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Citations de Darcy Chan (23)


"[...] même les plus petits gestes de gentillesse ne s'oublient pas, surtout dans le monde dans lequel nous vivons à présent."
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"Mais avec le temps, j'ai appris qu'on peut découvrir des choses étonnantes dans les petites villes."
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On peut aisément pardonner à l'enfant qui a peur dans l'obscurité; la vraie tragédie de la vie c'est lorsque les hommes ont peur de la lumière.
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- Je veillerai sur elle du mieux que je le pourrai, monsieur McAllister, et aussi longtemps que je le pourrai. C'est tout ce que je peux vous promettre.
Il avait tenu cette promesse durant soixante ans. Jusqu'à aujourd'hui. Il regarda pour la centième fois le colis et l'enveloppe qui reposaient sur son bureau. Maintenant que Mary était partie, il devait faire ce qu'il fallait pour tenir la dernière promesse qu'il lui avait faite.
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Donne la lumière et l'obscurité disparaitra d'elle-même.
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Les livres étaient devenus pour elle la porte d’un monde dans lequel elle avait bien de la difficulté à entrer.
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un très beau roman, une belle leçon de vie exellent
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On ne peut pas aimer tout le monde, pas plus qu’on ne peut être aimé de tout le monde.
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En dix-neuf ans, elle n'avait jamais croisé un homme comme lui.

...

En plus, il allait venir tous les samedis. Elle ignorait comment l'éviter, mais elle trouverait bien un moyen.

La solution était simple : elle s'arrangerait pour s'éclipser le samedi avec sa jument noire, Ebony, en selle bien avant son arrivée...

Mais un samedi de juillet, alors qu'elle menait Ebony vers la barrière, il apparut dans une luxueuse berline vert foncé. Il sortit de la voiture et lui sourit.

Il était tôt.

- Bonjour, Mary. Ca fait plaisir de vous revoir. On dirait qu'on va avoir une belle journée !

Elle était figée, la bouche sèche, tenant toujours les rênes d'Ebony à la main.

- Oui, dit-elle d'une voix à peine audible, bonjour.

- Vous vous préparez pour votre balade du samedi ? Votre père m'a dit que c'est votre habitude, reprit Patrick. Peut-être que je pourrais vous accompagner avant de me mettre au travail avec le poulain...
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"Le temps guérit bien des choses, même les pires événements et peut-être qu'avec le temps, votre angoisse s'atténuera."
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Mary savait que c'était la gentillesse qui liait les voisins, les amis et les familles.
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Rien ne vaut une pizza chaude quand il fait un froid pareil.
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"Mais elle était un être humain. Une véritable personne, quelqu'un qui connaissait la différence entre "être seul" et "être solitaire", une personne qui aurait tant voulu être aimée et appréciée des autres [...]."
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C’est difficile de rester en marge des autres, de ne pas avoir de liens profonds avec certains, de ne pas avoir d’amis véritables.
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Je sais que je ne peux maîtriser mon anxiété, de sorte que j’ai appris à vivre avec elle, à apprécier ma solitude. Pourtant, comme tout être humain, j’ai aussi souhaité avoir des amis et des connaissances, des personnes qui pourraient prendre soin de moi, éventuellement. De la fenêtre de la maison ou en parcourant les pages de la Gazette et grâce à la complicité du père O’Brien, vous m’avez permis d’être des vôtres.
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Le temps guérit bien des choses, même les pires événements et peut-être qu’avec le temps, votre angoisse s’atténuera.
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Cela fait bientôt soixante ans que Mary McAllister vit seule, sans jamais sortir de sa luxueuse maison de marbre blanc, construite au sommet d’une colline surplombant la petite ville de Mill River. Ses liens avec le monde extérieur sont rares : quelques lettres, les visites d’un vieux prêtre et la fenêtre de sa chambre donnant sur la ville en contrebas. Pour la plupart des habitants de Mill River, la maison et son occupante restent un mystère. Trois nouveaux venus dans la petite ville – un policier, sa fille et son institutrice – vont s’intéresser à la vieille dame. Mais seul le père O’Brien connait l’histoire de Mary et le secret qui la maintient enfermée."
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enfin de compte le livre est pas mal moi j ai lu selon les chapitres mais l histoire est bien oui tous compte fait a lire
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j' ai dévoré ce livre en 3 jours....un turn over....
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J’ai aussi enseigné en CE1 et en CM2, mais j’étais professeur de CM1 quand j’ai accepté le poste ici. De toute façon, je pense que c’est l’année que je préfère parce que les enfants sont encore innocents mais que leur personnalité commence aussi à émerger. Et d’autres choses aussi : le sens de l’humour, une meilleure conscience du monde qui les entoure et de meilleures interactions entre eux. On les voit devenir de véritables individus. J’aime beaucoup ça.
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