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Citations de Duane Swierczynski (52)


- Toi, l’armoire à glace ? C’est quoi ton nom ?
- J’ai eu beaucoup de noms. Angelo, Ray…et aucun n’était vrai. Alors pour l’instant…appelez-moi Bloodshot.
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- Et toi, l’armoire à glace ? Tu es ?
- J’ai eu beaucoup de noms. Angelo, Ray... et aucun n’est vrai. Alors, pour l’instant... appelez-moi Bloodshot.
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Ça suffit, Perp. Tu es condamné à une double perpétuité.
Peut-être qu’après la première, tu changeras de version.

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Heureusement, il existe un autre système essentiel à la survie de la cité.
Quand la loi est malmenée, ils sont là pour la maintenir.
Ce sont… les Juges.
Les Juges appliquent une justice expéditive dans une cité au bord du chaos.
Pas d’avocat, pas d’appel, pas d’arrangement.

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Je suis tombé un jour amoureux d'une blonde. Elle m'a appris à boire. C'est la seule chose dont je lui suis redevable.
W.C. Fields
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Rah, ça sent les ennuis, là.
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On ne t’a jamais dit qu’il ne fallait pas faire le foufou quand on voyage dans le temps ? Nos destins pourraient être interdépendants à jamais…Ou, au moins jusqu’à ce qu’ils annulent notre série commune…
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Plus tard, Jack se remémorerait ce moment et comprendrait que ce n'était pas au moment où elle l'avait infecté que son cauchemar avait vraiment commencé, mais à cet instant précis.
L'instant où il avait commencé à la croire.
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WADE WILSON.-Je me suis donc porté volontaire pour la mission qui allait changer ma vie... Et les livres d'Histoire, si je puis me permettre.
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- J'ai mis du poison dans votre verre.
- Pardon ?
- Vous avez bien entendu.
- Heu, je n'en suis pas sûr.
La blonde leva son Cosmopolitan.
- A la votre.
Jack ne l'imita pas. Il garda la main posée sur son verre à bière, qui contenait les deux derniers doigts de boilemaker qu'il sirotait depuis un quart d'heure.
- Vous avez bien dit que vous m'aviez empoisonné ?
- Vous êtes de Philadelphie ?
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- Nous avons eu une appel dénonçant une violence conjugale en 702. De la part du voisin d'en face. Pouvez-vous aller voir ?
- Bon sang, c'est quoi le nom ?
- Jack Eisley, comme les Esley Brothers, je suppose.
- Charlie se tut un instant, puis décida qu'il lui fallait poser la question :
- Le mec est noir ?
- Quelle importance ? Demanda le réceptionniste, qui était noir.
- Allez tu vois bien ce que je veux dire.
- Je cherche... Voilà son permis de conduire. Non, il est blanc, il vient de l'Illinois.
- OK, je monte.
- Un truc qui fallait que tu saches.
- Quoi ?
- Je crois que c'est un cas de violence de la femme sur l'homme. Le type au téléphone avait l'air de dire que c'était le mec qui se faisait tabasser.
Charlie se dit que ça changeait pour une fois.
- OK, j'vais y aller doucement.
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Je ne suis plus Sarie Holland. Je suis l'informatrice anonyme 137. IA 137 déambule dans les rues couvertes de neige et de verglas de South Philly, en état de choc. Pas de sac à main, pas de téléphone, pas de clés de voiture, pas de papiers d'identité, rien. Il y a une chose qu'elle sait. Elle ne peut pas rentrer chez elle. Parce que la mort qui la poursuit ira là-bas aussi.
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D’autres manières de faire de l’argent firent irruption dans mon esprit, bien sûr. J’envisageai brièvement de devenir détective privé. Je pouvais rencontrer des clients dans le passé, puis utiliser Google pour « résoudre » leur affaire dans le présent. Il n’y avait qu’un problème, évidemment ; presque personne dans le passé ne pouvait me voir.
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Chaque rencontre anodine au bureau se transformait en bataille psychologique en miniature. Les outils de Murphy étaient les plus cruels de tous : des questions conçues pour simultanément provoquer vos défenses et révéler une de vos vos faiblesse, en vous forçant à défendre une position ou une déclaration tout en semant les graines du doute dans votre esprit. Au cours des derniers mois, Ania avait détecté un schéma :
Il n'y avait pas de schéma.
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Voir un sourire apparaître sur le visage de Molly était assez troublant. Un peu comme voir la bouche d'une patiente dans le coma se déformer spontanément dans un rictus de béatitude imaginaire.
"Tu vas me passer par une autre fenêtre, Niiichole ?"
Nichole répondit en la projetant d'un coup de pied à travers une nouvelle fenêtre.
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La vie avec le bébé, c'était...
Jour.
Nuit.
Jour.
Nuit.
Qui finissaient par se confondre.
On n'était pas prévenus que devenir parents, c'était comme se mettre aux hallucinogènes. On voyait la vie qu'on connaissait disparaître dans un brouillard gris. En même temps, si on l'entendait dire, on n'y croyait pas.
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Je sais pas si t’es là , grand-père, ou là-haut, peu importe. Je suis ta petite-fille. Je ne cherche pas utiliser ta mort pour réussir, je te le jure. En fait, je me sers de ta mort pour éviter de me noyer.
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Emmanuel Kuretich était mon superviseur jusqu'à ma rébellion contre le projet Rising Spirit.
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« Quand il s’exprime en son nom, l’homme manque parfois de franchise. Mais donnez-lui un masque et il vous dira la vérité. » Oscar Wilde
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Rien ne m’est familier mais instantanément, j’aime l’ambiance de l’endroit. Le sel piquant de l’océan, les marches mouillées qui descendent vers une petite promenade d’où on peut observer les phoques se prélasser dans une petite anse sableuse. Les bestioles étaient adorables, mais elles puaient, comme promis. C’était à la fois beau et à donner la gerbe, comme tellement de choses dans la vie.
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