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Citations de Emily Blaine (756)


- Moi aussi, murmure-t-elle.
- Toi aussi quoi ?
- Moi aussi j'ai eu envie de t'embrasser une bonne centaine de fois. Mais dans le cadre de notre politique de redéfinition de notre relation, je suggère qu'on abandonne ce genre de pratique.
- Et pour quelle raison ?
- Parce que nous somme colocataires. Et rien d'autre.
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Trouver une nouvelle tactique, je dois ; sous mon charme, elle sera.
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Sous son charme, je suis ; fou, elle me rendra.
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Stayin’ aliiiiiiiiive !
Elle retire l’écouteur fiché dans son oreille, toisa la petite foule médusée devant elle et haussa les épaules.
-Quoi ? C’est bien le but de ces gens : rester en vie ! Quelqu’un veut un beignet ?
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– Quand elle aura franchi cette porte, ça sera terminé ! arguai-je avec force.
– C’est déjà terminé, murmura-t-il avec tristesse.
– Je te vire dans la seconde si tu ne lèves pas ton cul de cette chaise, grogna Andrew, sans quitter des yeux le menu qu’il lisait avec assiduité.
Nathan nous questionna du regard, mais Andrew l’ignora superbement tandis que, silencieusement, je l’encourageai à foncer. 
– Lynne ! hurla Nathan en se levant brutalement de table.
– Obligé de le menacer pour y arriver, râla Andrew toujours le nez dans son menu.
Devant moi, je vis mon amie se retourner vers Nathan. Elle était livide et semblait même à bout de force, tenant péniblement debout sur ses jambes. Elle fixa son attention sur ses pieds, en attendant que Nathan la rejoigne.
– Tu crois qu’il va suivre le plan ? demandai-je à Andrew.
– Son plan est foireux, répondit-il. Il y a donc des chances que ça fonctionne.
– Taisez-vous, je veux entendre, s’agaça Meghan près de nous. 
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Ta maman est mon exception, toi tu es mon joyau.
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Les relations humaines sont à la fois fortes et fragiles. Une source de confiance et, en même temps, un tourbillon de doutes.
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_Je joue le rôle de la meilleure amie dans cette comédie romantique..
_ Alors quoi? Tu es l'oeil lucide et la voix de la raison dans cette histoire?
_Je suis là pour ramasser les morceaux, corrigea-t-elle.
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J’étais faible. Et définitivement maso car, au vu de notre relation, il y avait peu de chance que je feule un jour de nouveau avec lui. Je poussai un profond soupir, me consolant finalement avec le hurlement de douleur de Janet. Le Tabasco était apparemment une valeur sûre. Je souris largement, sirotant mon café noir déjà tiède.
Je ravalai mon sourire quand Connor se tourna vers moi, fronçant les sourcils de perplexité. Janet toussait, criait, tirait la langue et… feulait. Douce est la vengeance.
– C’est un remède maison, me justifiai-je avec toute l’innocence possible d’un psychopathe en devenir.
Connor secoua la tête, apparemment pas ébloui par mes connaissances en potions, avant de revenir dans la cuisine et de remplir un verre de lait.
– Rappelle-moi de ne pas devenir ton ennemi, marmonna-t-il en visant le blender à demi vide.
– Tu n’as vraiment aucun goût du risque, commentai-je en haussant les épaules.
– Pour l’instant, vivre avec toi me semble suffisant. Tu n’avais pas un entretien à passer ? éluda-t-il.
– Ce que j’aime ton caractère grognon. C’est pathologique ou juste postcoïtal ?
– Sais-tu au moins ce que « postcoïtal » veut dire ?
– Je l’ai su il n’y a pas si longtemps
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Je posai les paumes sur son torse et redressai la tête. Il s’écarta et, dans la seconde, l’ambiance changea. Le crépitement presque électrique disparut et son regard s’égara sur un de ses dossiers. Je me raclai la gorge et contournai le bureau.

— Thomas m’a accompagnée ici, lançai-je, en espérant démarrer une conversation normale.

— Je crois que tu lui plais, dit-il avec une pointe d’agacement.

— Il est simplement prévenant.

— Il te drague !

Je m’assis dans un des fauteuils, rapidement imitée par Yann. Il rangea ses dossiers, évitant sciemment mon regard.

— Il ne m’a pas offert de nems, plaisantai-je.

— Pas encore.

— Tu crois qu’il finira par le faire ?

— Je crois qu’il serait stupide de ne pas le faire.

Le décalage de notre conversation ne m’échappa pas. Alors que je plaisantais sur le sujet, Yann était d’un sérieux absolu, empilant ses dossiers les uns sur les autres. Il fronça les sourcils et, s’armant d’un stylo, signa plusieurs documents.
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– Pourquoi fait-on ça déjà? demandai-je à Julie en prenant une gorgée de ma bouteille d’eau.
– Officiellement?
– Parce qu’il y a une version officieuse? M’alarmai-je, presque scandalisée.
– Oui. Et elle est pire que la version officielle. Officiellement, nous devons nous entretenir et faire en sorte de ne pas mourir avant la ménopause.
Je fis la moue, sentant la transpiration ruisseler désagréablement dans mon dos. Mon débardeur était trempé et je redoutais déjà l’instant où je devrais retirer mes baskets. J’enlevai mon haut humide et enfilai un T-shirt informe, mais sec. Julie ajusta sa longue queue-de-cheval, m’offrant un clin d’œil complice.
– Et officieusement?
– Je présume que jouer dans le remake de Sauvez Willy ne te branche pas spécialement? Sourit Julie en poursuivant ses ultimes exercices d’entraînement.
– Évidemment que non. mais comment expliques-tu que ce cours soit suivi exclusivement par des femmes? continuai-je alors qu’elle tentait, avec une réussite insolente, s’enrouler ses mains autour de ses chevilles.
– Les hommes bricolent, les femmes font de l’aérobic, souffla-t-elle en étirant son dos.
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– J’ai parié vingt dollars sur la date de votre prochain rendez-vous ! sourit-il en s’accoudant à mon pupitre.
– Ce n’était pas un rendez-vous, claquai-je. Juste du boulot !
– Tut-tut-tut-tut-tut-tut, répondit-il en secouant la tête. Je ne suis peut-être pas un spécialiste mais, grâce à mon job, j’ai développé une espèce de science du comportement.
– Oh, pitié… Tu vois des tueurs à tous les coins de rue, me désespérai-je.
– Toujours est-il que je suis resté les yeux rivés sur Blake toute la soirée.
– Et ?
– Et lui a eu les yeux rivés sur toi toute la soirée. Ce gars-là en pince clairement pour toi.
Je roulai des yeux, exaspérée. De toute évidence, les rumeurs au sein de l’hôtel allaient bon train au sujet de Blake et moi.
– Greg, je suis venue pour éviter un scandale au Peninsula. Il n’y a rien d’autre qu’une relation strictement professionnelle entre lui et moi.
– Je sais qu’il t’a raccompagnée chez toi.
– Grand Dieu, Gregory ! Tu n’as pas mieux à faire ?
– Ça fait partie de mon boulot. Je devais veiller au grain. Donc…
– Donc tes troupes t’ont fait un rapport détaillé, conclus-je, dépitée.
– Exactement. Ce cher Blake est rentré à l’hôtel à 2 heures du matin. Et si j’en crois mes « troupes », poursuivit-il en mimant les guillemets, il avait le sourire aux lèvres.
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– Merci encore, Kathleen, pour m’avoir accordé de votre temps.
De nouveau, je hochai imperceptiblement la tête, me souvenant tout juste qu’il ne m’avait pas franchement donné la chance de le lui refuser. Soudain, il prit ma main, la porta à hauteur de sa bouche et m’offrit le premier véritable baisemain de toute ma vie.
Je me crispai un peu plus, hypnotisée par son regard, avant d’observer sa bouche si proche de ma peau.
– Bonne nuit, murmura-t-il avant de relâcher ma main.
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- C’est comme si mon corps réclamait le tien en permanence.
- Nic, il fait - 8°C. Ce que réclame ton corps, c'est de l'aide et une bouillotte.
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L'espoir, c'était mieux que rien.
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– Ce que je vous ai dit au lycée tient toujours.

– La soirée ?

– Votre robe. J’ai toujours très envie de vous la retirer, me rappela-t-il pendant que ses yeux naviguaient sur mon corps.

– Merci de votre prévenance, je pense pouvoir me débrouiller.

– Pas aussi bien que moi.
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Sans le savoir, Juliette venait de m'offrir un premier cadeau. Je n'avais aucune intention de la laisser quitter ma vie. A elle seule, elle avait réussi à adoucir ma douleur et ma tristesse. Ma vie, que je subissais et traînais comme un boulet encombrant, était de nouveau légère et facile.
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Son regard noisette accrocha le mien, et j'aurai pu jurer que la terre avait cessé de tourner sur elle-même pendant une courte seconde. J'adorais le groupe, et ça, je pouvais le lui dire. Mais lui avouer que j'avais aussi fantasmé sur lui était sûrement encore prématuré dans notre relation. J'avais toujours eu un penchant pour les hommes sombres et un peu torturés. Nicolas l'était.
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C’est le problème avec les hommes : dès qu’ils prennent une initiative, ça nous fait un choc.
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Pendant quelques secondes, "nous" avions existé.
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