Evelyne Brisou-Pellen

Liam et la carte d’éternité est le premier tome de la saga jeunesse Le Manoir. Convalescent après le cancer dont il a souffert, le jeune Liam est conduit dans une curieuse maison de repos, où la technologie et même l’électricité n’ont pas cours. D’abord désireux de s’enfuir, il se met peu à peu en tête d’élucider les mystères de cet étrange endroit.



Malgré son ambiance à mi-chemin entre Alfie Bloom (Gabrielle Kent) et La Maison des Morts (Sarah Pinborough), je n’ai jamais vraiment réussi à entrer dans ce livre, porté par un protagoniste si inégal qu’il confine à l’incohérence.



La moitié du temps, il est cultivé, ingénieux et possède d’excellentes capacités de réflexion. L’autre moitié, il a le quotient intellectuel d’un navet. Trop cuit, le navet. Par exemple, même après avoir rencontré des fantômes hostiles dans le sous-sol du bâtiment, il n’envisagera pas une seconde que le « fou » de l’étage qui se prend pour Léonidas puisse être le vrai roi de Sparte. Non, ça, ça dépasse son entendement.



À l’inverse de celui du lecteur de plus de dix ans qui, lui, comprendra le fin mot de l’histoire dès les premières dizaines de pages. On a donc une intrigue prévisible qui piétine longtemps, quand elle ne tourne pas en rond, et qui, lorsqu’elle progresse enfin, le fait à grands coups de facilités scénaristiques (oui, Léonidas, c’est toujours toi que je vise…)



Aucune explication ne sera jamais apportée à quoi que ce soit. Enfin si, on tente de justifier pourquoi certains peuvent interagir avec la fameuse carte d’éternité et d’autres pas, mais pas pourquoi ni comment ni à quelles fins ladite carte se trouve là. Peut-être dans les tomes suivants, cependant je doute de les ouvrir un jour.



Liam ne m’a pas seulement déçue par son bon sens discordant, c’est toute sa personnalité qui est problématique, et notamment son manque de maturité. Il est censé avoir quinze ans, mais je lui en aurais trop souvent donné moins.



Les autres personnages… On va dire qu’ils se distinguent grâce à leurs traits principaux (l’enseignante, le joueur de poker, le psy, le majordome, la princesse moyenâgeuse, les criquets…), mais n’ont pas vraiment de profondeur, ni de caractère. Ils ne sont construits qu’en surface.



Les exceptions étant bien sûr Léonidas et Cléa, plus développés, et surtout plus marquants et attachants que Liam. La sous-intrigue de la jeune fille est d’ailleurs la seule qui pourrait (j’insiste sur le conditionnel) potentiellement m’inciter à lire la suite.



Ce roman est moins mauvais que ma critique donne matière à le penser, toutefois je ne le recommanderai qu’à un public juvénile encore peu rompu en matière de littérature. Au-delà, vous ne manquerez pas de repérer, comme moi, son fil rouge d’entrée, ainsi que ses nombreuses failles.
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C’est l’histoire de Garin Trousseboeuf qui est le dix-neuvième enfant de sa famille sur vingt-cinq. Il quitte le domicile familial car son père boit à longueur de journée et sa mère se plein qu’aucun de ses enfants ne soient morts. En avril 1354, Garin se fait exclure de l’école de la cathédrale car il a posé une boule de neige au pied de la Vierge et a crié au miracle quand elle a fondu. Ça ne le dérangeait pas plus que ça car il savait lire et écrire et il voulait découvrir le monde. Il avait « emprunté » un écritoire, des plumes et des parchemins à la cathédrale. Il n’avait pas d’endroit où dormir donc il s’assit sur un banc malgré la pluie battante et s’endormi. Soudain, il fut réveillé par des soldats du château de Montmuran qui le firent prisonnier par erreur, pensant qu’il appartenait à l’armée anglaise qui voulait attaquer leur place forte. Tous les prisonniers furent emmenés au château du seigneur Bertrand du Guesclin qui soutient la venu de Charles de Bois, le mari de Jeanne de Panthièvre à la tête du duché de Bretagne. Les anglais, eux, veulent que ce soit Jean de Montfort qui devienne duc de Bretagne. La guerre fait rage entre les anglais et les français. Garin est vite libéré et il est embauché par Dame Agnès, la femme du seigneur Alain qui va régner sur le château en attendant que Bertrand du Guesclin revienne de sa campagne militaire avec sa garnison. Garin devint le scribe du château. Il devait faire l’inventaire de tous ce qu’il y avait dans celui-ci. Il a carte blanche pour entrer dans pratiquement toutes les salles du château. Cela va l’avantager car un prisonnier étrange est dans le donjon ou il ne révèle point son identité et il ne parle que la langue de Galle.

C’est un livre intéressant mais dur à comprendre surtout avec les noms des personnages mais c’est une bonne histoire.

On ne comprend pas très bien au début mais une fois qu'on est lancé ça glisse tout seul.

Pauline

Un bon petit roman historique plutôt bien conçu. Même s'il s'agit de littérature jeunesse, on se demande jusqu'au bout si l'héroïne va s'en sortir, prise au piège par son tuteur.

Mon seul regret : l'héroïne est plutôt une jeune fille intelligente et accomplie ; elle ne s'en sort néanmoins que grâce à l'aide d'un homme, qu'elle épousera ensuite. Un chevalier servant en somme...

Pour le reste, ça se lit bien et vite. Il y a quelques subtilités de vocabulaire, ainsi que quelques données historiques, qui en font un roman tout à fait intéressant.

Vous connaissez probablement le roman Manoir d'Evelyne Brisou-Pellen, que l'on peut désormais considérer comme un classique du roman jeunesse. Eh bien la collection Bande d'ados propose une adaptation en bande dessinée de cette saga ! Le premier tome est disponible en deux parties.



Je n'ai lu que la première partie et voici mon avis :

• J'ai eu besoin d'un léger temps d'adaptation au style de dessins, mais une fois qu'on s'y habitue, on est bien immergé dans l'univers.

• Beaucoup de mystères entourent le manoir et comme le héro, on se demande bien ce qu'il s'y passe, même si, les adultes comprendront vite certains éléments.

• J'ai beaucoup aimé les références culturelles avec certains personnages.

• La bande-dessinée fera son effet chez les jeunes, avec un peu de tension et pourra peut-être même susciter un sentiment de peur. En tant qu'adulte, ça n'a pas trop marché, mais pour un public de 8-12 ans, c'est parfait.

Tess, une jeune lycéenne, possède une grande sensibilité. Un jour, lors de la visite d’un château avec son cousin, elle aperçoit un étrange objet blanc, que personne d’autre en peut voir. En le touchant, elle est propulsée dans le passé, revivant la vie d’un jeune soldat pendant la retraite de Russie. Coïncidence, ce jeune soldat porte un nom très proche du sien… Et si ce voyage dans le passé lui permettait de lutter contre la malédiction familiale, qui voit tous les hommes mourir à l’âge de 33 ans ?



La malédiction des 33 est un roman jeunesse qui mêle histoire et fantastique.

Une lecture sympathique, mais qui ne m’a pas totalement convaincue. En fan de romans historiques, j’ai apprécié les époques historiques évoquées, puisque nous sommes plongés au XVIIIe et au début du XIXe siècle, et que c’est assez rare en littérature jeunesse (et donc original). J’ai apprécié le côté mystérieux, l’enquête, ce retour sur une grande erreur judiciaire, mais j’ai trouvé que c’était un peu trop rapide pour vraiment développer les personnages. Après, ce n’est qu’un premier tome…



Affaire à suivre donc.

Ce roman jeunesse est visiblement calibré pour accompagner le programme de 5e sur le Moyen Âge. L'histoire de Guillemette semble un prétexte pour faire découvrir tous les aspects de la vie d'une ville comme Rennes au XVe siècle. Semble seulement car, par ailleurs, c'est une vraie histoire, bien construite, avec du mystère, de l'action, du suspens même. Les personnages sont finement dessinés, de l'héroïne aux personnages secondaires. Le style fluide en fait une lecture agréable, encore facilitée par la présence ponctuelle et pertinente des illustrations.

La peinture de la ville au Moyen Âge est solidement documentée et habilement présentée.



Un roman qui m'a encore confirmée dans la bonne opinion que j'ai de l'écriture d'Evelyne Brisou-Pellen.



Challenge Romans Jeunesse 2024

Challenge des Héroïnes 2024

Challenge À travers l'Histoire 2024

LE tome 1 ne permet pas de répondre a toutes nos questions sur ce curieux manoir où notre héros a atterri : heureusement, ce 2e volume apporte toutes les réponses. Non seulement sur les lieu, mais aussi la raison de la présence de chaque pensionnaire, question que tout connaisseur du mystère du manoir se posait. D'autant plus addictif, que de nouveaux pensionnaires arrivent, et que ca devient de plus en plus compliqué pour notre héros. Aussi bien pour les ados que pour les adultes qui ont envie de passer un bon moment de lecture.

Histoire addictive, très bien dessinée, où nous nous interrogeons avec le protagoniste sur ce manoir où il est censé se reposer après un cancer qui l'a sérieusement affaibli, mais dont il a guéri. De plus en plus de questions se posent au début de récit. L'envie d'en savoir plus sur ce lieu et ces curieux pensionnaires... Style graphique très agréable, couleurs efficaces même si un peu sombres mais nécessaires au récit. Super bon moment de lecture.

Un petit livre pour faire découvrir la legendes de ces deux supposes createurs de la ville de Rome aux enfants et aux grands car le livre peut se lire a tous les ages.La legende y est bien retranscrite sans trop d'emphase ni de passages inutiles.Une nouvelle reussie.

📚Liam, en rémission d'un cancer, est envoyé en convalescence par ses parents dans un étrange manoir.

Dirigé par le docteur Roy, l'établissement est énigmatique autant par les mystères dont il regorge que par les patients qu'il accueille.

Mais Liam ne compte pas s'éterniser et prévoit de s'enfuir de cette "prison" pour retrouver son foyer.



🖊Le manoir de Stéphane Melchior et Raphaël Beuchot est un bon récit fantastique qui, par son étrangeté et la gestion de son suspense, réussit à nous tenir en haleine tout au long de ses deux tomes.



On sent tout le potentiel de cette saga proposant une intrigue sombre accompagné d'un dessin sobre mais terriblement efficace.



Ces deux volumes adaptent le 1er roman de l'oeuvre d'Yveline Brisou-Pellen.

Si, en soit, la conclusion peut se suffire à elle-même, elle laisse en suspens certains secrets et donne envie de découvrir une suite potentielle.



🧔 chronique complète :
Lien : https://www.mtebc.fr/le-mano..

j'ai adorais,ce mystère dans cette Grande maison, whaaa j'aurai était contente d'avoir plein de pièce pour mettre mes livres ect moi, mais un secret de famille j'aurai était pareil j'aurai cherchais pour tout savoir est quel secret,bref je suis pas déçu ! ^^

Nous voilà dans la deuxième partie du Manoir avec Liam et la carte d'éternité.



A l'image du T1, les illustrations sont toujours aussi travaillées et donnent envie de se plonger dans cette histoire.



N'ayant pas lu les romans d'Evelyne Brisou-Pellen, je découvre peu à peu l'histoire. Liam est un garçon intelligent et va finalement découvrir la vérité (qu'on avait venu venir malheureusement). C'est un moment très émouvant je trouve. Le fait qu'il ne se laisse pas abattre et s'intéresse aux autres démontrent une force de caractère.



Je sors ravie de ma lecture et je suis curieuse de lire les romans afin d'en découvrir davantage de détails !

Cette année parmi mes résolutions il y a l'envie de lire des BD, univers que j'ai laissé de côté depuis trop longtemps.



J'ai gagné ce roman graphique en 2 tomes grâce à un concours organisé par @laurasreadings que je remercie de nouveau chaleureusement.



En effet, s'il me fallait être convaincue de l'intérêt et de la puissance d'évocation de ce genre de lecture, je ne pouvais pas mieux tomber.



Ces 2 tomes sont adaptés d'une série de romans pour adolescents que je ne connais pas. Et je n'avais aucune idée du sujet traité.



J'ai été tout simplement épatée !



J'ai vraiment adoré ! J'ai été embarquée et je suis allée de surprise en surprise avec un égal bonheur tout au long de cette lecture, aussi délicate que profonde dans les thèmes abordés.



Un grand bravo aux auteurs !

Quelle chance ont nos ados d'avoir accès à une BD d'une telle qualité, aussi bien graphique que scénaristisque!

Cette année parmi mes résolutions il y a l'envie de lire des BD, univers que j'ai laissé de côté depuis trop longtemps.



J'ai gagné ce roman graphique en 2 tomes grâce à un concours organisé par @laurasreadings que je remercie de nouveau chaleureusement.



En effet, s'il me fallait être convaincue de l'intérêt et de la puissance d'évocation de ce genre de lecture, je ne pouvais pas mieux tomber.



Ces 2 tomes sont adaptés d'une série de romans pour adolescents que je ne connais pas. Et je n'avais aucune idée du sujet traité.



J'ai été tout simplement épatée !



J'ai vraiment adoré ! J'ai été embarquée et je suis allée de surprise en surprise avec un égal bonheur tout au long de cette lecture, aussi délicate que profonde dans les thèmes abordés.



Un grand bravo aux auteurs !

Quelle chance ont nos ados d'avoir accès à une BD d'une telle qualité, aussi bien graphique que scénaristisque!

Très grande fan de la série du Manoir d'Evelyne Brisou-Pellen, j'ai été ravie de pouvoir découvrir l'adaptation en BD du premier tome: Liam et la carte d'éternité.



Je commence donc cette critique en remerciant chaleureusement Nicolas de Babélio et les éditions Bayard (collection : Bande d'Ados) qui m'ont permis de faire cette découverte.



Le tome 1 de la série romanesque a été adapté en deux BD dont celle-ci constitue la deuxième.



J'ai d'abord été séduite par la qualité de l'objet. C'est un très beau livre, à la couverture soignée et au papier de qualité. Les dessins sont agréables, avec des couleurs adaptées aux changements d'atmosphère propres au scénario. Les personnages sont animés et expressifs, on circule dans cette histoire avec aisance et fluidité.



Dans cette deuxième partie, Liam va progressivement faire plus ample connaissance avec les pensionnaires du château et découvrir son secret. Les destins se révèlent, les voyages dans le temps se concrétisent et les mystères se dévoilent peu à peu.



J'ai trouvé cette adaptation très réussie et accessible aux jeunes ados, et j'espère qu'elle leur donnera envie de lire l'original!

[Critique des deux tomes]



Grande fan d’Evelyne Brisou-Pellen depuis petite, j’ai dévoré quelques uns des tomes de la série Le Manoir il y a un moment, que j’ai adorés. J’avais acheté le premier tome de l’adaptation en BD pour la médiathèque, et j’ai reçu le second en service presse il y a un petit mois. Je remercie chaleureusement Babelio et les éditions Bayard !



J’étais heureuse de pouvoir relire le premier tome avant de lire le deuxième, car tous les deux reprennent le tome 1 de la série de romans. J’ai peut-être un petit regret pour cet aspect-là de l’adaptation, avec le recul ; j’aurais aimé je crois avoir un seul gros album.



Comme toute adaptation je pense, tout va un peu vite. En même temps, le roman est assez dense (plus de 350 pages). Pour autant, sachant que je l’ai lu il y a un certain temps (je pense plusieurs années maintenant), j’ai beaucoup aimé redécouvrir l’histoire de Liam, sublimée par les illustrations de Raphaël Beuchot. Le rythme est soutenu, ce qui rend l’aventure plus haletante, plus oppressante aussi. Les auteurs ont toutefois pu prendre leur temps pour la fin, ce dont je suis reconnaissante tant ce moment est fort et doux à la fois.



En bref, une belle adaptation que je recommanderai sans aucun problème (et qui j’espère amènera à la lecture du roman ?) !
Lien : https://folitteraires.wordpr..

[Critique des deux tomes]



Grande fan d’Evelyne Brisou-Pellen depuis petite, j’ai dévoré quelques uns des tomes de la série Le Manoir il y a un moment, que j’ai adorés. J’avais acheté le premier tome de l’adaptation en BD pour la médiathèque, et j’ai reçu le second en service presse il y a un petit mois. Je remercie chaleureusement Babelio et les éditions Bayard !



J’étais heureuse de pouvoir relire le premier tome avant de lire le deuxième, car tous les deux reprennent le tome 1 de la série de romans. J’ai peut-être un petit regret pour cet aspect-là de l’adaptation, avec le recul ; j’aurais aimé je crois avoir un seul gros album.



Comme toute adaptation je pense, tout va un peu vite. En même temps, le roman est assez dense (plus de 350 pages). Pour autant, sachant que je l’ai lu il y a un certain temps (je pense plusieurs années maintenant), j’ai beaucoup aimé redécouvrir l’histoire de Liam, sublimée par les illustrations de Raphaël Beuchot. Le rythme est soutenu, ce qui rend l’aventure plus haletante, plus oppressante aussi. Les auteurs ont toutefois pu prendre leur temps pour la fin, ce dont je suis reconnaissante tant ce moment est fort et doux à la fois.



En bref, une belle adaptation que je recommanderai sans aucun problème (et qui j’espère amènera à la lecture du roman ?) !
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Comme je l'avais spécifié dans ma critique du premier tome, je ne connais pas l’œuvre originale d'Evelyne Brisou-Pellen. C'est donc encore une fois avec un regard neutre que j'ai poursuivi ma découverte de l'univers du manoir. Si les dessins sont assez particuliers (du moins, à mon goût), il faut reconnaître qu'ils participent activement à construire l'ambiance étrange de la BD. Qui plus est, l'intrigue est tellement prenante que l'on finit par en faire abstraction. J'ai vraiment été happée par l'histoire qui mêle habilement enquête et fantastique. Elle possède également une touche dramatique qui apporte de l'émotion à l'ensemble.



Merci beaucoup à Babelio et aux éditions Bayard pour l'envoi de ce livre. Je suis ravie d'avoir pu lire ce second tome concluant le diptyque !

Il y a quelques années, j'avais lu la série de romans Le Manoir et j'avais beaucoup aimé à l'époque.

Cela a été un réel plaisir de découvrir l'adaptation du premier tome (La carte d'éternité) en BD.

L'univers donné à voir par les dessins est très proche de celui que j'avais imaginé.

Le scénario suit l'intrigue du roman en proposant, dans cette seconde partie, le récit de Liam découvrant la carte d'éternité et les particularités des habitants du Manoir ainsi que le rôle qu'il doit jouer pour leur venir en aide.

Une très bonne BD qui devrait plaire aux jeunes lecteurs !

Je remercie chaleureusement les éditions Bayard et Babelio pour cet ouvrage reçu dans le cadre d'une masse critique privilégiée.

Le Manoir – Liam et la carte d’éternité – deuxième partie m’a été proposé dans le cadre d’une Masse Critique Privilégiée.



Cette seconde partie débute là où s’était finie la première. Léonidas a sauvé Liam des spectres maudits. Le jeune garçon commence doucement à comprendre quelles sont les particularités du Manoir et découvre surtout ce que cache le bureau du docteur Roy.



Une suite qui répond, donc, à toutes les questions induites dans le tome 1et qui voit Liam se transformer en détective du temps pour permettre aux autres pensionnaires de trouver la paix.



Ici pas de temps mort, les incursions de Liam à travers l’Histoire succèdent aux scènes où se dévoilent plus intimement les personnages que côtoie l’adolescent.



Stéphane Melchior et Raphaël Beughot ont réussi une belle prouesse : ouvrir à un plus large public la série monumentale d’Evelyne Brisou-Pellen, et c’est tant mieux !



Publié dans la collection Bande d’Ados des éditions Bayard, l’ouvrage est juste magnifique (couvertures épaisses cartonnées plus grandes que les pages intérieures, papier épais, lettrages soignés et dessins de qualité).



La BD Le Manoir – Liam et la carte d’éternité – deuxième partie a, comme sa grande sœur, tout d’une grande et l’a rejointe sans hésiter sur mon étagère.



Une valeur sûre à placer sous le sapin de ce Noël et des autres.



Un grand merci aux éditions Bayard et à Nicolas de Babelio pour cette jolie proposition et pour leur confiance.