Citations de Enrique Fernandez (36)
- Je viens pour mon courage.
- Très bien, je vais te le chercher!
Les précipices n'ont pas de prédateurs
Quelques jours après, dans les environs, apparut un ruisseau de cette même couleur dorée.
Comme vous êtes des gens très impressionnables, ce phénomène vous a paru magique et extraordinaire.
Vous avez alors cru que c'était un don du ciel destiné à vous seuls. Tu sais ce que ça signifie, être égoïste ? C'est ne penser qu'à soi, et croire que tout dans le monde n'existe que pour être tripatouillé par soi.
Ce qui compte, c'est d'être auprès de ceux qu'on aime. Les petites attentions du quotidien valent plus que les artifices. Parler, écouter, comprendre...
Être mère, ce n'est pas vaincre tous les dangers. C'est avoir le courage de surmonter la peur qu'ils nous inspirent.
Parfois, les amis sont obligés de dire ou faire des choses qui ne leur plaisent pas. Mais ils le font pour aider, seules les personnes qui t'aiment oseront agir au risque de te blesser.
Mon plus grand voeu, maintenant, c'est de rentrer au Kansas, car je suis sûre que tante Em croit qu'il m'est arrivé quelque chose d'horrible. Et alors, elle voudra des vêtements de deuil mais, à moins que les récoltes ne soient meilleures que l'année dernière, oncle Henri ne pourra pas se le permettre...
Note aux lecteurs
Cette semaine, j'écrirai sur ces personnes qui pensent que la moindre de leurs opinions mérite d'être écoutée.
- Bonjour !
- T'es qui et qu'est-ce que tu me veux ?
- Tu es Yok, le troll ermite qui vit dans un tonneau.
- Je sais qui je suis, merci.
Seule la victoire est belle.
Moi, je te dis : ton seul libérateur c'est toi !
La tristesse résiste bien au temps qui passe, mais malheureusement, le bonheur, lui, finit par se transformer en nostalgie.
La haine, l'aigreur, l'amertume et la rancune sont plus meurtrières que le venin d'un cobra.
Qui crée dans sa vie meurt en souriant.
La tristesse résiste bien au temps qui passe, mais malheureusement, le bonheur, lui, finit par se transformer en nostalgie.
- Qu'est-ce que tu viens de faire, là ?
- Je t'ai serré dans mes bras. Tu ne sais pas ce que c'est ?
- Si, je sais. Mais je ne sais pas pourquoi tu l'as fait.
- En fait, je... Tu m'as donné une bonne nouvelle. J'étais triste et maintenant je suis contente. Ça fait plusieurs jours qu'on discute tous les deux, tu m'as appris beaucoup de choses. On est amis.
- Ah, oui ? Amis ? Pour quoi faire ?
- Rien de grave, laisse tomber. On n'est pas amis.
- Mais ça ne change rien, tu me mettras das ta chanson, hein ?
- LES CHANSONS, JE NE SAIS PAS FAIRE !!!
- Je ne sais pas faire une chanson.
- Si, tu sais. Vous autres savez faire des chansons sur tout. Vous en avez une sur un bout de mousse qui pousse sur un rocher. La première fois que je l'ai entendue, elle m'a paru ridicule, mais après elle m'a fait réfléchir pendant pas mal de temps.
- Une chanson ? On parlera de moi dedans ?
- Bien sûr. L'idée, c'est que son peuple reconnaisse ton travail et le respecte.
- Ben, il était temps ! Ils m'ont tout l'air d'avoir oublié combien il est difficile de créer un courant d'eau jusqu'à la montagne ! Certains prennent l'initiative et me dévient une partie du cours pour irriguer les terres sèches, d'autres mettent des troncs et des pierres en travers et bouchent le passage. Et il y en a même qui font leurs besoins dans l'eau !
- Euh... Bien, d'accord. Mais ce qui nous serait utile aussi, c'est une note positive, tu comprends ? Cette chanson...
- Tu veux que je dise du bien d'eux ? Hum... Tout ce que je peux dire de bon, c'est que pour l'instant, ils n'ont pas encore eu suffisamment soif pour se lamper toute l'eau des rivières. Bonne chance pour la chanson.
Un chat ne peut pas comprendre la souffrance des hommes… Notre vie est faite de peines et de souffrances irrationnelles contre lesquelles nous ne pouvons lutter. Aucune joie, aucun espoir ne peut les effacer. Pour que la souffrance disparaisse, il faut laisser passer le temps nécessaire… Ou en finir avec elle définitivement. On ne peut pas attendre que le bonheur des autres rejaillisse sur nous. Il n’y a pas de formule magique pour ça. Pour surmonter nos souffrances, on ne peut compter sur l’aide de personne. Ces souffrances sont intimes, elles n’appartiennent qu’à nous.
Les fleurs et les oiseaux luttent pour vivre ! Il y aura toujours des fleurs ! Il y aura toujours des oiseaux ! C’est merveilleux !