AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Dan Abnett (330)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Suicide Squad, tome 2 : La loi de la jungle

Après un très bon premier tome, qui posait de solides bases, nous retrouvons nos super-vilains adorés pour de nouvelles missions !

Si j’ai au début été un peu sceptique en lisant les premières pages, j’ai vite changé d’avis : on retrouve bien Deadshot, King Shark, El Diablo et compagnie tels qu’on a appris à les connaître, prêts à en découdre ! Leur première mission remet les bases en place, le lecteur récupère ses repères. Mais surtout, les auteurs sèment des éléments nous signalant qu’une tempête approche, que ça ne va pas être simple pour nos méchants héros. Et surtout, des choses se trament, on le voit bien, mais on ne sait pas quelle est la finalité de tout cela.

Jonglant entre une intrigue bien ficelée, accrocheuse, et l’action qui pète du feu de dieu (eh bien oui, vraiment), jonglant aussi entre notre équipe de super-vilains de la Suicide Squad et Amanda Waller, instigatrice de cette unité, nous en apprenons toujours un peu plus, et il est finalement assez difficile de décrocher de notre lecture une fois le premier chapitre passé.

Bien que je ne la porte pas dans mon cœur, j’ai aimé en savoir plus sur Amanda Waller, la découvrir autrement qu’à simplement donner des ordres : cette fois, elle frappe, et elle fait mal. Je suis contente qu’on apprenne à mieux la connaître – j’en viens presque à l’apprécier, faut dire !

Ce deuxième opus de Suicide Squad est aussi l’occasion de faire la connaissance d’un nouveau méchant – ou plutôt d’un groupe de méchants : Basilisk. Chose que j’ai noté, c’est que Basilisk est bien intégré au récit, et on a presque l’impression de les connaître depuis un moment déjà (alors que, personnellement, je le découvre).



La loi de la jungle est dans la lignée du premier tome : un très bon moment de lecture, avec toujours de beaux dessins, de la baston, des vilains qui sont vraiment méchants mais qui font ce qu’il faut pour survivre, retrouver leur liberté, tout en se posant des questions. Le récit est dynamique. Et puis on découvre une Amanda Waller au top de sa forme, qui devient presque attachante (presque, hein, il ne faudrait pas exagérer non plus), et une envie encore plus forte de lire la suite !
Lien : https://malecturotheque.word..
Commenter  J’apprécie          30
Suicide Squad, tome 2 : La loi de la jungle

Il y a toujours autant d'action, avec de nombreux retournements de situation.

L'intrigue d'Harley Quinn est un peu en suspens au profit d'Amanda Waller et de l'origine de la Suicide Squad.

Sans être le comics ultime, ça se lit avec plaisir.
Commenter  J’apprécie          30
Les Fantômes de Gaunt - Cycle 3, tome 3 : L'Ar..

Abnett retrouve dans ce dixième tome consacré aux Fantômes le ton incisif et sans concession qui m'avait subjuguée au départ de la série. Ici, pas de panégyrique de dieux immortels, mais la guerre, dans son horreur cruelle, dans son absurdité impitoyable, dans ses brefs moments d'héroïsme, aussi.



Dalin Criid, le fils adopté de Tona et de Caffran, la personnifie. Il est ici l'un des acteurs principaux de l'assaut donné à la planète Géréon, souvenez-vous, celle qui garda captifs pendant dix-huit mois Gaunt et une dizaine d'autres entre les volumes 1 et 2 du cycle. Criid n'est encore qu'un bleu parmi d'autres (même si c'est un bleu doué et bien appris) et il va passer l'épreuve du feu dans des combats particulièrement atroces. Il a attendu ce moment toute sa vie, parce qu'il voulait imiter ses parents, des soldats d'élite dans une unité elle-même d'élite ; mais il va apprendre que la guerre, c'est beaucoup de sang, de boue, de cendres. Que la guerre, c'est beaucoup de sacrifices et qu'on n'en est pas remercié puisque c'est le devoir de tout garde impérial. L'opposition entre le commissaire Sobile et le sergent Kexie montre cependant la limite entre l'autoritarisme imbécile et la discipline militaire.



De leur côté, les Fantômes menés par Gaunt auront leurs propres missions à mener... Et, avec eux, c'est l'autre versant d'une occupation longue et d'une guerre sale qu'on découvrira : désillusions de n'être pas accueillis comme des héros (au contraire, comme des ennemis), de ne libérer que trop tard une population exsangue, de découvrir au-dessus de soi que l'intérêt passe largement avant la sincère solidarité humaine...







Du grand Abnett.
Commenter  J’apprécie          32
L'Hérésie d'Horus, tome 1 : L'ascension d'Hor..

Je découvre cet univers vaste après que l'on me l'ai recommandé autour de moi. Un peu troublé au départ, je me suis laissé prendre et suis soucieux de connaître la suite.
Commenter  J’apprécie          30
Warhammer 40.000 - Ravenor, tome 1 : Rencon..

On a connu Dan Abnett plus inspiré... Il ne s'est pas cassé trois neurones dans cette aventure de Ravenor, l'ancien disciple d'Eisenhorn.



Si les aventures de l'inquisiteur Eisenhorn, corrompu à son insu par le Chaos, étaient un superbe feu d'artifices, celles de Ravenor font bien pâle figure. Le fait que le malheureux soit cloué dans une "chaise" roulante n'y est pour rien ; le psyker est suffisamment puissant pour emprunter ses jambes et ses muscles à n'importe qui. L'intrigue elle aussi n'était pas inintéressante. Ravenor enquête sur les flects, une espèce d'objets de contrebande qui provoque des hallucinations et des transes extatiques chez ceux qui les utilisent, . Il y avait là matière à une belle plongée dans les milieux les plus divers de 40K.



Mais c'est dans le traitement que cela pèche. Un prologue dont on a peine à faire le lien avec le reste du roman ; une première partie poussive, très, trèèèèès longue à se mettre en place ; attention, ça décolle ensuite et... vlan, après une scène survoltée où ça tire et ça explose dans tous les sens, Dan Abnett se sort de la panade dans laquelle il s'est mis par une pirouette scénaristique. Monsieur Abnett ! Vous, le roi des rebondissements échevelés mais ingénieux, étiez-vous ce jour-là tellement en panne d'inspiration ?



Ajoutez à cela une traduction qui donne envie de s'arracher les yeux pour les jeter en obole aux Puissances de la Ruine. Je m'en vais lire un autre Abnett pour oublier celui-là, tiens...
Commenter  J’apprécie          33
Rocket Raccoon & Groot: The Complete Collec..

Ce tome contient un extrait de "Tales to astonish" 13, un extrait de "Marvel preview" 7, "Incredible Hulk" 271, la minisérie en 4 épisodes "Rocket Raccoon", les parties de "Annihilators" 1 à 4 consacrées à Rocket Raccoon et Groot, ainsi que celles de "Earthfall" 1 à 4. Ces épisodes correspondent aux origines et premières apparitions de Rocket Raccoon et Groot, ainsi qu'à leur première aventure en commun, en dehors des Gardiens de la Galaxie.



-

- Groot (7 pages, scénario de Larry Lieber, dessins de Jack Kirby, encrage de Dick Ayers, 1960) - Un soir, Leslie et sa femme rentre chez eux en voiture et voit un étrange phénomène céleste. Peu de temps après, Leslie découvre une créature géante absorbant les arbres en elle et belliqueuse.



Cette histoire s'inscrit dans la production industrielle d'histoires de monstres en tout genre de l'époque, avec de dessins compétents de Kirby, mais pas encore débridés. Il s'agit bien des origines de Groot, encore qu'il soit capable de s'exprimer en phrases entières (pas comme par la suite). Il s'agit donc d'une vieillerie qui se laisse lire par curiosité, digeste du fait de sa brièveté. 3 ou 4 étoiles en fonction de la curiosité du lecteur.



-

- Marvel preview 7 (18 pages, scénario de Bill Mantlo, dessins et encrage de Keith Giffen, noir & blanc, 1976) - Dans l'espace, un prince esseulé est obligé d'atterrir sur une planète inconnue, épaulé seulement par Alkinos, l'intelligence artificielle sarcastique de son vaisseau.



Un jeune Ketih Giffen réalise des dessins très détaillés et très compétents, même s'ils manquent un peu d'originalité. Bill Mantlo se moque doucement de ce prince grandiloquent. Cet épisode est inclus dans le présent recueil car il rencontre un raton laveur qui parle et qui manie une arme à feu, avec un humour sarcastique. Il s'agit d'un épisode facile à lire, même s'il s'agit du deuxième consacré à ce prince. Il s'agit également du dernier. 3 étoiles.



-

- Incredible Hulk 271 (22 pages, scénario de Bill Mantlo, dessins de Sal Buscema, encrage de Bob Sharon, Jim Novak et Al Milgrom, 1982) - Hulk reprend connaissance sur une planète inconnue (peu en importe la raison). Rocket Raccoon et Wal Rus sont en train de l'observer. Hulk se relève et commence par défoncer un robot menaçant avec des pinces tranchantes.



Bill Mantlo introduit les personnages de la minisérie à suivre : Rocket Raccoon (dans sa forme définitive de cette époque), Wal Russ son compagnon d'arme (un morse qui parle), Lylla (une loutre), Judson Jakes (une taupe), Pyko (une tortue), les robots qui construisent un vaisseau spatial en forme d'humanoïde géant, la mystérieuse bible indéchiffrable, les clowns tueurs, etc. La narration est encore un peu infantile comme à l'époque, mais il est possible d'apprécier l'inventivité de la création, même si ces différentes pièces (animaux qui parlent & robots clowns tueurs) font un drôle de mélange.



Les dessins de Sal Buscema sont clairs et efficaces, mais assez laids, avec une gamme d'expression faciale très limitée. 3 étoiles pour l'inventivité.



-

- Minisérie Rocket Raccoon (4 * 22 pages, scénario de Bill Mantlo, dessins de Mike Mignola, encrage d'Al Gordon, sauf épisode 3 encrage d'Al Milgrom, 1985) - Le constructeur en chef de jouets du quadrant Keystone est assassiné à son atelier. Lord Dyvyne (un serpent) embauche Rocket Raccoon (aidé par Wal Russ) pour identifier et capturer l'assassin, vraisemblablement dépêché par Judson Jakes, le rival de Dyvyne dans la fabrication de jouets. Ces derniers servent d'objet thérapeutique pour les aliénés humains, principaux résidents de la planète. Ces derniers s'apprêtent à célébrer le rituel de la Grande Mascarade, mais la Bible du demi-Monde (leur livre sacré) a été dérobée par Pyko.



Bill Mantlo a donc obtenu des responsables éditoriaux, l'autorisation de réaliser une minisérie dédiée à Rocket Raccoon. Le lecteur retrouve l'amalgame étonnant entre ces animaux qui parlent (certains avec douce fourrure), une forme de science-fiction (une planète extraterrestre, une technologie avancée, des robots, un mur autour de la planète, etc.), toujours des robots clowns tueurs, et une improbable histoire de planète servant d'asile psychiatrique pour malades mentaux.



D'un côté, la narration destine ce récit plutôt à des enfants ou de jeunes adolescents. En particulier la guerre des 2 fabricants de jouets repose sur une logique peu compréhensible, qu'il s'agisse de leur aspiration à se faire payer les jouets alors qu'il n'y a pas d'argent sur cette planète, ou de l'enjeu lié au mariage de Lylla, alors que son meurtre permettrait de s'affranchir de cette contrainte. De la même manière, la composante liée aux malades mentaux relève uniquement du divertissement qu'il s'agisse de cette étrange bible psychiatrique, ou du mode de guérison quasi magique (des casques guérisseurs). Le principe de la planète asile rappelle d'ailleurs fortement l'intrigue de l'épisode 5 de "Marvel premiere" écrit par Steve Gerber (voir The power of Starhawk).



D'un autre côté, le lecteur se laisse facilement emporter par ce conte inventif et drôle, avec ces animaux mignons qui parlent. Ce divertissement doit une partie de son attrait aux dessins réalisés par un Mike Mignola débutant. Un lecteur familier de ses travaux pourra détecter quelques prémices de ses futurs choix esthétiques, mais il ne s'agit que de simples frémissements. À l'époque, Mignola dessine encore dans une veine figurative. Il s'avère qu'il trouve un juste équilibre entre le côté mignon de certains animaux, la joie de vivre des aliénés, les trouvailles visuelles à mi-chemin du conte et de la science-fiction. Il introduit quelques exagérations (les sourires des clowns par exemple) qui renforcent l'aspect conte pour enfant, en dédramatisant les situations. Al Gordon réalise un encrage minutieux et détaillé, qui se marie bien avec les dessins détaillés de Mignola.



Avec cette minisérie, le lecteur découvre les origines de Rocket Raccoon (encore assez éloigné du personnage des années 2010), dans un monde un peu farfelu, assez cohérent, fournissant un bon niveau de divertissement, rehaussé par des dessins sympathiques présentant une personnalité le distinguant de l'ordinaire des superhéros. 4 étoiles.



-

- Rocket Raccon & Groo (4 * 22 pages, scénario de Dan Abnett et Andy Lanning, dessins et encrage de Timothy Green II, 2011) - Après avoir fait partie des Guardians of the Galaxy (avec Groot, voir Legacy et suivants), Rocket Raccoon s'est retrouvé au chômage. Il a fini par accepter un emploi de distributeur de courrier au sein d'une grande entreprise, sur une planète extraterrestre. Il s'ennuie ferme. Voilà que contre le règlement intérieur, il reçoit un colis qui lui est adressé et qui contient un clown tueur. Après l'avoir détruit, il constate qu'il est fabriqué en bois de la planète X, la planète d'origine de Groot. Il laisse tout tomber et se rend sur la planète X.



Après la dissolution de l'équipe des Guardiens de la Galaxie (voir The Thanos imperative), Dan Abnett et Andy Lanning (en abrégé DnA) créent une équipe de gros costauds (voir Annihilators) et obtiennent le droit d'écrire une aventure pour le tandem Rocket Raccoon & Groot, publiée tête-bêche dans le même comics. Ils décident d'adopter un ton plus décontracté, de conserver les réparties moqueuses de Raccoon, le mode d'expression réduit de Groot (il ne dit qu'une seule phrase "I'm Groot" dont le sens provient des modulations et des intonations, seul Raccoon le comprend).



La scène d'ouverture est très drôle, avec un humour qui fait mouche pour les adultes. Par exemple l'employeur explique à Raccoon qu'il n'a été embauché que pour remplir les quotas obligatoires d'animaux mignons parlants (une minorité bénéficiant d'une discrimination positive).



L'intrigue réserve bien des surprises (la situation sur la planète X ne correspond pas aux suppositions de Raccoon), emmenant le duo jusque sur la planète du quadrant Keystone (voir la minisérie de Rocket Raccoon de 1985). DnA n'oublient tout ce que leur inspiration doit à Jim Starlin : ils intègrent Barry Bauman (Strar Thief, voir Warlock by Jim Starlin, the complete collection). Ils intègrent également les éléments de la minisérie de 1985, en en donnant une version plus adulte et plus noire.



Ces épisodes sont dessinés par Thimothy Green II, avec une approche détaillée, et une vraie sensibilité pour l'expressivité de ces animaux mignons. Green II trouve le juste milieu entre un aspect rigolo, et un des mouvements vifs et gracieux. Ses dessins sont à l'unisson de la tonalité de la narration : de l'aventure pour le divertissement, avec un bon niveau d'inventivité et de l'humour. Green II s'avère moins à l'aise lorsqu'il s'agit de représenter des humains normaux.



Sans être inoubliable, cette histoire prouve qu'Abnett et Lanning sont de bons artisans, sachant utiliser à bon escient les richesses de l'univers partagé Marvel, pour réaliser une aventure originale et rapide, sans prétention. 4 étoiles.



-

- Rocket Raccoon & Groot (4 * 5 pages, scénario de Dan Abnett et Andy Lanning, dessins et encrage de Timothy Green II, 2011) - Rocket Raccoon et Groot ont été enlevés et promus de force comme vedettes de leur propre série télé, produite par Mojo (un ennemi récurrent des X-Men et d'Excalibur, voir par exemple New Mutants classic 6).



Pour la deuxième série des Annihilators, le duo Rocket Raccoon & Groot n'a eu droit qu'à 5 pages par épisode. DnA réalisent un récit bref et parodique, avant tout axé sur l'humour. Thimothy Green II est toujours aussi à l'aise pour représenter ces 2 personnages (même si Groot est peut être un peu trop anthropomorphe), avec des exagérations faisant ressortir le côté comique. 3 étoiles pour un récit rigolo, vite lu, vite oublié.
Commenter  J’apprécie          32
L'hérésie d'Horus, tome 15 : Prospero brûle, ..

J'ai passé un bon moment à lire ce roman, bien que je rejoigne Dazboness sur les quelques longueurs que l'on peut y trouver. Le point de vue est particuliers, celui d'un personnage impérial complètement extérieur au chapitre et à Fenris. Cela rend le tout intéressant.



Par contre, en tant que joueuse de Space Wolves dans le JDR Deathwatch, j'ai d'abord abordé ce roman comme un recueil d'information sur le Vlaka Fenryka. Et franchement, de ce point vu, j'ai été très enthousiasmée de la façon dont le roman est écrit. Certes, cela traîne en longueur, mais j'ai dévoré le roman pour essayer d'en apprendre toujours plus sur l'histoire et les traditions du Chapitre. Pour moi, cela compense les quelques longueurs liées au passage de la vie de l'Upplander.
Commenter  J’apprécie          30
Massacre à la tronçonneuse

Suite directe de l'excellent remake en film " Massacre à la tronçonneuse " de Marcus Nispel ( La fille qui coupe le bras de Leatherface et tue Hoyt témoigne de ce qu'elle a vécu et le FBI enquête dans cette ville de bouseux ) ce comics contient tous les éléments pour passer un bon moment !

On reste totalement dans l'esprit du film, les dessins sont très bons, les persos charismatiques, le scénario sans faille et l'ambiance angoissante à souhait.

Pour tous fans d'horreur et surtout de ce film, un pur bonheur !
Commenter  J’apprécie          30
Les Fantômes de Gaunt - Cycle 1, tome 3 : Necr..

" Depuis prés de dix millénaires, l'Humanité porte la guerre à travers l'univers pour atteindre l'accomplissement d'un rêve : voir tous les mondes réunis sous la domination de l'Empereur-Dieu qui règne depuis sons trône d'or de Terra, maintenu vivant par des procédés technologiques aujourd'hui oubliés. (...) "



Retrouvez la suite de cette chronique sur le blog e-maginaire...
Lien : http://emaginaire.canalblog...
Commenter  J’apprécie          30
Warhammer 40.000 - Les Frères du Serpent

Probablement le meilleur livre sur les Space Marines.



On y découvre à quel point les Space Marines sont surhumains : autant durant les scènes de combat (l'une d'entre elles rappelera les Thermopyles) que dans les relations qu'ils ont avec les êtres humains.
Commenter  J’apprécie          30
Les chroniques de Malus Darkblade, tome 1 :..

Ce roman fait partie de la série dédié à un elfe noir... Après les Gardiens de la forêt où vous côtoyez les elfes (les gentils), un roman, le début d'une série, traite des elfes noirs (les méchants). L'histoire est assez intéressante mais le réel attrait de ce roman est l'immersion dans l'univers des elfes noirs. Un univers cruel où la violence et la peur sont les maître-mots.
Lien : http://skritt.over-blog.fr/a..
Commenter  J’apprécie          30
Warhammer : Les Cavaliers de la Mort

Ce roman nous fait découvrir deux soldats de l'Empire durant l'invasion des forces d'Archaon. L'un est vraiment un personnage antipathique mais au fur et à mesure de l'histoire, on va se prendre d'amitié. Dans ce roman, l'un des deux soldats est recueilli par les cavaliers de la mort, des cavaliers de la steppe, alors que le second soldat se fait faire prisonnier par les ennemis de l'Empire... C'est l'un des meilleurs roman de la série... Il y a beaucoup d'héroïsme, de combats épiques et l'histoire reste très intéressante... J'ai vraiment pris beaucoup de plaisir à le lire.
Lien : http://skritt.over-blog.fr/a..
Commenter  J’apprécie          30
Warhammer 40.000 - Ravenor, tome 2 : Renais..

Quel tome, encore meilleur que le premier.

Ce sont des trilogies que Dan Abnett écrit autour de ses inquisiteurs. Et si vous avez commencé, comme moi, par Eisenhorn, c'est parfait. Chronologiquement tout d'abord, mais surtout qualitativement !! L'enquête de l'inquisiteur Gideon Ranevor reprend là ou elle s'était arrêté à la fin du tome un pour continuer de plus belle !!!

car quel enquête, quels méchants !! Quel monde-ruche !!!

Je me suis plongé tout entier dans cette investigation grimdark cyberpunk à la sauce warhammer 40 000.

Et j'ai adoré suivre également les vilains de l'histoire. Les voir essayer de mettre en place leurs plans machiavéliques est toujours un grand plaisir haha.

Mais Ravenor et sa clique sont toujours dans les parages pour gâcher leurs fêtes.

le seul petit bémol que je retrouve dans les œuvres de Dan Abnett sont les fins. Trop rapides, avec des cliffhangers mal amenés, un dénouement final qui tombe à l'eau par manque d'explication et une dernière page qui arrive trop vite. Ce n'est pas la première fois que je note ça.

Mais quelle histoire de Science-fiction les amis. Sublime !!
Commenter  J’apprécie          20
Marvel Gold, tome 4 : Les Gardiens de la Ga..

Ce récit fait partie de l'opération 2023 lancée par Carrefour en collaboration avec les éditions Panini Comics.

Le but, proposer dix titres Marvel au prix imbattable de 3,99€ unité pour 240 pages de récit.

Cela fait maintenant 5 ans que Carrefour propose ce genre d'opération (6 si 'on compte la première collection qui comptait alors 8 titres au lieu de 10 et était dans un format plus petit).

A noter que pour la première fois, augmentation du prix du papier oblige, cette collection est passée de 2,99€ à 3,99€. Mais pour 240 pages, cela reste imbattable et il serait bête de passer à côté.



Quatrième tome de la collection, ce volume est consacré aux Gardiens de la Galaxie. Et je dois dire que je l'ai trouvé moins bon que les précédents.

Déjà, il faut dire que si j'aime les Gardiens de la Galaxie au cinéma, la version comics ne m'intéresse pas des masses...

De plus, si nous avons affaire à plusieurs récits dans ce volume, la majeur partie met en scène une équipe de Gardiens qui n'est pas la composition que l'on connait au ciné et cela n'aide en rien à ce que je puisse apprécier... Si c'est Dan Abnett qui oeuvre sur cette partie et que son run sur les Gardiens est réputé comme étant l'un des meilleurs si ce n'est le meilleur. Et si j'ai adoré son annihilation ou annihilation conquest, dans les épisodes présent ici, ça n'a pas fait mouche.



Pour la suite, ce sont des épisodes de Bendis, et la encore, les épisodes présent ici ne sont pas bien folichons.

Tout d'abord, nous avons une foultitude de petits numéros mettant en scène les Gardiens un à un, ces épisodes sont tous plus anecdotiques les uns que les autres.

Et enfin, nous terminons par un numéro spécial "Guardians of the Galaxie meets the Avengers" petit crossover sympa mais qui ne casse pas des briques non plus.



Vous l'aurez compris, si je n'ai pas spécialement passé un mauvais moment de lecture, je n'en aurais pas passé un très bon non plus. Mais n'étant de base pas fan de l'équipe présentée, je n'étais pas le meilleur client pour apprécier le volume.
Commenter  J’apprécie          20
L'Hérésie d'Horus, tome 1 : L'ascension d'Hor..

Une excellente introduction.

Bon il faut reconnaître que c'est un roman plus facile à lire si l'on est déjà familiarisé avec l'univers Warhammer 40 000. On ne sera pas ainsi perdu dans les références. Cependant, pour les novices, on prend ses marques petit à petit.

Dan Abnett pose ici les bases d'une saga qui va durer longtemps. Une mission particulière donc, dont il se sort particulièrement bien grâce au choix des personnages et de leur points de vue respectifs sur l'Homme qui nous intéresse plus que tout, le grand, l'immense Horus. Pas le dieu, juste le fils génétiquement créé de l'Empereur de l'Humanité.

Ici, on nous explique comment, par des rencontres fortuites et des manipulations, Horus va petit à petit développer de devenir calife à la place du calife, enfin sous une version plus radicale et plus violente. Mais rien de spécifiquement énoncé encore dans ce premier tome, il n'y a que des murmures et des prémices. Ce qui en fait toute la beauté et le plaisir.
Commenter  J’apprécie          20
Suicide Squad, tome 2 : La loi de la jungle

Et hop, on prend (presque) les mêmes et on recommence pour un deuxième tome. Vu le nombre élevé de morts (mais, on le rappelle, toujours dans les troisièmes couteaux), le casting de l’équipe spéciale X évolue régulièrement. Les têtes d’affiches, Deadshot et Harley, restent néanmoins présentes et les missions ne changent pas vraiment d’un tome à l’autre. Il s’agit, cette fois, de démanteler l’organisation Basilik. En apparence rien de compliqué pour nos super vilains plus ou moins repentis. Mais la situation se complique car un traitre a infiltré la Squad pour dégommer Amanda Waller, la grande chef.

Ce deuxième tome ne surprend guère quoique les scénaristes multiplient les petits rebondissements pour maintenir l’intérêt. Parfois le lecteur se laisse prendre, parfois ce côté "cliffhange" parait un peu forcé. L’humour fonctionne cependant agréablement, King Shark ayant la manie de dévorer ses coéquipiers par exemple. Le problème du premier tome demeure: trop de personnages pour que les scénaristes puissent réellement développer leurs interactions. Par conséquent Deadshot reste le personnage le plus travaillé et assure la responsabilité de l'équipe. De son côté, Harley joue encore une fois à la foldingue vaguement nympho, ce qui amuse un temps mais finit par lasser. Les intrigues assument leur côté « bis qui tâche » sans craindre de verser dans l’outrance mais ce qui divertit à petite dose peut vite conduire à l’indigestion. Une fois encore, le tout ne parvient pas à assumer réellement le côté déjanté et outrancier des prémices. On demeure donc dans une pseudo provocation assez anodine et inoffensive, du trash tout public.

Les dessins, confiés à une palanquée de dessinateurs assez passe-partout, dépassent rarement une honnête moyenne. A l’image de la série dans son ensemble ils partent dans tous les sens. Un peu de comédie, quelques touches caustiques, de l’action à profusion, de la violence « décomplexée », une Harley sexy comme une moto rutilante : tout ça ne vole décidément pas bien haut. Comme pour le volume précédent, le cliffhanger final encourage néanmoins à poursuivre une aventure certes divertissante mais trop anecdotique pour susciter une réelle adhésion. Une lecture sans prétention mais revisiter la série d'un bloc en montre toutefois les limites criantes et le côté répétitif.


Lien : http://hellrick.over-blog.co..
Commenter  J’apprécie          20
The Horus Heresy Primarchs : Les fils de l'..

Les Fils de L'Empereur



Les Fils de l'Empereur est une anthologie de huit nouvelles (heureuse coïncidence : )), chacune se focalisant sur un Primarque (dans l'ordre : Sanguinius, Konrad, Vulkan, XXX, Perturabo, Angron, XXX et Horus).



Comme souvent avec les recueils de nouvelles, toutes ne sont pas de la même qualité, mais toutes ont le mérite d'apporter un nouvel éclairage sur les forces en présence, mais aussi d'humaniser certains personnages, ou, au contraire, de renforcer le côté salopard d'autres.



Voici un bref synopsis de chaque nouvelle :



Un Ange Passe

Avant l’Hérésie. Nous accompagnons Sanguinius avant un assaut planétaire particulièrement difficile. A tel point que les Destroyers et leurs terribles armes au Phosphex doivent être déployés. Cette débauche de destruction en arrive à faire douter le Primarque quant au bien-fondé de la Grande Croisade et des moyens mis en place pour pacifier les mondes.



Le Gouffre Abyssal

Avant l'Hérésie. Un ancien pilote réaffecté aux archives de la VIIIe Légion se rend compte qu'un rapport de mission les impliquant avec les Thousands Sons est manquant dans ses archives, mais pas dans les leurs. Après la lecture accablante du rapport de la XVe Légion, il décide de mener sa propre enquête pour comprendre ce qu'il s'est passé.

Après avoir rejoint le Nightfall, le vaisseau amiral des Night Lords, ce sera Sevatarion, le 1er Capitaine, qui viendra lui apporter les réponses qu'il demande. Mais comme toujours, la vérité demande un sacrifice.



La Compassion du Dragon

Avant l'Hérésie. L'Empereur arrive sur Nocturne, et tente de convaincre Vulkan de rejoindre la Grande Croisade. Ce dernier hésite, car il se considère comme un artisan et non comme un chef de guerre. L'Empereur va lui expliquer en quoi il est différent des autres Primarques.



L'Ombre du Passé

Pendant l’Hérésie. L’histoire se déroule sur Sicarus, une planète conquise par les Word Bearers sur laquelle un groupe de Légionnaires est chargé de gérer la construction d’édifices. Rapidement, les Word Bearers vont mourir un par un, tués par une « ombre ». Pensant que les esclaves ont invoqué un démon, les survivants vont demander de l’aide à Lorgar pour gérer cette menace surnaturelle.



L'Architecte de l'Empereur

Avant l’Hérésie. Dans cette nouvelle, nous suivons un couple de biographes chargés d’écrire les biographies des Primarques. La nouvelle les amène sur Olympia, le monde de Perturabo. Au fil de leur recueil d’information et de témoignages concernant le Primarque, le duo va commencer à se diviser : l’un voulant relater et consigner la vérité, aussi laide soit-elle, là où l’autre ne souhaite garder et embellir que la « Vérité Impériale ».



Prince de Sang

Pendant l'Hérésie. Après avoir été trahis et abandonnés par les Word Bearers, les World Eaters ainsi que l'équipage se trouve en proie au Conqueror, mutant sous l'influence d'Angron. Cette nouvelle met une nouvelle fois en scène Khârn et Angron dans la soute du Conqueror. La relation (ou son absence) qui lie Angron à sa Légion est développée plus en profondeur. Nous y apprenons également pourquoi la Légion va se vouer à Khorne.



L'Ancien Attend

Après l'Hérésie. Un mystérieux signal est capté par Magnus le Rouge. Celui-ci va dépêcher un groupe de Thousand Sons pour en localiser la source et en apprendre le plus possible. Leur périple les amènera sur une planète désolée où ils rencontreront un vieux frère qui attend sa vengeance.



Aberrant

Avant l'Hérésie. Les Sons of Horus sont chargés de pacifier un système, et tout se passe sans encombre. Lorsqu'une poche de résistance humaine est décelée, Sejanus est envoyé pour résoudre le conflit. Alors que l'affrontement s'éternise, le Maitre de Guerre vient en personne lui prêter main forte contre un ennemi qui n'est pas ce qu'il prétend être.



J'ai pour ma part beaucoup aimé le Gouffre Abyssal (pour la dualité des idées Konrad/Magnus), L'Architecte de l'Empereur (pour la vision de la propagande Impériale), le Prince de Sang (pour l'écho à « Après Desh'ea » et l'amour d'un fils à son père) et L'Ancien Attend. Même si cette dernière est dispensable et inutile, j'ai passé un bon moment à la lire. Le reste n'a, au final, que peu d'intérêt.

Commenter  J’apprécie          20
Warhammer 40.000 - Cycle d'Eisenhorn, tome ..

Un sacré final pour cette trilogie (qui n'en est plus vraiment une car un quatrième tome est sortie il y a quelque temps).

Un vrai plaisir de retrouver notre inquisiteur préféré et toute sa suite.

Son changement depuis le premier tome de la série est assez radical (si je puis me permettre un jeu de mot ^^)

De l'action et des rebondissements. Dans cette conclusion Eisenhorn va être acculé face a un ennemi très puissant et plein de ressource. Il devra utiliser tout les moyens à sa disposition pour se battre quitte a perdre certains de ses amis.
Commenter  J’apprécie          25
L'hérésie d'Horus, tome 27 : Imperium Secundu..

Imperium Secundus, ou Unremembered Empire en V.O., est la suite directe de Vulkan est vivant (Vulkan Lives), et poursuit les évènements de la Croisade des Ombres (Word Bearers Vs. Ultramarines) qui trainent depuis une vingtaine de tomes, de la quasi inabordée Croisade de Thramas (Dark Angels Vs. Night Lords, cf. Prince of Crows dans le recueil Shadows of Treachery), et dans une moindre mesure, ceux de Signus Daemonicus.



Révélons d'emblée le pot-aux-roses: la couverture ment, et Sanguinius n'arrive dans cette histoire que dans les 10 dernières pages, en guise d'épilogue.



On retrouve ici un Guilliman confronté à la Tempête de Ruine,, incapable de contacter Terra, qui de son point de vue pourrait fort bien avoir déjà été détruite par Horus. Il adopte alors une démarche rationnelle: préserver l'Imperium à partir de l'empire Ultramarine, les 500 mondes, au risque de donner l'impression d'une sécession et donc d'une trahison contre l'Empereur. Il se dote même d'un atout phénoménal: une sorte d'astronomican, le Pharos, qui guide les vaisseaux perdus dans l'immatérium vers Ultramar.

Quelques péripéties lancent le début de l'histoire et voient arriver pêle-mêle des rescapés d'Istvaan, Alexis Pollux des Imperial Fists, des Space Wolves, et même une armada complète de la légion des Dark Angels, avec à sa tête le Lion lui-même. Ainsi que Konrad Curze, traqué à bord du vaisseau amiral Dark Angel.

On retrouve très rapidement aussi Dantioch, des Iron Warriors que tout le monde avait probablement oublié, ainsi que Vulkan, dont on apprend que la chute finale dans le roman précédent s'est déroulée sur Ultramar. Pourquoi, comment, les voies obscures du scénario ne le révèleront pas, mais la plume de Dan Abnett permettra de faire oublier les voies mystérieuses du Warp... Enfin, John Grammaticus est lui aussi de la partie, avec la fulgurite.



Autant dire que ça donne un roman dense, où les temps morts sont assez rares, et ma foi, ça se lit comme on boit du petit lait. Mention spéciale aux passages où Konrad Curze se déchaine littéralement sur Ultramar: les fans de Night Lords adoreront voir leur primarque décrit autrement que comme un primarque brisé et fou.



Ce 27e tome qui marque la moitié de la série de l'Hérésie d'Horus est aussi clairement un tome pivot qui devrait permettre de relancer plusieurs arcs narratifs, notamment à propos des Salamanders.



En bref, un chouette moment de lecture entre deux bouquins plus sérieux, qui s'est laissé dévorer avec plaisir en une poignée de soirées seulement.
Commenter  J’apprécie          20
Wild's End, tome 1 : Premières lueurs

Enfin une version française ! Ce titre la méritait bien !

Sorte d'adaptation de La Guerre des mondes se déroulant dans les années 1930, le lecteur va suivre un petit groupe de personnages qui vont tenté d'échapper à l'invasion d'étranges créatures mécaniques qui crament tout sur leur passage. De quoi prouver, en plus, que non, les personnages anthropomorphes ne sont pas l'apanage des récits pour enfants. Ce titre de science-fiction, ou d'anticipation, propose du contenu supplémentaire entre chaque chapitre (articles de presse, cartes, ou notes prises par l'un des protagonistes). De quoi prolonger l'aventure ! en attendant, on relira le premier tome pour patienter jusqu'au second, dans quelques mois en VF.
Commenter  J’apprécie          20




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Dan Abnett (801)Voir plus

Quiz Voir plus

Ravenor, un homme, une équipe, un univers

Quel est le métier/statut de Ravenor?

Space Marine
Chasseur de prime
Inquisiteur
Empereur

10 questions
8 lecteurs ont répondu
Thème : Warhammer 40.000 - Ravenor, tome 1 : Rencontres de Dan AbnettCréer un quiz sur cet auteur

{* *}