Citations de Evelyne Gauthier (71)
Nos quatre amis partirent, en route il croisèrent un corbeau.
-Ou allez-vous demanda-t- il ?
-Chercher des bonbons !
-Vous n’êtes pas les premiers, j’ai déjà vu passer beaucoup d’enfants.
Le poêle a bois diffusait une agréable chaleur.
Sur le mur il y avait des étagères avec des bocaux en verre de confiture.
elle monta un escalier en bois qui grinçait sous ses pas, puis redescendit
-désolé je n'ai plus de bonbons
oui, mais moi je suis Jacquot Lanterne et je ne suis donc pas obligé de vous obéir
-Et pourquoi ?
-Connaissez- vous mon histoire ?
- Non répondirent les enfants mais cela nous intéresse,
raconte- la nous si tu le veux bien.
-bonjour dit une vielle dame, que voulez- vous les enfants ?
-Des bonbons ou un sort !
La vieille dame ouvrit la porte...
Soudain ils aperçurent un petit squelette qui tenait une pancarte
-Votre chemin est par là dit il
Matou toujours gourmand s'était approché des confiture et découvrit avec horreur que les bocaux contenaient en fait des crapauds
FBI (Federal Bureau of Investigation) et CIA (Central Intelligence Agency) : les deux plus grandes agences de renseignements américaines, qui s'occupent respectivement des renseignements étrangers et de la sécurité nationale (contre-espionnage et contre-terrorisme). [...]
MI6 (Military Intelligence section 6 ou Secret Intelligence Service (SIS) : Service de renseignements extérieurs du Royaume-Uni, qui a pour but de protéger le pays de toute attaque terroriste extérieure et de diriger des activités d'espionnage à l'extérieur du pays. [...]
SCRS (Service canadien du renseignement de sécurité) : le principal service de renseignements du Canada. [...]
NSA ( National Security Agency) : la troisième plus grande agence de renseignements américaine, qui s'occupe des renseignements électromagnétiques. [...]
KGB : service de renseignements de l'Union soviétique, de 1954 à 1991.
-- Maman, tu es encore en train de travailler? demande Florence, qui s’apprête à aller se coucher après son bain.
(…)
-- Oui, ma chouette.
-- Pourquoi tu ne veux pas arrêter? Moi, quand j’ai fini l’école, j’arrête.
-- C’est parce que j’aime beaucoup ce que je fais, tu sais. J’ai tellement de plaisir que c‘est presque comme si je ne travaillais pas, en fait.
-- Ça se peut, ça? grimace Florence, sceptique.
Tapie sous les arbres, j’attends patiemment le signal de l’attaque. Je n’entends que le bruit de ma respiration, les doigts crispés sur mon arme. Ma gorge est sèche, mon cœur bat la chamade et je sens une goutte de sueur couler entre mes omoplates. Je ne vois mes coéquipiers nulle part, ils sont cachés eux aussi. Savoir que je peux compter sur leur présence à mes côtés pour mener à bien la mission me rassure tout de même.
J’observe notre but: un bunker situé tout près du boisé où nous sommes dissimulés. Entre cette cible et nous, une plaine herbeuse. Un terrain à découvert, sans protection. Et non loin de là, à notre droite, les bâtiments d’une ferme désaffectée qui pourraient aisément abriter nos ennemis.
Il me semble que le temps s’éternise, et j’en viens presque à souhaiter qu’on nous tire dessus pour qu’il se passe quelque chose. N’importe quoi plutôt que de rester accroupie sans bouger et à songer à toutes sortes de scénarios catastrophe. Ouf… Est-ce moi ou il fait chaud, tout à coup? Mes mains commencent à trembler. L’épuisement et le stress accumulés depuis ce matin, j’en suis sûre. Quelle journée!
Mais qu’est-ce que je fais là, au juste?
La vérité engendre la haine. Elle indispose parfois ceux à qui elle s’adresse.
Assister à des épousailles est d’autant plus pénible que, non contente de devoir célébrer l’union d’un couple dont on se fout complètement, de se faire frotter leur bonheur en pleine figure et de devoir faire semblant d’être heureux pour eux, on se fait irrémédiablement rappeler à quel point on est seule, malheureuse, désespérée et minable.
Rien au monde n'est plus cool que de se former un groupe appelé les 3 mousquetaires ou les Fuzzy Bunnies.
— Bien, dit Claire d’une petite voix.
— Une belle journée aujourd’hui, n’est-ce pas?
— En effet, aujourd’hui, j’ai eu…
— Julia! Où sont tes bols!?! interrompt Marie-Claude depuis l’autre pièce.
— Dans la salle de bain! répond-elle d’un ton sarcastique.
— Quoi? dit Marie-Claude interloquée.
— Dans la cuisine, qu’est-ce que tu penses? Dans les armoires à droite du frigo!
— OK…
Julia se tourne vers Claire.
— On jurerait André, dit-elle. Incapable de se débrouiller dans une maison! Il ne savait jamais où était quoi que ce soit. Je pense que mes enfants ont appris à utiliser la laveuse avant lui. Une fois, il m’a appelée au travail pour me demander où était rangée la crème glacée!
(…) les autres devraient être des compagnons qui marchent à côté de toi. Pas des béquilles sans lesquelles tu ne puisses pas marcher.
Mélissa croyait avoir touché le fond du baril quelques jours plus tôt, mais elle se figure qu’elle devait manquer d’imagination. Sa vie est encore pire à présent.
(…) à quoi ça me sert, d’avoir un plancher si propre qu’on pourrait manger dessus si je n’ai personne avec qui partager ce plancher? De toute façon, lécher les planchers ne figure nulle part dans ma liste de passe-temps.
La culpabilité est un poison pour l’âme. Ne la laisse pas envahir ta vie, où elle finira par te tuer à petit feu.
Snéfrou observe le ciel. Il est surpris de voir que le dieu-soleil Râ a déjà entamé sa course vers l’horizon et qu’il sera bientôt avalé par la déesse Nout. La plupart des gens qui se baignaient dans le Nil, où ils venaient porter des offrandes pour la fête, sont partis. Il ne reste plus que les jeunes. Merit-Neith et Hapouséneb, tout occupés à leurs activités respectives, n’ont pas remarqué qu’il se faisait tard.
— Il serait peut-être temps de rentrer, déclare Snéfrou. Nos parents vont s’inquiéter si nous ne sommes pas là au coucher du soleil.
— Tu as raison, approuve Merit-Neith. Maman va sûrement me faire une scène si je ne rentre pas bientôt. Elle s’en fait toujours pour rien.
Snéfrou et Merit-Neith se préparent à partir, alors qu’Hapouséneb continue de suivre quelque poisson du regard.
— Hapouséneb, dépêche-toi, insiste Snéfrou.
— Oui, oui, j’arrive, répond distraitement le jeune pêcheur, tout en s’enfonçant plus encore dans les papyrus et les roseaux.
Merit-Neith soupire d’exaspération en le regardant s’éloigner.
— Il va vraiment nous mettre en retard, si ça continue.
Tout à coup, Hapouséneb pousse un hurlement d’effroi. Alertés, Snéfrou et Merit-Neith se précipitent en direction de leur ami. Lorsqu’ils arrivent près de lui, ils sont figés par l’horreur de sa découverte.
Lorsqu’on donne la vie à quelqu’un, elle ne nous appartient déjà plus. Tout ce qu’on peut faire, c’est essayer de donner le manuel d’instructions
Les gars ont toujours ce fichu besoin de rabaisser les filles pour se remonter. Pas pour rien qu’ils minimisent tout ce qu’on dit ! Ils ont besoin de dominer, de montrer qui est le boss.