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Citations de Danièle Flaumenbaum (66)


Le nom, lui, enracine la petite fille dans la filiation. Porter le nom du père est dans notre culture le seul témoignage que la père puisse faire à sa fille de l'avoir conçue avec un homme autre que ceux de ses lignées à elle. Mieux, comme cela est possible de nos jours, avoir le choix de porter le nom de son père et celui de sa mère inscrit qu'on est bien issu de deux lignées. Mais si rien n'est dit à la petite fille des origines parentales de la filiation et si elle ne porte que le nom de sa mère, elle peut se construire dans la croyance que sa mère l'a faite seule, qu'elle n'est que son prolongement, ce qui la contraint à rester emboitée en elle et à croire qu'il n'y a pas besoin d'homme pour reproduire la vie.
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La petite-fille a également besoin de savoir qui, de son ère ou de sa mère, a choisi ce prénom, et si celui-ci est chargé de signifiants particuliers. Par exemple, avec Sylvie (si elle vit) ou Renée (re-née), il faut se demander si l'enfant n'a pas été conçue inconsciemment en remplacement d'un autre. La psychanalyse transgénérationnelle montre en effet que ces prénoms sont souvent donnés en souvenir d'un enfant mort qui l'a précédée dans sa fratrie ou dans les générations intérieures.
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L'enfant porte un prénom qui lui donne une identité familiale et sociale. C'est avec ces on, cette vibration particulière qui constitue le prénom que, chaque jour, le bébé entend ses parents s'adresser à lui et s'occuper de lui. C'est ce prénom avec lequel on l'interpelle en permanence qui le conduira à dire "je". Raconter à la petite-fille l'histoire de son prénom n'est pas inutile.
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... la nouvelle génération de pères est d'emblée dans sa fonction complémentaire de la mère. Avec ou sans haptonomie, les pères prennent contact très vite avec leur enfant, et c'est ce qui compte. Ils inscrivent des mémoires directement avec leur enfant. Du coup, la fmmes qu'ils aiment se trouve dégagée de la toute-puissance du maternel.
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Fondamentalement, [l'haptonomie] introduit la présence active du père dans le déroulement de la grossesse. La femme n'est plu s seule avec son enfant. avec le père, la dynamique de la triade soulage la femme de la puissance des liens du "couple mère-fille".
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Les mycoses, les vulvites, les vaginites, les cystites, les salpingites, les ovarites et les pyélonéphrites proviennent toutes d'un surplus du feu qui se manifeste par des inflammations du sexe et de l'appareil urinaire. Toutes ces maladies témoignent d'un dysfonctionnement du corps féminin qui provient d'un manque d'éducation sexuelle. Ces inflammations sont le témoignage énergétique de l'absence d'informations sexuelles dans laquelle les femmes ont été élevées.
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En Occident, on dit : "J'ai la vie devant moi." Les Chinois disent : "La vie nous habite." En ce sens, les mycoses, comme toutes les maladies récidivantes de la femme, signalent que le sexe n'est pas habité par la vie et ignore comment l'être.
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Instruire son sexe de sa fonction de plaisir

Tant qu'un sexe de femme n'est pas informé de sa fonction de plaisir, il ne sait pas être vivant.
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J'ai moi-même mis longtemps à le comprendre, mais lorsqu'une maladie résiste à toutes les formes de médicaments et revient périodiquement, il faut faire appel à d'autres conceptions de l madie et du soin : ne pas considérer la maladie comme un ennemi à combattre, mais comme un enseignement qui signale que l'on doit reprendre en main le volant de sa vie.
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Dans les cas de maladies récidivantes, votre mycose est en même temps l'expression d'une série de questions (Qu'est-ce que c'est que cette histoire d'irritations du sexe ? Pourquoi ai-je toujours des mycoses ? Pourquoi ai-je une mycose lorsque je désire un homme ?), le signal de quelque chose que vous ignorez (Je ne savais pas que mon sexe ne m'appartenait pas et qu'il était toujours arrimé à ceux des femmes de ma famille), et l'invitation à faire quelque chose pour vous en sortir (Je ne savais pas que j'avais tout un travail à faire pour être heureuse d'être une femme).
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Si l'homme aime la femme, c'est qu'il trouve en elle ce que son corps physique ne lui a pas permis de développer. Faire l'amour n'est pas seulement pour lui se planter dans le corps d'une femme afin d'assouvir sesbesoins et opérer une régulation énergétique. C'est aussi pouvoir puiser des forces en elle pour s'y ressourcer. Les Chinois disent que l' Yon, principe féminin, nourrit le Yang, principe masculon, qui à son tour dynamise le Yin, et ainsi de suite. "Yin Yang" signifie, en chinois, "faire l'amour."
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"Yin Yang" signifie, en chinois, "faire l'amour."
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Bien fermes et rebondis, les mamelons en érection attirent et invitent aux "jeux des nuages et de la pluie", l'une des expressions désignant les relations sexuelles dans la Chine ancienne.
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Si le périnée se nomme en chinois "muscle des ancêtres", c'est parce qu'il est le lieu où se cristallise une mémoire qui est celle de nos origines. C'est non seulement le lieu de l'enracinement de nos lignées paternelle et maternelle, mais aussi le lieu de la mémoire de tous nos ancêtres archétypaux. L'empreinte de notre propre origine est en effet inscrite en chacun de nous.
En stimulant ce muscle, nous y inscrivons de nouvelles empreintes, la nouvelle mémoire de notre identité.
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Ce qui fait que les contractions de l'anus retentissent sur le clitoris et qu'en retour son érection resserre l'anus.
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Elle me confirme donc que la ménopause n'est pas, comme on aurait trop tendance à le croire, la fin de la vie sexuelle de la femme. Toutefois, s'il est vrai que beaucoup de femmes témoignent d'une baisse de désir sexuel à cette période de la vie, c'est sans doute aussi que, sans le savoir, le désir était stimulé par le fantasme d'une maternité toujours possible, ou par la croyance encore entretenue que sexuellement une "vraie femme" n'est qu'une mère.
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En cas de mauvaise construction sexuelle, notre image du corps n'a pas l'information qui permet à l'énergie de circuler au bon endroit.
[...] Soit l'énergie se concentre au niveau du système urinaire ; le sphincter de l'urètre, l'urètre, la vessie, ou même les voies urinaires supérieures - et elle provoque cystites, urétrites, pyélonéphrites, traduisant que notre corps ne sait pas qu'il a un sexe, un vagin, un utérus. La femme reste "une pisseuse".
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L'amour et les sentiments ne suffisent pas à faire vivre notre sexe. Aimer un homme ne supprime pas les émotions emmagasinées dans l'enfance ou avant la naissance sous forme d'interdits et d'inhibitions, qui y font barrage. En matière de plaisir et de jouissance sexuelle, l'héritage catastrophqiue que nous ont transmis nos mères, incapables d onous expliquer ce qu'est une femme, est toujours acitf. La femme, encore aujourd'hi, continue de méconnaitre son sexe. Elle a toujours peur du sexe de l'homme. Par peur de lui être soumise, elle n'ose pas y voir un objet de plaisir à découvrir et à honorer, alors qu'il est évident que les sexes sont faits pour s'emboîter, et que cet emboîtement procure du bienfait et fête la vie.
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L'amour et les sentiments ne suffisent pas à faire vivre notre sexe. Aimer un homme ne supprime pas les émotions emmagasinées dans l'enfance ou avant la naissance sous forme d'interdits et d'inhibitions, qui y font barrage. En matière de plaisir et de jouissance sexuelle, l'héritage catastrophique que nous ont transmis nos mères, incapables de nous expliquer ce qu'est une femme, est toujours actif. La femme, encore aujourd'hui, continue de méconnaitre son sexe. Elle a toujours peur du sexe de l'homme. Par peur de lui être soumise, elle n'ose pas y voir un objet de plaisir à découvrir et à honorer, alors qu'il est évident que les sexes sont faits pour s'emboîter, et que cet emboîtement procure du bienfait et fête la vie.
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Dans la cystite, toute l'énergie sexuelle reste focalisée en dehors du sexe. Au lieu de pouvoir remonter dans le vagin et l'utérus, elle remonte dans l'urètre et la vessie. Rien d'étonnant à ce que Catherine ait très mal : ses symptômes la séparent de son lien amoureux.
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