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Critiques de Didier Ottinger (20)
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Magritte. La Trahison des images

🎼Moi je connais une chanson qui embête les gens

Moi je connais une chanson qui embête les gens

Mais non, mais non, ce n'est pas une chanson monotone

Mais non, mais non, ce n'est pas une chanson monotone



Moi je connais une chanson qui embête les gens

Moi je connais une chanson qui embête les gens

Mais non, mais non ce n'est pas une chanson monotone

Mais non, mais non ce n'est pas une chanson monotone



Moi je connais une chanson qui embête les gens

Moi je connais une chanson qui embête les gens

Mais non, mais non ce n'est pas une chanson monotone

Mais non, mais non ce n'est pas une chanson monotone...♫

Ceci n'est pas une chanson monotone !!!?🥴🎶



Depuis que Pierre Soulages s'est cassé la pipe

Je relis les ouvrages de Frédéric Lenoir, et ses vidéo-clip

Les "choses" n'ont pas entre elles la ressemblance

Elles ont ou n'ont pas des similitudes.

Les malentendus sont-ils le signe d'une ironie qui semble dominer les diverses tentatives de ne pas tourner en rond !?

Discours de la méthode, lapsus visuel

Reprenons,

Mais non, Ménon, idées de combinaison selon Platon

Mais si, Messi ou Neymart sont bien arrivés au Qatar

Pensée distinguée pour qui examine et compare

Preuve par neuf que même c'est toujours selon

......0...x...0...= 0 au carré

Même Cicéron, ceci n'est pas un ballon !?



Monsieur Magritte, je vous soulage de mon chapeau melon 😵



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Georgia O'keeffe : Album de l'exposition

Après la visite d'une exposition, j'ai toujours plaisir à lire son catalogue, plus ou moins officiel. On y trouve généralement beaucoup d'informations sur la vie de l'artiste exposé et ses influences, informations qui sont généralement affichées dans l'expo mais que j'avoue ne pas lire, préférant réagir instinctivement et/ou intuitivement devant les œuvres présentées.



Le catalogue de l'exposition Georgia O'Keeffe est un très bon exemple. J'y ai trouvé beaucoup d'informations sur les influences de l'artiste, ses attachements à différentes villes, régions et États des USA, son soucis de protéger la nature, et les conséquences de tout cela sur les différentes périodes de son œuvre.



Les textes sont relativement courts, clairs, faciles à lire, permettant de prendre un peu de recul par rapport à ses propres réactions immédiates devant les tableaux exposés, ce qui fait de ce catalogue un très bon outil didactique.



Une très belle réussite et un excellent complément à la visite de l'exposition.
Lien : http://michelgiraud.fr/2021/..
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Magritte. La Trahison des images

L’exposition Magritte au Centre Pompidou Paris, »La trahison des images » depuis la rentrée , propose en effet une approche à ce jour inédite de l’œuvre de l’artiste belge René Magritte.



Rassemblant les œuvres emblématiques, comme d’autres peu connues de l’artiste, provenant des plus importantes collections publiques et privées, l’exposition offre une lecture renouvelée de l’une des figures magistrales de l’art moderne. Une centaine de tableaux, de dessins, et des documents d’archives, sont réunis .



Pour André Breton et Paul Eluard, la poésie est une pipe.

Les poètes surréalistes rencontre René Magritte qui leur répond par son célèbre tableau:” La trahison des images”.



Magritte au Centre Pompidou invite les poètes mais aussi les Philosophes. Il explore la Caverne de Platon, relit Pline l’Ancien, devise avec Michel Foucault, correspond avec Merleau-Ponty et sa peinture devient philosophie.

L’image peut-être trompeuse, la pensée de l’homme est-elle vraie?



Magritte n'aime rien de plus que de peindre la mise en abime, l’oxymore et le questionnement.

Surtout ne croyez pas que cette peinture est intellectuelle et compliquée, elle est surtout rêveuse et drôle. Magritte n’oublie jamais de jouer avec le visiteur.

On aime l'approche didactique de leur histoire, c’est simple et intelligent en même temps.

Tout le monde pourra aisément y trouver son compte, des lecteur de Télérama aux autres notamment les enfants, il faut dire que le surréalisme marche bien avec eux......
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Hopper : Catalogue de l'exposition

Tour à tour, romantique, réaliste, symboliste, et même formaliste, l’exposition du Grand Palais, et le catalogue qui l'accompagne, nous présentent la richesse de l’œuvre d’Edward Hopper.



L’exposition se compose de deux grandes parties : la première consacrée à ses années de formation (1900-1924) et aux peintres, notamment parisiens, qui ont pu l’inspirer. La seconde partie nous fait découvrir les peintures emblématiques de son style personnel.



On découvre dans ses toiles l’importance de la lumière.



En outre, peintre de la vie quotidienne des classes moyennes américaines, il se révèle être le peintre de l’ATTENTE. Personnages esseulés, paysages désertés, ses tableaux montrent des décors en attente d’un événement. Le temps y est très allongé. Un temps étiré, presque contemplatif. L’attente du fait de l’action à venir –mêlée à un sentiment, voire un désir d’isolement – serait-elle une des interrogations de son œuvre ? Ses personnages tendent à s’abstraire du monde, absorbés plus que véritablement mélancoliques. Questionné à ce sujet, Hopper déclara : « C’est probablement le reflet de ma propre solitude ou tout simplement la condition humaine ». La vie qui file avec le temps…



En un mot, une rétrospective que je vous invite vivement à découvrir au Grand Palais

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Magritte. La Trahison des images

Vous voyez une pipe et vous lisez que ce n'est pas une pipe. En effet puisque ce n'est que la représentation d'une pipe ajoute Magritte. Si FUMER TUE l'exposition en cours au centre Pompidou aussi. Ce tableau de Magritte peint en 1929, « La Trahison des images » en couverture du catalogue, illustre la démarche iconoclaste de ses débuts surréalistes. C'est aussi le premier qui est offert à la vue en entrant dans l'expo qui s'achève sur une autre de ses variations « Ceci continue de ne pas être une pipe ». Tableaux à voir, tableaux à lire, rapports entretenus entre les mots et les images, les idées et les symboles, remise en question des mots et des images. « On voit autrement les images et les mots dans un tableau » selon Magritte pour qui : « l'art de peindre est un art de penser ». Sa peinture est faite pour poser des problèmes et bousculer des évidences. Oiseau, pomme, plume, chapeau, bougie. Exploration du sens et rapprochements infinis par la peinture. Magritte se mesure d'abord aux mots des poètes et dialogue ensuite, dans les années cinquante, avec les philosophes revendiquant «  une dignité intellectuelle » pour son art que Michel Foucault lui reconnaîtra. Superbe catalogue qui prend les allures d'un traité philosophique éminemment visuel. Ombres, lumière, miroirs, transparence, fragments, fenêtres, rideaux. Un penseur Magritte ? Aucun doute. Mais attention, la déroute de la représentation qu'il orchestre n'est pas son discrédit, loin s'en faut. On savoure cette esthétique unique (moins peut-être la période « vache » quand il entend pratiquer le surréalisme "au grand jour") où le mystère illusionniste reste souvent entier et qui est aussi un art de faire rire. Dans la suite du parcours de l'exposition, splendide est la cohabitation livresque, plastique et philosophique (servie par une mise en page impeccable), entre les oeuvres et les grands mythes fondateurs de la peinture et de l'histoire de la représentation auxquels elles se réfèrent (récit biblique de l'adoration du veau d'or, légende de la fille du potier de Corinthe, allégorie de la caverne, histoire de Zeuxis et Parrhasios et celle des filles de Crotone). Certains des textes introductifs à chacune des cinq parties sans doute un peu ardus. Lecture exigeante requise pour ce très beau livre.
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Hopper : Catalogue de l'exposition

Le catalogue d'exposition 2012 à Paris, indispensable pour admirer la presque totalité de l'œuvre de Hopper.



Longtemps indisponible à la vente le voilà de nouveau, je peux dire que j'étais aux aguets depuis cette fameuse expo que j'ai hélas ratée.

Car bien sûr une pratique que je réprouve, le dropshipping consiste à vider les stocks pour revendre les catalogues à des prix prohibitifs.



Enfin je vais pouvoir me régaler et voyager au gré des œuvres de cet artiste que j'apprécie.



Tableaux pleine page, et quelques doubles pages, dommage. Néanmoins un ouvrage de belle facture.
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Hopper : Catalogue de l'exposition

Un catalogue d'exposition - celle du Grand Palais durant l'hiver 2012-2013 visitée à deux reprises - particulièrement réussi.



Laissant une large part aux illustrations, la photogravure de ce livre est particulièrement réussie, laissant pleinement éclater la force du jeu d'Hopper avec la couleur d'où nait la lumière.



Hopper excelle à décrire le quotidien, l'instant, celui où il ne se passe rien semble t-il, mais où pourtant tout se vit. Une audace au début du siècle aux États-Unis où l'influence européenne et française notamment pousse les peintres vers le réalisme et le figuratif.



Hopper s'en détache très vite, préférant le temps, le vide, l'étude poussée des graphismes et des perspectives, celles qui sondent et interrogent l'homme dans ce qu'il pense et ce qu'il ressent, et moins dans ce qu'il voit où interprète.



Un must-have !

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Bacon en toutes lettres

S’il réfutait toute source littéraire dans ses œuvres, Francis Bacon confessait cependant « ne pouvoir imaginer la vie sans littérature ». Ses dieux tutélaires avaient pour noms Eschyle, Shakespeare, Conrad, Nietzsche, ou bien encore T.S. Eliot. Grand amoureux de Paris et de ses écrivains, le peintre britannique entretint de surcroît des relations amicales avec Michel Leiris ou Jacques Dupin, se plongea dans l’œuvre de Georges Bataille, rencontra Marguerite Duras…. Bizarrement, aucune exposition ni aucun livre n’avaient levé le voile sur cet aspect de la personnalité de Francis Bacon, ne retenant bien souvent que la dimension tragique ou sulfureuse de ses œuvres. Lorsque l’on sait que la bibliothèque du peintre contenait quelque mille ouvrages, on mesure l’importance que la littérature revêtait dans son processus créateur, « stimulus puissant de son imaginaire ». Réparation sera fait cet automne grâce à l’ambitieuse exposition du Centre Pompidou et au beau catalogue qui l’accompagne, dirigés tous deux par Didier Ottinger et joliment baptisés « Bacon en toutes lettres ».



(Artpassions n°59 Sept.2019)
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Hopper : Catalogue de l'exposition

Un très bel ouvrage de qualité pour découvrir cet artiste ou prolonger un peu l'émerveillement de l’exposition. Simple et envoutant laisser vous bercer par les jeux de lumières et de lignes droites, ou se mêlent des personnages troublant de par leur ressemblance malgré leurs différences.
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Hopper : Catalogue de l'exposition

Acheté lors de la visite en 2012 au Grand Palaisce catalogue est très complet .Il s'ouvre sur une photo du peintre en 1933 ,puis suit sa biographie (bilingue français/Anglais )Ensuite les oeuvres : L'atelier de Robert Henri/Les séjours parisiens 1906,1909,1910/Les sources d'Hopper Marquet ,Vallotton, Degas/Le travail d'illustrateur 1906/1925/premiers sujets américains 1912-1914(avec l'extraordinaire "Soir bleu" )/Gravures1915-1928/Les photographies/Les aquarelles 1923-1925/Peinture 1923-1932 (ma période préférée)/ Aquarelles 1926-1937/ Peintures/ La partie qui me touche particulièrement est celle qui met en lumière un monde de solitude ,générateur d'angoisse et de désespérance ( le sommet pour moi : "People in the Sun.1960 " ou "Four Lane Road ,1956) ) Parfois même on frôle le fantastique (Night Shadows"1921, "Soir bleu" 1914) .
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Hopper: Ombre et lumière du mythe américain

La collection Découvertes de chez Gallimard ne me déçoit jamais car elle offre dans un petit format une analyse rigoureuse ponctuée de documents en tout genre rendant le sujet traité forcément attractif. La richesse des sources citées permet ensuite au lecteur de creuser s'il le désire la thématique abordée.

En ce qui concerne l'œuvre d'Edward Hopper, le livre se divise en cinq parties qui abordent notamment les thèmes chers au peintre -comme la solitude ou la résistance à une Amérique en passe de devenir une société consumériste-, ses inspirations européennes, sa biographie, mais Didier Ottinger explique aussi comment le travail de l'artiste a été perçu par ses pairs et comment il s'inscrit dans l'histoire picturale de son pays. Il n'oublie pas de mentionner son importance sur le monde littéraire et cinématographique. Le tout est largement illustré par des photos de ses toiles.

Ce livre complète harmonieusement celui de Rosalind Omiston : "Edward Hopper, les 100 plus beaux chefs-d'oeuvre" pour qui veut découvrir cet artiste.
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Hopper : Catalogue de l'exposition

Cet ouvrage reprend toutes les oeuvres d'Edward Hopper réunies lors de l'exposition ayant eu lieu au grand palais d'octobre 2012 à février 2013, que j'ai eu l'occasion de visiter (en dépit de l'immense file d'attente pour entrer !). Superbe souvenir permettant de revivre une magnifique exposition. Bien que n'étant pas un fin connaisseur en matière de peinture, j'ai toujours apprécié les toiles d'Hopper, avec une préférence pour ses paysages ruraux et urbains. J'ai d'ailleurs choisi "nighthawks", sa toile probablement la plus connue, pour illustrer mon compte sur babelio...
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Hopper : Catalogue de l'exposition

A côté d'une exposition incontournable et magnifiquement présentée des oeuvres de Hopper, le catalogue imprimé nous permet de partir et de conserver l'univers très particulier, mais combien réaliste de ce peintre américain. Riche en reproduction des tableaux, les textes accompagnent l'iconographie et l'oeuvre du peintre replacée dans l'histoire sociale et culturelle de l'Amérique entre 19° et 20 siècle.
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Hopper : Catalogue de l'exposition

Si vous n’avez pas eu la chance de vous rendre à cette superbe exposition en 2012-2013, profitez-en pour parcourir ce magnifique catalogue qui nous baigne dans l’univers de cet artiste majeur du XXème siècle. Cet ouvrage nous permet d’admirer l'univers très particulier, mais combien réaliste de ce peintre américain. Si ces 367 pages pèsent trop lourd dans votre sac, découvrez l’e-album de l’exposition : http://www.grandpalais.fr/fr/article/dune-fenetre-lautre-lapplication-hopper-pour-lipad

Maylis

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David Hockney | Catalogue de l'Exposition

Magnifique exposition (et aussi très beau catalogue)

David Hockney a fait un cadeau au Centre Pompidou en fin d'exposition : un tableau de très grande dimension. Merci Mr Hockney



Et depuis, David Hockney a acheté une propriété en Normandie, près de Beuvron en Auge. Bientôt des paysages normands?
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Hopper : Catalogue de l'exposition

Si vous n’avez pas eu la chance de vous rendre à cette superbe exposition en 2012-2013, profitez-en pour parcourir ce magnifique catalogue qui nous baigne dans l’univers de cet artiste majeur du XXème siècle. Cet ouvrage nous permet d’admirer l'univers très particulier, mais combien réaliste de ce peintre américain. Si ces 367 pages pèsent trop lourd dans votre sac, découvrez l’e-album de l’exposition : http://www.grandpalais.fr/fr/article/dune-fenetre-lautre-lapplication-hopper-pour-lipad
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Georgia O'keeffe : Catalogue de l'exposition

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« Il faut du courage pour créer un monde dans tout art. »

Georgia O’Keeffe

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Georgia O’Keeffe : une personnalité qui compte …

Née en 1887 dans le Wisconsin et morte en 1986 au Nouveau-Mexique, Georgia O’Keeffe fut une peintre majeure du XXème siècle et l’icône de l’art moderne.

Féministe avant l’heure (adhérente dès 1915 du National Women’s Party), femme engagée (qui s’opposa à l’intervention des USA dans la WWII), indépendante, solitaire et aventurière, elle fut une artiste qui toute sa vie durant - sur presque 100 ans - n’aura vécu que selon ses propres codes.



… autant que son œuvre !

Artiste inclassable, Georgia O’Keffe a inventé une peinture qui n’appartient qu’à elle, oscillant entre figuration et abstraction avec l’esthétique du pop art.

Ses œuvres flamboyantes, aux couleurs vives et tendres, nous hypnotisent et nous fascinent autant qu’elles nous intriguent. Ils s’en dégagent une énergie vitale et intense nourrie par la lumière et la sensualité. Tout nous invite à la contemplation.



-

« Il est rare que l’on prenne le temps de regarder une fleur. J’ai peint ce que chaque fleur représente pour moi et je l’ai peinte suffisamment grande pour que les autres la voient telle que je la vois. »

Georgia O’Keeffe

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Sa relation en tant qu’épouse et muse du célèbre photographe Alfred Stieglitz, a marqué la peinture de Georgia O’Keeffe : on retrouve dans ses tableaux une certaine façon de voir les choses avec des cadrages resserrés et des gros plans à l’instar de ce que l’histoire de l’art a retenu d’elle avec ses fleurs géantes, ses pétales exubérants et ses pistils charnels.



Ces tableaux de fleurs - qui ne représentent qu’une infime partie de l’œuvre d’O Keeffe - avaient à l’époque déchainé les critiques et provoqué un vrai scandale. L’artiste accusera leurs auteurs de projeter sur ses toiles leurs propres obsessions sexuelles.









Ses périodes et œuvres clés

. Vers l’abstraction : Series I. N°4 (1918)

. De New-York à Lake George : Ritz Tower, Night (1928)

. Un monde végétal : White Iris (1930)

. Ossements et coquillages : Pelvis with the distance (1943)

. Le Nouveau-Mexique : Taos Pueblo (1934)

. Cosmos : Winter Road I (1963)



Anecdotes à picorer

. A 12 ans, Georgia O’Keeffe clamait déjà haut et fort qu’elle serait peintre !

. Elle est la 1ère femme à avoir été exposée au MoMA à New York

. Elle est l’artiste femme la plus chère au monde [billet]

. Devenue presque aveugle vers la fin de sa vie, Georgia O’Keeffe continuera malgré tout à peindre aidée d’un assistant



Exposition

Le @centrepompidou consacre une exposition à Georgia O’Keeffe jusqu’6 décembre prochain. Pour l’occasion, une centaine d’œuvres de la peintre - provenant du monde entier - ont été réunies.

Foncez-y, c’est sublime !


Lien : https://www.instagram.com/un..
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Nom d'une pipe !

Petit livret intéressant qui explique la confrontation entre Magritte et les surréalistes représentes par André Breton, ce dernier étant un adepte de Hegel, pour qui la peinture n'avait pas la même valeur d'expression que la poésie. La poésie pouvant exprimer des idées et la peinture n'étant que du mimétisme.



Avec son tableau peut-être le plus connu : "La trahison des images", René Magritte prouve le contraire. Et définitivement, il suggère à Hegel de se distraire en regardant des images, ce seraient ses vacances.
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Bacon en toutes lettres

Très beau catalogue de l'exposition Bacon, du Centre Pompidou.

Une belle manière d'approfondir la visite de l'exposition!

Si beaucoup de monde admire, ou s'interroge, ou déteste (c'est selon) les peintures, en majorité de grand format et sous verre, la foule est plus que clairsemée pour écouter les textes associés. Je ne suis pas sûr que le but de connecter littérature et création soit atteint!

D'ailleurs pourquoi ne pas prendre en compte au premier degré le point de vue de l'artiste qui a contesté ce lien, puisque celà revient à regarder ses oeuvres comme des "illustrations" des livres, mot que Bacon déteste et refuse absolument.
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Le futurisme à Paris : Une avant-garde explos..



ce petit livre (59 pages) bilingue sur le futurisme s'est révélé très intéressant. il donne les bases pour comprendre ce mouvement et son influence au début du XXème siècle.



le livre est bien construit et se lit facilement. il constitue une base de connaissance mais n'est pas suffisant si vous souhaiter approfondir le sujet mais là n'est pas sa vocation.



Les illustrations sont grandes et de qualité.
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