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Critiques de Fabrice Virgili (16)
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France

Deux choses aussi subjectives l’une que l’autre, m’ont convaincue, il y a longtemps à sa sortie en 2000, de me lancer dans cette lecture. Tout d’abord la perception des images comme cette scène de tonte en banlieue parisienne (août 1944) tirée d’un film muet en noir et blanc réalisé par Maurice Krebs (page 126–127), ensuite la très impressionnante bibliographie (p. 349-379).

C’est ainsi que commence l’introduction : « De 1943 au début de l’année 1946, la tonte de la chevelure a été massivement pratiquée à l’encontre de femmes accusées d’avoir collaboré avec l’occupant allemand. 20 000 femmes environ, de tous âges et de toutes professions, ont été tondues sur l’ensemble du territoire français. Il s’agit d’une pratique multiforme, dans son déroulement comme l’identité de ses auteurs. »

En trois parties (Du mythe à la réalité, Le temps des tontes, Pourquoi) l’auteur tente d’expliquer le phénomène de la tonte des femmes à la fin de la Seconde Guerre mondiale.

Il révèle un certain nombre de résultats assez intéressants de ses recherches (ce livre est issu de la thèse de doctorat soutenue en 1999) : les tontes ont commencé pendant l’Occupation, commanditées souvent par la Résistance elle-même, qui a longtemps adopté une attitude ambivalente, vis-à-vis des tontes, souvent tolérées, voire encouragées aux premiers temps de la Libération ; on tente par la suite d’éradiquer le phénomène un peu comme on peut. Les tontes étaient censées sanctionner ce qu’on appelle la « collaboration horizontale », alors que les relations sexuelles avec les Allemands ne concernent que 57 % des cas de collaboration identifiée. C’est donc plus un châtiment sexué que le châtiment d’une sexualité : les tontes sont l’aboutissement d’un fantasme de contrôle renforcé de l’homme sur la sexualité féminine, de virilité retrouvée aux forts relents pétainistes.

Notez aussi le soutien au moins de la presse, assez souvent des tribunaux, à ces pratiques, souvent perçues comme un viol, jusqu’où cela quelquefois allait, voir même jusqu’à l’exécution pure et simple.

Un travail de recherche très solide pour un document historique hors normes.
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France

J'avais, un jour, été ébranlé en regardant les images d'un documentaire sur la Libération dans lequel on voyait trois femmes tondues, insultées, violentées par la foule sur la place publique d'un village en France.

Beaucoup plus tard, je suis tombé par hasard sur ce livre de Fabrice Virgili (historien, chargé de recherche au CNRS). Cet ouvrage très bien documenté (issu pour l'essentiel d'archives) retrace de manière assez précise ce qu'a été le destin de ces nombreuses femmes qui, pendant la guerre, ont choisi de nouer des relations étroites avec l'occupant, leur dénonciation à la Libération, leur condamnation par un système judiciaire souvent expéditif, la symbolique de la chevelure chez les femmes (pourquoi sont-elles tondues au contraire des hommes qui ne le sont pas ?), etc. Cet ouvrage donne surtout à comprendre ce que fut la vraie condition de la femme, du rôle qui lui était assigné durant la Seconde guerre mondiale. Un livre lucide, essentiel.
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La garçonne et l'assassin

Évidemment c’est un récit insolite, celui de Paul ou plutôt de Suzanne dont la photo orne la couverture du livre, de la BD de Chloé Cruchaud ou du film d'André Téchiné.



"La garçonne et l’assassin” est l’étude sociologique d’un fait divers.

Quoi de plus sérieux que le CNRS dans lequel travaillent les auteurs, Fabrice Virgili et Danièle Voldman, pour attester du sérieux de cette recherche historique minutieuse menée dans les archives et journaux de l’époque.



Le livre a le défaut de ses qualités : sérieux, documenté, analytique, crédible, émaillé de moultes interrogations, mais il n’a pas le lyrisme de “Mauvais genre” et de “Nos années folles”qui s’en sont inspirés.



Les auteurs décortiquent les traces et documents d’un fait divers sulfureux, celui de Louise et de Paul. Blessé au doigt durant la première guerre mondiale, ce militaire fut soupçonné de s’être mutilé volontairement par les autorités militaires qui voulurent le renvoyer au combat.

Paul se travestit alors en Suzanne pour couvrir sa désertion et devient façonneuse de bretelles à domicile. “Ils s’affichaient comme un couple de garçonnes, deux femmes qui s’aimaient et vivaient ensemble”.

Leur revenu était réduit mais “sur les 32 francs qu’elles gagnaient à elles deux par semaine, Louise laissait à Suzanne huit francs pour ses poudres de riz et ses crèmes.”



Mais l’histoire ne s’arrêta pas là. Amnistié en 1925, Paul supporta mal son retour à la masculinité, il avait franchi la ligne de démarcation !

Je vous laisse découvrir cette suite, évitant le risque de spoiler trois œuvres!



C'est un peu la société française au sortir de la guerre qui est analysée à travers le prisme de cette affaire, une “ page saisissante des vices modernes de l'après-guerre" que plaidera l’avocat Maître Garçon, qui ne défendait pourtant pas la garçonne mais l'assassin.



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La garçonne et l'assassin

En se plongeant dans les dossiers d’archives de la police, les historiens Fabrice Virgili et Danièle Voldman exhument l’histoire rocambolesque de Paul Grappe et de Louise Landy qui a fait la une des journaux dans les années folles.

Leur aventure connait aujourd’hui une nouvelle célébrité grâce à son adaptation dans la bande dessinée « Mauvais genre » de Chloé Cruchaudet.

Paris années 1910, Paul rencontre Louise. Ils s’aiment, se marient. La guerre éclate, Paul part au front où il est rapidement blessé. Lors d’une permission, il décide de déserter et de vivre cacher. Très vite, la clandestinité pèse. Un soir, il enfile la robe de Louise pour sortir prendre l’air. Le subterfuge fonctionne, tout le monde le prend pour une femme. Le couple peaufine alors le stratagème. Paul devient Suzanne tout en vivant avec sa femme Louise. C’est là que les ennuis commencent…s’ensuivent une double vie, une sexualité multiple, la violence dans le couple jusqu’au drame final.

Cette histoire, aux allures de faits divers tragique, cristallise trois transgressions majeures de l’époque : le respect de la loi, le sexe et l’appartenance à une classe sociale. En brouillant les frontières sociales et de genre, Paul-Suzanne et Louise incarnent à leur façon la grande rupture historique entre les années 1910 et l’après première guerre mondiale.

Les deux auteurs s’appuient sur la chronologie pour montrer l’histoire à l’œuvre tout en s’en affranchissant pour l’élargir à sa dimension sociale. Ils soulignent, avec force et intelligence, la portée singulière et philosophique de ce destin particulier. Leur plume élégante nous éclairent sur le trauma de la guerre de 1914, l’intimité d’un couple et la profonde mutation de la société française dans les années 1920-1930. Un essai brillant qui se lit comme un polar.

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France

Ce livre présente donc un travail de fond sur les tondues de la libération, travail ardu parfois et un peu lénifiant (pour les non historiens...) mais son grand atout est de proposer une vision, une explication de ces évènements.



En effet ces tontes ne sont pas anodines puisqu'elles ne concernent que les femmes (très peu d'hommes ont été tondus) au moment de la libération (c'est donc un moment très court).

La tonte en elle-même est un geste étrange, agressif sans être "ultra violent", violent sans être définitif il attaque avant tout la partie séductrice de la femme dont la chevelure reste le symbole antique.



Et c'est bien de cela qu'il s'agit, par la tonte des femmes Fabrice Virgili expose l'idée qu'on a assisté à une "reconquête territoriale" de la France (en même temps les mairies sont libérées et le femmes "qui ont couché avec les boches" tondues). Il y a donc dans ce geste une volonté marquée de domination masculine, de "fascisme viril", de réaction (le corps de la femme appartient à la société) au moment même où au sortir de la guerre les femmes s'émancipent (elles auront le droit de vote tout de suite après la libération) et où les hommes n'ont pas brillé à la guerre...



Autre paradoxe, au moment de la libération, la punition de ces femmes qui ont "trahi" rejoint inconsciemment et paradoxalement tout le discours de la "révolution nationale" sur la femme... Cette libération semble donc celle des hommes, celle des femmes viendra bien plus tard... Puisque le discours fasciste sur leur rôle, rejoint celui de la révolution nationale, rejoint celui des libérateurs sur une femme objet de son père, frère, mari... à qui on dénie toute liberté et même toute conséquence à ses actes (elles ne sont pas tuées après tout mais la fessée est courante).



Moment étrange, inconscient et donc fascinant que la collaboration en France (du début à la fin, de la débâcle aux tondues) qui reste une zone trouble ou des forces ancestrales se rejoignent et s'agrègent dans des cocktails explosifs. Peu de livre sur cette période osent pourtant l'analyse des faits et c'est pourquoi celui-ci est vraiment remarquable.
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France



Fabrice Virgili a écrit une étude historique (normale c'est son métier) sur une partie honteuse de l'épuration extra-judiciaire. Je dis honteuse en âme et conscience car d'aucuns diront que ces Femmes avaient mérité leur sort. Certaines méritaient d'être jugées et condamnées mais par la Loi, par un tribunal avec garantie des droits de la défense et non par une foule, cherchant à une exécutoire et un défouloir après 5 années d'une Occupation dég.....Foule dont beaucoup n'était pas très net.

A partir de documents photographiques, de témoignages (rares), de livres, de reconstitution de statistiques etc...Fabrice Virgili montre les origines de la tonte des femmes, comment ce processus s'est mis en place en France (mais pas que...En Italie aussi, scène dure dans le film 1900 de B. Bertolucci ou même avant après la victoire de Franco en Espagne contre les Femmes républicaines voire contre les Femmes adultères à Rome), pourquoi, qui sont les juges, les bourreaux et les victimes et que cache vraiment ce châtiment.



C'est un livre rigoureux qui ne laisse que peu de place à des descriptions de ces scènes (pas de voyeurisme ni d'exposition malsaine). Les faits, les dates, les personnes, le contexte, le résultat etc...uniquement. Avec une recherche d'explications, de facteurs et d'actes socio-psychologiques et une analyse quasi psychanalytique. Du coup, le livre peut paraître aride et par moments insaisissable. Car il casse l'imaginaire collectif en lui donnant un caractère de réflexion, de recherche. La Femme tondue est souvent un élément d'un folklore macabre, choquant et dég...autour de la Libération. Fabrice Virgili sort de ce cliché car il nous éclaire parfaitement sur cette justice expéditive, quasiment totalement engagée contre les Femmes (quelques Hommes ont été tondus mais la portée symbolique est très peu impactante par rapport à la Femme, en revanche les Hommes étaient plutôt lynchés au sens propre du terme).



Au-delà de sanctionner, de punir, de châtier, il s'agissait de se réapproprier le corps, la sexualité et la vie sociale de la Femme, de montrer sa virilité d'Homme victorieux après une défaite et une mise au pas magistrales et de retrouver le temps d'avant. Inconsciemment ou consciemment d'ailleurs, c'était pour certains mais aussi certaines de pratiquer une forme d'agression sexuelle sous couvert de justice envers des Femmes qu'on désirait (pour rester polie) qu'on jalousait. Or, Fabrice Virgili montre que la collaboration horizontale c'est à dire vraiment l'intelligence avec l'ennemi a été le fait de très, très peu de Femmes et parmi celles tondues toutes ont été désignées comme telles alors que très peu l'ont pratiquée cette collaboration. Bien souvent, elles ont été tondues car au mieux elles travaillaient pour les Allemands, avaient été vues avec des Allemands au plus intime elles avaient eu une vraie histoire d'amour avec un Allemand voire un bébé par la suite. Il y a aussi un moyen de contrôler et de criminaliser les Femmes indésirables car jugées trop en décalage par rapport à la société alors que bien souvent elles étaient victimes d'une situation socio-économique et sociétale de défavorisée. C'en était déjà trop en ces temps extraordinaires.



Aujourd'hui, avec le recul, on s'offusque d'un tel châtiment qui serait jugé comme une violence voire une agression à caractère sexuelle contre les Femmes. A l'époque au regard du contexte, non. Moi j'ai eu un peu de mal à garder cela à l'esprit quand j'ai lu le livre (alors que je parle souvent du contexte de l'époque, du replacement du fait étudié dans ce contexte). Ainsi vont les lectures....

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Chroniques de l'Europe

De Christine de Pizan au Brexit, sept siècles de construction du continent en cent vingt dates décalées. Une réussite.
Lien : https://www.lemonde.fr/livre..
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La garçonne et l'assassin

L'Histoire a pu témoigner à travers la littérature de nombreux cas de travestissements. Œuvres de fiction vaguement inspirées de faits réels ou restitutions au plus près du véridique, des récits comme Albert Nobbs, Le secret du Dr Barry ou même Que le spectacle commence d'A.Featherstone traduisent la difficulté de vivre son sexe dans des époques troublées, et la nécessité de franchir la barrière du genre pour survivre. Si les trois titres cités évoquaient exclusivement des femmes contraintes à une transformation en homme pour accéder aux études, à un métier, ou pouvoir échapper à une condition sociale miséreuse, on oublie tous ces hommes qui ont eu aussi, en ces siècles passés, à devenir des femmes. Histoire de contrainte ou de hasard, aspiration ou émergence d'un troisième sexe, ces faits divers ou littéraires (lorsqu'ils étaient en partie ou totalement fantasmés, et alors souvent censurés) viennent montrer que le transgenre est loin d'être une apparition récente.



Le cas Louise et Paul Grappe en fait partie. Cette célèbre affaire - qui va du fait divers sulfureux au crime passionnel - a récemment connu une adaptation au cinéma par André Téchiné sous le titre Nos Années folles, essentiellement basée sur ce récit écrit à 4 mains et qui, fort d'une importante recherche et d'une impressionnante collecte d'archives, reprend chronologiquement cette étrange histoire. Louis et Paul, un couple comme il en existe des tas dans le Paris de 1914 : elle est petite main en atelier, lui est opticien, envoyé au front lorsque la guerre éclate. D'un tempérament assez électrique déjà dans sa jeunesse, Paul ne tarde pas à s'opposer à la direction militaire... puis très vite, tout s'accélère : une blessure qu'on suspecte volontaire, la réforme tant souhaitée qui ne vient pas et hop, voilà que Paul s'évanouit. A la place nait Mlle Suzanne Landgard qui, dans ce monde désormais composé de femmes, vit en colocataire aux côtés de Louise Grappe sans que l'on suspecte son vrai visage.



On ne sait si l'idée vint de Paul ou de Louise, sachant que, comme le soulignent les auteurs, rien dans le passé de Paul ne prédestinait au travestissement, et encore moins à une sexualité à multiples visages. En effet, l'existence de Suzanne ne s'est pas arrêtée à une nécessité de survie, à un simple "masque" quotidien : très vite, celle qu'on a surnommé à l'époque la "Jolie Suzy" est devenue une vraie vedette du Paris des Années Folles, allant jusqu'à faire la une des journaux pour ses prestations sportives de parachutiste. Arborant une coupe à la garçonne et fréquentant le Bois de Boulogne, Paul/Suzy entraîne Louise dans le monde de la prostitution et de l'échangisme, se découvrant des penchants homosexuels insoupçonnés et enchaînant les maîtresses comme les amants.



Mais la guerre terminée, la lassitude (et le dégout?) de cette vie de couple à la tournure particulière incite Louise à demander l'amnistie pour son époux déserteur. Celle-là accordée, Suzanne pouvait disparaître pour laisser place à Paul, et avec lui,à une vie de couple ordinaire. Mais une fois redevenu l'homme qu'il était, Paul sombre dans l'alcool et la dépression, ne vivant plus que dans le souvenir de Suzanne Landgard. Qui, de Paul ou Suzanne, est-il vraiment? Alors que son histoire explose au grand jour et que la presse à scandale s'empare de l'affaire ("La célèbre parachutiste était un homme!"), la vie de couple se dégrade jusqu'à ce soir fatal de 1928 où un meurtre est commis. Mais, de Paul devenu femme puis mari violent, ou de Louise, épouse dévouée devenue l'homme de la maison, qui est la garçonne, qui est l'assassin?



Croisant vie intime et scène social dans l'entre-deux guerre, cet ouvrage interroge avec pertinence la question du genre en période de trouble et son caractère plus réversible qu'on ne le pense. Le fait-divers se recoupe ainsi avec des questions sociologiques et philosophiques plus vastes qui, près de cent ans plus tard, sont toujours d'actualité.



En bref : Mêlant petite et grande Histoire, La garçonne et l'assassin vient questionner les aspects sulfureux, sociologique et psychologique du transgenre à l'occasion d'un fait-divers qui, il y a un siècle, suscitait déjà la fascination. Un travail d'archives et de réflexion abondamment illustré, à découvrir.
Lien : https://books-tea-pie.blogsp..
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La garçonne et l'assassin

Un livre passionnant de bout en bout, qui est tout autant une enquête policière, un essai sur les identités de genre et la guerre, et une réflexion sur les sources de l'historien. De chapitre en chapitre, les rebondissements sont nombreux. L'histoire rocambolesque de Paul Grappe, déserteur travesti, méritait assurément d'être portée à l'écran, comme l'a fait André Téchiné, avec son film "Nos années folles".
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La garçonne et l'assassin

chronique d'une histoire de couple finissant en fait divers judiciaire, qui a marqué la France durant les années de la grande guerre et les années 20; on retrouve le Paris de ces années là, avec force détails et photos de l'époque ainsi que l'histoire de ces deux amants Paul et Louise , la guerre, la justice, les amours....la vie
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La garçonne et l'assassin

Intéressante revue dans le Spiegel
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La garçonne et l'assassin

Une affaire oubliée qui vient dire le trouble du travestissement, la complexité des identités sexuelles et la force des assignations de genre.
Lien : http://rss.feedsportal.com/c..
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Viols en temps de guerre

Une livre d'histoire permettant de questionner le viol et plus largement les violences sexuelles et les symboliques associées. Il permet de questionner le rôle des violences sexuelles durant les conflits tout en questionnant le regard jusque là porté par l'histoire sur ce sujet.
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Les Françaises, les Français et l'Épuration: De ..

Une analyse historique de l'épuration des collaborateurs en France de la Seconde Guerre mondiale à nos jours.


Lien : http://www.nonfiction.fr/art..
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L'Europe des femmes

Un recueil de documents originaux, commentés par des historiens, au sujet d’Européennes, connues ou inconnues, du XVIIIe siècle à nos jours.
Lien : http://www.nonfiction.fr/art..
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La garçonne et l'assassin

Fabrice Virgili et Danièle Voldman racontent fort bien ce drôle de drame d'une drôle de dame en expliquant ce qu'il nous dit de l'époque, de la face cachée des Années folles.
Lien : http://rss.nouvelobs.com/c/3..
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