Citations de Franck Bourgeron (13)
Quand l'air humide me saisit comme une douche glacée, et quand la nature prend ses airs ternes et piteux.. Je retombe sur moi-même... Je ne retrouve plus au dedans de moi que le vide écoeurant et l'immense ennui de vivre.
Qui sait, quand la belle saison finira, lequel de nous sera encore en vie?
Soyez gais, soyez pleins de joie,
Car la saison du printemps passe vite, elle ne durera pas.
Ecoutez la chanson du rossignol: la saison vernale approche.
Le printemps a déployé un berceau de joie dans chaque bosquet
Où l'amandier répand ses fleurs argentées.
Soyez gais, soyez pleins de joie,
Car la saison du printemps passe vite, elle ne durera pas.
(extrait d'une vieille poésie orientale)
Résistance et obéissance, voilà les deux vertus du citoyen.
Il faut éviter de parler politique avec les asiatiques, car les gens d'extrême-orient ont généralement des opinions extrêmement orientées.
Ne cherche jamais à abaisser l'homme malheureux, un jour vient où Dieu le relève.
- Mais j'ai fait ça pour la patrie, camarade ! La mère patrie !!
- Ah... Oui... Pour la patrie, bien sûr...
C'en est finit de l'Orient, le rêve est achevé. La Patrie est devant nous, dans ce paisible petit Brightbury là-bas, on m'attend avec bonheur.
Moi aussi, je les aime tous, mais qu'il est triste ce foyer qui m'attend.
- Salut le passeur ! Comment va le fleuve?
- Bah ! Jaune et sale tout comme toi et moi ! Hahaha !
- A ce qu'on dit, il sortirait de son lit plus souvent que toi !! Hahaha !
- Hahahaha !
- Médisance !
Qui sait, quand la belle saison finira, lequel de nous sera encore en vie ?
Soyez gais, soyez pleins de joie, car la saison du printemps passe vite, elle ne durera pas. Écoutez la chanson du rossignol : la saison vernale s'approche.
Dans tout roman bien conduit, une description du héros est de rigueur. Mais ce livre n'est point un roman, ou, du moins, c'en est un qui n'a pas été plus conduit que la vie de son héros.
Je ne sais plus rester un jour, non pas même une heure, sans te voir... Tu vois bien, Loti, que c'est impossible, et que, si tu reviens,... Aziyadé sera morte.
Je passais ces nuits à l'attendre. A attendre ce moment, très court quelquefois, où je pouvais toucher ses bras à travers les terribles barreaux, et embrasser dans l'obscurité ses mains blanches, ornées de bagues d'orient.
J'aimais presque cette jeune femme si singulièrement délicieuse.
J'oublierai bientôt ces nuits tièdes où la première lueur de l'aube nous trouvait étendus dans une barque, enivrés 'amour, tout trempés de la rosée du matin.