Citations de Emily Blaine (756)
Tu me plais depuis des années et je ne vais pas renoncer à toi parce que tu souhaites préserver notre amitié.
— On fera ce que tu veux, Summer. Tout ce que tu veux, ajoutai-je en m'approchant d'elle. Mais je ne veux plus mentir. Tu me plais. Tu me plais depuis des années et je ne vais pas renoncer à toi parce que tu souhaites préserver notre amitié.
(...) pourquoi les hommes pensent-ils toujours que le refus d'une femme était forcément lié à un autre homme?
- Tu vivras une passion débordante pour un homme, tu auras un métier que tu adores, tu aimeras le champagne, tu auras une tripotée d’amis. Peu importent les choix que tu feras, tu en feras des bons et des mauvais, mais tu auras une vie hors du commun.
- Je t'aime, dis-je finalement.
- Quoi ?
- Je t'aime. Toi. Entière et dans tous tes détails. J'aime te regarder et me dire qu'à chaque fois je découvre une chose nouvelle.
Deux minutes de danse, trois banalités échangées et je me retrouvais propulsée dix ans auparavant, avec des jeans trop grand et ma naïveté adolescente.
Je savais que ma mère aurait adoré Kyle. La seule chose qui me rassurait c’est qu’elle m’aurait détestée d’avoir accepté sa demande à contrecœur. Elle aurait pesté contre mon manque de courage, elle m’aurait sermonnée avec une ironie certaine sur ma capacité à ruiner ma propre vie.
Mais j’ai promis à mon meilleur ami, à mon frère, au mec à qui j’ai cassé deux dents, que je ne toucherai pas à sa sœur. Et je suis un type qui tient ses promesses. Je suis un type qui tient douloureusement ses promesses.
Tu m’effraies. Emma, je peux avoir tout le courage du monde, toute la confiance du monde, toutes les offres de boulot possibles… Mais curieusement, c’est toi qui fais que ma journée est…Parfaite.
– Je te propose que nous dînions ensemble, dis-je à mon père avant de quitter sa suite. Comme ça, tu pourras apprendre à connaître Andrew.
– Je le connais assez. Exigeant et voleur de fille, râla-t-il.
Je n’ai pas pour habitude de coucher deux fois avec la même fille. Mais avec elle… Je rêve déjà de l’étendre dans mon lit et de la faire jouir encore et encore jusqu'à l’oubli
M. Boombastic m'offrit un sourire à un million de watts, électrisant toutes les parties érogènes de mon corps.
Et même les non érogènes. genre le coude.
Tu seras toujours ma fille, même quand tu seras loin, ou quand je t'aurai oubliée. Toujours.
Comment une personne qui a tout — l’argent, la célébrité, la vie facile — peut-elle se permettre de se plaindre et d’être malheureuse ? La réponse est simple : l’argent, les paillettes, l’opulence : rien de tout cela ne rend heureux. Etre traqué, espionné, humilié est pesant. Avoir une vie normale est impossible.
A Hollywood, le sourire doit être permanent.
A Hollywood, les psychiatres sont plus riches que les avocats.
Réaliser que votre meilleur ami est un idiot, doublé d’un goujat, n’est pas réjouissant.
– Il faut que je vérifie l’état général, la couverture. Tu sais qu’il y a des personnes cruelles qui cornent les pages des livres ?
– De dangereux criminels, sans aucun doute, se moqua Baptiste.
– Comme ceux qui coupent ton bordeaux avec de l’eau.
– Ceux-là méritent de mourir dans d’atroces souffrances. Je ne pense pas que corner une page…
Je ne sais pas comment l'expliquer. C'est comme si, pendant des années, j'avais été dans le noir et que, soudain, une fille aux cheveux fous avait allumé la lumière.
Acheter les livres d'occasion en grand nombre revenait moins cher, et j'avais la sensation de faire une bonne action en les sauvant de la décharge. Je les triais, les réparais, les proposais en vitrine, les regroupais parfois en thématiques pour les soirées du club de lecture. Mais mon moment préféré était celui-ci : l'instant où je les découvrais, le moment où nous faisions connaissance et où j'essayais d'imaginer dans quelles mains ils avaient circulé. Je sentais leur parfum, caressais le papier et me perdais dans la contemplation des couvertures.
C’est le problème avec les amis. Parfois, ils font des choses inattendues uniquement pour vous faire plaisir. Terrible, non ?
Aujourd'hui encore, dans ce loft, nous avions décidé de laisser le hasard choisir pour nous.
Pour le meilleur.
Et pour elle.