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Critiques de Diane Ducret (590)
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Corpus equi

Je vais avoir bien du mal à vous résumer ce roman car il n'y a pas d'intrigue, pas d'histoire mais des histoires de chevaux qui servent de fils conducteurs à la narratrice pour développer la relation fusionnelle qu'elle entretient avec eux. Chaque chapitre commence donc par des références à des contes ou des mythes mettant en scène un homme et sa monture. De là, la narratrice enchaîne avec des moments qui illustrent sa propre relation aux chevaux : son amour pour son premier cheval, la mort de son dernier et l'incapacité à trouver un cimetière pouvant l'accueillir. Elle insiste aussi beaucoup sur son sentiment d'être différente des autres ados, pas du tout attirée par le sexe masculin, les chevaux lui prenant tout son amour.



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Précisons que je ne monte pas à cheval, n'ai tenté l'expérience qu'une fois et ai tout de suite senti que ce n'était pas pour moi. Je ne suis donc pas le public idéal pour ce genre de roman. Je serais curieuse de savoir ce qu'en penserait une cavalière car j'ai surtout trouvé le style empoulé. Pourtant, l'idée de départ de mêler mythe et vie de la narratrice était plutôt intéressante. Et il serait malhonnête de ma part de ne pas préciser que j'ai aimé certaines phrases.
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Corpus equi

Diane Ducret se livre ici à une véritable ode à l'équidé. Elle convoque Pégase et Bucéphale, Bellérophon, Alexandre et Zingaro. On peut rester à la porte de cette écurie-là, mais la musique avec laquelle elle entonne ce refrain est à la fois plaisante et émouvante.
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Corpus equi

Ce livre est un roman... ou autre chose... des parts biographiques, des pages historiques, l'histoire d'une jeune fille et surtout d'une rencontre : de cette adolescente un peu perdue et d'un cheval "vilain petit canard". Ensemble, ils vont se trouver, se construire et atteindre un temps de bonheur parfait et de succès en compétitions. Jusqu'au double drame. Sa blessure à elle qui l'empêche de marcher. Sa mort à lui.

La dérive ensuite, et la reconstruction.

Mais ce que je retiendrais de ce roman, et qui en fait la spécificité (et surprend un peu au départ) ce sont les ouvertures de chapitres qui convoquent chevaux mythologiques et mythiques . De Pégase à Zingaro, autant de chevaux dont les bribes d'histoires aident à réfléchir et à avancer. Des images de chevauchées fantastiques naissent à la lecture, voilà qui donne envie de la prolonger en replongeant dans certaines de ces histoires...

Les amoureux des chevaux y trouveront leur compte, les amateurs d'histoire sans doute également.



Un livre lu grâce à l'opération Masse critique de Babelio, merci!
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Corpus equi

J'ai découvert Diane Ducret le 8 février dernier en regardant l'émission Médias le magazine sur France 5. Je suis restée admirative de l'éloquence précise et raffinée de cette jeune auteur qui était venue parler de sexe et de politique en tant qu'auteur de trois ouvrages qui font maintenant référence: "Femmes de dictateurs" publié en 2011, dont le tome 2 est paru l'année suivante puis de "La chair interdite" sorti en ocrobre 2014. J'avais bien dans l'idée de me procurer le dernier ouvrage qui avait retenu mon attention. Ayant à faire le plein de lecture pour égayer ma fin de vacances un peu écornée par les caprices du temps, j'ai découvert sur les rayonnages de ma bibliothèque "Corpus equi" et je n'ai pas hésité longtemps à en faire mon compagnon de lecture.

Bien m'en a pris car je me suis régalée en compagnie de Diane Ducret qui réalise là un ouvrage très personnel et intime tout en émaillant son récit de légendes et de récits historiques et spirituels sur l'objet de son amour inconditionnel: le cheval.

Diane Ducret s'exprime dans une langue très recherchée, le style est soutenu mais sans pédanterie ni préciosité. Ce qu'elle dévoile de son enfance difficile, orpheline, élevée par des grands-parents attentionnés mais peu démonstratifs nous aide à comprendre comment elle a pu reporter tout son amour sur un animal de façon passionnelle et exclusive. Quand Zascandyl l'a brutalement quittée tout l'univers de la jeune fille s' est effondré. Sa chute de cheval et ses séquelles ont mis dramatiquement fin à sa carrière de cavalière alors qu'elle n'avait que quinze ans. Le reste de son parcours pour retrouver la marche et remonter à cheval, certains pourraient l'appeler "résilience", d'autres "opiniâtreté", je vous laisse choisir.

J'ai découvert à travers ce livre une belle personne dont les mots font écho et qui a su me transmettre une réelle émotion. Une belle leçon de courage!
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Corpus equi

Il serait difficile de catégoriser Corpus Equi, à la fois témoignage d'un accident qu'une jeune fille mettra des années à surmonter, survol de la relation entre l'homme et sa plus noble conquête à travers l'histoire et la mythologie ou encore cri d'amour d'une cavalière à son cheval. Diane Ducret met ainsi en parallèle sa rencontre fusionnelle avec son étalon, Zascandyl, et les grandes légendes équines, de Bucéphale à Zingaro, en passant pas le cheval de Mahomet et les légendes vikings. J'ai trouvé cette construction dans la première partie du livre intéressante et, étant cavalière, je me suis retrouvée dans la passion de Diane Ducret, dans le simple bonheur éprouvé à l'odeur de foin et de cuir, et l'impression de liberté d'un galop en forêt.



J'ai par contre beaucoup moins aimé la deuxième partie du livre qui suit la séparation de Diane Ducret de son cheval. Autant je conçois totalement que la tristesse éprouvée suite à la perte d'un animal peut être dure à surmonter, autant j'ai trouvé la réaction de l'auteur, telle que décrite dans le livre, difficile à appréhender. En se laissant complètement anéantir par une relation avec un cheval, sa passion devient plus obsession, et là, mon identification avec Diane Ducret a disparu. La fin du livre m'a parue confuse voire bâclée; au lieu des dizaines de pages sur les années d'errance de l'auteur, j'aurais trouvé plus intéressant de décrire sa reconstruction, sa guérison.



Malgré quelques belles phrases et une construction intéressante, Corpus Equi est à réserver, à mon avis, aux passionnées du monde équestre. Diane Ducret ne réussit pas à donner ici à la relation extraordinaire d'une femme et d'un cheval la portée universelle qui pourrait toucher même le lecteur complètement étranger à l'atmosphère d'une écurie. Dommage!
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Corpus equi

L'ancien cavalier et le lecteur que je suis s'est plongé entièrement dans cette histoire. Magnifique hommage à nos amis équidés. Un vrai chef d'œuvre. Pour les amoureux des chevaux... Et de belles pages !
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Corpus equi

Voici un roman court, mais dense. Diane Ducret nous conte sa rencontre avec Zascandyl, petit cheval espagnol qui conquiert son coeur lorsqu'elle n'a que 14 ans. Mais Zascandyl n'est pas éternel et l'auteure nous raconte aussi la douleur d'avoir perdu un être cher. La lente descente aux enfers. La solitude qui l'envahit. La culpabilité de ne pas avoir été présente. A travers les mythes liés au cheval, Diane Ducret tisse avec une très belle plume, la joie et la douleur de cet amour.



Je vais avoir beaucoup de mal à vous parler de ce roman. Décontenancée par le style qui peut paraître ampoulé de prime abord, je me suis surprise à le trouver en réalité particulièrement poétique et puissant. Exigeant aussi. Je n'ai pas pu m'empêcher de le dévorer en quelques heures mais il s'agit d'un roman qui doit se déguster lentement. Ce que je ferai... si j'ai le courage de le relire un jour. Parce que c'est une lecture qui fut aussi éprouvante pour moi. Les récits qui parlent de l'amour des chevaux m'attirent comme un aimant, et me rebutent tout autant. De par mon histoire, je me sens proche de ses récits, et refuse pourtant d'y succomber. Je m'étais engagée à lire celui-ci, sinon je l'aurais surement laissé trainer un moment. Tout comme ce billet, que je repousse déjà depuis 4 jours !



Je ne sais si ce texte parlera autant à une personne sans attache avec le monde équestre. Mais pour ma part, je me suis retrouvée ligotée dans les mots de l'auteure et par la puissance des sentiments qu'elle décrit si bien. Difficile de vous en dire trop. Certes, je ne risque pas de vous dévoiler l'intrigue car l'intérêt de ce texte n'est pas là. Il réside dans la beauté des mots et des images, choisis par l'auteur pour illustrer sa relation exceptionnelle avec ce petit cheval déraciné de son pays natal.



Une boule d'émotions, renfermée dans quelques pages...
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Corpus equi

Un très beau roman sur l'amour des chevaux.

L'auteur nous raconte cet amour inconditionnel et fusionnel qu'elle vit avec les chevaux. Même son accident qui lui a fait perdre son cheval et qui a faillit lui couter une amputation n'a rien abimé a cette passion dévorante. Un lien puissant et inexpliqué que l'auteur sait nous faire partager. Par ailleurs, les chapitres de ce livre sont accompagnés de références à des mythes dans lesquels on retrouve cette alliance homme/cheval.
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Corpus equi

Ce premier roman est un hymne au cheval, à deux personnages, la cavalière et Zascandyl de Ancile, étalon de mère allemande, de père français, né en Espagne.

La narratrice est fille unique, élevée par ses grands-parents, résistants – famille atypique, sans effusion. La jeune cavalière ne se maquille pas, ne se préoccupe pas de la mode. Contrairement à certaines héroïnes de romans (voir à certaines personnes bien réelles), son but n’est pas de gagner à tout prix les compétitions, elle cherche à faire réellement corps avec son cheval.

Le livre est divisé en deux parties d’inégales longueurs, la première, la plus longue, est consacrée à la vie avec Zascandyl, la seconde, à la reconquête de sa vie, près de seize ans après la disparition de son cheval. Les chapitres sont courts, ils respectent la chronologie de la vie de la jeune cavalière et de son étalon, chacun vivant aussi une vie amoureuse un peu spéciale (l’étalon au milieu des juments).

Cette union d’une cavalière et sa monture n’est pas unique. L’auteur rappelle non les chevaux les plus célèbres, mais les fusions homme/cheval les plus emblématiques – ainsi Ramsès II et ses juments.

Corpus equi est un très beau récit, très bien écrit. J’espère qu’il trouvera sa place dans les 555 romans de cette rentrée littéraire.

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Corpus equi

J’ai lu deux fois Corpus Equi pour entrer en profondeur dans l’ouvrage de Diane Ducret qui est très riche. Au début de chaque chapitre l’auteure nous emmène dans des histoires mythologiques qui évoquent le couple homme/cheval. On comprend par la suite que Diane Ducret a voulu montrer par-là que l’homme peut aller très loin avec le cheval, qu’il peut se surpasser, qu’il peut faire la conquête de grands espaces tels Bellerophon avec Pégase ou bien Alexandre avec Bucéphale. Il y a aussi les chevaux sauveurs avec la très belle histoire de Ramsès II et ses juments qui le préservent d’une mort certaine. Tous ces exemples nous montrent les liens indissolubles que peuvent avoir les hommes avec leurs chevaux. C’est aussi un roman autobiographique, de ce fait, Diane Ducret insère son histoire dans la grande histoire. Bien sûr c’est l’histoire d’une passion pour un cheval mais c’est aussi l’histoire d’un deuil et d’une résurrection, corpus equi ou corpus christi ? Diane Ducret n’a que 13 ans lorsqu’elle fait une chute de cheval. Ce n’est pas avec Zascandyl, son cheval tant aimé, mais c’est avec un autre cheval qu’elle a cet accident qui s’avèrera très grave par la suite. Les médecins lui disent qu’elle ne remarchera plus jamais normalement. Zascandyl meurt au même moment. Dans cette première partie l’auteur exprime sa douleur, ses désespoirs et avec la mort de Zascandyl c’est la chute avec sa part d’ombre.

« Les temps ont changé, vois-tu, depuis la Rome des Césars, la vie ne nous prépare plus à ces grands accidents dont l’amour comme la mort font partie. »

« Mon coursier solaire m’avait quitté et avec lui la force indomptée de la nature qui jusque-là m’aiguillait ».

Et puis un jour, après le temps des mauvaises rencontres et des errances narcotiques, Diane Ducret prend la décision de ne pas accepter ce que lui disent les médecins. Elle décide d’agir pour se relever, nous entrons là dans la seconde partie du roman, c’est celle de la résilience et de la résurrection.

« Et plus insondable fut le gouffre, plus haut nous nous élèverons ».

Comme pour Brunehilde, son cheval Grani était à ses côtés.

« Le cercle de feu ne me ceignait plus, bientôt je pourrais marcher sur les braises et rejoindre la plaine ».

Magnifique plaidoyer pour la conquête de la liberté par la volonté (le corps et l’esprit ; mythe et réalité). L’évocation du mythe n’est-il pas l’esprit et le cheval, le corps ?

Diane Ducret par ses mots transforme la douleur en quelque chose de beau. Tant de romanciers disent trop gravement des choses légères que c’est un moment de grâce que de lire les mots de Diane Ducret car elle arrive à nous dire non pas avec légèreté mais avec pudeur des choses si graves !

Je la remercie du fond du cœur pour ce très bel opus qui m’a emportée là où nous rêvons tous d’aller, vers le bonheur. C’est un livre que je relirai très souvent pour faire réapparaître ce bonheur qui est souvent trop bien enfoui au plus profond de nous.








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Corpus equi

Un récit très personnel (trop ?) avec lequel l'auteure explore la relation de l'homme et du cheval à travers les âges et surtout sa propre expérience. Bien écrit, érudit et très documenté mais j'ai eu du mal à m'identifier, l'émotion ne passait pas, en tout cas pour moi. Je pense que beaucoup de lecteurs trouveront quelque chose, une proximité dans ce livre que je n'ai pas trouvé, peut-être par manque d'affinité avec le sujet. Pour moi ce fut un rendez-vous manqué alors que j'aurais bien aimé qu'il en soit autrement.
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Corpus equi

trop de cheval !
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Femmes de dictateur

Je n'ai pas du tout accroché. Je ne l'ai pas fini ce qui est rare. Je pense que ce n'est pas mon genre de livre
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Femmes de dictateur

Les dictateurs aiment dominer et la sexualité pour eux joue un rôle, on le comprend dans ce livre, important. Le pouvoir est là aussi. Mais ces femmes qui ont croisé leur vie ont eu la plupart un destin tragique !

Par contre je n'ai pas trop apprécié la structure de ce livre et ses retours en arrière.
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Femmes de dictateur

Une leçon d effacement du sexe. Les femmes ont toutes des rôles second sansaires tout en étant des vecteurs sans lesquels ces hommes ne seraient pas devenus des dictateurs. Il aurait été préférable que cela ne se produisît pas.

Livre bien documenté d 'un intérêt moyen.
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Femmes de dictateur

Je remercie Les éditions Perrin et Babelio pour ce partenariat.



« En espérant que vous preniez plaisir à la lecture de cet ouvrage » m’indiquait le petit mot du service de presse de la maison d’édition. Ravie de cette attention, voici enfin ma réponse : un grand oui ! J’ai passé un très bon moment de lecture. D’autant que, ayant fait des études d’histoire, il me plaît de renouer de temps en temps avec ma passion et de troquer un roman contre la lecture d’un essai historique.



Le sujet de celui-ci est original : se concentrer sur le destin des épouses, compagnes, concubines ou simples conquêtes des dictateurs du 20ème siècle. Et elles furent nombreuses !



L’introduction m’a semblé une simple juxtaposition d’extraits de lettres à Hitler et Mussolini, sans plus d’intérêt que de planter le décor, passant d’un sentiment à un autre (admiration sans borne, fanatisme total, demande en mariage ou doléances). On y apprend toutefois qu’Hitler a reçu plus de lettres de « groupies » que les Beatles et Mick Jagger réunis !! Etonnant non ?



Les chapitres sont ensuite découpés par dictateurs : Mussolini, Hitler, Mao, Lénine, Salazar, Staline, Bokassa et Ceausescu. Evidemment, nous sommes surpris de constater qu’autant de femmes puissent avoir été charmées par ces tyrans. N’oublions pas que nous, nous savons la politique qu’ils menaient, alors que leurs épouses ou conquêtes, n’en avaient pas forcément conscience. On ne peut que s’émouvoir du destin de certaines, souvent tragiques. Comment par exemple, en temps que femme, peut-on ne pas être touchée malgré tout par celui d’Eva Braun, recluse dans la forêt (éloignée de la politique) qui n’a pas hésitée à rejoindre Hitler alors que tous savaient que la fin était proche. Epouse de la dernière heure au courage admirable. A l’inverse, comment ne pas être offusquée de constater que certaines étaient plus tyranniques que le tyran lui-même (et en particulier envers d’autres femmes dont elles étaient jalouses !).



Le chapitre consacré aux Ceausescu surprend. En effet, alors que les autres sont centrés sur les dictateurs et leurs « femmes », celui-ci tourne exclusivement sur madame Ceausescu. Au point de se demander qui était réellement le dictateur entre le mari et la femme. Ce chapitre m’a particulièrement intéressé. J’étais petite lorsque les évènements de 1989 se sont déroulés, mais je reste encore marquée par les images du procès de ce couple et de leur exécution.



Ce livre apporte une dimension nouvelle aux biographies des dictateurs que nous avons étudiés au lycée. En rentrant dans leur intimité, nous prenons conscience d’un pan différent de leur personnalité et d’un semblant d’« humanité » (relative tout de même). Certains se révèlent des amants romantiques (Mussolini est dépeint comme un Don Juan, attentif à ses admiratrices), des époux tyranniques (Mao, Staline, Bokassa), voire personnage dénué de sentiments apparent (Hitler).



Une lecture pleine de découvertes, qui se lit aussi facilement qu’un roman, dont je ne regrette qu’une chose : il manque une conclusion de l’auteur (qui a fréquenté la même faculté que moi :) ) qui nous permettre de faire le lien sur ces destins uniques et de prendre un peu de recul.





Lu dans le cadre de l'opération Masse critique Babelio
Lien : http://mediatexte.blogspot.c..
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Femmes de dictateur

Déçue. Je m'attendais à la précision d'un journaliste, j'ai découvert un ersatz de Gala...
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Femmes de dictateur

"Femmes de dictateurs" est un ouvrage qui raconte la vie amoureuse de Mussolini, Lénine, Staline, Salazar, Bokassa, Mao, Ceaysescu et Hitler...

C'est un aspect de leur vie que l'on aborde moins souvent et qui de ce fait est très intéressant. En effet, Diane Ducret nous dévoile là une face cachée de ces hommes, leurs failles intimes...C'est une écriture très simple qui nous donne l'impression que l'on nous raconte des histoires, des histoires d'amours, des histoires d'amours fous...

D'emblée, ce qui m'a frappée, c'est d'apprendre que (je cite): "Adolf Hitler reçut plus de lettres de fans que Mick Jagger et les beattles réunis."

Voilà un livre à lire!
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Femmes de dictateur

Le concept était emballant, dès le départ : mieux connaître les femmes derrière les régimes de terreur. Cependant, le livre ne remplit que partiellement ses promesses.



Dans un style trop descriptif et trop peu analytique, l'auteure raconte l'histoire des ces femmes qui ont accompagné les didacteurs. Le choix de la chronologie serait à retravailler puisque l'auteur se promène constamment dans le temps. Les phrases, souvent maladroites, se succèdent sans style littéraire. On a parfois l'impression de lire un livre de recettes (quoique certaines livres de recettes sont plus littéraires).



Je reste sur ma faim, côté analyse. Pourquoi ces femmes, souvent brillantes, ont-elles souhaité entrer en relation avec ces hommes ? Qu'ont-elles en commun ?



J'ai quand même appris plusieurs éléments, en lisant ce livre. Je suis contente de l'avoir lu, même si ce fut une lecture pénible, laborieuse. Je ne poursuivrai pas l'expérience jusqu'à lire Femmes de dictateurs 2.
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Femmes de dictateur

Je ne suis pas allée jusqu'au bout. L'Histoire par le petit bout de la lorgnette, c'est sans intérêt.
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