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Critiques de Elizabeth Haran (153)
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Au pays des eucalyptus

J'ai retrouvé avec plaisir la plume d'Elizabeth Haran.



Une plongée immersive dans l'Outback Australien. Les descriptions sont magnifiques, on a l'impression d'y être. À travers les mots de l'auteure on ressent l'amour qu'elle porte à ce pays et cet environnement.



Porté par un personnage fort, ce roman se dévore. Cette institutrice londonienne, Nola, a un caractère bien trempé et surtout des idéaux qu'elle défend avec ferveur en se moquant des convenances de l'époque. En effet, selon elle, la femme est l'égale de l'homme et elle se bat pour l'émancipation de la femme. Mais elle va vite se heurter à l'hostilité du propriétaire, exécrable, qui n'a aucune estime pour les femmes. Quand à Galen, le régisseur, il n'est pas de meilleur accueil. À travers ce récit on découvre aussi le quotidien des éleveurs de bétail et c'est instructif, on apprend aussi sur la culture Aborigène, enrichissant et spirituel. C'est un très beau livre qui mérite d'être lu, surtout si vous avez besoin d'évasion ou si vous voulez être marqué par un personnage fort.



Un roman riche en émotions et en descriptions.


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Au pays des eucalyptus

De cette autrice j'ai lu Etoiles dans le ciel du sud qui avait été une très chouette lecture, j'étais curieuse de découvrir son nouveau roman et ça a été une très agréable lecture, peut être même un petit coup de cœur.



Coup de cœur en grande partie pour le personnage de Nola que j'ai adoré! On la découvre à Londres alors qu'elle vient une nouvelle fois de se faire renvoyer. Elle est enseignante, et ses idées avant-gardistes ne conviennent pas à tout le monde et ne sont pas très bien vues dans le bonne société anglaise. Son employeur lui propose un poste, en Australie, en plein Outback, loin de tout. Nola voit sa comme un nouveau départ et accepte avec enthousiasme. Mais son enthousiasme va vite retomber une fois arrivée sur place...



Nola m'a plu dès les premières pages. J'ai aimé son caractère bien trempée, très en avance sur son temps. Elle prône l'égalité entre les hommes et les femmes, et il faut reconnaître qu'en 1910 ce n'était ni très répandu ni très bien perçu...! Elle dit ce qu'elle pense, sans filtres, tant pis si ça ne plait pas! A Londres, c'est assez mal vu, et dans l'Australie profonde, ils ne sont pas habitués à ça. Mais petit à petit, elle va s'adapter au mode de vie de l'outback, prendre son rôle très à cœur et se faire une place dans la vie des habitants. Elle a une grande force en elle, elle fait preuve de beaucoup de courage et de combativité, elle est impressionnante et force le respect. Je l'ai trouvé très pétillante et attachante.

Les personnages qu'elle va côtoyer je ne vais pas vous en parler car ils évoluent beaucoup aux côtés de Nola et j'ai envie de vous laisser les découvrir au fil des pages! Je vous dirais juste qu'ils sont tous très intéressants et attachants à leur manière, mes coups de cœur vont à Shannon et Galen.



Ce roman, une fois ouvert, il est très difficile d'en sortir. Il se dévore et se savoure en même temps. L'écriture est fluide, souple, addictive. On est plongé dans cette Australie étouffante, chaude, aride où la vie est rude et compliquée. On s'y croit vraiment, le style est très immersive, c'est une lecture vraiment dépaysante.

J'ai adoré suivre Nola, son adaptation dans l'outback, comment elle va bousculer les hommes là-bas, voir leur quotidien si difficile. Mais aussi l'évolution des personnages, ils savent se remettre en question font preuve d'intelligence.

J'ai adoré ce roman, vraiment. Je l'ai trouvé passionnant et ça a été un plaisir de me plonger dans ses pages et de voyager à travers elles. Le seul petit bémol que j'ai, c'est la fin que j'ai trouvé un peu trop rapide pour moi, mais peut être aussi car j'étais tellement bien dans ma lecture que j'en aurais aimé un petit peu plus!



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Au pays des eucalyptus

Londres, années 1910. Nola Grayson est une jeune institutrice avec des idées un peu trop moderne pour la société londonienne. Après plusieurs renvois, elle se voit proposer un poste en Australie. Elle décide de tenter l’aventure.

Elle arrive dans une partie reculée du bush où son nouvel employeur pense accueillir un instituteur et non une institutrice, c’est donc une déconvenue pour son patron Langford Reinhart. Pour lui, le bush n’est pas fait pour une femme en raison des conditions de vie plutôt difficiles.





Dès les premières pages, j’ai su que j’allais passer un bon moment avec cette fiction historique.



Les descriptions sont belles et nombreuses, si bien que le lecteur est embarqué dans le quotidien plutôt rude du bush australien. On va y retrouver une grande exploitation de bétail, (un peu à l’abandon ), des promenades à cheval, la sécheresse, le manque d’eau pour la vie quotidienne, la rencontre avec des aborigènes.



Nola Grayson est un personnage féminin fort. Elle force l’admiration. Elle met à profit ses connaissances pour faire évoluer la situation de l’exploitation. Elle n’a pas une minute à elle, c’est à peine si elle a le temps de jouer son rôle d’institutrice. Elle en fait même un peu trop pour moi. Chaque jour, il se passe quelque chose et Nola va à chaque fois sauver la situation. C’est sûr qu’on n’a pas le temps de s’ennuyer, mais ça rend l’histoire peu crédible, et un peu longue.



Malgré ce côté un peu too much pour moi, j’ai bien aimé cette immersion en Australie.
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Au pays des eucalyptus

Quand j’ai lu le résumé, j’y ai vu des éléments que j’aime beaucoup en ce moment : une femme qui part en Australie. Pourtant je ne rêve pas d’y aller… les bêtes y sont trop grosses ! Mais je trouve que ces histoires me font m’évader et, en ce moment, c’est exactement ce qu’il me faut ! C’est donc avec cette envie d’évasion que j’ai commencer ma lecture.



Nola Grayson est assez en avance sur son temps. Cette jeune enseignante veut montrer aux filles qu’elles ont accès aux mêmes choses que les garçons… Ce qui ne passe pas vraiment au début du XXe siècle !

Renvoyée de chacun de ses postes à cause de ses idées, Nola ne sait plus quoi faire… jusqu’à ce qu’on lui propose un poste au fin fond de l’Australie ! Pour elle, c’est une nouvelle aventure qu’elle veut vivre.

Mais une fois Nola sur place, elle se rend compte qu’elle va devoir faire ses preuves… son patron semble persuadée que les femmes n’ont pas leur place sur ses terres, les conditions de vie y étant très difficiles.



Au début je dois avouer que j’ai eu du mal avec Nola. J’avais l’impression qu’elle voulait trop prouver quelque chose et ça faisait… trop !

Mais une fois qu’elle est en Australie, alors même qu’elle doit faire ses preuves, j’ai adoré son sacré caractère qui m’avait dérangé au début. On ne peut nier que Nola est une battante ! Elle est prête à mettre la main à la pâte, elle ne se démonte pas quand elle a une idée en tête… et elle a l’esprit ouvert !

Sa détermination à s’intégrer dans cet environnement si étranger pour elle est très admirable. C’est quelque chose qui m’a particulièrement plu chez Nola d’ailleurs.



J’ai découvert la plume d’Elizabeth Haran et elle est superbe ! Très addictive, une fois lancée, je ne voyais pas les pages défiler. Elle fait voyager, exactement comme je le souhaitais.

J’ai aimé toutes les intrigues qu’elle a mis dans son histoire, c’est d’ailleurs pour cela que je n’arrivais pas à lâcher ma lecture. Je voulais voir quelle gaffe allait faire Nola, comment elle allait s’en sortir… et tellement d’autres choses ! Mais je préfère ne pas trop en dire, j’aurais peur de spoiler !



C’est une histoire qui est dans la même veine que les sagas d’Anna Jacobs… et comme je l’ai déjà dit, je les adore ! Donc si vous aimez également Anna Jacobs, vous pouvez lire cette histoire sans hésiter !



C’est donc une belle découverte ! Je lirais d’autres romans d’Elizabeth Haran s’il y a d’autres traductions, ça c’est sûr.
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Au pays des eucalyptus

Dans les années 1910, nous retrouvons Nola, une jeune femme anglaise dans la belle ville de Londres.



Nola est institutrice pour des familles pour la plupart aristocrates. Cela ne se passe pas pour le mieux ! Les valeurs de Nola ne sont pas en adéquation avec ses employeurs et une grande partie de la société londonienne.



En effet, malgré son interêt inépuisable pour les enfants, Nola prône également l’émancipation de la femme à la recherche d’une égalité entre les hommes et les femmes. Elle le met bien évidemment en pratique avec ses petits protégés, ce qui n’est pas au goûts des parents.

Elle se fait donc renvoyer successivement de familles en familles.



Une opportunité la conduira en Australie, une famille d’un coin retiré du pays, dans l’outback est à la recherche d’un instituteur.



Le voyage sera long et éprouvant mais Nola compte bien pouvoir trouver sa place dans ce nouvel environnement totalement reculé.



Son accueil sera pour le moins glacial, en effet, ses employeurs s’attendaient à un homme…les femmes n’étant pas les bienvenus.



Nola fera alors preuve d’une grande détermination pour faire sa place et démontrer ses grandes qualités.



Le récit est centré sur elle et ses nombreuses péripéties.

Sa survie en milieu hostile ne sera pas de tout repos mais elle saura garder en tête sa volonté à défendre ses valeurs.



C’était une belle histoire très dépaysante. J’ai aimé la plume de l’auteure et la construction de l’histoire mais j’ai tout de même été un peu déçue par l’enchainement successifs d’évènements subies par Nola. J’ai trouvé ça un peu redondant.



Cela reste une belle découverte et je remercie Netgalley et les éditions Archipel de m’en avoir fait profiter.
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Au pays des eucalyptus

Mon avis



Je remercie les Editions L'ARCHIPEL de m'avoir envoyé « Au Pays des eucalyptus » roman de Elisabeth HARAN, dans le cadre de Masse critique BABELIO.



La très jolie couverture et le résumé fort alléchant m'ont de suite interpellée.

L'auteure nous emmène en 1910 à Londres. Nola, jeune préceptrice perd son emploi au motif qu'elle est trop engagée pour l'émancipation des femmes. Elle accepte donc un poste en Australie pour enseigner aux trois enfants du régisseur d'une exploitation d'élevage de bovins située dans l'outback.



Nola est une personne très attachante, courageuse, téméraire et bien décidée à prouver à tous qu'une citadine peut travailler autant qu'un homme et s'acclimater à la rudesse de ces terres sauvages où elle pose ses bagages.





Elisabeth HARAN décrit avec moult détails la vie difficile des habitants et leur étroitesse d'esprit, la sécheresse, la beauté des paysages, la faune et la flore. Il en est de même pour les relations avec les aborigènes, leurs coutumes et croyances mais également les traits de caractère des protagonistes de son roman que l'on peut aisément imaginer.



L'histoire est intéressante, l'action bien menée et les secrets se dévoilent au fil des mots de l'auteure.



J'ai ADORE cet ouvrage où amour, haine et trahisons sont au programme et qui fait penser aux sagas de Tamara McKINLEY, auteure que j'aime beaucoup.

Je l'ai lu pratiquement d'une traite, ne pouvant me résoudre à le refermer, tant j'avais hâte d'en connaître le dénouement.



Je recommande ce très beau livre aux amateurs du genre qui, comme moi, passeront un excellent moment de lecture et d'évasion. Voyage et dépaysement assurés.



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Au pays des eucalyptusElizabeth Harantous les livres sur Babelio.com
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Au pays des eucalyptus

Au milieu des infos toujours plus sombres de cet hiver européen 2021 (coronavirus, froid, vaccin trop lent, couvre-feu, blablabla), les éditions L'Archipel sortent un roman d'Elizabeth Haran, qui fait du bien par où il passe. La "spécialité" de l'auteure, non, pas les andouillettes au vin blanc, non, pas la blanquette de veau, mais l'Australie. Oui, l'Australie, rêve de nombre d'entre nous, pays chaud (vous les voyez les 20 cm de neige dehors pendant que Madame Aigre-Douce rédige), à l' Histoire prenante, aux paysages sans doute magiques et à la sécheresse intense.

C'est surtout à cette sécheresse, et à l'étroitesse apparente des mentalités des habitants de l'outback australien, que va être confrontée Nola. Nola, c'est une jeune, grande, imposante institutrice anglaise. Elle est surtout un peu grande-gueule, comme on dirait aujourd'hui, émancipée, et pour l'affirmation des femmes. En 2021, ça passe crème. Mais Nola, et ce roman, sont en 1910. Et à cette époque-là, au sein de la bonne société anglaise, ça pique un peu. Nola se fait donc virer de plusieurs demeures où elle enseigne aux filles comme aux garçons, jusqu'à ce que, à bout de propositions d'emploi pour elle, son boss l'envoie en Australie. Il a en effet reçu une demande du domaine Reinhart, qui cherche un percepteur pour les trois enfants du régisseur. Toi, lecteur, tu sais qu'ils attendent en fait un homme sur ce domaine, pour prendre en charge l'éducation des enfants et se montrer apte à différentes tâches sur l'exploitation. Et tu sais aussi que c'est Nola qui y va. Mdr. Donc tu t'attends bien aux problèmes qu'elle va rencontrer...

Après un voyage chargé de péripéties, l'arrivée de Nola déclenche déjà une petite tempête dans la minuscule ville d'où elle prend le départ en diligence pour le domaine. Alors quand elle arrive sur son lieu de travail, c'est l'apocalypse. Le vieux propriétaire, malade, solitaire, pleurant encore sa femme après une dizaine d'années, en est tout retourné, le régisseur père des enfants dont Nola aura la charge fait gravement la gueule, un des employés se positionne direct pour de futures fiançailles... Ben oui quoi, des femmes, il n'y en a pas beaucoup dans le coin. Mais la charmante écriture et les belles descriptions d'Elizabeth Haran vont nous accompagner, nous, lecteurs (surtout lectrices sur ce coup-là sans doute) lors des efforts de Nola pour s'impliquer dans la vie du domaine, aller à la rencontre des tribus aborigènes qui l'entourent, débourer un cheval récalcitrant, apporter sa contribution pour sauver le cheptel et combattre la sécheresse, s'occuper des enfants, bref : gagner et tenir sa place. Les quelques répétitions et passages un peu plus poussifs s'effacent car le courage de Nola fait rêver et voyager. Madame Aigre-Douce s'est sentie fière pour elle, pour sa force et ce qu'elle accomplit. Et une petite bouffée de fierté, la peau brûlée par le soleil d'Australie, le nez plein du parfum des eucalyptus, quand tu es en legging dans ton canap', avec un après-midi tout gris pourri dehors, ça fait pas de mal !

Les autres romans d'Elizabeth Haran, Au pays du soleil rouge et Etoiles dans le ciel du Sud, se concentrent sur le même sujet : de jeunes femmes de la bonne société anglaise sont poussées par les circonstances à émigrer en Australie. Madame Aigre-Douce se laissera sans doute de nouveau tenter par un des deux autres, pour de petites vacances par exemple. Faites-en donc de même pour vous évader quelques heures...

Conclusion : Un petit peu de féminisme, un petit peu de nature writing, un petit peu de saga familiale, un petit peu de mystère, un petit peu d'aventure. Des petits peu qui font un tout agréable à lire et un beau roman d'évasion.
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Le pays du soleil rouge

J'ai dans l'ensemble beaucoup aimé cette lecture dépaysante puisque je n'avais jamais lu de romans se déroulant en Australie. Les reptiles cachés un peu partout, la chaleur, les bestioles pas très rassurantes, tous ces éléments donnent une ambiance pesante. Les habitants que Lara rencontre sont attendrissants et pittoresques. On ne s'ennuie pas un instant, les pages se tournent toutes seules.

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Mais j'ai eu du mal avec Lara, que j'ai trouvée mièvre et superficielle, parfois même hautaine. J'ai également déploré le fait que les actions se déroulaient trop rapidement : en 3 lignes, un personnage meurt. Les scènes romantiques sont également un peu trop présentes à mon goût, mais c'est personnel, j'ai toujours eu du mal avec les scènes d'amour.

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Dans l'ensemble, j'ai beaucoup aimé ma lecture, que j'ai trouvée originale et dépaysante, mais aussi instructive en faits historiques.
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Étoiles dans le ciel du sud

En une journée Estella perd tout. Après avoir appris qu'elle était enceinte, elle voit son mari qui la trompe avec sa cousine, qu'il est ruiné et qu'il souhaite divorcer... Alors qu'elle ne sait pas ce qu'elle va devenir, sa tante la pousse à accepter le poste de vétérinaire laisser vacant par son père récemment décédé en plein coeur du bush australien. Elle qui a toujours vécu dans le luxe londonien, le contraste va être saisissant et elle va devoir en plus se faire accepter par les habitants de Kangaroo Crossing assez hostiles à sa venue.



Je n'ai pas dévoré ce livre, j'ai pris mon temps pour le lire et le savourer. Déjà parce qu'il est assez dense et ensuite parce que j'ai tellement aimé me retrouver immerger dans le Bush australien que j'avais plaisir à m'y plonger.

Je me suis beaucoup attachée au personnage d'Estella. En un chapitre au début du roman, elle connaît toutes les émotions possibles. Elle apprend qu'elle est enceinte, puis elle se fait quitter par son goujat de mari. Dans ce tumulte d'émotions, elle se réfugie chez sa tante qui va l'aider à accepter les perspectives qui s'offrent à elle. Partir pour le fin fond de l'Australie n'était pas dans ses premiers plans, mais finalement elle va accepter de se faire à l'idée.

Tout au long du roman elle fait preuve de beaucoup de ténacité et de courage. ça ne va vraiment pas être gagner car dès le soir de son arrivée, les locaux ne sont pas vraiment ravie de la voir débarquer. Malgré toutes les difficultés, elle va faire front, elle va s'adapter. Elle ressent beaucoup d'empathie pour les gens, elle est très touchante et attachante. Mais à côté de ça, elle peut paraître très naïve à certains moments et ça peut être agaçant!



Même si bien entendu, une romance va éclore, ce roman c'est surtout l'histoire d'une femme qui va se reconstruire, se chercher et se trouver, l'histoire d'une renaissance. Comment une femme qui a toujours vécu dans le confort, qui a toujours été dorloté, va affronter les difficultés de la vie et y faire face.

L'écriture de l'auteure est vraiment agréable et très immersive. Elle alterne les dialogues et les passages plus narratifs, ce roman se lit facilement. On est totalement plongé dans le Bush australien, son climat dur et aride, ses paysages de sable à perte de vue.



Ce roman est une superbe histoire de reconstruction avec des personnages attachants, une écriture totalement dépaysante, tout est réunit pour passer un très joli moment de lecture!

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Étoiles dans le ciel du sud

Dans les années 50, Estella apprend qu'elle est enceinte. Décidant de l'annoncer de suite à son mari James, avocat, elle va à son cabinet et découvre avec stupeur qu'il l'a vendu. A la recherche de son mari, elle tombe sur une scène qui la choque au plus haut point : son mari sort d'un hôtel avec la cousine d'Estella et l'embrasse. L'univers de cette dernière s'écroule.James lui apprend qu'ils sont ruinés et que pour conserver son style de vie il a décidé de divorcer et d'épouser Davinia. Estelle, bouleversée, s'installe chez sa tante Flo qui lui apprend alors un secret de famille. Afin de panser ses blessures, elle décide de partir pour l'Australie pour occuper le poste de vétérinaire à Kangaroo Crossing laissé vacant suite au décès du précédent.



La jeune femme arrive sur le lieu de sa nouvelle vie et ses illusions s'écroulent alors : la ville est en fait un hameau de 13 âmes, dans le bush désertique et coupé du monde, où il faut acheter de l'eau pour en avoir,  et la maison où elle s'installe est un taudis. Elle va devoir s'adapter et aussi réussir à s'imposer en tant que vétérinaire et femme. Son arrivée à Kangaroo Crossing ne va pas seulement la révéler à elle-même mais va aussi réveiller le hameau et ses habitants. Elle va apprendre à vivre dans les privations et la chaleur mais va aussi connaître la solidarité.



L'auteure nous entraîne dans un lieu à la fois désertique et coloré où la vie est difficile. Les descriptions sont bien étoffées à tel point que j'ai encore le ciel comme un tableau de milliers d'étoiles dans ma mémoire et le goût de la poussière rouge dans la bouche. Nous faisons même une incursion dans le mode de vie aborigène pour mon plus grand plaisir et les relations blancs-aborigènes sont traitées sur le mode du respect des croyances des uns et des autres.J'ai aimé l'écriture de l'auteure qui me rappelle Sarah Lark et Tamara McKinley (dont je vous recommande les romans) car elle nous emmène dans un lieu encore presque vierge de présence humaine.



J'ai beaucoup aimé le personnage d'Estella. Cette jeune femme décide de prendre sa vie en main sans se laisser abattre et fait preuve de beaucoup de courage. C'est une femme que j'ai trouvé plutôt moderne car elle divorce et part seule à l'autre bout du monde pour exercer son métier de vétérinaire. Et il ne faut pas oublier que nous sommes en 1954, au sortir de la seconde guerre mondiale.Les personnages secondaires ne sont pas en reste. Hommes et femmes sont des personnages hauts en couleur, et ils ont chacun leurs secrets et leurs propres démons à combattre.



Le rythme alternant entre rebondissements, tracas et accalmie voire silence m'a tout à fait convenu.Le poids des secrets, la solidarité et la dureté de la vie fait de ce roman une belle histoire qui ne verse pas dans le sentimentalisme. Ne vous attendez pas à un roman d'amour :  Etoiles dans le ciel du sud est avant tout un roman de vie.



Je remercie les Editions Archipel pour cette lecture que j'ai lu d'une traite avec un réel plaisir et qui m'a permis un moment agréable d'évasion dans un autre monde.
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Le pays du soleil rouge

J’ai eu beaucoup de mal avec ce livre. Surtout au début. Le problème c’est que je n’ai pas appréciée le personnage principal : Lara Penrose. C’est une jeune femme qui est institutrice (jusque-là tout va bien) et qui a un caractère… qui m’a agacé bien plus d’une fois. Quand l’histoire commence, elle veut s’occuper d’un petit garçon de sa classe qui a un père strict et exigent, qui l’élève avec autorité. A la base son intention est bonne mais la manière dont elle s’y prend est juste énervante. Et ce ressenti je l’ai eu tout au long du livre. Elle est accusée à tort de l’agression du père de ce petit garçon, elle se retrouve derrière les barreaux et au lieu d’avoir de la compassion, je me disais que c’était bien mérité (moi, sadique ?! … si peu). En fait, je n’ai pas apprécié son côté jeune fille de bonne famille qui pense pouvoir tout régler juste parce qu’elle le désire, Lara est trop têtue à mon humble avis.



Ensuite, vient le voyage en bateau, au départ de l’Angleterre à destination de l’Australie. Au lieu de faire de la prison, elle est envoyée en Australie dans une région reculée et sauvage pour y enseigner. Passage hyper ennuyant. Les nouveaux personnages qu’on y rencontre ne sont pas attachants. Ses problèmes de nausées etc… me sont complètement passées au-dessus.



L’histoire commence à devenir intéressante quand elle arrive enfin à Shady Camp, parce qu’on y découvre une multitude de personnages secondaires intéressants, qui redonnent un peu de souffle à l’histoire. Les petits moments où il y a un peu de romance sont agréable aussi. J’ai beaucoup aimé le personnage de Rick.



En lisant ce livre je ne m’attendais pas à y trouver beaucoup d’action mais je m’attendais à y trouver un peu moins de clichés. Le fait que ce soit mou à la limite c’est supportable mais toutes les scènes qui donnent une impression de déjà-vu c’est embêtant. Je pense notamment à l’arrivée de Lara en Australie, son acclimatation est très prévisible (les vêtements inadaptés à la chaleur, le fait qu’elle ait peur des insectes et des crocodiles, etc…).



Tout n’est pas négatif. Le petit plus de ce livre c’est le style de l’auteur et la qualité de la traduction, on sent vraiment qu’il y a eu un effort de recherche sur la façon de parler des australiens dans ces années-là, il y a un dialecte qui n’est pas forcément facile à comprendre parfois mais qui donne un aspect rustique à l’histoire et qui nous immerge parfaitement à cette époque.



En bref, c’est une lecture mitigée, j’aurais aimé que ce soit moins en dent de scie, parce que oui il y a des moments intéressants mais il y a trop de passages monotones.
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L'héritière de Tambora

Un roman captivant du début à la fin, Tara va vivre des évènements douloureux, faire face, se battre. L'immersion dans l'Outback Australien amène de l'intensité à l'histoire, On aime suivre tous ces destins de femmes, qui vont s'escrimer pour sortir de leur situation. Un roman de sororité, une entraide magnifique, sans préjugés, sans priorité de classe sociale.

Comme le roman précédent que j'ai lu de cette autrice, que j'avais également beaucoup aimé, c'est la fin trop rapide, on attend tellement un évènement tout du long, que l'on a l'impression qu'il se boucle trop rapidement. Néanmoins, l'histoire est prenante, la boucle est bouclée, c'est juste mon coeur de romantique qui est en manque.

Je vous conseille fortement cette histoire pour les amoureux des romances historiques.
Lien : https://youtu.be/FU_FMqUusjw..
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L'héritière de Tambora

J'ai découvert l'univers littéraire d'Elizabeth Haran l'année dernière avec "Au pays des eucalyptus" que j'avais adoré ! Énorme coup de coeur.

Je n'ai donc pas résisté à la lecture de ce nouveau roman !

L'auteure nous emmène en Irlande, dans les secrets de la famille de Tara. Après une nuit terrible, Tara prend la décision de partir loin des siens pour rejoindre le clan de Gitans près de chez elle. Mais quelques années plus tard, Tara est contrainte de quitter son pays de naissance pour rejoindre une tante qu'elle n'a pas vue depuis ce fameux soir... La traversée jusqu'en Australie et le climat rude de l'outback australien lui réservent bien des surprises.



J'ai beaucoup aimé ce nouveau personnage féminin fort et inspirant. Elizabeth Haran a un talent fou pour mettre en scène des femmes aventureuses et intrépides qui brisent les codes.

Après un début de roman que j'ai trouvé un peu long... j'ai été étonnée de la multitude de thèmes abordés dans ce roman.

J'ai adoré la dernière partie, voir Tara évoluer, suivre ses aventures dans ce paysage désertique si loin du confort que nous connaissons.



Un très bon roman d'évasion, addictif et particulièrement riche !

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L'héritière de Tambora

Un coup d'œil à la couverture a suffi à me donner envie de lire "L'Héritière de Tambora", d'Elizabeth Haran dans le cadre de la masse critique Littératures de Babelio. En effet, l'image d'une jeune femme qui semblait avoir voyagé m'a donné envie. Ma dernière lecture des éditions L'Archipel m'avait beaucoup plu et mettait déjà en scène un récit de vie et de voyage. Le titre, promettant histoires de famille et de terres, est venu conforter cette envie. Et j'ai bien fait car j'ai beaucoup aimé ma lecture !



Avec 484 pages plutôt denses, j'ai passé une partie de mon mois d'octobre aux côtés de Tara, une jeune femme irlandaise qui a quitté sa famille suite à un drame et a suivi des gitans. Ce passage de sa vie, qui l'a forcément marquée car il en représente environ le tiers, ne va cesser de revenir dans le récit. L'héroïne apprend que sa tante est partie vivre en Australie. Ayant besoin d'un nouveau départ, elle engage un long voyage, qui va apporter lui aussi son lot d'imprévus.



"L'Héritière de Tambora" aborde de nombreux thèmes, que je ne peux pas tous vous dévoiler sous peine de trop en dire. Parmi eux : la famille, dans ce qu'elle a de plus fort ou de plus dur ou cruel, de sang ou de cœur, l'amour, idéalisé, de raison ou réel, l'amitié, les préjugés, le pardon, la trahison, le travail, etc.



J'ai aimé me laisser entraîner par l'histoire tissée par Elizabeth Haran, de l'Irlande (où je suis déjà partie en vacances) à l'Australie (dont je n'ai vu qu'une côte). J'ai imaginé le bush australien, la force d'un soleil écrasant, le peu de population et les liens qu'elle a. Et j'ai adoré imaginer Tambora, propriété digne d'un palais indien. L'écrivaine vit en Australie mais le roman est au croisement entre Europe / "Vieux continent", Asie et Océanie. Si les télégrammes passent, les messages arrivent parfois avec leur messager, qui peut avoir parcouru toutes les mers du globe. Ce côté historique m'a plu.



Tambora est une demeure tenue par une femme, Victoria, la tante de Tara, au service de laquelle des personnes de tous profils se trouvent. Tara, de plusieurs façons, ne s'attendait pas à y trouver ce qu'elle a trouvé. L'héroïne est courageuse, faillible juste ce qu'il faut, intelligente, belle et forte. Elle ne peut qu'entraîner l'adhésion de la lectrice et d'autres gentils personnages. En Australie, des défis sont à relever et la façon dont elle met les choses en œuvre m'a plu.



"L'Héritière de Tambora" est un roman de rencontres. Tara fait la connaissance de nombreux personnages et notamment le gérant d'une galerie d'art et son employé ambitieux, Maureen, son mari et leurs enfants, Lottie et "les filles", Ethan, tous les employés de Tambora, du cuisinier haut en couleurs à Tadd, le régisseur qui a toute la confiance de sa tante.



Les événements s'enchaînent, sans précipitation mais sans perte de rythme. J'ai ouvert le livre à chaque fois que j'ai pu. J'ai vraiment passé un excellent moment et lirais volontiers d'autres romans d'Elizabeth Haran.

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L'héritière de Tambora

Aujourd'hui, je viens vous parler de L'héritière de Tambora d'Elizabeth Haran.



En 1920, lorsque le mari de Tara est condamné à mort, elle décide de quitter l'Irlande pour rejoindre sa tante Victoria en Australie. Après une traversée difficile, elle découvre sa tante affaiblie et le domaine en difficulté. Elle va alors tenter d'aider sa tante à garder Tambora, le domaine familial.



La première partie m'a rappelé mes lectures sur le Titanic ou encore à un Souffle du passé que j'avais adoré. Passage que j'ai beaucoup aimé pour son réalisme et les émotions qu'il en ressort. On ne peut que se mettre à la place des personnages et éprouver de l'empathie pour eux.



Puis Tara va continuer son voyage en plein coeur de l'outback pour enfin arriver à Tambora. Et là le charme a continué d'opérer. J'ai été totalement conquise par les décors, les habitants, et les traits de caractère des personnages très bien décris. J'avais moi aussi l'impression d'être à Tambora, coupée du monde et de mon quotidien. Je ne me suis pas ennuyée un seul instant.



Je passe intentionnellement sur certains points car je ne veux pas trop vous en dévoiler de peur de vous gâcher le plaisir en le lisant.



Si vous aimez les romans de Tamara McKinley, Sarah Lark ou encore Anna Jacobs, je suis certaine que vous aimerez celui-ci 🥰



J'avais déjà lu au pays des eucalyptus que j'avais adoré également. C'est avec plaisir que j'en découvrirai d'autres à l'avenir 🥰



Vous l'avez lu ? Il vous tente ?
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L'héritière de Tambora

J’ai été captivée par la destinée de l’héritière de Tambora, un grand domaine australien. Cette jeune femme, c’est Tara l’Irlandaise, Tara qui a déjà connu plusieurs vies avant de fouler le sol australien. Issue d’une famille aisée, elle vit un drame au début de sa vie de jeune femme, le viol par un employé de sa famille et la désillusion lorsque ses parents ne la croiront pas. Elle s’enfuit alors et vivra des années avec des gitans dont elle épousera un des membres.



Lorsque son mari est emprisonné, elle a la possibilité de fuir et rejoindre sa tante, la propriétaire de Tambora. Son périple pour l’Australie ne sera pas simple et lui fera vivre quelques drames. Sur place, elle retrouve sa tante avec grand plaisir mais constate aussi une vie qui s’annonce compliquée dans cette Australie où la vie lui semble difficile. Pourtant, elle relève ses manches et s’attèle au travail du domaine, aidant sa tante à redresser la situation de Tambora, au bord de la faillite.



J’ai été passionnée par ce roman, par les nombreux rebondissements dans l’histoire qui fait qu’on ne s’ennuie jamais. J’ai adoré les personnages aussi bien Tara qu’Ethan, l’homme qui sait tout faire et qui viendra en aide maintes fois à Tara. La destinée du domaine et sa faillite annoncée, fortement aidé par un personnage manipulateur qu’on voit venir de loin, sont au cœur du roman et c’est ce que j’aime toujours beaucoup dans ces romans d’évasion. On est transporté dans l’outback australien, la difficulté du quotidien et une vie bien différente de notre train train européen.



Et il y a surtout tous ces personnages, la bienveillance entre les uns et les autres, la douceur du lien qui parvient à se créer entre des personnes qui n’ont pourtant rien à voir. On découvre ainsi une Tara qui devient mère, une Tara nièce attentionnée, une héritière déterminée qui s’attache à ses employés aborigènes, faisant fi de la différence de culture, une amie qui se liera avec les prostituées du coin, que tout le monde a toujours rejetées jusque là en raison de leur métier. Tout cela mis à bout nous fait passer un bien joli moment de lecture !
Lien : https://liseusehyperfertile...
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L'héritière de Tambora

Fille de la bourgeoisie irlandaise, Tara s'enfuit du domicile familial le jour de ses 18 ans.

Essayant de se construire / reconstruire, elle ne trouvera jamais totalement sa place dans la société.

Alors que son passé la rattrape, elle décide de prendre la direction de l'Australie pour aller rejoindre sa tante Victoria. Elle découvre que le domaine de Tambora est tombé en déshérence et va donc se donner corps & âme pour tenter de le sauver.



Il est ici question de liens familiaux, d'amour, de sororité. L'autrice aborde également des thématiques plus historiques comme la relation entre colons et aborigènes au début du XXe siècle.



J'ai beaucoup apprécié ce roman que j'ai lu d'une traite.

Elizabeth Haran nous plonge au coeur de l'outback australien, de ses paysages désertiques et de ses conditions de vie très rudes. L'écriture n'est d'ailleurs pas sans rappeler celle de Tamara McKinley.

Le personnage principal, Tara, est une femme forte, puissante, qui se bat au quotidien pour une société plus égalitaire et plus inclusive (du point de vue du genre, de la race, du statut social), dépassant le jugement des autres.



Merci aux éditions l'Archipel pour cette belle découverte.
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L'héritière de Tambora

L'héritière de Tambora, c'est Tara, une jeune femme tiraillée entre le monde gitan et sa famille de naissance bourgeoise aisée.

Tara va partir rejoindre sa tante en Australie et découvrir un monde, un mode de vie et des habitudes à l'opposé de ce qu'elle connait et pourtant c'est là que sa vie va vraiment commencer...



Une très belle épopée, très bien traduite qui se laisse lire avec grand plaisir. J'avais l'impression d'y être...
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L'héritière de Tambora

L'histoire commence en Irlande.

Tara est une jeune fille de bonne famille qui fête ses 18 ans.

Pendant cette fête, il va se passer un événement qui va faire fuir la jeune femme.

Elle va se retrouver à vivre avec les Gitans, une communauté qui n'est pas apprécié dans le pays.

Elle va se marier à l'un d'entre eux.

Quand le mari de Tara est condamné à la pendaison pour l'avoir vengée, la jeune femme n'a d'autre choix que de quitter son pays pour prendre un nouveau départ.

Elle décide alors de partir pour l'Australie, où sa tante Victoria possède une ferme «le domaine de Tambora ».

Le bateau sur lequel elle a embarqué prend feu, une tragédie qui coûte la vie à de nombreux passagers.

Tara, qui parvient à en réchapper, prend sous son aile un frère et une sœur désormais orphelins, Hannah et Jack, les enfants de Maureen avec qui elle avait sympathisé.



Son arrivée en Australie est difficile. Elle se retrouve dans un pays inconnu avec deux enfants sur les bras. Elle doit s'acclimater car l'Outback australien est une terre aride et hostile.



Elle rencontre Ethan, un chamelier qui va la conduire au domaine de sa tante.



A son arrivée à Tambora, Tara va retrouver sa tante Victoria qu'elle n'a pas vu depuis des années et s'apercevoir que la santé de sa tante décline et que le domaine n'est pas aussi flamboyant qu'elle le croyait.



Tara va devoir se battre pour trouver sa place auprès des hommes, remettre le domaine sur pied et libérer sa tante de l'emprise d'un homme malhonnête . Tara est une femme travailleuse, courageuse et généreuse.



Va t'elle sauver le domaine et trouver l'amour ? Va t'elle rentrer en Irlande ?



A vous de lire cette superbe saga



Les nombreux personnages de cette histoire sont décrits avec une telle réalité qu'on à l'impression de les connaître (Lottie, Sorel, Nuggets...)



J ai adoré cette saga familiale qui se passe en Australie. J'avais l'impression de lire du Tamara McKinley. C'est bien écrit, fluide et les descriptions sont tellement réalistes qu'on a l'impression de vivre dans ce désert.



Merci à Netgalley et édition l'archipel de m'avoir permis de dévorer cette histoire.



Lire ma critique de «L'Héritière de Tambora» de Elizabeth Haran - Maryline Beury (traduit par). #LHéritièredeTambora #NetGalleyFrance



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L'héritière de Tambora

Nous sommes en 1920 sur une fiction historique.



Malgré ses 484 pages, ce roman se lit très rapidement. On est littéralement absorbé par cette histoire touchante, douloureuse et belle à la fois.



Hormis quelques chapitres un peu long au début (oui je n’aime pas m’arrêter au milieu d’un de ceux-ci 😅), j’ai adoré cette lecture et je suis même un peu triste que ça soit terminé !



Les personnages sont vraiment bien travaillés. J’ai adoré Tara et sa force, Ethan le rustre et en même temps bon, Victoria, Nerida et les autres. J’en ai également détesté quelques-uns mais ça je vous laisse découvrir par vous-même.



La plume de l’auteure est fluide, facile à lire, addictive, recherchée. Elle est également immersive, on ressent la chaleur de l’Australie, la poussière, la sécheresse, ce qui fait que l’on fait partie intégrante de l’histoire.



J’aurais bien continué à lire 200 pages supplémentaires sans m’en lasser !



En résumé, j’ai passé un excellent moment parmi tous ces personnages. Je recommande ce livre à tous.




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