Voilà une rencontre ratée. Pourtant l'histoire m'avait paru très intéressante , cet homme qui décide de rencontrer son frère, auteur qui s'est coupé du monde grâce à un total anonymat, suite à la mort de leur père.
Mais l'intrigue n'en finit pas de ne pas démarrer et tourne autour d'elle-même..je finis cette lecture très mitigée
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UN ouvrage qui pose des questions rhétoriques sur l'impossibilité d'écrire. Manipulant les figures cachées, l'écrivain espagnol invite à une non-fiction avec le cap de Creus et Barcelone pour décors, comme un jeu de piste où serpente l'exercice de distanciation. Le lecteur averti prendra soin de se munir de patience. Faute de quoi, slalomant entre préambules et bavardage intérieur, il pourrait se retrouver éconduit. Il pose des questions intelligentes, mais n’offre qu’une vague réponse. Le but est sans doute ailleurs. Esthétique ?
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Malheureusement, j'ai trouvé assez peu d'intérêt à ce roman. Je n'en conserverai que certaines références littéraires. Pour le reste aucune chance d'égaler "Paris est une fête "
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Vamos a presentar el libro de Enrique Vila-Matas que se titula Niña. Las ilustraciones son de Anuska Allepuz. El libro fue publicado por Alfaguara en 2013. Es una abra para los adultos revista ilustrada para los niños.
Este libro cuenta la historia de Anita, una niña de cinco años. Este niña tiene un hermano mayor de doce años que la nombra Niña, prefiere este sobrenombre. En verano se iban con sus padres a una gran casa de montaña pintada en blanco y en azul que tenía la forma de un barco. Esta gran casa que parece como, un transatlantíco que tenga una gran chimenea. Cuando sus padres y Juanito se volvían tan serios, Niña prefere imaginar que tiene un hermano imaginario que se llamaba Juanote, juga aveces con él. Ellos niños imaginaban que eran piratas y que la casa fuera une barco gigantesco. Finalmente, el padre de Niña dice que el alfabeto es muy fácil de aprender, pues Niña decide aprender el alfabeto.
Es una buena historia un poco demasiada infantil. Bien ilustrar, acnnsejar para empezar bien a español. La historia es un póco comica y fantástica, también, la protagonista es intriganda.
Augustin y Mathias.
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Niña es un libro escrito por Enrique Vila-Matas que se publicó en 2013. La ilustradora es Anuska Allepuz.
El protagonista es una niña pequeña, su nombre es Anita y tiene cinco años. Anita tiene un hermano mayor que la llama “Niña”.
La historia trascurre durante el verano. Los padres de Anita, en verano, siempre van de vacaciones a la montaña, en una casa muy grande. Este año, el padre de Anita quiere enseñarle el alfabeto pero Anita, que tiene mucha imaginación, prefiere escapar con su hermano imaginario, imaginando que es una pirata. La niña cree que el alfabeto tiene demasiadas letras y no se siente capaz de aprenderlo. Al final, es Juanote, su hermano imaginario, el que la anima a aprender el alfabeto. La niña acepta, pero con una condición: que su gato Beto le enseñe a leer.
Este libro les permite a los niños aprender el alfabeto. La obra es interesante. Para concluir, recomiendo este libro a los niños pequeños.
Lola
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Es la historia de una niña llamada Anita,de cinco años. Anita tiene un hermano de doce años . Eran las vacaciones de verano y Niña, su hermano y sus padres viajaron, como todos los años, a un pueblo de montaña donde tenian una perciosa casa, pintada de azul, con la forma de un barco. Como alli ni sus padres ni su hermano le hacian caso, Niña soñaba que tenia otro hermano,llamado Juanote y con él vivia y una aventuras. Niña era muy valiente. No obstante, tenia miedo a algo, Sabéis a qué ? Al alfabeto ! si queréis averiguar el motivo tendréis que leer el libro.
La Hstoria que narra Niña es muy bonita,de verdad. Es una historia facil de entender por cualquier niño,incluso los mas pequeños .Esta bien escrita pero con un lenguaje adaptado a los niños , de tal manera que no aparecen palabras raras, que ellos no hayan oido con nunca
areg
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Toujours le même humour, la même culture chez Vila-Matas. Le même poids des écrivains du passé qui ont déjà tout dit. Ce labyrinthe d’érudition sans issu, où le peu que le lecteur a le bonheur de capter au passage n’efface pas le sentiment d’être passé à côté de beaucoup de références.
Ici, Vila-Matas s’est penché sur sa jeunesse, ses années d’apprentissage d’écrivain, poseur désespéré, dans le Saint-Germain-des-Prés des années 70. Ce livre est placé sous le double patronage d’Hemingway et de Duras, représentant chacun une voie opposée et qui semblent toutes les deux bouchées. Il fait un portrait très convaincant de Duras, sa logeuse, en terrible prospectrice, presque inquisitrice, s’exprimant dans un français supérieur, que lui, pauvre catalan exilé, ne comprend pas. Paris n’a pas vraiment été une fête pour lui, il n’y pas vécu « pauvre et heureux » comme Hemingway, mais « pauvre et malheureux » et il s’il s’en sort, ce n’est que grâce à l’ironie. Constant volte-face.
« Paris ne finit jamais » n’est pas le livre le plus virtuose de Vila-Matas, mais il m’a confirmé dans l’idée que cet auteur était en train de construire une œuvre de grande qualité. On peut regretter un manque d’évolution, mais finalement Vila-Matas n’a jamais vraiment prétendu se considérer comme autre chose qu’un imposteur. Très réjouissant à lire.
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Le 20 septembre 2012, je me suis rendu à une conférence que donnait Enrique Vila-Matas à l’institut Cervantès de Paris pour présenter son nouveau livre « Air de Dylan ». Il était entouré de Dominique Gonzalez-Foerster, un de ses anciens personnages et accessoirement artiste lauréate du prix Marcel Duchamp, ainsi que d’André Gabastou, son habituel et plutôt bon traducteur mais particulièrement peu disert pour l’occasion. Les trois-quarts de la conférence se sont donc déroulés en Espagnol, sans presque aucune traduction, et sans que mon Castillan de collégien indolent ne me soit d’une grande utilité. Autant dire que je me suis très vite ennuyé et que seul le manque de porte m’a empêché de partir en la claquant. Une expérience, pourtant, aux frontières du réel.
« Air de Dylan » commence par une conférence que doit donner un certain Vilnius au sujet de l’échec. Il se trouve qu’il a prévu de faire une sorte de théâtre-réalité et que cette conférence sur l’échec soit un échec en réussissant à faire fuir tous les spectateurs. Il y arrive relativement bien, car une grande partie des spectateurs quitte la salle à cause d’un problème de traduction. Mais malgré tout un homme reste jusqu’à la fin de la conférence ; ainsi Vilnius échoue même dans sa tentative d’échec. J’ai trouvé cette première partie du livre très longue, pas forcément drôle, pas très originale, à peu près aussi ennuyeuse qu’un mauvais roman (mais j’avoue que la qualité des romans a très peu de choses à voir avec l’ennui qu’on peut parfois ressentir à les lire).
Il est écrit sur la quatrième de couverture que cet « Air de Dylan » est l’œuvre la plus romanesque d’Enrique Vila-Matas. Par rapport aux livres de lui que j’ai pu lire auparavant, cela me semble assez juste. « Air de Dylan » ressemble beaucoup plus à un roman traditionnel, il est en apparence beaucoup moins chaotique - même si les idées sont toujours aussi tourbillonnantes -, il n’y a pas d’interruptions brusques comme dans « Le mal de Montano » mais un vrai fil narratif et une histoire qui semble obéir à certaines règles dramatiques. Ce fil narratif c’est la relation père-fils, c’est le thème de ce livre et Vilnius se retrouve dans une situation complètement hamletienne. Et comme le veulent les conventions des romans bourgeois, il y a dans « Air de Dylan » (vaguement quand même, j’insiste) les traditionnelles histoires d’amours, de meurtres et des enquêtes à la sauce hollywoodienne ; quelques sujets métaphysiques et sociétaux sont même directement abordés. Même si ce n’est pas toujours fait sans humour, ça m’a paru un peu étonnant de la part d’Enrique Vila-Matas, mais plein de promesses pour l’avenir. Cependant on retrouve toujours les spécificités de cet auteur : ses récits encastrés, son ironie et des thèmes qui lui sont chers comme l’identité ou l’héritage.
Ce livre m’a aussi semblé moins littéraire, quoiqu’on retrouve toujours des phrases qui ressemblent étrangement à celles de Musil, des constructions kafkaïennes, des personnages qui rappellent Pessoa, etc. Les références d’Enrique Vila-Matas se sont élargies vers le théâtre, la musique populaire, le cinéma et l’art en général.
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magnifique livre sur l'ambition et l'ironie de la jeunesse... et Paris retrouve une vie littéraire même après 1930
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