C’est déjà faire preuve de cruauté mentale que d’introduire un petit être humain dans un monde aussi pourri que le nôtre, alors si je suis pour lui gâcher l’existence en plus en le privant de père… ça ne vaut pas la peine.
Ces « jeunes mamans » sont des femmes très aisées, vivant sûrement, elles aussi, dans des manoirs somptueux, vêtues de vêtements luxueux, qui se promènent en Porsche, passent leur vie entre le coiffeur, le spa et la bibliothèque où elles font leur bénévolat, font garder leurs bébés par des nounous à domicile, les habillent de pyjamas griffés et ignorent l’emplacement de leur propre laveuse – tout comme le mode d’emploi.
Les gars ont toujours ce fichu besoin de rabaisser les filles pour se remonter. Pas pour rien qu’ils minimisent tout ce qu’on dit ! Ils ont besoin de dominer, de montrer qui est le boss.
Petite dichotomie entre les paroles et les actes. Samuel énonce souvent les plus belles des phrases, mais l’action ne suit pas toujours. Il est prêt à faire de nombreux sacrifices pour ses enfants, mais est-il prêt à faire la même chose pour moi ? Je suis sûre que les tortues des Galápagos ont une vie sexuelle et amoureuse plus excitante que la nôtre.
Elle se déplace avec la grâce du chat, et chacun de ses mouvements est empreint d’élégance. Son apparence est toujours parfaite – on voit qu’elle n’a pas que cinq minutes le matin pour s’habiller, se coiffer et se maquiller, elle ! – et elle est si féminine qu’elle aurait pu poser pour La naissance de Vénus, de Botticelli.