Deon Meyer

Violence et corruption de la société et des institutions, bourbier politico-financier s'invitent rapidement dans l'intrigue qui, de fausse piste en mauvaise arrestation, nous tient au collet jusqu'au dénouement final. Meyer à son meilleur.
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Deon Meyer possède un don singulier pour façonner et donner de l'épaisseur à ses personnages [...] Rythmé par de fausses pistes et doté d'une fin réjouissante, le thriller n'est pourtant pas pour Deon Meyer un but en soi, mais un moyen de décrire la société.
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Dans son épatant huitième roman policier, le Sud-Africain Deon Meyer met en scène un mystérieux vengeur sur fond de scandale politico-financier.
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je viens de le lire, c'est toujours aussi bien, scénario aux petits oignons, l'écriture est un régal, les personnages très attachants ! je vous le recommande.

Au pays d'André Brink et de Nadine Gordimer, le thriller a un roi: Deon Meyer. Le créateur du "faucon" Benny Griessel livre aujourd'hui sa dernière enquête, double et haletante.
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fabuleux polar, qui se déroule en temps "réel", on suit le héros avec beaucoup de plaisir et c'est haletant.

Livre original : 3 aventures fort différentes pour le prix d'une. Et en plus elles nous captivent grâce à leur originalité, le style simple et direct de l'écriture et les personnages à caractère.

Et en plus elles se recroisent toutes pour se boucler, ou presque, à la fin.

Un polar efficace à la trame originale. Bien que sa facture ne soir pas exceptionnelle, l'intrigue est captivante et le parti pris (la lecture des traces laissées par les différents personnages) est très intéressant.

Les pistes de l'Afrique du Sud s'entrecroisent et Deon Meyer offre un roman époustouflant.
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Un polar bien mené, avec des descriptions de la contradiction de l'Afrique-du-Sud post-apartheid. Un policier blanc (mais alcoolique sevré seulement depuis quelques mois) supervise une équipe d'enquêteurs noirs et métis, des Zoulous et des Xhosas, une mosaïque de couleurs... et de préjugés. En toile de fond, des interrogations sur la corruption, la dernière vague d'arrestations a-t-elle éliminé ce mal endémique? La description de la société m'a d'ailleurs beaucoup plus intéressée que la partie enquête en tant que telle...
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Livre commencé que je n'ai quitté qu'en dernière page et pour le prêter aussitôt en le recommandant vivement.

On tourne souvent les pages avec une certaine anxiété, en espérant, par exemple, que les agents des services secrets arriveront à placer le micro dans la maison du «méchant» avant son retour imminent. Mais ce serait faire injure à Deon Meyer que de limiter son talent à cette technique bien maîtrisée du rythme.
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Un roman social doublé d'une intrigue de haute volée.
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Que ce dernier ne soit pas effrayé par l'ampleur de l'ouvrage ! Tout au contraire, cette plongée profonde dans l'Afrique du Sud contemporaine vaut bien des voyages.
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Alternant l'écriture à la première et à la troisième personne, Deon Meyer s'amuse dans ce roman-puzzle à "casser les frontières entre les genres" (espionnage, road book, roman de procédure) et à défaire la structure narrative, cette "dictature qui enchaîne le romancier". Ce "raconteur d'histoires" revendiqué dresse au passage le tableau d'une Afrique du Sud mutante
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Deon Meyer ne se veut pas porteur d'un message, se contente d'éclairer les traces, à l'aise dans son rôle d'écrivain qui agrippe le lecteur en lui offrant tout à la fois du suspense, du sentiment, de l'espionnage, de l'enquête policière.
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J'ai bien aimé ce roman que l'on m'avait fortement recommandé. L'intrigue principale, celle de la jeune Américaine poursuivie, est tellement intense que l'on ne peut pas cesser de lire. Par contre, l'enquête parrallèle, celle avec des gens de l'industrie du disque, vient gâcher le rythme du roman, quant à moi. Ça vaut quand même la peine d'être lu, simplement pour la poursuite épuisante de l'Américaine dans Le Cap. Plein de rebondissements.

Ce livre est un croisement entre un polar bien noir et un thriller. En effet, les personnages sont typiques du polar noir, ils souffrent, se relèvent, se battent... Pour le côté thriller, c'est la construction du roman. C'est très bien mené, cela se lit vite, on a du mal à lâcher le livre. Mais malheureusement, il a en aussi les défauts, surtout le dernier quart, que j'ai trouvé très décevant, avec ces retournements de situation, et ses fins trop gentilles. Dommage que l'on ne soit rester dans le noir jusqu'au bout.