Ewa Rau

"Née trop blanche, j'incarne l'ange à abattre. Née dans le mauvais quartier, je suis l'être qu'on doit cramer. Née dans des fringues à fleurs, je suis celle dont on doit abuser"



🎧Plongez au coeur de Détroit, où Jodie (jeune fille blanche) tente, tant bien que mal, de survivre dans cet univers noir américain encore marqué par la ségrégation raciale. Elle ne connait que l'humiliation, les coups, le désarroi et la solitude. Jusqu'à sa rencontre avec Marshall, jeune rappeur qui est parvenu à faire sa place malgré sa peau blanche. Tout deux ont des rêves de grandeur mais la vie actuelle ne leur laisse que peu d'espoir.



🎧Ce livre a su touché mon coeur par les thèmes abordés : le racisme, la pauvreté, la dépendance, la violence mais aussi l'acceptation, la tolérance et le respect.



🎧Ewa Rau est parvenu à développer des personnes plus intéressants les uns que les autres :



🎧Jodie est admirable par sa force, sa résilience, sa bonté et sa tolérance. Elle plonge dans un univers qui lui est inconnu sans jugement et sans réserve.



🎧Marshall, lui, est un écorché vif, en errance et souffrance depuis des années. Sa vie n'est que misère et désolation. Il se protège tant bien que mal du monde qui l'entoure. J'ai adoré les moments où il acceptait de baisser les armes, où il était vraiment lui même.



🎧Les personnages secondaires sont tout aussi géniaux : mention spéciale à Mayo pour sa sincérité, générosité et folie !



🎧Cette histoire m'a beaucoup fait pensé à celle d'Eminem et j'ai eu du mal à me détacher de cette comparaison. Mais cela n'a rien enlever à la beauté de cette lecture. Au contraire, j'ai adoré l'univers RAP US, les références culturelles, les textes de Marshall.



🎧La plume est crue, intense, et addictive. Ewa Rau nous propose ici une romance pleine de cicatrices, houleuse, faites de déchirures et de blessures. Elle va à 1000 à l'heure pour ne plus avancer. Elle s'adapte à nos personnages torturés et meurtris.
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Un roman qui vous percute par ses maux et ses mots.

Un énorme coup de coeur pour cette fucking love romance sans fausse note !



313, Un indicatif, 3 chiffres qui vous propulse en plein de cœur de Détroit. Paysage d’un ghetto au taux de criminalité élevé, à la pauvreté engendrée par la fermeture des usines dû à la crise automobile. Ville abandonnée par le système et où la violence et la haine raciale sont véhiculées par la différenciation. L’autrice a incontestablement réussi à m’immerger dans cette atmosphère.



Vouloir se sortir de cet engrenage et décrocher la lune, comme un espoir et un leitmotiv pour enterrer le passé.

Elle veut partir loin de Détroit, il veut réussir et percer dans sa musique.



Elle, Jodie, cette étudiante à la peau pâle qui veut fuir un environnement toxique, l’agressivité et la cruauté des violences physiques qu’elle subit tous les jours par ses camarades de classe. Intégrant un programme pour étudier à la maison, elle va trouver un job de serveuse dans un " diner" pour économiser et réaliser son rêve d’intégrer la fac de Pennsylvanie. Une jeune femme courageuse et tenace qui m’a profondément touchée.

Elle va le rencontrer, lui.



Marshall, ce rappeur blanc à la peau gravée de ses terreurs. Un tailleur de mot au charisme brut et habitué des battles où la maîtrise des mots en fait son art, celui qu’il maîtrise à la perfection. Le rap est son carburant, la hargne son moteur et son but, le succès et la reconnaissance de ses pairs.



Elle va être l’interdît, le plaisir et cette attirance impossible.

Il va être son point d’ancrage, sa bouée de sauvetage, son protecteur.



J’ai tellement aimé leur relation. Cet amour jusqu’à se déchirer l’âme. Ces deux personnages si touchants qui bouleversent vos émotions.



Un gros crush pour Marshall, ce mec sensible au regard intense qui porte les stigmates d’une culpabilité écrasante. Sa peur ultime de recommencer les mêmes erreurs, la dureté qu’il s’impose. Sa hargne et sa tendresse s’entrechoquent dans sa vie de chaos. Il veut tellement la protéger de cette vie nocive.



Il m’a complètement rendue accro aux mots qu’il crache dans son micro pour se venger de son passé. Ce moyen d’expression à part entière avec ses mots qui percutent la réalité.



« Elle a peur de l’orage mais rêve d’un coup de foudre »



Un amour qui naît dans un avenir incertain et un environnement douloureux.

Une bande de potes et des personnages secondaires qui apportent énormément à l’histoire et aux interactions.

Des pages que l’on dévorent d’un roman rythmé par des mots qui vous triturent le cœur avec cette plume magnifique qu’est celle d’Ewa Rau.



Une passion intense avec laquelle on vit, on souffre, on rit.

C’est percutant, c’est prenant et on a le souffle coupé face à cette histoire. De l’amour à la haine, des fêlures aux blessures, de la rage à la colère, ils nous électrisent par l’évidence de leur attraction.



Je ne peux que vous conseiller de lire ce roman avec en fond sonore l’album Recovery d’Eminem. Une introspection personnelle où l’émotion domine la raison, où la guérison et la rédemption sont abordées. Une écoute sublime en amalgame avec ce roman qui est un joli clin d'œil à cette ambiance 8 mile et à ce rappeur de talent !
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J’ai eu un énorme coup de ♥️ pour cette histoire et ces personnages touchants et bouleversants.

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Jodie, cette lycéenne qui subit le harcèlement de ses camarades et qui, pour financer ses futures études a l’université, trouve un job dans un restaurant. J’ai énormément aimé cette adolescente qui devient peu à peu une femme. Elle doit faire face à des événements familiaux difficiles en plus de son quotidien éprouvant. Son évolution psychologique m’a beaucoup plue, elle qui était si effacée au début du roman et qui petit à petit s’affirme et se découvre.

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Marshall, ce rappeur blanc qui a du mal à trouver son public et qui travaille dans le même restaurant que Jodie. Ce jeune homme droit et intègre, bosseur et protecteur. Le bookboyfriend idéal qui, avec ce qu’il a vécu, m’a lui aussi énormément touchée.

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Ils évoluent tous deux dans un Détroit où on ressent la pauvreté, l’insécurité et le racisme. Ils vont construire une relation qui m’a complètement embarquée. Un amour puissant, intense et destructeur.

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Les personnages secondaires sont tout aussi géniaux et intéressants. Ils ont tous leur histoire et leur importance dans la vie de Jodie et Marshall.

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Une histoire percutante avec une plume incisive, le tout dans un univers de rap à la Eminem (♥️), et un objet livre tout simplement splendide !

Je me suis pris une claque monumentale dans la gueule. Quand je lisais dans les commentaires de ce livre qu'il fallait avoir des mouchoirs à porter de mains, je rigolais doucement, ne prenant pas la mise en garde trop au sérieux parce qu'il fallait y aller pour me faire pleurer. Je me disais juste que la fin va faire mal, et puis voilà. Alors, je me suis lancée dedans.

Dimanche matin, j'attaque. Je ne lâche plus le livre. Je dévore chapitre par chapitre. J'apprends à connaître Moh, une perle de sagesse, de douceur, de bonne volonté. Un être exceptionnel. Je fais la connaissance d'une famille ravagée par son passé, de Lenny, ce connard aux paroles tranchantes. De Eva, la folle espagnole. Que je l'aime cette femme aux cheveux violets.



Je ne m'arrête plus. Je me prends d'affection pour chaque personnage, happée par les mots de l'auteur. Et plus j'avance, plus j'ai peur. J'ai cette phrase dans ma tête qui me vient chaque fois que j'arrive à la fin: préparer les mouchoirs.

J'ai le cœur qui bat à cent à l'heure. Je tombe amoureux de nos deux héros que la vie n'épargne pas. Je ne veux pas les lâcher. Mais la fin me rattrape hier soir à 23h45. Et je craque.

Je pleure comme jamais je n'avais pleuré devant un livre. Mon copain, à côté, explose de rire. Je ne peux pas parler sans fondre en larmes. Et il me sort: "Putain, il devait être puissant ton livre, je t'ai jamais vu comme ça".

Il a trouvé le mot pour définir cette histoire. Puissante.

Merci à toi, auteur. Du fond de mon cœur en pleur.

Un livre drôle, voir complètement barré où les 17 auteures ont réunis leur 17 héros, qui font partis chacun d’un des livres édités de cette même maison d’édition, dans une histoire d’enquête dans une île célèbre en Charente.



Pas indispensable cependant, je pense qu'il faut connaître un minimum le groupe Facebook et les gens réels dont il s'inspire pour comprendre tous les clins d’œil et apprécier totalement cette folle histoire. Ce n'est pas une romance mais plus un hommage (voir délire) aux personnages des livres, aux personnels Black Ink et ses lectrices.



Le livre se laisse lire grâce aux plumes qui se coordonnes à merveille ensemble. J’ai eu plaisir à retrouver une grande partie des personnages emblématiques des romans de chez BI éditions. Un véritable ovni à découvrir.

J'ai été très touché par le personnage de Moh. Totalement adorable et un peu naïve par le monde extérieur qui va lui en faire beaucoup en baver. Rien ne lui sera l’épargner et j'ai été très souvent énervée par son sort.



Que dire de Lenny... C'est clairement le personnage où ce n’est pas du tout passé avec moi. Au fond, je l’ai compris et j’aurai pu l’apprécier par moment (et j’aurai aimé l’apprécier). J’ai aimé certains de leurs échanges et les piques qu’ils se donnent par moments. Mais, trop de choses où il va trop loin pour moi m’ont fait perdre le peu d’empathie que j’ai pu avoir pour lui et la fin n’a pas aidé à me faire changer d’avis sur son sujet.



En bref, Il m'a clairement manqué quelque chose pour être totalement happé par l'évolution de la romance entre Moh et Lenny. J’ai adoré Moh qui m’a vraiment touché (la plupart des personnages secondaires aussi) mais Lenny a été le point noir de l’histoire pour moi. Cela est que mon ressenti personnel car en soit le livre reste prenant, original et très marquant. C’est juste que je n’ai pas réussi à être touché par le message qu’a voulu faire passer l’auteure malheureusement.

J'ai trouvé l’histoire sympa, c'est par moment drôle et en même temps aborde des sujets difficiles. Ce qui a fait que j’ai un peu bloqué ce sont les personnages ou j’ai eu du mal à m’attacher et à les comprendre.



Entre Adé et son entourage qui décide en permanence de tout dans sa vie, elle qui ne bronche jamais et Tony dont je n’ai pas réussi à trouver justifiable son attitude tout du long. Même avec la révélation du pourquoi je n’ai pas réussi à le comprendre et la fin a été le blocage total le concernant et pas adhérer du tout à ses choix vu la situation.



L’écriture est jolie, ça se laisse lire mais mon manque de sympathie et l’attitude lunatique des personnages m'a lassé à la longue et m’a fait sortir de l’histoire. Dommage, car l’idée de base de l'intrigue me plaisait vraiment bien. Je n'ai pas non plus passer un mauvais moment mais je pense surement être passée à côté du message du livre et la psychologie des personnages.

Quels mots pourrais-je utiliser pour décrire au mieux ma lecture? J'ai été totalement bouleversé par cette histoire, par la profondeur des sentiments évoqués et surtout, surtout, cette romance m'a fait voyager dans un autre monde. Captivée page après page, l'auteure m'a fait vibrer, pleurer et je me suis attachée au personnage de Moh avec douceur. Carton plein pour ce livre !

Intense et poignant !



Je n'ai pu retenir mes larmes lorsque j'ai tourné la dernière page de ce livre 😭



La plume aiguisée et sensible de l'autrice , nous embarque à travers la vision de deux personnages : Lenny et Moh.



Quand la route de Moh croise celle de Lenny, encore prisonnier des démons de son passé c'est leur destin qui vont basculer. Quand la haine cogne, l'amour leur ouvrira-t-il ses portes ? 🚪❤️



Ewa nous transporte sur les terres de Moh, son histoire, son lien étroit avec mère nature et sa rage, celle d'un seul homme : Lenny.



Moh est plus qu'une simple héroïne, son amour et sa douceur laisse leur trace dans le cœur de ceux qu'elles croisent, lecteurs comme personnages.



Cette lecture m'a profondément bouleversée, le message délivrée est poignant, l'amour peut guérir de tous les maux et sera toujours plus fort que tout, qu'il faut faire les bons choix et ne pas laisser la haine dicter nos actes.

C’est un roman que j’ai adoré ! Je ne le place pas comme un coup de cœur mais ça aurait pu ! J’ai mis longtemps à le chroniquer parce que je voulais trouver les mots justes, et faire le point sur ce que j’en ai réellement pensé. La plume de l’autrice est vraiment sublime, mystérieuse, sombre et elle est très agréable à lire. Elle avait même quelque chose de magique, de poétique et je pourrais recommander le roman, seulement grâce au style de l’autrice. Quant à l’histoire en elle-même, c’est tout aussi fabuleux que son écriture. Le sujet choisi en base est très intéressant, je ne l’ai quasiment jamais lu dans un roman et je pense (de ce que j’en connais) que c’est assez bien traité. J’ai aussi adoré le fait que les héros gardaient leurs caractères, et ne changent pas soudainement alors que leurs sentiments évoluent. Même si la fin m’a paru un tout petit peu rapide, je l’ai trouvé tragiquement émouvante, j’ai eu plus que les larmes aux yeux. Elles coulaient doucement sur mes joues. Enfin bref, je vous recommande carrément cette merveilleuse lecture !
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J’ai lu 200 pages, soit un peu moins de la moitié de l’histoire, et j’ai arrêté. Il y a plusieurs éléments qui m’ont poussée à arrêter ma lecture, le premier étant la forme. Y a-t-il un correcteur chez Black Ink ? Je demande cela parce que j’ai vu le nom de la graphiste et de l’éditrice au début du livre, mais pas de correcteur… et il y a plusieurs lacunes au niveau de la forme. Il y a des fautes d’inattention comme



Je hôte mes chaussures

Les virgules sont parfois placées aléatoirement. Elles séparent parfois le sujet de son verbe, ou la phrase au milieu. Elles sont parfois avant l’interpellation, parfois seulement après (alors qu’il faut une virgule avant et après chaque interpellation). Il manque aussi plusieurs points dans le roman, surtout après des dialogues d’un mot ou des incises. Il en manque pas mal, ce qui est vraiment dommage. En tant que correctrice, ça m’a dérangée parce qu’il reste du travail à faire sur ce roman.



Quant à la narration, elle est très, très parlée et familière. Ça ne me dérange pas dans les dialogues, mais dans la narration, avoir beaucoup de contractions et une multitude de points d’exclamation, ce n’est pas franchement évident à lire. De plus, il y a énormément de dialogues et très peu de descriptions, narration. Du coup, tout se passe très, très vite et j’ai eu de la difficulté à suivre les différents événements. Il manque pas mal de descriptions au niveau des lieux et des personnages ; souvent, un personnage apparait et on n’a aucune idée à quoi il ressemble ni ce qu’il dégage, il faut le deviner en lisant les dialogues.



Les émotions sont souvent effleurées, j’aurais aimé avoir plus d’approfondissement pour vraiment comprendre ce que les personnages ressentent, surtout Adé. Je n’ai pas pu m’identifier à elle malheureusement.



Il y a aussi le fait que le résumé m’a trompée. Il promet une histoire sombre, assez sérieuse, et pour les 200 pages que j’ai lues, ce n’est pas du tout ça. On a droit à une narration très humoristique, pas de moments plus sombres ; le retour de l’ex d’Adé est terminé après cinq pages, on passe déjà à autre chose. De plus, je pense que la danse est évoquée seulement dans 10 pages sur les 200 pages lues ; alors qu’au vu du résumé et de la couverture, la danse semble prendre une place importante dans la vie d’Adé. On se contente de suivre les journées d’Adé, les chicanes avec son coloc, ses discussions au téléphone avec ses amis, les partys de Tony et les filles étranges avec qui il couche. L’histoire se répète et se répète. On n’évoque jamais la vie d’Adé quelques jours avant le début du roman, à croire qu’elle n’avait pas de vie.



Le comportement de Tony m’a aussi pas mal dérangée. Un jour, il est très marabout et méchant et, l’autre, il est protecteur et tout gentil. Adé se fâche, mais finit toujours vers lui… J’ai été lassée par ce cercle vicieux et comme j’ai vu dans d’autres commentaires que ça continuait ainsi jusqu’à la fin du roman, j’ai préféré arrêter.



En résumé, ce roman manque de travail sur le niveau de la forme. Il y a pas mal d’erreurs d’orthographe et de ponctuation dans le roman, une simple relecture suffirait à les éliminer. Je n’ai pas accroché au ton très humoristique et très tourné sur les dialogues, surtout que le résumé n’annonçait pas cela du tout cela. Mention spéciale à la couverture qui est superbe.

J’ai beaucoup aimé cette histoire même si certains points m’ont un peu dérangée.

 

Pour commencer je dirais que les personnages sont juste magnifiquement bien décrits. La souffrance d’Antony m’a touchée à un point inimaginable. On ressentait ses blessures, elles étaient vraiment ouvertes. Lorsqu’on le rencontre, il parait être un personnage «  classique », il fait le coloc détestable mais en même temps il est plaisantin et on s’attache facilement à lui. Par la suite il devient détestable mais je le comprends mais en même temps je ne comprends pas qu’il reste comme il est aussi longtemps, j’avais envie de le secouer tellement fort.

Adé est quant à elle, un personnage qui m’a touchée aussi mais pas dans la mesure où Tony m’a touchée, je me suis sentie plus proche d’elle et de sa douleur. Elle est passionnée par ce qu’elle fait et elle donne beaucoup d’elle-même sans forcément recevoir la même chose que ce qu’elle donne. Elle est courageuse et généreuse, et convaincue de ce qu’elle fait.

 

L’histoire m’a brisée, elle m’a transportée dans un endroit où je n’avais pas de prise sur la réalité. On pourrait croire qu’elle est basique mais je l’ai trouvé qu’elle avait quelque chose de particulier qui la faisait vivre. On est immergé dans le monde de la danse et ce même si il n’ya pas tant de scène de dance que ça. On assiste à des scènes marrantes, à des fêtes entre amis, et des scènes beaucoup plus tristes. J’ai beaucoup aimé les liens d’amitié qui unit tous les personnages, l’amour n’est pas mis qu’en avant puisque l’amitié en tient une grande place. J’aurais peut être aimé avoir un petit plus du passé d’Adé cependant le passé de Tony et de (sa mère) est vraiment très bien exploité et elle s termine d’une manière très vrai.

 

La plume de l’auteure est très fluide et addictive, les chapitres s’enchainent les uns après les autres sans même qu’on s’en rende compte. J’ai trouvé que sa plume avait une manière de décrire les personnages et les scènes de la vie de tous les jours très vrais, elle était plutôt poétique, simple et en même temps recherché.

 

J’ai passé un très bon moment de lecture même si encore une fois une scène m’a beaucoup gênée/choquée et l comportement d’un personnage à un certain moment m’a beaucoup déplus mais dans la vie, tout n’est pas toujours rose et je suppose que ceux sont des choses qui doivent arriver puisqu’on ne vit pas dans un monde tout rose.

Je conseille ce roman à tous ceux qui aiment les histoires avec de la dans et des personnages brisés

Lorsque j’ai commencé ce livre j’étais presque sur de l’aimer car le résumé me plaisait énormément. J’adore les livres dans l’univers de la danse et en plus l’histoire de la colocation me plaisait aussi car il y a matière à exploiter dans ce thème.



Mais j’ai été énormément déçu. J’ai eu beaucoup de mal avec le caractère des personnages principaux. Ils s’entendaient mal et pourtant ils se sautaient dessus, j’ai vraiment pas compris leur logique. Surtout Adé je n’arrivais pas à comprendre ses actions.



Et il y a eu plusieurs passages de l’histoire qui mon révolté un peu, notamment le moment avec l’air d’autoroute, pour ceux qui s’en souvienne j’en ai parlé dans ma story insta, et il y a eu un autre moment aussi. Si vous voulez en parler n’hésitez à venir en privé.



C’est dommage car j’aimais vraiment bien le déroulement de l’histoire mais ce n’est pas passé avec les personnages, Adé et Antony, donc ça n’a pas été une très bonne lecture.



Par contre j’ai adoré le personnage de Steeve, ce mec était vraiment une pépite, un homme en or.



Donc je suis triste de ne pas avoir pu aimer ma lecture surtout que j’avais vu de nombreux avis positifs sur ce livre mais bon cela reste mon avis.



Je vais donc lire Moh de la même auteur car ce n’est pas parce que je n’ai pas aimé ce livre que je ne le lirai pas, surtout que la plume de l’auteur est très belle.
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Vous le savez maintenant, j’apprécie cette maison d’édition, et quand l’annonce a été faite de ce projet un peu fou que les auteurs ont réalisé, 17 plumes pour un même roman, je ne pouvais que me plonger dedans à sa sortie.



Une île de Charente Maritime, une convention de Héros de romance, et une disparition.

L’inspecteur Capello, tout fraîchement débarqué du continent, va devoir démêler le vrai du faux, apprendre à lire entre les lignes, et ne pas se laisser déconcentrer par cette jolie sirène afin de retrouver l’éditrice disparue.



Je ne savais pas trop à quoi m’attendre, mais je n’ai pas été déçue. Les chapitres s’imbriquent avec une facilité, on ne peut que saluer le travail qui est fait.

J’ai aimé retrouver les black boys que je connais mais aussi en découvrir d’autres qui sont venus compléter ma wish list.

L’humour est au rendez-vous, les références musicales et cinématographiques apportent une touche de folie supplémentaire. L’écriture multiple est très addictive.



Ici, chaque personnage a sa place et nous raconte sa version, et franchement je ne sais pas comment a fait l’inspecteur Capello pour ne pas remonter dans le bateau ou même partir à la nage.

J’ai aussi apprécié les interludes qui nous mettent un peu sur la piste. La narration à 18 voix est très fluide, comme si les auteurs avaient fait cela en discutant autour d’un café, en fait non, sûrement quelque chose de plus fort pour en arriver à ces idées rocambolesques.



Que vous connaissiez tous les personnages, une partie comme moi, ou bien aucun, vous ne serez pas perdu, ce livre a une identité propre. J’ai découvert des personnages qui m’ont donné envie d’en apprendre plus sur eux, notamment Alex suite à sa participation aux olympiades une peu spéciales, mais aussi Bradley, Grégoire et Jace. D’autres m’ont fait un autre effet comme Leith mais surtout Madsen, je n’ai pas lu son histoire mais je ne peux plus boire de thé sans penser à lui ( merci les infos de la lecture commune 😉 )

J’ai trouvé cela vraiment sympa que les personnages féminins soient de vraies personnes, et de les imaginer avec ces mots dans leurs bouches était une vraie rigolade.

Mais le véritable héros de ce roman, c’est l’inspecteur Capello, je ne peux pas vous en parler de trop, cela gâcherait votre plaisir, mais sachez qu’il y a des sondages et des tractations pour qu’il ait lui aussi son propre roman!



Si vous avez envie d’une bonne intrigue, avec des beaux mecs, envie de rire, de chanter, de pleurer ( un peu) et d’avoir des étoiles dans les yeux en refermant ce livre, alors foncez!


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J’avais déjà lu Adé de Ewa Rau, je savais donc que j’allais aimer cette nouvelle histoire. Mais je ne pensais pas passer par tant d’émotions !



Moh est une jeune Indienne d’Amérique qui veut changer d’horizon. Elle est donc recueillie par une famille typique d’Amérique. Tout ce se passe plutôt bien, jusqu’à ce que Lenny revienne à la maison. Il voue une haine à cette culture et le fera très vite comprendre à Moh, mais c’est sans compter sur la détermination de la jeune femme.



Comme je viens de le dire, Moh est une jeune femme déterminée, téméraire, courageuse et adorable. Je me suis tout de suite attachée à elle. Quant à Lenny, malgré ses paroles acerbes, son caractère désobligeant et ses actes horribles, on ne peut pas le détester. Car plus Moh le défie, plus il s’attache à elle et devient attendrissant. Il a toujours des réserves, mais on voit au combien il fait des efforts. C’est ce qui le rend encore plus attachant.



Pour ce qui est de l’histoire, et bien je n’ai pas beaucoup de points négatifs à émettre. Sauf qu’il y a peut-être des moments où les scènes étaient un peu trop résumées et où j’étais légèrement perdue, mais ce n’est pas arrivé souvent. L’histoire est magnifique, forte en rebondissements, elle nous fait passer par des milliers d’émotions : joie, tristesse, colère et amour.



Avec Moh, Ewa Rau nous tient en haleine du début à la fin, car on dit bien qu’il ne faut pas se reposer sur ses lauriers et tout prendre pour acquis. Je vous recommande fortement cette histoire sublime, poignante, puissante et bouleversante, vous n’en ressortirez pas indemnes !
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