Durian Sukegawa

Ce roman est une ode à la simplicité, à la compassion, à la beauté des petites choses et des bonheurs de la vie. Durian Sukegawa m'a beaucoup émue, les personnages sont très attachants de par leur humanité et leurs traits de caractère singuliers. Au-delà de la beauté du récit, c'est aussi une approche très intéressante de la culture japonaise. Une lecture réconfortante qui ne vous laissera pas indemne.

Cette œuvre restera indéniablement dans mes lectures favorites. C'est une lecture qui m'a fait du bien, je me suis très vite attachée aux protagonistes, peu nombreux mais particulièrement bien abordés. Les relations humaines semblent pures et la dureté de la vie est adoucie par cette pâte de haricots confis... L'adaptation cinématographique retranscrit plutôt bien les émotions du livre. A lire et à relire !

J'ai bien de la chance en ce moment, je ne lis que de petites merveilles et cet ouvrage ne fait pas exception : c'est une ode à la tolérance, aux sens, à la poésie. C'est doux comme le printemps, chaud comme l'été, nostalgique comme l'automne et parfois triste comme l'hiver... une jolie découverte !

J’ai été très ému par ce roman, je ne m’attendais à rien mais j’ai été agréablement surpris. C’était très doux et calme comme ambiance. Le passage de sensibilisation à la maladie d’Hansen a été très bien amenée j’ai été très touché d’apprendre l’histoire autour de cette maladie. Malgré que ce livre soit court je me suis pris d’attachement pour Tokue, cette vieille dame au discours farfelu « écoutez les haricots »

Une découverte du Japon via une de ses traditions culinaires, à travers des personnages sensibles sans être mièvres.

On passe par des sentiments variés et on est transporté dans ce Japon aux cerisiers si représentatifs de l’humeur du jour.

Une très jolie histoire, touchante et originale.

La littérature japonaise, en tout cas ce que j'en connais, a ce rythme si particulier qui enchante le quotidien.

Cette capacité à rendre poétique chaque rencontre et chaque jour unique. Au croisement des émotions, même la tristesse devient belle et la joie est timide.

Ce roman est un moment de détente, une pause dans le reste de la vie.

Une œuvre magnifique même si trop courte, mais c'est peut-être là aussi son charme.

Une lecture surprenante. Je m'attendais à parler cuisine et dorayaki pendant tout le livre, mais c'est une toute autre histoire que l'on découvre. Plus humaine encore.



Le personnage de Tokue incarne pour moi toute la sagesse et le lien avec la nature qui sont très présents dans la culture japonaise ... Et qui nous manque beaucoup dans notre culture occidentale. En parlant de cuisine notamment, mais pas seulement, elle défend la connexion avec notre environnement. Que nous existons pour en être spectateur et non le contraire.



C'est une plume pleine de poésie que l'on découvre. Par moments peut-être un peu trop répétitif et j'ai eu un peu de mal à atteindre la fin car j'ai fini par avoir la sensation de ne pas assez avancer.

Ce n'est pas un coup de coeur mais plutôt une agréable surprise :) !

Le livre se veux anthropomorphique mais n'en fait pas trop. Il arrive à donner une perception des sens du corbeau, plutôt que de le faire littéralement parler.



Mais, tout ça bascule dans le trop à la fin du livre, que je n'ai pas aimé.

Il aurait pu faire comme dans le romantisme/sensationnalisme.



Sinon, il se lit très vite et vous fait oublier le temps qui passe. Je ne recommande pas sa lecture si vous êtes en période dépressive ou que vous vivez quelque chose qui vous pèse sur le coeur.

L'enfant et l'oiseau est un livre surprenant. D'un coté, il y a Ritsuko et son fils Yôichi qui vivent comme ils le peuvent dans un HLM rempli de règles toutes plus sottes les unes que les autres. De l'autre il y a Johnson, petit corbeau tombé du nid qu'ils recueillent malgré l'interdiction (ce qui lui vaudra l'expulsion de l'immeuble…) Mais au final, cette expulsion sera salutaire pour Johnson car dans sa fuite il fera une belle rencontre…

C'est un roman très doux et plein de significations. Une mère célibataire qui tire le diable par la queue, un bébé abandonné, recueilli puis abandonné a nouveau… Nouvelle rencontre, nouvelle vie, nouvelle famille… Bref, la vie est faite de haut et de bas qu'on soit humain ou corbeau.

La courte longueur des chapitres donne un certain rythme à la lecture et l'alternance des univers au milieu du livre donne le sentiment d'un rebondissement et maintien le lecteur en haleine jusque la dernière ligne.

this book broke me

Une petite invitation au voyage et à la gourmandise. le livre nous raconte une histoire d'amitié et de vie touchante et sème quelques touches de poésie qui nous permettent de s'évader le temps de la lecture.

Il se lit très rapidement donc n'hésitez pas si vous souhaitez passer un joli moment.

J'ai bien aimé cette lecture. Un bouquin qui se lit vite. L'auteur nous emmène au fil de son récit et par sa déscription de ses patisseries japonaises nous met l'eau à la bouche. Ce livre est une belle histoire d'amitié entre un homme et une vieille femme mais surtout une belle leçon de vie. Les personnages sont peu nombreux mais sont authentiques. Une lecture touchante mais pas un coup de coeur.

En refermant ce livre, j’ai eu une irrésistible envie de dorayaki !



Les pages défilent autour de ce met typique du pays au soleil levant (c’est une petite pâtisserie qui s’accompagne de pâte de haricots rouges), faisant pont entre gourmandise et humanisme.

Au rythme des saveurs, des textures, du savoir-faire et des pétales de fleurs de cerisiers, on va assister à une rencontre singulière :

Sentarô, gérant d’une échoppe de dorayaki, roule sa bosse sans entrain ni passion, le regard vide afin de rembourser sa dette. Il embauche Tokue, une vieille femme au talent certain pour une pâte de haricots réussie. Une étrange collaboration qui signe la recette du succès !

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Un récit simple, presque plat.

Une plume sans prétention mais qui ébranle et anime l’être.

Derrière 𝐋𝐞𝐬 𝐝𝐞́𝐥𝐢𝐜𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐓𝐨𝐤𝐲𝐨 se cache un pan plus fort que des recettes de pâtisseries. À la fois pudique et poétique, on aborde la résilience, les préjugés, la différence, l’acceptation de soi.



Une ode à la cuisine, aux sens mais surtout, un témoignage vibrant de vie.
Lien : https://www.instagram.com/p/..

La vie est faite de rencontres.

Certaines d'entre elles, souvent inattendues et parfois brèves, nous donnent des clés essentielles qui nous aident à franchir des étapes.



Sentâro (vendeur de doryakis), Swankana (jeune étudiante) et Tokue (vénérable vieille dame rescapée de la lèpre) vont en faire l'expérience.



On découvre la pâtisserie japonaise et le statut des lépreux à Tokyo.

Pour le reste, j'ai trouvé le texte un peu maladroit. Quelques pointes poétiques (sur la lune et les fameux cerisiers), des dialogues plus que chiches.

Décidément, je n'accroche pas sur les auteurs japonais.

Ce roman à la couverture et au titre emprunts d'innocence et de légèreté s'ouvre sans surprise sur des évocations gourmandes. Les descriptions de saveurs, d'odeurs et de textures sont justes et éveillent les sens avec subtilité.

Mais cette première partie toute japonaise : contemplative en ne laissant aucun détail de côté, laisse place à une intrigue bien plus profonde et touchante. Et d'un seul coup, vous voilà plongé dans une toute autre histoire.



J'ai été transportée par ce roman. Son intensité dramatique changeante m'a prise au piège car je m'attendais à une histoire bien plus contemplative et uniquement centrée sur la cuisine et la transmission. C'est une belle histoire, qui enseigne et bouleverse à la fois.

Une petite invitation au voyage et à la gourmandise. Le livre nous raconte une histoire d’amitié et de vie touchante et sème quelques touches de poésie qui nous permettent de s’évader le temps de la lecture.

Il se lit très rapidement donc n’hésitez pas si vous souhaitez passer un joli moment.

Je suis certes fan de litterature Japonaise pour sa finesse, sa poesie, sa douceur... mais tout n'est pas bon à lire. Je conseille cependant fortememt ce roman à tous les gourmets, gourmands, émotifs, sensibles et hypersensibles, à tousbles amoureux de la Vie.

Un livre magnifique ; doux, touchant, et très intéressant. Un titre tout simple, qui promet une lecture facile, mais qui cache une réalité plus sombre, un pan de l’histoire qu’on ne connaît pas.



Grâce à ce roman, j’en ai appris beaucoup sur une maladie que je ne connaissais que de nom. Et aussi, beaucoup sur les pâtisseries japonaises… j’ai maintenant envie de faire des gâteaux, ce que je fais rarement !



J’ai aimé découvrir cet homme triste, cette vieille femme qui écoute les haricots azuki. L’écriture est fluide, et aide à s’immerger dans cette relation atypique mais rayonnante.



Je le conseille, à tous ceux qui veulent lire sans se prendre trop la tête ; on y apprend plein de choses, mais avec une tellement douceur que ça reste un vrai plaisir.

C’est un livre court qui se lit rapidement.

Un délice, une douceur, une dégustation…



J’ai apprécié ce roman japonais, il y a de la tendresse, mais il y a aussi du désespoir.

L’histoire de Tokue cette vieille dame mis hors de la société parce qu’elle est malade à l’age de 14 ans. Elle perds ainsi son identité, sa famille, sa vie… J’ai plus entendu son cri de détresse que la dégustation des pâtisseries japonaise.



Un hymne à la vie…

Et comme le dit si bien la description : Poignant, poétique, sensuel : un régal.





Bonne lecture !

Une lecture surprenante et émouvante.



Tokyo, époque contemporaine, Sentarô cuisine chaque jour des dorayaki : une pâte sucrée de haricots rouges, glissée entre deux pan-cakes. Ses pâtisseries sont toutefois fades et le client se fait rare.

Il embauche une dame très âgée, Tokue, qui va relancer le commerce grâce à son savoir faire. Elle est adorable et très attachante.

Il y a un « mais ». Ils sont contraints de se séparer et Sentarô va découvrir le terrible secret de Tokue.



La lecture devient mélancolique saupoudrée d’injustices, car les préjugés d’antan restent tenaces.



Une lecture magnifique !