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Interview de Denis Langlois, ancien avocat de la famille Seznec. Il parle de son livre intitulée "Pour en finir avec l'affaire Seznec". Tébéo.
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Denis Langlois
En période de canicule, ce sont les arbres qui sont les plus à plaindre, ils ne peuvent pas se mettre à l’ombre.
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Le voyage de Nerval de Denis Langlois
Un autre poème est, lui, prémonitoire (Il te vaudra en 2019 un regain de popularité). Tu y envisages rien moins que la ruine de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Pas à la suite d’un incendie, mais sous l’assaut du temps. "Notre-Dame est bien vieille : on la verra peut-être Enterrer cependant Paris qu’elle a vu naître : Mais, dans quelque mille ans, le Temps fera broncher Comme un loup fait un bœuf, cette carcasse lourde, Tiendra ses nerfs de fer, et puis d’une dent sourde Rongera tristement ses vieux os de rocher !" |
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Le voyage de Nerval de Denis Langlois
"Ne sois pas fou comme les amandiers, ni sage comme les grenadiers", dit un proverbe arabe. P.7 |
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L'affaire Saint-Aubin de Denis Langlois
La période des vacances est terminée. M. et Mme Saint-Aubin, François et Philippe sont obligés de rentrer à Dijon. Andrée Saint-Aubin se rend compte qu’elle a maintenant deux vies. Au magasin, elle est obligée de faire bonne figure, de sourire aux clients, de leur présenter des bagues et des colliers qui ont perdu pour elle tout intérêt. Il lui faut pour cela faire totalement le vide dans sa tête. Mais, dès qu’elle a quitté la bijouterie de la place Grangier, elle se plonge dans les procès-verbaux pour y traquer les contradictions. Elle réfléchit, en parle des soirées entières avec son mari ou François. Pour elle, plus question de sorties ni de réceptions. Ses couverts en argent restent dans leurs écrins. Tout son esprit est braqué dans une seule direction : savoir comment et pourquoi Jean-Claude est mort de façon aussi horrible en compagnie de la petite Kaydasch. C’est une idée fixe qui la poursuit, qui la réveille brutalement au milieu de la nuit. |
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Le Cachot de Denis Langlois
Un gardien , une clé qui grince Me voilà logé comme un prince Une paillasse , deux trois barreaux La promenade sous le préau Le vent balance les marronniers Une hirondelle et deux pommiers la nuit s'en va , le jour revient Plus que trois ans , c'est presque rien ....... |
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Le voyage de Nerval de Denis Langlois
Le paysage autour de moi est impressionnant avec ses versants ensevelis par les pluies d'hiver. Le printemps officiel n'est pas encore arrivé. P.7 |
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Le voyage de Nerval de Denis Langlois
Le lu et le vécu se mélangent dans ta tête et dans tes pages. Impossible de les démêler. Aujourd'hui, on t'accuserait de contrefaçon, on te traînerait devant les tribunaux. À l'époque cela se fait couramment. On pique sans vergogne chez son voisin en s'arrangeant pour qu'il ne soit pas trop connu. Il n'empêche que tu es un spécialiste de la fauche, et cela me reste en travers de la gorge. L'auteur de Sylvie plagiaire ! (p. 31)
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La politique expliquée aux enfants de Denis Langlois
Ce serait une erreur de croire que la justice des hommes est toujours parfaite et que les jugements rendus par les tribunaux sont toujours équitables. La justice des hommes ne peut-être qu’à l’image des hommes : fragiles et imparfaite.
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Le voyage de Nerval de Denis Langlois
Un soir, tu entends du vacarme dans la cour. Un grand évènement. Tout le monde parle avec inquiétude des « évènements » : les moines descendus de leurs couvents, les paysans qui ont délaissé leurs champs, les gardes du cheik. Des Druzes sont venus en nombre de leurs provinces et assiègent les villages mixtes désarmés par ordre du pacha de Beyrouth. C’est un devoir sacré pour les chrétiens d (‘aller porter secours à leurs frères sans défense. Les montagnards armés se pressent impatiemment dans les prairies autour du château. Des cavaliers parcourent les villages en jetant le vieux cri de guerre « Zèle de Dieu ! Zèle des combats ! » Le cheik te prend à part. - Je ne vois pas exactement ce qui se passe. Les rapports qu’on nous a fait sont peut-être exagérés, ce ne serait pas la première fois, mais nous sommes obligés de nous tenir prêts à soutenir nos frères. Les secours du pacha arrivent toujours trop tard. Vous êtes bien, quant à vous, de vous mettre à l’abri au couvent d’Aintoura ou de regagner Beyrouth - Non, lui réponds-tu, laissez-moi vous accompagner. J’ai eu le malheur de naître à une époque peu guerrière, je n’ai pas encore vu de véritables combats. Seulement des batailles des rues. Que je puisse assister, dans ma vie, à une lutte un peu grandiose, à une guerre religieuse ! Il serait si beau de mourir pour la cause que vous défendez ! + Lire la suite |
"Le Crime d'XXX (La Fête du potiron)" de Agatha Christie. Facile !