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Critiques de Dan Abnett (327)
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L'hérésie d'Horus, tome 7 : Légion, secrets et ..

J'ai relu ce livre :au cœur de l’intrigue ,l’Alpha Légion tisse sa toile , en arrière-plan la Cabale manipule ses marionnettes, et le Chaos s’insinue dans les êtres et les choses… Qui garde les gardiens ? dans quelle toile est prise l’araignée quels tentacules enserrent l’hydre? Sur quelle musique danse le manipulateur ? Intrigue complexe , personnages attachants , aperçus cosmopolitiques voire métaphysiques voilà un roman bien dense . Très soigné dans les détails :les régiments de l’armée impériale se nomment-ils , Jokers,Danseurs,Carnaval par hasard ?
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Warhammer 40.000 - Titanicus : Les dieux du..

1. C’est la Gigantomachie à la sauce Warhammer 40K , c’est « Rage against the machine » par les machines elles-mêmes . Ce livre nous plonge dans le monde métallique du Mechanicum , ses usages , ses membres humains (plus ou moins) , ses engins(Warhound , Reaver ,Warlords) , ses stratégies .Donc grosses bastons mécanisées avec le talent pour les récits de bataille de Dan Abnett
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Les chroniques de Malus Darkblade, tome 4 :..

Et ça continue , encore et encore … Malus le traîtrissime recueille les objets magiques (rien moins que l’arme supposée du Dieu du meurtre !) pour son démon interne et moissonne les vies autour de lui ,en particulier celles de sa famille (un frangin de plus au tableau de chasse) .L’arbre généalogique subit une taille sévère. L’emprise du démon transforme le héros en superman et zombi alternativement. Ce volume offre un aperçu des mœurs ecclésiastiques chez les elfes noirs c’est du Borgia puissance mille. Tout de même cela devient un peu trop répétitif.
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Les chroniques de Malus Darkblade, tome 1 :..

J’avais trop de lu de livres « gentils » . Du coup , j’ai repris ce premier tome de la saga « Malus Darkblade » .Vu que ça se passe dans le monde médiéval-fantastique de Warhammer et chez les Elfes Noirs , pas de bisounours en vue ! Certes le trait est un peu forcé ,on est dans la surenchère de la méchanceté culturelle et de la trahison traditionnelle. Mais les aventures de Malus le bien nommé se laissent lire : à noter que ce personnage est le roi des victoires à la Pyrrhus : certes il gagne mais il perd systématiquement , du genre je me donne un mal fou pour récupérer une source de pouvoir mais je me fais posséder par un démon sardonique ! C'est du travail de pro ,Dan Abnett et Mike Lee sont de vieux routiers du genre.



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L'hérésie d'Horus, tome 19 - La Bataille de C..

Dans l’univers de Warhammer 40.000 un épisode de l’Hérésie d’Horus. Ce volume narre comment Lorgar tire vengeance de son frère Guilliman en détruisant l’une de ses planètes. L’histoire se scinde en deux parties ,la première pour mettre en place les personnages et la préparation de la trahison (un peu longue et lente à mon goût) .La seconde , beaucoup plus rythmée est consacré à la résistance désespérée des Ultramarines à leurs « frères » félons des Word Bearers . Quelques belles pages de batailles.
Lien : https://andre.chiaroni@wanad..
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L'hérésie d'Horus, tome 22 : Les ombres de la..

Un vingt-deuxième tome qui vaut surtout pour les deux nouvelles mettant en scène les Imperial Fists au cours de la bataille de Phall, et les Night Lords dans la campagne de Thramas.



J'ai surtout retenu cette dernière ("Prince of Crows", je ne sais pas quel est le titre retenu en français, l'ayant lu en VO), mettant en scène un Sevatar noble dans sa fourberie et chevaleresque au milieu des pourritures qui forment sa légion, au premier rang desquels son Primarque, Konrad Kurze.



Le divertissement est bien présent, et le format novella est décidément beaucoup plus agréable que le format roman, preuve qu'il n'y a pas besoin d'amener un événement pendant 450 pages pour le résoudre en 20...
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Warhammer 40.000 - Cycle d'Eisenhorn, tome ..

Premier récit d’une trilogie consacrée à l’Inquisition dans l’univers de Warhammer 40 000 . J’aime bien l’Inquisition (pas la vraie , mais celle de Warhammer ou des Monty Python) car chaque inquisiteur a son propre caractère et sa propre équipe aux pouvoirs diversifiés . Cela rend les récits plus intéressants. Gregor Eisenhorn raconte donc à la première personne une de ses enquêtes en plusieurs étapes .Qui commence chaudement (dans une glacière) par la mort d’un de ses collaborateurs et se poursuit par la recherche d’un artefact particulièrement néfaste et quelques massacres der Xenos et cultistes . Un détail : j’adore le glossia , son langage de bataille que je trouve délicieusement surréaliste.
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L'Hérésie d'Horus, tome 1 : L'ascension d'Hor..

J’étais , aux côtés de mon fils, un passionné de Warhammer (peinture de figurines , batailles épiques durant un week-end entier…) mais plutôt dans la version médiévale-fantastique ( armée de nains , mes préférés mais aussi d’Orques , Gobelin, empire, Hommes-lézards , elfes de tout poils…). A la base je suis plutôt méfiant sur les romans tirés de jeux de rôle qui m’ont souvent déçu. Or ma découverte de la saga « L’hérésie d’Horus » fut une agréable surprise car les histoires sont de qualité , souvent bien rédigées ( après ce n’est pas du Proust non plus !) et ouvrant des mondes de SF passionnants et un univers cohérent dans sa noirceur guerrière. Ce premier tome pose les bases en montrant la Grande Croisade à l’œuvre sous le patronage d’Horus qui a tout du bon élève de son maître l’Empereur . Mais peu à peu des interrogations viennent rompre ce consensus idyllique.
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Titans : The Lazarus Contract

Ce tome fait suite à Titans Vol. 2: Made in Manhattan (Rebirth) (épisodes 7 à 10 + annuel 1), à Deathstroke Vol. 3: Twilight (Rebirth) (épisodes 12 à 18), et au milieu de Teen Titans Vol. 2: The Rise of Aqualad (Rebirth) (épisodes 6,7, 9 à 11, 13, 14). Il contient l'épisode 11 de la série Titans, 8 de la série Teen Titans, 19 & 20 de la série Deathstroke, et Teen Titans: The Lazarus contract special 1, initialement parus en 2017, tous écrits conjointement par Christopher Priest, Dan Abnett et Benjamin Percy. L'épisode de Titans a été dessiné par Brett Booth, encré par Norm Rapmund et mis en couleurs par Andrew Dalhouse. L'épisode de Teen Titans a été dessiné par Phil Hester & Khoi Pham, encré par Wade von Grawbadger et mis en couleurs par Jim Charalampidis. Le numéro spécial a été dessiné par Paul Pelletier, encré par Andrew Hennessy et mis en couleurs par Adriano Lucas. La mise en page des épisodes de Deathstroke a été réalisée par Larry Hama, avec des dessins finalisés par Carlo Pagulayan, et un encrage de Jason Paz & Sean Pearsons, la mise en couleurs étant de Jeromy Cox.



Ravager (Grant Wilson) a attaqué les Teen Titans dans leur quartier général à Hatton Corners. Mais alors qu'il a eu le dessus, il s'est écroulé mort sur le sol, du fait du traitement qui lui avait permis de gagner ses superpouvoirs. Deathstroke avait surgi sur ces entrefaites et a tenu l'équipe des Teen Titans pour responsable. Au temps présent, Slade Wilson reprend connaissance dans un lit d'hôpital à Los Angeles, William Randolph Wintergreen l'ayant veillé pendant sa période d'inconscience. Ce dernier l'informe sur l'état de sa fille Rose et de son autre fils Joseph. Une heure plutôt à New York, les Titans (Nightwing, Tempest, Omen, Arsenal, Donna Troy et Flash) se battaient contre des agents de l'organisation criminelle HIVE. Mais alors qu'ils arrivent à les neutraliser, ils se rendent compte qu'il s'agissait d'une diversion, que ces criminels ne faisaient pas partie de HIVE et que Flash (Wally West) a été enlevé. Dans un endroit inconnu, Flash se retrouve à courir contre son gré dans une pièce dont il n'arrive pas à se faire une idée claire, soumis à des expériences douloureuses. Son geôlier finit par se faire connaître : c'est Deathstroke qui a un marché à lui proposer.



Flash (Wally West) refuse toute proposition de collaboration avec Deathstroke, ennemi de toujours des (Teen) Titans. Toujours prisonnier, il découvre avec stupeur que Deathstroke a également réussi à capturer Flash (Wally West des Teen Titans, version New 52). Slade Wilson avait réussi à nouer des liens avec lui dans le civil et il espère bien pouvoir le convaincre plus facilement que l'autre Wally West, celui des Titans. Il y a 6 heures à la Tour des Teen Titans, Robin (Damian Wayne) était préoccupé par le fait que Wally West (celui de leur équipe) ne donne pas signe de vie, inquiétude partagée par les autres membres de l'équipe TBD (Jackson Hyde), Beast Boy (Garfield Logan), Raven (Rachel Roth), Starfire (Koriand'r). Bien décidé à retrouver leur coéquipier, Robin avait décidé de confronter Nightwing (Dick Grayson) avec l'information que ce dernier avait passé un contrat avec Deathstroke. Cela aboutit à une rencontre tendue entre les 2 équipes Teen Titans et Titans sur le toit de la base de ces derniers à Manhattan. Mais quel but poursuit Slade Wilson ?



En 2018, le lecteur est bien en peine de pouvoir expliquer clairement l'état de la continuité dans l'univers partagé DC qui a été remis à zéro en 2011 à l'occasion de l'opération New 52 et qui a vu des éléments revenir de la période précédente au cours de l'opération Rebirth en 2016. Cet état de fait explique que deux individus appelés Wally West coexistent dans cette histoire, l'un datant d'avant New 52 et portant le costume de Flash (même si Barry Allen est également vivant et utilise le même nom, mais ne compliquons pas tout), l'autre datant de la période New 52 et se faisant appeler Kid Flash. Au cours du récit, il apparaît que Garth et Jackson Hyde se trouvent à peu de choses près dans la même situation de coexistence paradoxale. Mais là n'est pas l'enjeu du récit. Un crossover entre ces 3 séries relève presque de l'évidence puisque les Titans sont la version adulte des Teen Titans, et que Deahtstroke a été un des premiers ennemis des Teen Titans (version de 1980 par George Perez & Marv Wolfman). Il contient donc 5 épisodes dont l'intrigue est coécrite par les scénaristes des 3 séries correspondantes, la première page précisant que chacun d'entre eux a écrit les dialogues de sa propre série (Abnett pour Titans, Percy pour Teen Titans, Priest pour Deathstroke et le numéro spécial). Au final, Christopher Priest a donc écrit les dialogues de 3 épisodes sur 5 et l'impact le plus fort de l'histoire concerne Slade Wilson, rendant la lecture indispensable pour les lecteurs suivant sa série.



Dans la série débutée avec Deathstroke Vol. 1: The Professional (Rebirth), Christopher Priest s'est attelé à dresser un portrait psychologique très sophistiqué du personnage principal, tout en le faisant évoluer. Il y a fort à craindre que les lecteurs des séries Teen Titans et Titans éprouvent quelques difficultés à cerner tous les enjeux pour Slade Wilson s'ils ne suivent pas la série Deahtstroke. En outre, l'écriture de ce scénariste comporte des caractéristiques qui peuvent demander un temps d'adaptation pour être en phase avec sa narration. Néanmoins l'enjeu devient assez rapidement explicite : Slade Wilson souhaite utiliser la connexion et les pouvoirs d'un Flash pour accéder à la Force de Vélocité et retourner dans le passé afin de sauver son fils Grant Wilson. Cet objectif constitue la dynamique du récit. Ce tome commence par l'épisode des Titans d'Abnett & Booth. Ce dernier est égal à lui-même avec des dessins très énergétiques, évoquant la débauche d'énergie des années 1990, mais avec des qualités de production des années 2010, en particulier en ce qui concerne les effets spéciaux à l'infographie (très réussis pour l'énergie crépitante autour de Flash), des anatomies moins gonflées à l'hélium, et un désintérêt affiché pour les décors. Dan Abnett écope de la mission de mettre en place les différents éléments de l'intrigue. Il lui reste un peu de temps pour les 6 membres des Titans mais pas assez pour les présenter, juste pour qu'ils exposent les informations nécessaires à l'intrigue. Il doit faire en sorte de présenter la situation de Slade Wilson de manière à la rendre compréhensible, ce qui est une tâche ardue au vu de la structure de sa série. Il s'agit d'un bon prologue, mais qui ne permet pas de s'investir dans les personnages si le lecteur ne les connaît pas avant.



Vient ensuite l'épisode des Teen Titans de Benjamin Percy & Phil Hester avec Khoi Pham. Les dessins baissent de plusieurs degrés dans la force brute à toutes les pages, pour revenir dans une narration superhéros plus classique, et plus axée sur l'histoire que sur l'épate. Le lecteur apprécie la capacité des artistes à rendre compte de la fierté et de l'assurance de Damian Wayne, mêlé avec une forme de gestion très directive, en totale cohérence avec sa personnalité. Il peut éventuellement regretter des effets spéciaux, moins flamboyant que dans le premier épisode. Le scénariste bénéficie des éléments exposés par Dan Abnett et sait faire ressentir la personnalité de Wally West (version new 52), ainsi que la différence de caractère entre Robin et Nightwing. Il réussit à se couler dans le moule de Christopher Priest pour les relations entre le même Wally West et Slade Wilson, convainquant le lecteur de la manière dont Wilson réussit à embobiner West.



Les 3 épisodes suivants ont donc été finalisés en termes d'écriture par Christopher Priest, ce qui en fait du coup des épisodes de la série Deathstroke, plus que les autres. Le lecteur retrouve la narration visuelle un peu sèche et factuelle de Larry Hama et Carlo Pagulayan pour les 2 épisodes de Deathstroke, avec une importance plus grande donnée aux personnages en civil. La composante comédie dramatique du récit devient plus importante que dans les épisodes précédents. Les dessins donnent plus une impression de reportage et de moments pris sur le vif, ce qui fait d'autant mieux ressortir les comportements et les déclarations sortant de l'ordinaire. Les scènes d'action disposent de l'énergie nécessaire. Paul Pelletier relève le défi de l'épisode qui rassemble les personnages des 3 séries, à savoir les 6 membres des Teen Titans, les 6 membres des Titans, Deathstroke et Ravager. C'est un exercice de style en soi que de mettre en scène un tel nombre de superhéros tout en conservant une bonne lisibilité, et une bonne identification de chaque personnage. Sans être extraordinaires, les pages de Pelletier remplissent leur fonction avec professionnalisme.



Tout en intégrant les idées et les fils narratifs spécifiques aux séries Teen Titans et Titans, Christopher Priest peut poursuivre son portrait de Slade Wilson en continuant dans la direction de la série. Il y a fort à parier qu'un lecteur de la série Teen Titans ou de la série Titans restera déconcerté devant les références de la série Deathstroke, que ce soit la relation entre Wintergreen et Wilson, la combinaison Ikon, ou encore l'histoire du mariage d'Étienne et Jericho. Pour le lecteur de la série, c'est un vrai plaisir que de replonger dans cette tapisserie complexe enserrant les personnages sans leur laisser beaucoup de latitude de mouvement, avec Slade Wilson disposant toujours de 3 coups d'avance, mais lui aussi pris dans la gangue de son histoire personnelle. Cette histoire constitue une phase essentielle de son évolution, indispensable dans le récit, en rien gratuite.



Ce tome constitue un crossover entre 3 séries, sur la base de l'histoire des Teen Titans qui ont combattu Deathstroke dès 1980. Les scénaristes respectifs des 3 séries concernés se sont concertés pour une coordination exemplaire, avec une modalité d'écriture qui assure à la fois la cohérence des 5 épisodes, et leur intégration parfaite dans chacune des séries mensuelles. Les pages des différents dessinateurs ne présentent pas toutes les mêmes caractéristiques, mais les scénaristes savent mettre à profit leurs points forts. L'histoire en elle-même a plus de sens pour les lecteurs de la série Deathstroke, que pour ceux des séries Teen Titans et Titans, même si elle a aussi des répercussions sur elles. L'histoire de Deathstroke se poursuit dans Deathstroke Vol. 4: Defiance (Rebirth) (épisodes 21 à 25).
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L'hérésie d'Horus, tome 7 : Légion, secrets et ..

Dernière des légions à rallier l'Empereur, L'Alpha Legion nous est présentée à travers ce 7ème tome. C'est aussi l'occasion de découvrir l'armée impériale et son fonctionnement.



Sans fioriture, Dan Abnett nous bouscule directement dans les rangs de l'armée impériale, en pleine guerre sur la planète Nurth. Avec d'innombrables termes pour décrire la hiérarchie au sein de l'armée, de nombreux personnages au noms variés et une intrigue qu'il faut arriver à décripter dès le début, l'auteur est assez avare en explication et c'est assez destabilisant.



Au fil de l'histoire, on découvre aussi le fonctionnement de l'Alpha Legion et de son (ses) Primarque(s), qui font figure d'exception au sein des Astartes. Le style de l'auteur dépeint assez bien l'ambiance d'espionnage, de complot et de secret qui caractérise cette légion. Mais l'intrigue va un peu dans tous les sens, de petits paragraphes passent d'un groupe de personnage à un autre, ce qui impose un rythme au récit, mais rend parfois confus le fil de l'histoire.



On découvrira donc assez peu de protagonistes de l'Alpha legion, mais encore une fois, les agissement et le choix final de celle-ci la rende très intriguante et suscite un réel interêt pour son implication dans la suite des évènements . Du coté de l'armée impériale, on suivra particulièrement le seigneur commandant et quelques personnages marquants de la Chiliade 52, impliqués, eux aussi, dans le complot. Malheureusement, j'aurais eu, jusqu'à la fin, beaucoup de mal à discerner l'un ou l'autre de ces personnages de l'armée... j'aurais préféré plus de développement sur moins de protagonistes pour être un peu moins perdu.

C'est d'ailleurs ce que fait l'auteur avec le personnage de John Grammaticus, espion de la Cabale. Cette espion est très bien développé, avec une histoire passionante et une implication majeure jusqu'à la fin du récit.



Enfin, cette fameuse Cabale permettra de faire le lien avec l'Hérésie d'Horus (oui parce qu'on est là pour ça, à la base), l'implication des Eldars, qui, on l'avait déjà vu dans le tome 6, essayent d'avertir l'Humanité de la guerre à venir et le rôle du Chaos dans tout ça, qui se fait assez discret ici (pas de tentacules sortant d'un autre univers ou de putréfaction bubonnante, désolé).



Un tome assez particulier donc, qui se concentre essentiellement sur l'armée impériale et non pas sur une légion Astartes et dont le style adopté par l'auteur peu être perturbant pour comprendre et accrocher à l'histoire.
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Journey Into Mystery/New Mutants: Exiled

Ce tome contient l'épisode spécial "Exiled 1", New Mutants 42 & 43, et Journey into Mystery (en abrégé JiM) 637 & & 638, parus en 2012. Il fait suite à The terrorism myth (épisodes 632 à 636 de JiM) et De-animator (épisodes 38 à 41 de New Mutants). Les scénarios sont de Kieron Gillen (scénariste de JiM) et Dan Abnett & Andy Lanning (DnA en abrégé, scénaristes de New Mutants) qui ont écrits ensemble les 5 épisodes.



L'histoire s'ouvre avec 2 pages expliquant qui sont les 13 Disir : essentiellement les Valkyries de Bor, le père d'Odin. Le lecteur assidu de Thor les a déjà rencontrées dans Thor ultimate collection (les épisodes 604 à 614 de la série Thor écrits par Kieron Gillen) et présentes dans la série Journey into Mystery depuis Fear Itself fallout. Puis le récit passe au temps présent : les New Mutants se sont installés à San Francisco. Ils sont épiés par un étrange voisin qui prend peur en voyant Leah apporter un chiot aux New Mutants (événement trouvant sa source dans "The terrorism myth"), puis en ouvrant sa porte pour découvrir Danielle Moonstar effectuant une visite de courtoisie. Cela déclenche des conséquences extraordinaires qui font que Thor et les 3 Guerriers (Fandral, Hogun et Volstagg), Hela et les New Mutants (Warlock, Sunspot, Magma, Cypher, Dani et X-Man) se retrouvent au même endroit avec des conséquences désastreuses. Et puis il y a Mephisto qui entend bien obtenir réparation de Loki.



Kieron Gillen explique dans son blog que cette histoire était l'occasion pour lui de raconter l'histoire des Disir en bonne et due forme. Elle s'adresse donc avant tout à ceux qui suivent les aventures de Loki dans JiM, ou qui avaient croisé les Disir dans les épisodes de Thor écrits par Gillen. D'ailleurs dans les 3 derniers épisodes, DnA et Gillen reprennent le dispositif déjà employé dans JiM : l'un des personnages narre le début de l'aventure comme s'il s'agissait d'une histoire mythologique, ce qui accentue la ressemblance de forme avec les aventures de Loki. Les New Mutants semblent presque des invités de luxe dans leur propre série, même si la fin réserve une modification de taille pour la situation de l'un d'entre eux. Le récit se focalise donc sur l'histoire des Disir, et leur devenir du fait de la réapparition du mystérieux personnage observant les New Mutants au début. Le lecteur aura le plaisir (ou la corvée) de plonger aux tréfonds de la mythologie asgardienne, jusqu'à Bor, le père d'Odin. Il se délectera des machinations ourdies par Loki qui menacent de s'écrouler sous leur propre poids à chaque nouvel événement (ou au contraire il n'en aura cure) jusqu'à l'invitation pour la cérémonie de mariage.



Les 5 épisodes sont illustrés par un seul et unique artiste : Carmine di Giandomenico, avec une mise en couleurs d'Andy Troy. Il utilise une mise en page qui repose sur 4 ou 5 cases par page en moyenne, avec des pics jusqu'à 8 par page, et de rares pleines pages. Il varie sa mise en page en fonction de la scène à dessiner passant aussi bien de 5 cases verticales de la hauteur de la page, à 5 cases horizontales de la largeur de la page. Il utilise un style plutôt réaliste, sans exagérer l'anatomie de tous les personnages. C'est ainsi que Danielle Moonstar conserve sa silhouette longiligne à la sensualité si particulière. Ses cases comportent une bonne densité d'informations visuelles, parfois à la limite de la surcharge. Mais c'est aussi cet aspect qui donne plus d'ancrage au récit. Par exemple la première vue intérieure de la cuisine des New Mutants permet au lecteur de découvrir le style de chaise, et l'aménagement de la cuisine intégrée. Fandral est très chic dans son costume de ville et Volstagg est énorme (évidemment) sous son tablier de pâtissier.



Di Giandomenico est tout aussi à l'aise quand il s'agit de dessiner les éléments propres à la mythologie asgardienne. La manifestation de la nature de valkyrie autour de Dani est très bien rendue par les effets spéciaux de la mise en couleurs. Le domaine de Mephisto possède une voie pavée d'yeux du plus bel effet. Les armures asgardiennes possèdent cette patine due à l'âge, à la fois grâce à un ou deux traits de crayons indiquant l'usure, et les couleurs insistant sur les parties un peu usées. Di Giandomenico s'approprie sans aucune difficulté les caractéristiques des vêtements asgardiens tels qu'ils ont été conçus par Olivier Coipel lors de la relance de la série Thor en 2007. Il combine à la fois la dimension mythologique et la dimension heroic fantasy.



Si vous êtes venu à ce tome par le biais de la série New Mutants, il est vraisemblable que vous n'y trouverez pas votre compte dans la mesure où ce minicrossover est surtout dévolu à la mythologie d'Asgard (même s'il est toujours agréable de voir cet aspect là de Danielle Moonstar prendre le dessus). Si vous y êtes venus par le biais de la série Journey into Mystery, vous serez satisfait de découvrir toute la vérité sur les Disir, leur histoire et leur devenir. Vous serez réconforté de voir que le jeune Loki a conservé toute son habilité de manipulateur, mais lui aussi se met au service de l'histoire des Disir, tout en disposant de plus de temps d'exposition que les New Mutants. Ces derniers continuent leurs aventures dans Fight the future (épisodes 44 à 50 de New Mutants). Loki poursuit ses espiègleries dans The Manchester Gods (épisodes 639 à 641 de Journey into Mystery, et Thor annual 1).
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Les Fantômes de Gaunt - Cycle 3, tome 2 : Son ..

Dans Le Traître, le précédent opus des Fantômes, Gaunt avait été envoyé avec la crème de ses hommes sur la planète Géréon, occupée par le Chaos depuis des années. Dans Son dernier ordre, ils reviennent ; mais le Premier et Unique de Tanith a été refondu avec le 81ème des Belladons du commandant Wilder.



Le Traître ne m'avait pas convaincue. Il portait trop au pinacle les Tanith ; au fur et à mesure de leurs aventures, Dan Abnett s'est tant attaché à eux qu'il ne résiste plus à la tentation d'en faire des super-héros, ceux qu'on attend partout et tout le temps, ceux qui font la différence et voient les choses au-delà de leurs apparences. Or, c'était leur humanité, leurs faiblesses et leur côté fragile qui me les avaient rendus attachants. Je n'adhère pas au mythe du surhomme.



Son dernier ordre poursuit logiquement dans la même veine. Gaunt, Rawne, Criid et les autres sont revenus après des mois et des mois passés sur Géréon. Ils en reviennent métamorphosés, endurcis, marqués par l'épreuve. Soit. Mais il y a eu un bond dans le temps ; et je n'ai pas lu les aventures douloureuses de ces mois passés. Dan Abnett est un génie quand il s'agit de l'action avec un grand A, mais il ne sait pas décrire le difficile cours du temps qui passe. J'ai senti le hiatus entre les deux tomes. Les Taniths éprouvés de Géréon m'ont laissée de marbre. Pire : j'avais une sacrée envie de leur fiche des claques. Oui, j'oubliais de le dire, je n'aime pas non plus les héros qui se la jouent meurtris par la vie. Surtout lorsque ce sont des surhommes.



Résultats : mes personnages préférés étaient les petits nouveaux. Ludd et, surtout, Wilder. Mais Dan Abnett n'en démordra pas, ses héros sont Gaunt et la poignée de ceux qui formeront le dernier carré jusqu'au dernier volume de la série.



Bref, une lecture en demi-teintes qui n'est pas à la hauteur, selon moi, des premiers tomes de la série.
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Rocket Raccoon & Groot: The Complete Collec..

Une aventure totalement psychédélique (imaginez une planète-asile-de-fou où des usines de jouets s’entre-tuent à coup de clowns mécaniques et de bombes-bananes... et ça n'est que le début) avec les dessins d'un Mike Mignola qui n'a pas encore développé le style expressionniste de Hellboy, mais qui dresse déjà des décors fabuleux et des personnages hauts en couleurs (criardes, eh oui, c'est les années 80).

Le scénario m'a rappelé les délires de Judge Dredd et de Lobo. Et en prime il permet d'avoir une explication de l'origine de Rocket Racoon (même si ça n'est pas la seule).

En bonus, une petite histoire avec Groot, plus récente mais tout aussi cinglée.

ATTENTION : Existe avec deux couvertures différentes, ne l'achetez pas deux fois !
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Les Gardiens de la Galaxie, tome 1 : Héritage

Se situant après l'arc Annihilation, ce tome démarre alors que les Gardiens deviennent un vrai groupe. Les personnages se sont rencontrés précédemment sans vraiment devenir "Les Gardiens de la Galaxie". Je conseille quand même de regarder le film avant, ou de lire le Marvel Now qui leur est consacré (et qui est une très bonne introduction au film) - ou carrément d'avoir lu les premiers comics dans les années 70.

L'action prime toujours, et c'est très science-fictionnel, avec des emprunts à Dune et des ambiances qui rappellent Riddick (les Necromonger), les Méta-Barons et Warhammer 40 000.

Il vaut mieux également être habitué au style Marvel, avec ce que ça implique d'arcs entrecroisés, de Skrulls inflitrés, de dimensions parallèles et de lignes de temps emberlificotées.

Au milieu de tout ça, les Gardiens sont toujours aussi géniaux, fun et bourrins ! Le groupe est ici très étendu, avec en prime Cosmo, mais malheureusement peu de Groot.

Je lirais avec plaisir la suite, pour replonger dans cette ambiance de space-opera extrême et rentre-dedans !
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Zone de guerre

Zone de guerre est un roman de science-fiction militaire intelligent. Intelligent car il ne se contente pas, loin de là, de juxtaposer des scènes d’action dopées à l’adrénaline. Grâce au personnage de Lex Falk, correspondant de guerre blanchi sous le harnais et quelque peu blasé, Dan Abnett scrute le traitement de l’information en temps de guerre. À l’instar de Dominique Wolton dans son War Game, il questionne les modes de désinformation et la légitimité de la rétention d’information par les autorités politiques et militaires. Sauf que Zone de guerre nous projette dans un futur où les hommes ont colonisé l’espace. Plus d’une centaine de systèmes planétaires sont désormais sous le contrôle de l’humanité, partagée en deux camps hégémoniques : l’Unité de Statut (US) et le Bloc. Ces appellations ne sont pas innocentes, renvoyant respectivement aux anciens États-Unis et Bloc soviétique. La guerre froide s’est donc prolongée et a pris la forme d’une guerre économique pour le contrôle et l’exploitation des différentes ressources stratégiques, concurrence qui se double d’une course à la colonisation des lunes et des planètes. Accrédité par le Bureau d’Implantation (BI) pour réaliser un reportage sur la planète Quatre-vingt-six, Lex Falk va vite sentir qu’il y a anguille sous roche. Tout simplement parce qu’on ne la fait pas à l’envers à un vieux de la vieille comme Lex Falk. Contrairement à ce que (...)
Lien : http://leslecturesdares.over..
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Warhammer 40.000 - Ravenor, tome 3 : Révélati..

Quelle fin de trilogie !!!

Ravenor au bout du rouleau, de l'énergie et j'en passe. Toute son équipe se cache des informations, n'ose pas révéler ses secrets et cela fera les éclater au bout du bout.

Quelle rythme et quelle maîtrise des destinées l'auteur nous présente dans cet opus.

Avec en invités surprises nos chers amis les insectoïdes tyranides, sublime.

Les seuls regrets sont les pirouettes pour sortir parfois ses personnages des pires situations dans lesquels il les a mis. Il expédie en un dialogue un bordel qui aurait pu être une partie à lui tout seul.

Bref, j'espère retrouver ces fadas d'inquisiteurs très vite. Une nouvelle rencontre Heisenhorn-Ravenor me comblerait de joie.
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Warhammer 40.000 - Ravenor, tome 1 : Rencon..

Un must-read de la SF c'est sur !!!

J'y retrouve tout ce que j'aime. des personnages typés, des mondes très bien décrits, une ambiance pesante, des vaisseaux spatiaux, des monstres, une enquête policière rondement bien mené. Que demander de plus ?

Alors oui, effectivement, c'est mieux de lire la trilogie Eisenhorn avant pour ne pas être perdu. Et si vous ne connaissez pas l'univers Warhammer 40 000, prévoyez-vous d'un accès internet pour comprendre comment fonctionne ce beau bordel. Mais à part ça... quel kif. Je l'ai dévoré en deux jours.

Ravenor, ancien protégé de l'inquisiteur Eisenhorn, a le malheur d'avoir le corps physique détruit à 95%. Mais heureusement que son cerveau fonctionne, car il est un puissant psyker ( sorte de mage du futur capable de contrôler à distance des personnes, télékinésie, mentaliste...). Il enquête sur l'apparition d'une drogue sur un monde ruche ( planète aux milliards d'habitants difficile à contrôler, dont la grande majorité est pauvre et se démerde pour survivre). Avec son équipe constitué d'anciens chasseurs de primes, d'acrobates et autres fadas de la tête, le voici en plein milieu des emmerdes qui l'emmèneront sur plusieurs mondes et lieux étranges.

Bordel, si vous aimez la SF qui castagne, avec des bonnes descriptions et que l'engouement immense autour du futur grimdark warhammer 40 000 ne vous fait pas peur, foncez !!!
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La Fin et la Mort, tome 3

Enfin!

L'immense saga littéraire de la genèse de l'univers de science-fiction Warhammer 40 000.

plus de 60 romans et recueils de nouvelle pour arriver à cette conclusion, cet affrontement entre l'empereur et son fils, le premier retrouvé, l'archi-traître Horus et la fin du siège de Terra.

Comment conclure une si longue épopée, où plusieurs auteurs ont développé leurs personnages et essayé d'apporter leurs pierres à l'édifice ?

Tout d'abord, le choix d'avoir laissé Dan Abnett, auteur du premier tome était la meilleure solution, on retrouve ainsi une sorte de fin fin de boucle avec un retour aux personnages du tout début, et cela est vraiment agréable.

De même, l'affrontement final et fatidique nous tient en haleine et est agréable à suivre, la présence de trois guerriers dans la salle de l'affrontement Horus vs Big Emp apporte de la diversité aux points de vue. Et assister à la création de la légende d'Oll Personn est un des moments que j'attendais le plus.



Après, il reste plusieurs soucis:

- certains arcs manquent d'informations, comme le retour à la raison des bloods angels après avoir été atteints par la fièvre jaune ou bien les difficultés d'Abaddon à rejoindre la cour d'Horus. Enfin, le départ de Perturabo est très, voir trop vite expédié au début et nous laisse un goût d'amertume.. tout comme il nous manque des informations sur le départ d'Arhiman, Fulgrim et de leurs troupes... bref J'attends presque un roman ou plusieurs romans qui se passeraient juste après, pour narrer les évènements de "la purge", cette chasse aux démons et aux traîtres qui fuient Terra après la mort d'Horus et l'arrivée de Guilliman. Il reste à Black Library plusieurs évènements à conter pour clore le 30 000 millénaire, à savoir la fin de la première ère des primarques et de leurs disparitions ( je ne dis pas mort car qui le 41 000 apporte actuellement son lot de surprise ).

- On peut lire à la fin une note de l'auteur où il essaye d'expliquer certains choix stylistiques et leurs significations...ah. Ben loupé car je n'avais pas identifié ce qu'il essayait de faire car pas de style assez marqué. C'est bien dommage.

- Ensuite, en lisant sur des forums de grands fans de Warhammer, j'ai identifié que la communauté a identifié lors de dialogues ou de narrations des phénomènes non-dits importants pour le futur du l'univers. Des vrais fans car moi je n'avais rien vu. Ou plutôt, le fait que ce manque de qualité littéraire est juste compensé par cet imaginaire excellent de cette histoire.



Pour conclure, malgré ses défauts, ce dernier tome du siège de Terra fait le travail et clôture l'une des plus grandes sagas de Space Opéra jamais réalisés, au sein d'un univers sans limites.

je vais pouvoir aller plus sereinement m'attaquer aux tomes uniques ou autres sagas warhammer 40 000 qui m'intéressent, Cain, Ravenor, Gaunt et autres mort en sursis de l'univers du 40ème millénaire.





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Légion, Tome 1 : La légion des damnés

Quand j'ai trouvé cette bande dessinée je m'attendais à lire une histoire sur le fils du professeur Xavier, le mutant légion mais non, c'est plus vieux et ça parle plutôt d'une légion de Super-héros.



Le Légion des Super-Héros a été fondée au troisième millénaire par le philanthrope R.J. Brande, qui réunit Cosmic Boy, Saturn Girl et Lightning Lad sous une même bannière. Les trois membres fondateurs du plus grand groupe de super-héros de l'histoire donnèrent à la Légion son impulsion première et ses lettres de noblesse.

Plus tard, Lightning Lad devint Live Wire, et de nombreux membres vinrent grossir les rangs de la Légion, parmi lesquels Triade, Chameleon, Apparition, Violet ou encore Brainiac 5. Ensemble, ils assurent la sécurité des planètes unies, évitent les guerres et apportent la prospérité.



Mais aujourd'hui, la paix est menacée. Des vagues d'énergie déferlent des différentes Portes stellaires. D'abord à la porte 4897, puis à la porte 237, près de Xanthu. Et dans le ciel de Braal. Et la vague se répand sur Aelph, Winath, Korzo 5, Rimbor, Loberzia...



Et quand Live Wire, XS et Shvaughn Erin descendent à la surface de la Terre, ils trouvent des villes en ruine et trois membres de la Légion des Super-Héros possédés par une entité inconnue.

Le carnage commence.



Et c'est là que tout commence. J'avoue avoir lu ce comics très rapidement, cependant je n'ai pas apprécié ma lecture bien que le comics soit d'une grande qualité. Si je retombe sur la suite je pense l'acquérir, mais sans conviction.
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Justice League : Anthologie

Cette anthologie de la justice league est une pépite à mettre entre toutes les mains, amateur comme fan de comics. Il saura faire plaisir à tous, car il permet la découverte et les évolutions de l'équipe la plus connue des super héros, bien qu'avengers a depuis repris le dessus avec son univers cinématographique porté par Disney.



J'ai adoré lire et relire les aventures les plus marquantes de l'équipe de chez Dccomics. Bien que j'avais connaissance de certaines histoires, je me suis laissé emporter par la relecture de celle-ci, et j'ai pu découvrir certaines pépites dans l'évolution de la ligue des justiciers.

Étant donné que les histoires sont en sommes toutes très différentes, il est difficile pour moi de faire un commentaire plus poussé. Chaque histoire a ses points faibles et ses points forts, selon le style, l'époque et la maturité du scénario.



Dans tous les cas, je me répète, c'est un livre à mettre entre toutes les mains.
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