AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Ernest Hemingway (1288)


C'était un vieil homme qui pêchait seul sur une barque dans le Golfe du Mexique et en vingt-quatre jours il n'avait pas attrapé un seul poisson.
Commenter  J’apprécie          10
Le monde est un endroit magnifique pour lequel il vaut la peine de se battre.
Commenter  J’apprécie          20
- Tu as lu "Les Amants de la forêt" ?
- Ouais. C'est celui où ils couchent toutes les nuits avec l'épée entre eux ?
- C'est un bon livre, Wemedge.
- C'est un livre épatant. Ce que je n'ai jamais pu comprendre, c'est à quoi servait l'épée. Il aurait fallu qu'elle reste tout le temps le tranchant en l'air, parce que dès qu'elle se mettait à plat, on pouvait facilement rouler par-dessus sans rien risquer.
- C'est un symbole, dit Bill.
- D'accord, fit Nick, mais c'est pas pratique.
("Trois jours de tourmente", p.179)
Commenter  J’apprécie          20
Le monde est un endroit magnifique pour lequel il vaut la peine de se battre.
Commenter  J’apprécie          335
Marie, sa femme de ménage, protestant contre la journée de huit heures parce que, "quand on a un mari qui travaille jusqu'à six heures, il ne se saoule qu'un petit peu en rentrant à la maison, et il ne gaspille pas de trop. Quand il travaille jusqu'à cinq heures, il est saoul tous les soirs et vous laisse sans argent. C'est la femme de l'ouvrier qui souffre de cette réduction des heures de travail". (p.33)
Commenter  J’apprécie          22
On s'abstenait de penser et tout était magnifique. On était cuirassé à l'intérieur de manière à ne pas flancher de ce côté-là, comme la plupart des autres l'avaient fait, et l'on se donnait l'attitude du monsieur qui se moque éperdument de ce qu'il faisait autrefois, maintenant qu'on était incapable de le faire. Mais, au fond de soi, on se disait qu'un jour on écrirait sur ces gens; sur les grosses fortunes, qu'on n'était pas un des leurs, mais bien un espion chez eux, qu'on lâcherait tout cela pour l'écrire, et que, pour une fois, ce serait écrit par quelqu'un qui connaîtrait son sujet. Mais jamais il ne le ferait, parce que chaque jour passé sans écrire, dans le confort, à être cela qu'il méprisait, émoussait ses facultés et affaiblissait sa volonté de travail, si bien qu'en fin de compte il ne travaillait pas du tout. Les gens qu'il connaissait à présent se sentaient infiniment plus à l'aise lorsqu'il ne travaillait pas. (p.19)
Commenter  J’apprécie          20
"Il me faudrait une pierre à aiguiser, dit-il après avoir vérifié la ligature du couteau sur la manche de la rame. J'aurais dû emporter une pierre à aiguiser. Y a bien des choses que t'aurais dû emporter, pensa-t-il. C'est pas le moment de penser à ce qui te manque. Pense plutôt à ce que tu peux faire avec ce qu'y a. p129-130
Commenter  J’apprécie          30
Mais l'homme ne doit jamais s'avouer vaincu, dit-il. Un homme, ça peut être détruit, mais pas vaincu. p121
Commenter  J’apprécie          20
Ernest Hemingway
Décider de ne pas être un salopard permet de se sentir plutôt bien... Ça pourrait presque remplacer Dieu.
Commenter  J’apprécie          20
Il n'est plus temps de penser à ce qui te manque. Pense à ce que tu peux faire avec ce que tu as.
Commenter  J’apprécie          40
Il vaut mieux avoir de la chance. Mais je préfère être exact. Et alors quand vient la chance, on est fin prêt.
Commenter  J’apprécie          00
«  Le monde est un endroit magnifique pour lequel il vaut la peine de se battre » .
Commenter  J’apprécie          130
« Cabrón ! dit Augustin. C'est ça leur fameux tank, Inglés ?
— Celui-là est un bébé.
— Cabrón. Si j'avais un biberon plein d'essence, je grimperais par là et j'y foutrais le feu.
Commenter  J’apprécie          00
Mais le temps n'existe pas. Tu devrais être assez intelligent pour savoir ça. J'ai vécu l'expérience de toute une vie depuis que je suis dans ces montagnes.
Commenter  J’apprécie          00
— Dormons », dit-il. Il sentit le long corps léger, chaud contre le sien, apaisant, abolissant la solitude, par magie, par le simple contact des flancs, des épaules et des pieds, concluant avec lui une alliance contre la mort [...] Mais, dans la nuit, il s'éveilla et il la serra contre lui comme si elle était toute la vie et qu'on voulût la lui enlever. Il la tenait, et il sentait qu'elle était toute la vie, et c'était vrai.
Commenter  J’apprécie          00
Après, on sera comme un seul animal de la forêt, et tellement près l'un de l'autre qu'aucun des deux ne pourra dire qu'il est lui et pas l'autre. Tu ne sens pas que mon cœur est ton cœur ?
— Si. Il n'y a pas de différence
— Sens, maintenant. Je suis toi et tu es moi et tout de l'un est l'autre. Et je t'aime, oh ! je t'aime tant.
Commenter  J’apprécie          20
Écoute moi, dit le sourd. Je parle beaucoup. Mais c'est comme ça qu'on arrivera peut-être à se comprendre.
Commenter  J’apprécie          00
Ces hommes ! C'est une honte pour nous, les femmes, de penser que c'est nous qui les faisons.
Commenter  J’apprécie          00
Nul homme n'est une île complète en soi-même ; tout homme est un morceau de continent, une part du tout
Commenter  J’apprécie          00
Le monde est un endroit magnifique pour lequel il vaut la peine de se battre.
Commenter  J’apprécie          20



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Ernest Hemingway Voir plus

Quiz Voir plus

Le vieil homme et la mer

En quelle année est paru ce texte ?

1951
1952
1953

10 questions
246 lecteurs ont répondu
Thème : Le Vieil Homme et la Mer de Ernest HemingwayCréer un quiz sur cet auteur

{* *}