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EAN : 9782302018723
56 pages
Soleil (14/12/2011)
3.31/5   29 notes
Résumé :
« Qui suis-je ? », « D'où je viens ? » ainsi commence l'incroyable histoire de la jeune Aurore. Et seul, Vokko, un mystérieux animal à la crinière ondulée, guide spirituel, semble pouvoir l'aider à y répondre. Crinière rousse flamboyante, yeux bleus, impétueuse, Aurore appartient à une tribu qui, depuis des millénaires, croit aux esprits des ancêtres, et vit de la chasse, de la pêche et de la cueillette. Un temps révolu. La tribu est aujourd'hui divisée : d'un côté,... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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C'est une BD que j'ai trouvé vraiment originale, qui aborde un thème pas très évident à traiter. Il y est question de spiritualité et de religion (mais dans le sens large du terme), du devenir des êtres humains et de leur rapport à leur environnement et à la nature. Un sujet qui, donc, est bien d'actualité, car il rejoint les préoccupations écologiques d'aujourd'hui, mais qui suscite une réflexion qui va au-delà. Après "Buck - La nuit des trolls", je reste toujours aussi stupéfaite et tout aussi ravie de voir que la collection Métamorphoses de Soleil, plutôt destinée à un jeune public, propose des albums de qualité qui sortent carrément des sentiers battus - alors que l'éditeur nous avait longtemps habitués à un grand nombre de séries assez formatées, après le succès de Lanfeust.

Je n'irai pas jusqu'à prétendre que "Aurore" est le "2001, l'odyssée de l'espace" de la BD, mais les questions métaphysiques sont sans conteste au coeur de l'album. Alors, le truc, c'est que c'est à la fois une BD à la narration assez simple, avec découpage et mise en page à l'avenant, ce qui était sûrement nécessaire, mais que l'histoire ne l'est pas tant que ça à première vue. le fait est que le lecteur est un peu perdu au début, mais pour une bonne raison, puisqu'Aurore, le personnage qu'il va suivre, ne sait ni où elle est, ni qui elle est. du coup, résumer la trame n'est pas tâche aisée. Disons que, suite aux mauvaises habitudes prises par le peuple d'Aurore, celui-ci a perdu le contact avec les forces de la Nature. Résultat : ils crèvent de faim et une sorte de malédiction (ou de retour de bâton) leur tombe sur la tronche. Suite à l'apparition d'une étrange rivière dorée, notre Aurore, petite fille d'un des couples de ce peuple, se retrouve alors amnésique, propulsée entre deux mondes : celui des humains et celui des esprits. Et c'est donc une quête initiatique qu'elle va devoir suivre, pour que son peuple renoue les liens qu'il avait brisés avec les esprits et la Nature.

Le graphisme est particulièrement réussi et adapté au scénario, avec mention spéciale pour le travail de colorisation. Enrique Fernandez a réussi à allier des tons chatoyants ou sombres à une grande douceur du dessin, qui convient bien au parcours chargé de mélancolie et d'espoir de cette petite fille, à la fois perdue mais aussi guidée, puisqu'un autre personnage entreprend la quête avec elle : l'esprit Vokko, grand ami de la chamane du peuple d'Aurore. On peut cependant regretter que l'histoire ne soit peut-être pas assez fouillée (encore que...), pas tout à fait aboutie, et se termine d'une façon un peu abrupte, qui m'a laissée sur ma faim. Il n'en reste pas moins que "Aurore" est un album plutôt hors-normes, très joli et très poétique. Et vous l'aurez sans doute deviné à présent, il y a des connivences assez fortes entre Aurore et une certaine Mononoke (les esprits de la forêt rappellent d'ailleurs furieusement Miyazaki), bien que son créateur ait su trouver une voie toute personnelle.
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J'aime le graphisme d'Enrique Fernandez, il a son propre style, original, inventif, dynamique et poétique. Dans Aurore, il nous envoie dans le grand nord auprès d'une tribu qui vit de la chasse, de la pêche et de la cueillette. C'est un récit de lutte contre la perte des valeurs, beau, poétique, le graphisme transcende cette magie, mais peut-être que le thème est un peu trop ésotérique à mon goût.
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“Vous cherchez toujours à avoir une réponse pour tout et quand vous ne l'obtenez pas directement vous enquiquinez tout le monde jusqu'à ce que qu'on vous la donne.“
C'est ce que Vokko dit à Aurore au début de sa quête, alors qu'elle ne sait plus qui elle ni d'où elle vient. Et c'est à la fois drôle et triste, mais ça montrera aussi par la suite, d'une certaine façon, que la ténacité a quelque chose de touchant dans sa naïveté.

C'est vraiment une très belle histoire. Parfois mélancolique, d'autres fois émouvante ou drôle, toujours empreinte d'une certaine magie et de chamanisme, mais également d'un pragmatisme un peu désabusé qui rend le tout très réaliste. C'est un curieux mélange, mais il prend bien.
Il a la saveur des contes, récits connus depuis toujours, qui parlent si bien à cette partie de nous, la plus lointaine, qui s'exprime en sensations et non en mots. Quelles que soient les diversités de nos cultures et de ceux que nous avons entendus enfants, il y a toujours dans ces contes quelque chose qui fait écho à nos propres croyances. Les contes sont des passerelles entre les cultures et celui-ci ne fait pas exception.
Cette quête initiatique nous montre les plus mauvais côtés de l'humanité, mais également les meilleurs. Nous ne valons certes pas grand-chose, comme le lui font remarquer les êtres qui croisent le chemin d'Aurore, mais demeure en nous une certaine poésie qui, si nous savons l'écouter, nous fait faire aussi de belles choses.
La fin est vraiment magnifique et m'a totalement séduite. Je ne m'attendais pas du tout à cela, mais j'ai trouvé qu'elle sonnait particulièrement juste. C'est elle qui donne toute sa dimension poétique à cette histoire qui sinon pourrait sembler un peu vaine.
J'ai adoré le personnage de Vokko, ses répliques cinglantes, sa nature à la fois cynique et fidèle, mais s'il reste mon préféré, les autres personnages se sont révélés plus attachants que je ne l'aurais cru au départ. Que ce soit Moma, les parents d'Aurore ou la petite peste qu'est cette dernière, tous ont su gagner mon affection, même fugacement.
J'ai beaucoup apprécié l'aspect à la fois brossé et délayé des couleurs. le rendu est magnifique sur les paysages. Par contre le dessin est assez particulier. Si Vokko est génial et qu'Aurore a une bonne bouille, comme d'ailleurs les esprits qu'elle croise, ainsi que Moma la chaman, les villageois eux ne m'ont pas vraiment charmée. Un peu trop figuratifs, peut-être… Et j'ai parfois trouvé que leurs expressions manquaient de nuances. Mais c'est une question de goût car le tout est néanmoins très cohérent dans son style et nous offre vraiment un bel album.
La dernière illustration d'aurore et de Vokko est tout simplement sublime.
C'est une histoire tous publics, mais j'aurais bien du mal à vous dire à qui elle s'adresserait le mieux et ça me gêne un peu… Entre ses nombreuses métaphores et son style graphique particulier, je doute qu'un jeune public y trouve son compte. Cependant, à l'inverse, des adultes pourraient trouver le tout, histoire comme illustrations, un peu simpliste. C'est une affaire de charme, il opère ou pas, mais j'ai trouvé quant à moi que malgré sa simplicité il avait un petit quelque chose de spécial.
Lien : http://livropathe.blogspot.f..
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Aurore fait partie d'une tribu qui vit de la chasse et de la pêche, mais qui se retrouve aujourd'hui divisée avec, d'un côté, ceux qui continuent de croire leurs dieux, et de l'autre, ceux qui ont perdu tout espoir. Alors que certains proposent de migrer, à la recherche de terres meilleures, une lueur brillante et dorée envahit le ciel. Quelques jours après ce phénomène aussi bref qu'étrange, c'est un petit ruisseau doré traversant le village qui émerveille les habitants. Attirée par l'eau scintillante, la petite Aurore se retrouve subitement transformée en statue. Alors que la petite se retrouve coincée entre deux mondes en compagnie d'un animal mystérieux, ses parents décident de remonter le cours d'eau afin de découvrir l'origine de cette transformation.

Après avoir adapté "Le Magicien d'Oz" sur un scénario de David Chauvel et avoir réalisé le merveilleux "L'île sans sourire", Enrique Fernandez propose un conte fantastique bien étrange au sein de la collection Métamorphose des éditions Soleil. Situé dans de lointaines contrées au climat froid et rude, le récit passe de la réalité de ce peuple qui a perdu ses racines au fil du temps à ce monde parallèle où la petite Aurore doit mener à bien une mission qui mènera son peuple vers la rédemption. Porté par la narration de Vokko, un esprit de la forêt aux allures de loup qui sert non seulement de guide à la petite mais également au lecteur, l'histoire se nourrit d'anciennes légendes et croyances pour s'interroger sur l'essence même de la nature humaine.

Baignant dans un univers envoûtant, ce récit débordant d'humanité délivre certes de nombreux messages, mais qui ne sont pas toujours suffisamment approfondis. Malgré une conclusion réussie, qui ponctue brillamment la complicité qui s'installe entre les deux protagonistes principaux au fil des pages, la quête d'Aurore n'est pas suffisamment aboutie. Visuellement, le jeune auteur espagnol livre par contre à nouveau un sans faute : un graphisme original et efficace, rehaussé par colorisation en parfaite adéquation avec le scénario.

Un one-shot au dessin particulièrement séduisant, qui sort des sentiers battus et ne manquera pas de séduire les amateurs de contes fantastiques.
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Un loup à l'air menaçant et une jeune fille aux cheveux et aux chausses flamboyants sur fond de forêt impénétrable... Lorsque mes yeux se sont posés la première fois sur cette couverture, j'ai instantanément pensé au conte du Petit Chaperon Rouge. Et si l'histoire, au final, n'a que très peu à voir avec le classique que l'on raconte aux enfants avant d'aller dormir, il s'agit cependant bien d'un conte. Un conte qui parle de changement, de transformation, de parcours initiatique, ligne directrice de la sublime collection Métamorphose dont je ne cesse de vous vanter les mérites.

L'album s'ouvre sur le loup, Vokko, qui semble s'adresser directement au lecteur : "Alors ? Tu ne sais ni qui tu es, ni d'où tu viens, c'est ça ?". Il entreprend de nous raconter le drame qui a touché notre peuple : l'amenuisement des ressources, la perte des croyances, et l'apparition brusque de ce ruisseau doré, dans lequel nous avons étourdiment plongé les mains. Ce qui s'est passé ensuite ? le ruisseau nous a transformé en pierre, devant le regard horrifié de nos parents. Nous sommes à présent dans un monde différent, ou nous pouvons voir sans être vus, ou nous côtoyons les esprits. Moma, la chamane du village, nous confie la lourde tâche d'inventer une chanson, pour redonner la foi à la tribu. "Au fait, tu t'appelles Aurore, tu t'en souvenais ? Non ? Ça ne fait rien..."

C'est ainsi que commence le double périple de la jeune Aurore, chargée d'une délicate mission, et de ses parents partis en quête de la source du ruisseau doré. Au cours de son voyage, la fillette croisera la route de nombreux esprits et créatures magiques qui habitent les terres de son peuple, les uns bienveillants, les autres méfiants et désabusés à cause des agissements de l'Homme. Et il y a Birka, le sombre Birka, l'esprit trompeur... Envoûtant, c'est l'adjectif qui me vient immédiatement à l'esprit à propos de cet album aux accents de légendes amérindiennes et inuit. Enrique Fernández entremêle avec brio conte traditionnel et fable écologique, le tout servi par des illustrations à couper le souffle.

J'étais déjà émerveillée par le style coloré et rebondi de l'auteur dans ses précédents travaux, L'île sans sourire et le magicien d'Oz, mais mon coeur penche définitivement en faveur de cet album à la technique traditionnelle. Enrique Fernández, fort de ses années de travail chez Disney, excelle à la peinture numérique, mais je n'aime rien tant qu'une aquarelle délicate où l'on distingue les coups de pinceaux et le grain du papier. J'y trouve une sensibilité prodigieuse qui sert magnifiquement cette histoire où il est, finalement, surtout question d'amour. La fin, inattendue, m'a presque tiré quelques larmes. Mais n'allez pas croire qu'Aurore n'est qu'une histoire tragique : Enrique Fernández a pris soin d'y inclure une bonne pointe d'humour et d'impertinence. Aurore a un sacré caractère, et le duo qu'elle forme avec Vokko, tantôt cynique, tantôt malicieux, fait des étincelles. Cette touche plus légère se marie étonnamment bien avec la gravité du propos, et donne à l'ensemble beaucoup de vivacité. Vous l'aurez compris, j'ai été conquise de A à Z par ce très bel album aux couleurs chatoyantes et à l'atmosphère enchanteresse. À lire et à relire.
Lien : http://livr0ns-n0us.blogspot..
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critiques presse (4)
BDGest
25 janvier 2012
Un one-shot au dessin particulièrement attrayant, qui sort des sentiers battus et ne manquera pas de séduire les amateurs de contes fantastiques.
Lire la critique sur le site : BDGest
Sceneario
20 janvier 2012
C’est une fable singulière de que nous propose là l’auteur Enrique Fernandez.
Lire la critique sur le site : Sceneario
BoDoi
11 janvier 2012
Un voile mystérieux entoure cette histoire aux tonalités ésotériques qui aborde tout de même des sujets d’actualité comme le respect de l’environnement ou la transmission des traditions d’une génération à une autre. Au final, on se laisse séduire par cette aventure singulière et enchanteresse.
Lire la critique sur le site : BoDoi
BulledEncre
20 décembre 2011
Aurore est un conte empreint de spiritualité et basé sur des valeurs humaines fortes. L’auteur, Enrique Fernández (L’Île sans sourire), sous couvert de l’innocence de son héroïne, met le doigt sur les travers de l’homme.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
Citations et extraits (5) Ajouter une citation
- Une chanson ? On parlera de moi dedans ?
- Bien sûr. L'idée, c'est que son peuple reconnaisse ton travail et le respecte.
- Ben, il était temps ! Ils m'ont tout l'air d'avoir oublié combien il est difficile de créer un courant d'eau jusqu'à la montagne ! Certains prennent l'initiative et me dévient une partie du cours pour irriguer les terres sèches, d'autres mettent des troncs et des pierres en travers et bouchent le passage. Et il y en a même qui font leurs besoins dans l'eau !
- Euh... Bien, d'accord. Mais ce qui nous serait utile aussi, c'est une note positive, tu comprends ? Cette chanson...
- Tu veux que je dise du bien d'eux ? Hum... Tout ce que je peux dire de bon, c'est que pour l'instant, ils n'ont pas encore eu suffisamment soif pour se lamper toute l'eau des rivières. Bonne chance pour la chanson.
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- Qu'est-ce que tu viens de faire, là ?
- Je t'ai serré dans mes bras. Tu ne sais pas ce que c'est ?
- Si, je sais. Mais je ne sais pas pourquoi tu l'as fait.
- En fait, je... Tu m'as donné une bonne nouvelle. J'étais triste et maintenant je suis contente. Ça fait plusieurs jours qu'on discute tous les deux, tu m'as appris beaucoup de choses. On est amis.
- Ah, oui ? Amis ? Pour quoi faire ?
- Rien de grave, laisse tomber. On n'est pas amis.
- Mais ça ne change rien, tu me mettras das ta chanson, hein ?
- LES CHANSONS, JE NE SAIS PAS FAIRE !!!
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- Je ne sais pas faire une chanson.
- Si, tu sais. Vous autres savez faire des chansons sur tout. Vous en avez une sur un bout de mousse qui pousse sur un rocher. La première fois que je l'ai entendue, elle m'a paru ridicule, mais après elle m'a fait réfléchir pendant pas mal de temps.
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Tu es l'opportunité qui ne se représentera jamais de conserver l'essence de ton espèce
au-delà de la tradition orale qui se transmet de père en fils.

Certains diront la vérité, d'autres mentiront par jalousie et d'autres encore. Certains êtres ont une mauvaise nature, chacun a ses raisons, il ne faut pas que cela t'angoisse.

La colère, c'est tout à fait typique de vous. Je voulais que tu connaisses cette sensation pour te l'expliquer, c'est pour ça que je t'ai provoquée, tu comprends ?
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Quelques jours après, dans les environs, apparut un ruisseau de cette même couleur dorée.
Comme vous êtes des gens très impressionnables, ce phénomène vous a paru magique et extraordinaire.
Vous avez alors cru que c'était un don du ciel destiné à vous seuls. Tu sais ce que ça signifie, être égoïste ? C'est ne penser qu'à soi, et croire que tout dans le monde n'existe que pour être tripatouillé par soi.
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Suivez l'actu d'Ankama Éditions : http://www.ankama-editions.com/fr https://www.facebook.com/AnkamaEditions/ https://twitter.com/AnkamaEditions Rendez-vous sur Ankama Shop : https://www.ankama-shop.com/fr/ Hammerdam propose une réinterprétation fraîche et pleine d'humour de la célèbre légende d'Excalibur. Par son trait vif et sa palette de couleurs attrayantes, Enrique Fernandez nous emmène dans un récit d'aventures rafraîchissant aux côtés de Melina, une petite fille promise à un destin hors du commun... Une histoire en deux tomes, parue dans la Collection Étincelle.
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