bjr,
C'est par ce livre (conseillé par un ami) que je suis rentré dans l'univers de la fantaisy (je n'en suis que rarement ressorti).Avec du recul, je trouve cette trilogie moyenne, mais j'avais été enchanté lors de ma premiere lecture
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Un poil moins passionnante que la série précédente (Belgariade), on retrouve néanmoins les personnages et l'univers avec plaisir.
Grâce à ça on plonge également plus facilement et plus rapidement dans le roman.
Si ma mémoire est bonne, on a une moyenne de 500 pages par tome, soit entre cette série et la belgariade, à peu près 5000 pages... Donc une bonne dose de plaisir. A conseiller aux amoureux de l'heroïc fantasy, et pour une fois, pas de dragons, pas nains, et pas d'elfes, ça fait du bien!!!
Petit plus:la théologie développée dans les 10 tomes est un peu plus présente sur les 5 de la mallorée et ajoute un petit côté mystique à l'histoire qui est loin d'être désagréable!
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Trilogie sympathique, sans plus. On est bien en dessous du niveau de la Belgariade...
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Un peu déçu par ce second tome plus "mou" que le précédent et assez répétitif. Mais bon le style est toujours léger et la fin commence a rendre intéressante l'histoire. Peut-être un tome de transition ?
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Enfin tenté par ce classique de la fantasy, j'ai plutôt apprécier.
Plutôt ? Oui car le début me turlupinait, m'évoquant un souvenir enfoui dans ma mémoire dont je n'arrivais pas a remettre la main dessus. Et puis j'y suis arrivé : Eragon, que de points communs au début de l'histoire ! Notamment la "marque" blanche dans la paume. Mais bon ce bouquin entant antérieur, je doit me faire à l'idée que mon bouquin de jeunesse préféré a un peu "pomper" son intro. Mais bon la suite se développe différemment ce qui compense.
Un début plutôt sympa donc.
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On le sait, David EDDINGS a pris l’habitude d’exploiter ses univers jusqu’à la corde. Après La trilogie des joyaux, vient donc tout naturellement La trilogie des périls mettant en scène les mêmes personnages dans une intrigue sensiblement identique. La nouveauté quasi unique tient au déplacement de ce petit monde dans un Empire oriental : la Darésie. Pour le reste, le sentiment de déjà lu est prégnant. Quant à l’écriture de l’auteur, on en connaît aussi les ingrédients : simplicité, action et humour.
On pourrait donc être tenté d’être aussi indulgent qu’on l’a été avec La trilogie des joyaux. Ce ne sera toutefois pas le cas parce que la recette est cette fois-ci devenue indigeste. C’est tout particulièrement le cas du ton employé, de cet humour si permanent qu’il en devient d’une lourdeur extrême et qu’il fait perdre toute crédibilité à un récit se caractérisant avant tout par son manque d’originalité.
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Un grand classicisme, mais ce roman se distingue agréablement des grands classiques du genre sans les copier. On reprochera une psychologie de certains personnages, dont le héros hélas, assez grossière. Aspect heureusement gommé par la richesse et la diversité des aventures qui l'attendent lui et ses compagnons.
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Je n'ai rien à dire tellement ce livre est prenant touchant et bien écrit.
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La critique de Plumeline est parfaite! Je rajouterais simplement que le long temps que prend l'auteur pour poser le décor est agréable pour les novices en fantasy comme moi. On n'est pas obligé de relire 10 fois toutes les pages pour comprendre qui est qui et où on est. J'ai hâte d'entamer la suite!
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Cette note vaut pour les 5 volumes.
Etant donné le plaisir que j'ai eu à lire "La Belgariade", j'ai donc été heureuse de retrouver tous nos héros si hauts en couleurs.
Si l'Histoire se répète un peu (mais c'est annoncé dans le livre et voulu !), on peut cette fois découvrir de nouveaux héros, des personnages connus sous un certain jour, qui se révèlent assez surprenants.
Bref, si vous avez aimé la première série, et ne vous lassez pas trop vite, vous apprécierez, malgré les redites, de suivre ces nouvelles aventures.
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L'une des rares sage où le hero ne sait pas qui il est, et n'est pas le descendant direct ou le fils caché de quelque roi.
Comme lui, le lecteur est maintenue dans une sorte d'ignorance alors que les personnages évoluent à juste titre comme des pions sur un échiquier.
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Dans le milieu des mondes imaginaires, on ne présente plus le couple Eddings, auteurs de nombreux romans qui ont façonné tout un pan de l'Héroïc-Fantasy et dont l'influence sur les générations futures n'est sans doute pas moindre que celle de leurs aînés. Longtemps annoncé comme le seul auteur de ses histoires, David Eddings reconnaît en 1995 la participation essentielle de sa femme dans son écriture. Il s'agissait de toute façon de "l'un des secrets les moins bien gardés de la fiction contemporaine". Et si lui est à l'origine des histoires, le lecteur doit à Leigh la cohérence des décors et du cadre des histoires, la majorité des personnages féminins et les chutes incisives. Ce qui n'est pas anodin et contribue énormément au plaisir de lecture de leurs ouvrage.
Mais qu'est-ce que La Belgariade ?
Il s'agit d'un cycle de romans en cinq "Chants" narrant les aventures de Garion, simple valet de ferme appelé à une grande destinée. Le pitch est extrêmement simple, et pour être honnête, le cycle n'est pas tant apprécié pour la profondeur de l'histoire que pour le talent de conteur des auteurs et leur humour. A cause du jeu du destin et de Prophéties nébuleuses quant à l'avenir du monde, Garion et son petit groupe va parcourir tout le continent dans une sorte de gigantesque voyage initiatique. Les rencontres seront nombreuses et les occasions d'apprendre innombrables.
L'un des talents des auteurs est d'arriver à gérer une énorme distribution de personnages sans jamais réussir à ennuyer le lecteur, ni même à le perdre (ce qui en soit est une gageure). Les cartes parsemant les ouvrages sont pour beaucoup dans le suivi des aventures et le réalisme des peuples inventés relève presque du travail d'ethnologue.
Le monde de la Belgariade est coupé en deux continents aux proportions titanesques et aux reliefs accidentés.
Le cycle de la Belgariade est un prétexte à l'exploration du premier continent, constitué des Royaumes du Ponant et des Territoires Angaraks.
Chaque territoire est marqué par une géographie spécifique, des noms identifiables immédiatement et un trait de caractère fortement poussé. Ce qui permet d'une part de ne pas perdre tout de suite le lecteur, et dans un deuxième temps de grossir les traits et de faire une légère critique de certains contemporains l'air de pas y toucher... Ainsi les Cherek sont de grandes brutes dans le plus pur style viking alors que les Arendais sont de simples fermiers au pragmatisme exacerbé. Les Drasniens sont de redoutables marchands et les meilleurs espions du monde alors que les Asturiens sont de dangereux écervelés, aussi prompts à se fourrer dans les ennuis jusqu'au cou qu'à jurer une amitié indéfectible.
Le groupe accompagnant Garion dans sa quête est constitué d'un assemblage hétéroclites d'individus provenant des ces différents pays, aux traits si possible encore plus poussé que leurs congénères, histoire d'amener quelques situations cocasses et de compliquer les choses dans les relations du groupe.
L'humour est l'un des facteurs dominants de l'écriture du couple Eddings. Leurs textes sont truffés d'expressions très imagées et évocatrices, de jeux de sonorités, de situations emberlificotées et de répliques satiriques. Les dialogues sont des petits bijoux de réparties cinglantes et de mauvaise foi éhontée. Combien de fois ai-je dû fermer le livre quelques instants, incapable de réprimer un fou rire en imaginant certaines scènes ou lorsque l'image de l'une de ces expressions s'imposait à moi durant la lecture. C'est tout simplement jouissif...
Il est à souligner que les auteurs adorent les intrigues politiques et les états de siège. Ils sont d'ailleurs maîtres dans ce genre de description et n'ont pas leur pareil pour échafauder des théories fumeuses dont leurs personnages font bien évidemment les frais pour notre plus grand plaisir. De ce point de vue, ils se rapprochent de l'écriture de David Gemmell, même s'ils sont loin d'égaler son souffle épique dans la description des combats.
Certains lecteurs chagrins relèveront en point faible le personnage même de Garion, un peu long à la comprenette et qu'ils trouvent relativement agaçant dans son obstination à remettre en cause l'état qui est le sien : être le jouet d'une prophétie qui a scellé sa vie bien avant sa naissance... Honnêtement, si l'on se mettait à la place du garçon, élevé en Arendie, donc né pour être fermier, avec une conception très pragmatique de la vie et une ouverture d'esprit relativement étroite (assez large pour écouter des contes à la veillée, mais pas assez pour y croire), il paraît normal de passer un petit moment à se plaindre, non ? Et peut-être de se poser quelques question existentielles...
Et soit dit en passant, le tout est traité avec suffisamment d'humour pour ça passe tout seul, et ça se transforme même en running gag. Bon, je sais, je suis un public définitivement acquis à ce cycle, et aux autres grands cycles du couple que j'espère présenter plus tard.
Malgré tout, il s'agit d'un monument incontournable de la fantasy "classique" et il serait dommage de passer à côté. Pour un lecteur averti, c'est une lecture de distraction entre deux ouvrages plus conséquents.
Pour un néophyte, il s'agit d'un très bon cycle pour entrer dans les mondes imaginaires dont la lecture marque profondément. Je l'ai lu plusieurs fois et c'est toujours aussi jouissif, malgré quelques longueurs lorsque l'on connaît la fin de l'histoire. Mais ça reste une lecture très distrayante.
À découvrir ou à redécouvrir, juste pour le plaisir de s'esclaffer et de récupérer des expressions bizarre à placer ensuite dans une conversation...
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On touche au but de cette merveilleuse série du couple Eddings, Polgara la fille du vénérable Belgarate prend le relaie de son père pour raconter son histoire de sa naissance jusqu'à la guerre d'Arendi et la défaite de Vo Wacune (pour la suite il faudra attendre le tome 2) en passant par la mort de sa sœur et le début de la ligné des Rivas.
Un livre dans l'ensemble sympathique, mais très redondants avec la série originel, puis l'histoire de Belgarath le sorcier, bien qu'il arrive a nous faire rire, et souffrir avec Polgara cet avant dernier livre de la série est long, et au final n'apporte que peut de notions supplémentaire sur l'histoire originel. Attendons de voir se que donnera le tome 2 et la ligné de Garion.
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