Citations de Enrico Marini (173)
- Comment m’as- tu trouvée ?
- J’ai suivi ton parfum.
Tu es ravissante. J'hésite entre te tuer ou t'embrasser.
- Tu es de retour depuis hier, et au lieu de rentrer chez moi, ta femme, tu ne trouves pas mieux à faire que d'aller sauter cette salope !
- Une année d'abstinence entre soldats, c'est long. Les prostitués, au camp, n'étaient pas à mon goût.
- C'est monstrueux de dire cela !
- Je ne t'aime pas Silvia... A quoi bon faire semblant ?
Notre mariage a été arrangé par nos pères... Il n'a jamais été question d'amour dans le contrat...
Du sang et de la merde, y en a jusqu’aux étoiles, non ?!
[Joker] Les femmes et leurs sautes d'humeur... épuisant, n'est-ce pas ?
On ne dit pas non à Batman.
-Ils méritent une leçon, comme jadis les juifs!
-Dommage qu'il y ait moins à voler chez eux que chez les juifs, hein, Publius?
-On dit que Varus est entré pauvre dans la Syrie riche, et qu'il est ressorti riche de la Syrie pauvre...
plus longues les épines,
plus belle la rose.
- Quand je ferme les yeux, je vois un pays où toutres les tribus, entre le Rhenus et l'Albis et entre le Danubius et la mer du Nord, sont unies sous le règne d'un homme pur. Cet homme, c'est toi, Ermanamer.
- C'est un beau rêve.
- Les dieux nous envoient les rêves pour qu'on les réalise.
- As-tu peur ?
- Non ! Je... un romain n'a peur de rien ! Et moi... je ne sais pas.
- Crois-moi, chaque homme a peur de traverser le styx avant l'heure, peu importe qu'il soit romain, barbare ou esclave.
- Tes lèvres ont un goût de pêche ...
- Et sur les tiennes, je goûte le péché...
- Tu ne peux pas rester ici, Slick. Les sbires de Rex sont déjà passés hier. Ils vont re...
- Ah j’aurais juré que c'était ta femme qui t’avait tabassé comme ça.
T’inquiète, Dickens on s’en ai occupé, le chat et moi.
De mon point de vue, je te dois un coup de poing dans ta belle gueule.
Certains hommes sont sans but logique. On ne peut les acheter, les intimider, les raisonner ou négocier avec eux. Certains hommes veulent juste voir le monde brûler.
Notre style bohème ; c'est la liberté, la raison et la sensibilité merveilleuse.
- Un Germain (attaquant par derrière Marcus Falco) : RAAAHH RAAAHHRR
- Marcus Falco (évitant le coup et lui transperçant le crâne) : Merci de t'annoncer comme un cinglé !
C'est vrai que je suis parti en guerre contre le Marobod et contre les Dalmates, comme plein d'autres ici... Mais même si mon épée est au service de Rome en ce moment, mon cœur, lui, sera toujours et avant tout Chérusque ! Tyr en est le témoin ! Je vous rappelle que c'est VOUS qui m'aviez envoyé en otage à Rome... Ce n'était pas mon souhait... Mais je suis revenu comme officier et homme libre... Je suis ici parce que j'ai appris qu'il y a eu des émeutes et je voulais vous aider... Mais, vous, qui avez capitulé plusieurs fois, m'accueillez en m'humiliant...
Disons que mon nouveau travail n'est pas de tout repos. Je croise souvent des gens caractériels.
Comme chaque nuit, je rends visite aux bas-fonds de Gotham. J'interroge des crapules, des voleurs, des maquereaux, des prostituées. Je questionne la lie de la ville en quête d'indices sur les Joker. Mais cette fois, j'ai une motivation particulière , cette petite fille, Alina, entre les griffes de ce maniaque.
Une vapoteuse ? Vous avez l'air ridicule.