rencontre bouleverse son quotidien et est le déclencheur d'un voyage pour retrouver le propriétaire du violon, son histoire. Un pas après l'autre, Lilly reprend goût à la vie grâce à ce voyage sur les traces de deux violonistes de génie pour rechercher un lien avec sa propre histoire.

Premier pas vers Londres, vers sa meilleure amie Ellen, violoniste et experte. Londres où elle rencontre Gabriel, musicologue directeur de conservatoire, retour à un coeur qui bat un peu plus vite. Un petit pas vers Crémone , un grand vers l'Indonésie, Sumatra, île où tout a commencé.

L'histoire s'enchaine entre 3 époques. Rose au début du siècle, une virtuose qui tombe amoureuse d'un lord se disant simplement fiancé. Epoque où amour et carrière sont totalement incompatibles. 1920 avec Helen, seconde propriétaire du violon tout aussi virtuose lorsqu'elle apprend une nouvelle qui se bouleverse sa vie et sa carrière naissante.

Un beau voyage au son d'un violon au coeur d'une île luxuruante.

(...) Ce roman vaut avant tout pour la découverte d’un pays dont personnellement je ne savais quasiment rien et que j’ai trouvé très attirant. L’aspect historique est assez bien mené également.



A côté de ça, l’argument de départ m’a paru très fumeux: pourquoi organiser cette chasse au trésor puérile au lieu de dire à Diane ce qu’on sait et ce qui reste à découvrir? A croire que la grand-tante pensait (avec raison apparemment) que sa nièce avait du temps et de l’argent à gaspiller. Ensuite, tout est prévisible de bout en bout dans cette histoire. Dès qu’un détail ou une découverte est mis au jour, on sait immédiatement où ça va nous mener. Et pour les détails qui sont censés poser la situation de départ, la plupart n’apportent absolument rien à l’intrigue. Pour finir, les personnages sont assez peu fouillés à l’exception d’un ou 2 d’entre eux. Ceux qui ne m’ont pas laissée indifférente m’ont agacée.



Pas mal de longueur à signaler également dans ce livre, qui pourtant ce lit relativement rapidement: c’est écrit gros et le style est simple. Je ne peux pas dire que j’ai passé un mauvais moment (sinon j’aurais abandonné!), mais la seule chose qui m’a marquée un minimum, c’est la description du Sri Lanka, seule raison pour laquelle je pourrais vous conseiller cette lecture, l’aspect saga familiale et romance n’ayant rien d’original ou de passionnant.
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Le jardin au clair de lune est une très jolie histoire, chargée d’émotions…



Nous faisons la rencontre de Lilly, une jeune veuve allemande, gérante d’une boutique d’antiquités plutôt calme. Alors qu’elle désespère du nombre relativement faible de ses clients, un vieil homme pénètre dans sa boutique et lui confie un violon en assurant qu’il lui appartient désormais avant de s’enfuir aussi vite qu’il est apparu. Déboussolée, Lilly tente de retrouver ce curieux individu en vain. Elle se retrouve ainsi en possession d’un magnifique violon orné d’une étrange rose, accompagné d’un étui cachant une mystérieuse partition, Le Jardin au clair de lune. Cette visite marque alors un tournant dans la vie de Lilly, qui se retrouvera à voyager de Berlin à Londres jusqu’à Sumatra en passant par Crémone pour découvrir les origines de cet instrument majestueux.



Ce que j’ai aimé tout particulièrement dans cette histoire, c’est l’émotion qui s’en dégage. Par l’instabilité émotionnelle permanente de Lilly due à la perte de son mari, les épreuves terribles qui jalonnent la vie de Rose et d’Helen, la découverte de vieux journaux sous des couches de moisissures, tout est susceptible de provoquer une multitude de sentiments selon son état d’esprit et c’est une véritable force.



Les personnages sont terriblement attachants. Lilly l’est pour son caractère délicat, son empathie et la sympathie qu’elle dégage à tout instant. Rose l’est pour sa vivacité, sa détermination et l’amour puissant qu’elle porte à son entourage. Helen quant à elle ne peut aucunement laisser le lecteur de marbre lorsque l’on découvre en même temps qu’elle sa passion pour la musique, sa force de caractère alors même qu’elle n’a que huit ans. Tous les personnages secondaires, comme Ellen, Gabriel, Verheugen, Paul et même le spectre de Peter, tous, ont une importance capitale à chaque moment de l’existence de nos protagonistes. Ils apportent un véritable atout à l’intrigue et sont tous aussi charmants les uns que les autres.



Les intrigues sont captivantes, entremêlées les unes aux autres. L’attente à chaque fin de chapitre est à son comble lorsque le changement d’époque et de narration s’opère. Cette manière de raconter l’histoire est très efficace puisqu’elle donne particulièrement envie de progresser sur tous les plans et incite ainsi à dévorer les pages sans modération. En revanche, si j’ai aimé que le voile soit levé sur tous les mystères du récit, je dois avouer que quelques énigmes étaient assez facilement solubles et peut être même un peu trop rapidement.



Pour terminer, je salue l’épilogue de l’histoire que je trouve très ingénieux !



En définitive, si vous aimez les histoires de famille, les voyages en terres inconnues et les intrigues se déroulant sur tout un siècle, Le Jardin au clair de lune est fait pour vous. Personnellement, j’adhère complètement !
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Avant le décès de son arrière grande tante Emmely, Diana reçoit de cette dernière la mission en tant que dernière descendante de la famille Treymane de découvrir le passé vieux de 120 ans qui fut à l'origine de la perte de la famille.

Après lui avoir donné un indice sur présence d'un compartiment secret dans l'étagère de l'ancien bureau au manoir où il manque la clé, de nombreux autres indices pointeront le bout de leurs nez grâce au majordone d'Emmely Mr Green qui a été mis une partie dans la confidence.

Diana remarqua très vite qu'effectivement elle ne connaissait trop peu ses orignes et du peu qu'elle connaisasit il y avait de nombreuses zones d'ombres.

Grâce aux différents indices, elle se mit à la rechercher là où le destin à sombrer au temps de son arrière grand-mère dénommée Grace et de la soeur de cette dernière Victoria. Le livre et le mystère nous feront voyager en 1888 au temps où Grace et Victoria avec leurs parents arrivèrent fraichement de Londres à Colombo, l'île aux papillons, le Ceylan. En effet, le père Henri a hérité d'une plantation de thé du côté de Nuwara Eliya de son frère décédé dans d'étranges conditions.

Leur nouvelle vie à la plantation sera très vite chamboulée suite à de mauvaises rencontres et des décisions prises sans connaître les bouleversements que cela pourra apporter.

Un magnifique roman rempli d'un grand suspens, d'aventures grâce à Diana et avec de soupçons d'histoires d'amour. A déguster sans plus attendre, tel un thé Ceylan.
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Cela fait un moment que j’ai la saga complète dans ma PAL et je me suis lancée dans l’audio pour ce premier tome. J’ai passé un excellent moment d’écoute. J’ai été transportée en Suède et dans cette haute société où les femmes ne pouvaient pas faire ce qu’elles voulaient. J’ai beaucoup apprécié le personnage d’Agneta qui ne se laisse pas faire malgré les contraintes de son rang. La voix de la personne qui raconte l’histoire est envoûtante, comme si elle était faite pour ça ! Je vais sûrement prendre en audio le tome deux le mois prochain.

Ultime roman de la saga des héritières de Löwenhof. Nous retrouvons cette fois-ci Solveig, la fille de Mathilda et de Paul, à la fin des années 60- début des années 70, qui se destine à devenir vétérinaire.



Je referme ce troisième opus avec une bonne dose de déception. Des trois, c'est le premier que je lisais, puisque j'avais récupéré les deux premiers en version audio. Est-ce que cela vient de là ? Je ne pense pas.

J'étais enchantée de retrouver l'univers de Löwenhof et d'être spectatrice des évolutions du domaine suite à la seconde guerre mondiale. Ainsi que de retrouver les deux femmes fortes et combattantes, que sont Agneta et Mathilda , qui m'avaient tant plu. Ce fut une lecture sympathique, l'écriture de l'autrice est toujours aussi agréable, et on est aussitôt plongés dans un malheur dont cette pauvre famille Lejongard fait fréquemment les frais. Le ton était donné d'emblée !



Et puis finalement, non. Après avoir versé quelques larmes dès les premières pages (je suis ultrasensible, oui !), j'ai trouvé le reste de la lecture beaucoup plus fade que les précédentes, et j'ai parfois lu certains passages en diagonale, par ennui. Solveig m'a semblé être un personnage plus lisse que sa mère et sa grand-mère, toujours pleine de bon sens, voire un peu trop. J'ai moins accroché !

J'ai été déçue aussi de l'évolution de Mathilda, j'avais tant aimé son personnage dans le tome 2 ! Dans celui-ci, ces apparitions sont assez banales et ennuyeuses. Et j'ai également été moins emballée par la romance entre Jonas et Solveig, surtout suite à la découverte du pot aux roses. Enfin, la saga a droit à sa happy end, mais mon côté fleur bleue a été un chouïa heurté ! ;)



L'ancrage dans l'histoire reste cependant convaincant, et l'histoire de cette famille issue de la noblesse suédoise au fil du XXème siècle agréable à découvrir !

Suite du 1er tome, on se concentre ici sur Mathilda, la nièce d'Agneta qui parle à la 1ère personne et nous raconte sa vie et celle de son entourage. Une partie du livre se passe à Stockholm. On y trouve les fils d'Agneta, son mari et d'autres personnages secondaires. La vie du domaine est beaucoup moins présente que dans le tome 1, on parle peu des chevaux juste à l'occasion de balades à cheval ou de comptabilité. C'est une belle fresque familiale où nous sommes plongés dans la vie de cette famille et de leurs soucis.

Le temps de la quiétude est révolu au domaine de Löwenhof. Les femmes de la famille, maîtresses du domaine, croulent sous les factures et les impôts qu’il devient de plus en plus difficile de payer. Il est temps pour Solveig, malgré les drames qu’elle a pu vivre, de reprendre en main le domaine, et surtout, d’insuffler dans sa gestion une nouvelle dynamique plus moderne et adaptée à la société changeante. La jeune fille, future vétérinaire, parviendra-t-elle à sauver Löwenhof ?



Quel bonheur de retrouver les femmes Lejongärd dans ce troisième et ultime volet de la saga ! Après avoir suivi les aventures et la destinée d’Agneta, sa grand-mère, et de Mathilda, sa mère, ce tome 3 se concentre sur la jeune Solveig dont la survie du domaine pèse sur ses épaules. Un bel exemple de courage, et de résilience, car malgré son jeune âge, Solveig n’a pas été épargnée par la vie. Elle va pourtant redoubler de détermination et d’ingéniosité pour rendre au domaine sa réputation d’antan.



L’autrice mêle l’histoire de la famille Lejongärd, avec l’histoire de la Suède et plus largement de l’Europe : une Europe d’après guerre en reconstruction, qui avance vers le progrès technique, et où les automobiles remplacent peu à peu les chevaux … Il devient donc essentiel pour Löwenhof de se réinventer, le domaine vivant jusqu’ici de la vente de ses chevaux.



Encore une fois, la plume est fluide, et on ne voit pas défiler les pages. C’est pourtant une jolie petite brique de plus de 600 pages ! J’ai retrouvé avec plaisir les autres personnages de la famille que j’avais apprécié des les tomes précédents, Agneta notamment.



Une très jolie saga ! Une belle fresque familiale qui met à l’honneur des femmes fortes et déterminées !

Agneta, jeune fille de la noblesse suédoise a adhéré au nouveau mouvement féminisme qui se développe en ce début de XXè siècle. Elle a décidé qu'elle ne resterait pas au manoir en attendant le mariage. Non, elle va aller à la capitale, faire des études et décider elle-même de sa vie. Sauf que tout ne se passe pas toujours comme prévu... Rappelée au manoir suite à un drame, elle va devoir faire un choix sans renier ses principes !

C'est un roman qui se lit facilement, j'ai beaucoup aimé suivre ce qui arrive à Agneta, à sa famille, cela sur fond de 1ère guerre mondiale. C'est intéressant de lire comment elle arrive petit à petit à développer ses droits dans une société noble plutôt réfractaire au changement. Je vais lire la suite !

Pour les fans de sagas historiques, voici une suite de romans qui a tout pour plaire.

Dans ce tome 2 on retrouve les protagonistes du tome 1, mais quelques décennies plus tard.

Alors que le début tourne autour du secret de Mathilda, le récit continue à tourner autour de Löwenhof et de la Comtesse Lejongard.

De révélations en rebondissements, ce 2e tome nous tient en haleine jusqu'au bout.

Faut-il avoir lu le 1er tome? Je dirai que non. L'auteur a su continuer son histoire, sans que le 1er tome soit indispensable à avoir lu avant.

Bref, j'ai adoré le tome et j'ai hâte de retrouver mes aventures d'Agneta et Mathilda dans le 3e et dernier tome.

Dans ce troisième tome nous sommes en 1967, Solveig, 3ème héritière de Löwenhof a décidé de suivre des études vétérinaire avant de reprendre un jour le domaine familial. Mais alors que son avenir semble tout tracé un drame vient tout faire voler en éclats !

Tout en essayant de se reconstruire Solveig va comprendre que le domaine est au bord de la faillite et qu'elle va devoir prendre des décisions radicales pour le sauver et se sauver elle-même !



Et voilà il est temps de refermer cette saga historique suédoise ! 3 tomes, 3 femmes fortes que la vie n'a pas épargné et tout cela avec la grande Histoire en toile de fond. Tout pour me plaire sur le papier et effectivement j'ai adoré ! Des femmes fortes qui ne se laissent dicter leur conduite par rien ni personne, qui écoutent leur instinct et suivent leur conviction et leur cœur quitte à trébucher ! Bien sûr cest parfois un peu cliché, un peu mièvre ou prévisible mais... le mélange passe très bien et j'ai passé un excellent moment avec la famille Lejongärd ! Presque 70ans d'Histoire du monde, d'évolution de la société et de la femme au cœur d'un élevage de chevaux.

Plus j'en lis plus j'aime ces sagas historiques !!!

Vous l'avez lu/aimé ???

La suite de cette trilogie me convie à découvrir la vie de Mathilda, fruit des amours d’une domestique avec l’héritier du domaine.

Que dire ? C’est un roman agréable où la révélation de différents secrets familiaux interfèrent dans le quotidien et les choix des différents protagonistes.

L’histoire se déroule de manière presque prévisible. Dommage que le contexte historique soit si peu exploré avec la montée du nazisme en Europe et la seconde guerre mondiale dont la Suède a été préservée.

Le scénario de ce livre m’a paru « plat » et je suis restée « sur la touche »….

Le premier tome était prometteur, celui ci décevant.

Depuis qu'on a fait la connaissance d'Agneta, les années passent et nous nous retrouvons en 1967. Solveig, jeune étudiante pour devenir vétérinaire et fiancée à son avenir devant elle. Malheureusement, le destin en a décidé autrement et elle rentre chez elle avec ses rêves brisés. Elle va trouver du réconfort dans son haras avec sa grand-mère et sa mère. Mais les temps sont difficiles pour les propriétaires de cheveux avec l'industrie automobile qui se développe. Solveig, qui est tournée vers l'avenir et la modernité promet à sa grand-mère qu'elle ne vendra jamais le domaine. Va t-elle y arriver? Et va t-elle réussir à se reconstruire ?!



Ça y est, j'ai terminé cette incroyable saga 🥹. J'ai passé un excellent moment, du premier tome au dernier.

Dans ce dernier, j'ai fait la connaissance de Solveig et de sa meilleure amie Kitty, deux jeunes femmes pleines de vitalité et d'espoir. Je me suis beaucoup attachée à Solveig qui est douce, attachante et réfléchie. Elle est résolument tournée vers l'avenir et percute dessuite sur ce qu'il pourrait améliorer le domaine.

L'autrice nous dépeint à merveille la vie dans les années 1970, avec les difficultés et les progrès que les gens de cette époque pouvaient rencontrer. J'étais complètement immergée et je tournais les pages à une vitesse folle tellement je voulais savoir ce que l'histoire nous réservait. Il y a des rebondissements tout du long et une tempête d'émotions m'a envahie.

Beaucoup de belles valeurs sont présentes comme la résilience, le pardon, l'amour, l'espoir et la solidarité.



Bref, tu l'as compris j'ai passé un excellent moment de lecture et je conseille cette trilogie à 100%!!



Tu l'as commencé ?! Elle pourrait te tenter ?

Le roman idéal pour s'évader ne serait-ce que le temps d'une lecture. Enfin, il fait aimer les histoires d'amour bien évidemment. Quoi que, que l'on ne s'y trompe pas. Il ne s'agit ici pumas d'un roman à l'eau de rose. Loin s'en faut.



On y découvre ici la vie d'une femme du début du 20e siècle qui essaie par tous les moyens de gagner sa liberté. Liberté de vivre comme elle l'entend, liberté de penser, liberté de travailler, liberte de disposer de son corps, liberté d'adopter les conventions qui lui conviennent.

Tout cela, dans un environnement où les règles sont strictes et très peu encline à laisser aux femmes une voix au chapitre.



Agneta doit tout de même se plier à certains principes, mais tel le roseau, elle montre qu'il est possible de faire preuve de souplesse.



Au cours du récit, il y a deux ou trois moments où on voit clairement où l'auteur veut nous emmener, par exemple quand un personnage arrive subitement dans la vie d'Agneta. Mais cela n'est pas vraiment dérangeant.



La fin est plus surprenante. La façade que montre la mère d'Agneta se fissure et on y découvre un secret trop bien gardé.



J'ai hâte de me plonger dans la suite, tout en me disant de ne pas me précipiter. Le 1er tome compte quand même plus de 700 pages, et il faut tout de même un peu digérer tout cela.

Cette saga familiale se situe en Suède en 1913. On va suivre l’histoire d’Agneta qui pour vivre ses rêves de femme libre quitte le domaine familial.



Lorsqu’un drame arrive au domaine, celle-ci est obligée de s’y rendre. Elle devra faire face à sa mère avec qui elles ne s’entendent pas. Elles n’ont pas la même vision de la femme. Ce qui va créer pas mal de conflit.



Agneta va se retrouver héritière du domaine familial. Elle qui ne voulait que sa liberté et vivre de ses peintures, combattre pour le droit des femmes. La revoilà au domaine. Comment va t’elle faire pour gérer?



Agneta est moderne, féministe, audacieuse et courageuse. De l’amour, des trahisons, des secrets de famille vont pimenter l’histoire.

S’en sortira t’elle ?



J’ai bien aimé cette lecture, je pense que je lirais le tome 2.

Si vous aimez les sagas familiales comme : La villa aux étoffes ou encore Downtown Abbey, je pense que cette lecture pourrait vous plaire.

1913. Après une violente dispute avec ses parents, Agneta décide de quitter le splendide domaine de Löwenhof. Elle va commencer dès études et s'engager auprès des suffragettes. Un beau matin, un télégramme la rappelle au domaine, son père et son frère ont été victime d'un grave accident. Agneta va reprendre le domaine. Agneta va faire face à des choix alors qu'une guerre fait surface.



J'ai enfin découvert cette saga, après tout le monde.

Ce roman est un mélange d'histoire, de romance, de féminisme.

Le personnage d'Agneta est très avant-gardiste, progressiste, forte, courageuse.

Le récit est à la première personne ce qui rend le roman très immersif.

J'ai beaucoup aimé que les femmes soient mise en avant.

J'ai apprécié avoir le point de vue de la Suède lors de cette période tragique qu'est la première guerre mondiale.

Les personnages sont attachant, touchant, il y en a que j'ai détester en revanche.

La plume de l'autrice est fluide, addictive. Les chapitres sont court.

Hâte de lire le tome 2 qui est déjà dans ma pal.

Je recommande si il y a comme moi des personnes qui ne l'ont pas encore lu.



L'avez-vous lu ? Ou en êtes-vous dans la saga ?

C'est le premier tome d'une saga familiale comme on les aime. On a hâte de découvrir le destin de chacun. J'adore ces périodes annonçant les mutations obligées de ces grands domaines familiaux qui doivent faire face aux évolutions économiques et technologiques et le destin de ces femmes qui sont arrivées à s'imposer dans un monde d'hommes. Chacun doit s'adapter au progrès tant sur le plan humain que matériel. Très bon moment de lecture même si ça n'est pas à la "hauteur" de la saga des Cazalet ou de Downton Abbey

Quelqu’un peut me dire pourquoi j’ai attendu si longtemps avant de lire ce premier tome de cette saga ?



Bref j’ai rattrapée mon erreur, c’est le plus important, non ?



Une belle découverte, une lecture plaisante, prenante et immersive, le tout écrit avec justesse.



Une fresque familiale qui comporte son lot de secrets de famille, de choix, d’indépendance, d’émancipation, là où la noblesse et les convenances sont importantes.



Et que dire du personnage principal? Agneta est attachante, elle a une telle soif de liberté, d’amour envers sa famille,ses devoirs, elle sais faire face à ses dilemmes, malgré ses imperfections, elle est touchante de sincérité.



Un début de saga prometteur, familiale, historique, tout ce que j’aime.

C'est parti pour le premier tome de cette saga historique. Dans ce roman, nous faisons la connaissance d'Agneta, jeune aristocrate suédoise du début du 20eme siècle, qui a décidé de ne pas suivre les règles édictées par son rang et étudie l'art à Stockholm, au grand désespoir de sa famille. Malheureusement un évènement va la contraindre à revenir au domaine de Lowenhof et à faire un choix entre sa liberté et ses "devoirs" familiaux.

J'ai adoré ce personnage d'Agneta, pleine de convictions mais qui reste attachée à ses valeurs, à sa famille, à ses terres. Elle va tout faire pour prendre sa place dans ce milieu d'hommes.

C'est un roman qui nous montre les débuts de l'émancipation de la femme au début du 20eme siècle via les suffragettes notamment. Comment Agneta va-t-elle faire pour allier ses envies de liberté et ses devoirs familiaux ? Tout ne va pas être simple et elle va devoir faire des compromis.

C'est une lecture très agréable, je n'ai pas vu passer les 700 pages et c'est avec grand plaisir que je lirai le tome 2. Si vous aimez les sagas historiques et familiales, vous pouvez foncer.