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Critiques de François Cheng (462)
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Cinq méditations sur la beauté

Il y a un avant CHENG.

Et il y a un après CHENG. Et cet après est.... lumineux!!

Un livre qui demande relecture, un livre extrêmement dense.

"La beauté ne respire qu'en durée. Le Mal n'expire que dans le temps, Merci Mr CHENG de nous l'avoir rappelé"

Astrid SHRIQUI GARAIN

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Cinq méditations sur la beauté

méditation brillante mais n'ai pas réussi à méditer avec Monsieur Cheng
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Cinq méditations sur la beauté

Après la découverte des Cinq méditations sur la mort que j'avais trouvé très intéressantes, j'avais vraiment hâte de découvrir ces Cinq méditations sur la beauté.



Dans ces cinq méditations, François Cheng fait appel à des références classiques occidentales comme orientales qu'elles soient littéraires, artistiques, religieuses ou philosophiques pour mieux éclairer cette notion quelque peu énigmatique.



S'il est vrai que la lecture de cet essai était intéressante, celle-ci me fut plus difficile que l'autre ouvrage de François Cheng à cause des trop nombreuses digressions qui donnent une impression de construction bancales et perdent le lecteur. À l'issue de cette lecture, on a certes quelques pistes, mais on est pas très sûr de savoir où l'auteur à voulu en venir.

De plus certains aspects de la question m'ont paru trop développées (compte tenu de ce qu'elles amenaient au développement) alors qu'à l'inverse, certains arguments que je trouvais très intéressants ont été trop vite expédiés à mon goût.
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Cinq méditations sur la beauté

Un baume de sagesse bienfaisant pour un voyage intérieur.
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Cinq méditations sur la beauté

Toujours aussi subtil que l'esprit de Monsieur CHENG , quel plaisir de le lire, avec sa maestria épistolière habituelle sur un sujet intéressant : la beauté. Il nous livre sa digression avec tellement de clarté, cette promenade philosophique qui me fait regretter de ne pas l'avoir croisé sur les bancs de l'école.!



Quelle magistrale poésie dans son propos ! chers profs de philo, seriez vous jaloux pour ne pas nous le conseiller ou l'étudier ?

Pendant ma lecture j'ai repensé comme un écho à un roman amusant d'Eric Emmanuel Schmitt "et si j'étais une oeuvre d'art"..; dans notre société où le PARAÎTRE et tellement plus important que le "PAS ÊTRE"...et les "canons de beauté" tellement relatifs ! Différents de l'Orient et de l'Occident, du Nord au Sud..



"La beauté de l'âme l'emporte sur la beauté physique"

Georges SAND

Je vous recommande cette lecture.
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Cinq méditations sur la beauté

Un livre magnifique et lumineux. Philosophique, bien sûr, mais également écrit dans une belle langue qui colle à son sujet.

Ouvrage qui n'est pas très long, ce qui permet de le lire et de le relire. De le méditer !!!

François Cheng est un être au confluent de l'Orient et de l'Occident et il nous fait partager cette richesse singulière.

La beauté est intrinsèquement liée au bien, c'est ce que veut nous montrer notre auteur au cours de ses méditations. Dans le droit fil de Platon, en contemporain.

Remarquable et bienfaisant.
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Cinq méditations sur la beauté

Un véritable cours de philosophie sur la notion de beauté. L'approche en est très claire, progressive, agrémentée d'appuis relevant des cultures occidentale et chinoise.
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Cinq méditations sur la beauté

dans un style toujours aussi agréable, et pur, F Cheng nous entraine dans une réflexion sur la beauté. Cette beauté intrinsèque du monde que nos regards ne parviennent plus à capter. Apprendre à regarder, pour s'émouvoir encore, c'est l'une des leçons à retenir de ce beau livre.
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Cinq méditations sur la mort

Ce livre se lit comme une conversation entre amis. C’est du reste ce dit François Cheng dès le début : « Chers amis, merci d’être venus, merci d’habiter cet espace d’accueil de vos présences. (…) le langage qui nous est commun va tisser un fil d’or entre nous, et tenter de donner le jour à une vérité qui soit partageable par tous. »

Cheng nous invite à partager la fécondité de sa double culture, chinoise, puis occidentale, l’une et l’autre se répondant, en toute simplicité : « Je suis ici en méditation, non pas en cours magistral, et bien humblement, en votre compagnie, j’essaye d’avancer pas à pas en me tenant le plus près possible du vrai. » Nous rencontrons ainsi Rilke et Lao-Tzi, Orphée et Qu Yuan et également Etty Hillesum qui nous accompagnent dans ces belles méditations.

La première méditation nous invite à ne pas penser la mort comme la fin de la vie, mais le fruit de notre être. Cela implique aussi de ne pas oublier les morts et d’avoir de la gratitude envers la vie. Dans la deuxième méditation, nous découvrons que chaque vie est unique et que la conscience de la mort fait naître le désir. La troisième méditation nous place face à deux mystères, la beauté et le mal, qui interfèrent chacun à leur manière avec notre conscience de la mort.

La quatrième méditation se pose la question d'une survie possible après la mort et donc de l'existence de l'âme à laquelle chaque civilisation ou croyance répond à sa manière.

La cinquième méditation est une suite de poèmes. En soi, elle n'est pas originale puisqu'elle reprend en partie des poèmes publiés dans trois recueils. Mais la poésie est aussi un bon moyen pour aller au cœur du mystère de la vie au-delà même de la mort "qui n'est point notre issue".
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Cinq méditations sur la mort

J ‘avais adoré les récits poétiques de François Cheng « l’éternité n ‘est pas de trop » et « quand reviennent les âmes errantes »

J ‘étais très curieux de découvrir ces 5 méditations sur la mort.

L ‘auteur est âgé et cela se sent.Est ce pour éloigner le spectre de sa propre fin qu ‘ il écrit ce petit livre?

Très cultivé , partagé entre deux mondes ( l’ Orient avec les doctrines taoïstes ou bouddhistes , les concepts de réincarnation ou de « vide médian « entre le Yin et le Yang , le Souffle, le Divin et l ‘Occident chrétien -son prénom français est un hommage à Saint François d’Assise) , il essaie de faire une synthèse optimiste , un hymne à la vie

Que se passerait il si la Mort n ‘existait pas ? La Beauté n ‘existe-t-elle que parce que la mort est inéluctable? Pourquoi Dieu ou le Divin a créé des hommes différents plutôt que des « robots » tous identiques? Enfin, pourquoi autoriser le Mal ? ." La Mort est elle morte à Auschwitz ? »

On parle de Goethe ou de Rilke , on évoque les philosophies orientales dans ce livre subtil

Mais F.Cheng ne répond à aucune question car il part du postulat que la Mort n’est pas un fin en soi

Que ce soit au sens chrétien ( ou monothéiste) du terme , ou qu ‘il s’agisse d’une vision orientale vers la réincarnation ou la quête du Divin, il y a forcément autre chose pour lui

La démonstration est donc bien incomplète. Exit l’ athée ,Sartre ou Camus , l ‘absurde , le communisme et tout autre doctrine qui verrait notre vie comme une simple parenthèse qui se refermerait à notre mort

« Sans Dieu, tout est permis » . La fameuse phrase de Dostoievski . Il existe pourtant des penseurs pour envisager une morale laïque qui se passerait de Dieu en acceptant notre mort comme définitive

Le livre est intéressant mais cantonné dans un carcan défini par l ‘auteur

Il n ‘apporte pas d’avancée extraordinaire par rapport à ce qui a déjà été dit sur le sujet

La cinquième méditation est un long poème qui m ‘ a laissé assez indifférent

F.Cheng est meilleur dans le récit poétique que dans la poésie pure

Je garde cependant une grande admiration pour cet auteur qui sait rester modeste malgré son érudition

Longue vie à lui
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Cinq méditations sur la mort

François Cheng nous avertit : il s'agit d'une réflexion sur la mort, donc sur la vie! Loin de lui l'idée de développer une discussion morbide, de toute façon F.Cheng est résolument partisan de l'idée d'une transcendance après la mort (qui est non religieuse).



Ces cinq méditations, François Cheng prennent la forme d'une conversation et invoquent tour à tour la philosophie européenne, le Taoïsme, la poésie, les religions... Il confronte également les croyances de différentes religions.



C'est un ouvrage demande du temps, pour se plonger dans le propos et bien en cerner le sens. Parfois ,j'ai du accepter de revenir en arrière pour maintenir mon attention et "garder le fil". J'avoue n'avoir pas porté le même intérêt aux cinq méditations, certaines m'ont semblé plus abstraites ou plus éloignées de ma propre réflexion. Néanmoins, j'ai apprécié retrouver en fin d'ouvrage une sélection de poèmes tirés de différents ouvrages de F.Cheng. Selon la sensibilité de chacun, ces poèmes viennent compléter et étirer la réflexion en prose.



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Cinq méditations sur la mort

Lu en 2016. En cinq méditations, François Cheng revisite le concept de la mort sous la lumière de la vie et vice versa.

S'appuyant sur la philosophie européenne, le Taoïsme, l'oeuvre des poètes, des écrivains et des artistes, l'auteur confronte les croyances de différentes religions. En résulte une profonde réflexion sur la vie et la mort, des questions existentielles que l'on se fait tous, à des moments différents de notre existence... Une méditation emprunte d'érudition, de philosophie, de spiritualité et de poésie. À lire au calme, à tête reposée.

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Cinq méditations sur la mort

Un ouvrage brillant simple et concis qui représente une excellente base de réflexion. François CHENG est un maillon dont la culture mixte Orient-Occident est riche d'enseignements dans la mesure où ses méditations sur la mort transcendent le titre de cet essai pour s'ouvrir entre deux mondes: celui de la Vie et celui de la mort. Son expression poétique apporte un charme particulier à la lecture de cet ouvrage qui au final ouvre également une porte de compréhension aux lecteurs sur l'un des fondements de l'Univers: l'Amour.

Assez bref car exempt de larges démonstrations, il montre des portes qu'il convient de pousser pour s'engager sur les voies vers lesquelles elles débouchent et emprunter ces chemins pour avancer dans nos quêtes spirituelles et dans notre compréhension de la place de l'Homme dans l'univers. Il n'impose rien, pose des questions et présente le chemin qui fut le sien. A chacun ensuite d'exercer sa Liberté et de penser librement.

Quelques heures de plaisir qui ont bercé mon âme en lui apportant un peu de Lumière dans un monde aujourd'hui si sombre. Et derrière cette lecture s'ouvrent de nombreuses heures de réflexion débouchant sur une immense confiance dans la Vie, au-delà de toute matérialité. Mais là, c'est la voie que j'ai librement choisie.
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Cinq méditations sur la mort

Méditation sur l’essentiel!!!!



Il y a des livres qu’on lit avec plaisir tant leur écriture est belle, c’en est un.

Il y a des livres qu’on lit avec bonheur tant leur message est beau, c’en est un.

Il y a des livres dont la lecture nous révèle à nous mêmes, plus grands de l’avoir lu, et c’en est un de cette très rare espèce !

Merci pour ce message de beauté et de vie.

J’allais dire leçon de vie, mais ce livre n’est pas une leçon, c’est une méditation et ça fait toute la différence, cette méditation nous entraîne au delà de nous meme, à l’intime de nous meme, la où siège l’âme.

Il n’y a pas une phrase moindre dans ce livre, que ce soit sur la vie, que ce soit sur la mort, que ce soit sur le mal, que ce soit sur la beauté, que ce soit sur l’amour...



J’ai tourné la dernière page aujourd’hui mais je reviendrai. Je reviendrai à cette source!
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Cinq méditations sur la mort

" Philosopher c'est apprendre à mourir" nous disait Montaigne.



Et si c'était la Mort qui nous apprenait à vivre ? rétorque François Cheng.



C'est un sujet tabou en Occident, et le titre même de cet essai peut faire peur. Ce fut pour ma part une lecture très intéressante. François Cheng y fait appel à des philosophes, des évènements historiques, aussi bien qu'au taoïsme, un large panel de référence qui a le mérite d'ouvrir l'esprit et de sortir des réflexions purement cartésiennes que l'on connait rop bien maintenant. Ce sont autant de "visions" qui nous permettent de réfléchir à notre rapport à la vie - et à la mort.



Quoi qu'on en pense, la mort est un fait inéluctable avec lequel il faut apprendre à vire. Avec ou malgré elle , à chacun de se faire son opinion.



Pour peu qu'on le comprenne, la philosophie nous invinte à montrer notre gratitude et vivre le bonheur qui nous est offert pour un temps seulement...





- "Et maintenant, que vais-je faire de tout ce temps ?"

- Carpe diem !

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Cinq méditations sur la mort

Une fois de plus, c’est grâce à l’émission La Grande Librairie que j’ai découvert cet auteur et sa manière de parler, sans précipitation, avec réflexion et de manière très profonde, m’a donné envie de le découvrir par la lecture.



Rappelez-moi, un jour, de coller un procès à l’animateur, François Busnel, pour toutes les super découvertes littéraires que j’ai faites en regardant son émission (ça me ruine le portefeuille tout en enrichissant mon âme. Les banquiers se foutent de mon âme).



Sa manière de nous expliquer que pour éprouver du bonheur, il fallait avoir souffert, que sans les malheurs, souffrances, bref, toutes ces merdes, nous ne pourrions pas jouir et reconnaître le bonheur quand il se présente à votre porte.



Ben oui, je ne suis jamais si contente d’être en bonne santé qu’après avoir été malade… Et lorsque je suis malade, je regrette les jours de pleine santé que je n’ai pas accueilli avec joie.



Anybref, parlons de ce petit livre qui se lit avec lenteur aussi car là, on n’est pas dans un roman léger mais dans du lourd. Mon cerveau en fume encore.



Rassurez-vous, lire un essai qui parle de méditations sur le mort ne plombe en aucun cas l’ambiance ou votre moral. J’en suis sortie plus sereine, plus zen, plus apaisée aussi.



En fait, ce qu’il dit rejoint ce qu’une connaissance m’avait dite un jour et qui m’avait fait l’effet d’un uppercut car je ne l’avais jamais vue sous cet angle, l’idée de la mort : sans la mort, il n’y a pas de vie ! Si la vie est précieuse, c’est parce qu’elle n’est pas éternelle et qu’il y a la mort. Mais surtout, s’il n’y avait pas la mort, il n’y aurait pas la vie.



Ceci n’est qu’un résumé succin de ce que je viens de lire et que mon cerveau tente encore de mettre en ordre. De toute façon, je n’ai pas le talent, ni la prose, ni l’érudition de François Cheng pour vous parler de cette lecture qui m’a plongée ailleurs que sur Terre. Et ça, en plein confinement, c’est du tonnerre de Dieu !



Dieu, oui, il en parle mais à la manière d’un qui se questionne… Car si le hasard fait souvent bien les choses, ma question est la même que la sienne : comment le hasard a-t-il pu ordonnancer parfaitement la Terre, l’Univers, la Vie ?



Parce que bordel de dieu, c’est quand même bien fichu, bien pensé, pour un coup de hasard. Mais ne dit-on pas que le hasard, c’est Dieu qui se promène incognito ? Je n’ai toujours pas la réponse à ma question, lui non plus, mais au moins, on a le mérite de les poser (lui plus que moi).



Sans vouloir être plus catholique que le pape, ce que je ne suis pas, il parle du sujet Dieu avec justesse et de celui de jésus d’une manière qui, déjà, dans l’émission, m’avait fait monter la boule dans la gorge car une fois de plus, il en parlait bien, sans virer grenouille de bénitier, sans choquer non plus les croyants, ni remettre en question les athées et les agnostiques. Ah si on m’avait parlé ainsi lorsque j’étais jeune !



Ce petit roman de méditations, c’est de la poésie, au sens propre comme au figuré, c’est de la justesse, ce sont des mots réfléchis, des réunions avec ses amis afin de partager avec eux ses méditations, c’est aussi de la philosophie, la beauté des mots, le fait que tout ce qu’il dit s’imbrique l’un dans l’autre.



Et en plus, c’est accessible à moi ! What’else ?


Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Cinq méditations sur la mort

J’aime bien François Cheng comme romancier et j’ai donc eu envie de lire ses "Cinq méditations sur la mort". Il s’agit, en fait, de la transcription de quatre conférences, suivies d’un cinquième chapitre rassemblant des poésies de l’auteur (mais j’ai été très peu sensible à son talent de poète). A priori, ce qui m’intéressait surtout, c’était son regard particulier sur la vie, construit sur sa double culture, chinoise et occidentale. De fait, il s’appuie dans son livre à la fois sur les traditions européennes (notamment sur Rilke) et sur les principes taoïstes - l’articulation entre les deux étant éloignée d’une rigueur qui pourrait paraitre dogmatique. J’ai noté que, sur la question religieuse (quel est son Dieu ?), F. Cheng reste flou, citant Jésus comme un homme hors du commun – sans plus - et s’appuyant aussi sur la Voie de Lao Zi.



F. Cheng, arrivé au soir de sa vie, devine l’approche de la mort, mais cela l’incite à chérir toujours plus la Vie. "Cinq méditations sur la mort" est un livre de sagesse, centré essentiellement sur le sens de la vie humaine. Avec simplicité et souplesse, l’auteur expose ses conceptions humanistes, qui sont évidemment d'une haute tenue éthique. Depuis l’Antiquité, bien d’autres auteurs l’ont fait avant lui, chacun à leur manière. Ici, tout est clair, nuancé et consensuel; le lecteur n’éprouve aucune surprise, aucune révélation. D'ailleurs, F. Cheng n’a pas la prétention d’être un maitre à penser: en quelque sorte, il réfléchit tout haut devant nous. Et toute personne sensée qui a un peu réfléchi à la condition humaine tombera d’accord avec lui, me semble-t-il. Pour conclure, ce livre me semble être une bonne lecture, mais je ne crois qu'il ait eu une influence sur ma conception de la vie.

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Cinq méditations sur la mort

C'est un livre qui nécessitera probablement d'être relu plus tard. En effet, j'ai eu beaucoup beaucoup de mal à me plonger dans ces méditations, peut être ne suis-je pas assez convaincu par les envolées lyriques sur la transcendance et sur les nombreux appels à "la Voie" taoïste...



J'aurais probablement préféré un livre plus terre-à-terre. Il n'est pas mal écrit, loin de là, ou même brouillon. Mais je ne pense tout simplement pas être le lecteur auquel il est destiné. En effet, des termes tels que "ordre supérieur", "donation primordiale", me sont vraiment étrangers.



Une petite exception peut-être pour la quatrième méditation que j'ai beaucoup apprécié, sur l'ensemble des questionnements sur l'âme et les développements sur Shelley, Keats et Byron.



Je crois préférer les ouvrages poétiques de François Cheng, à ceux-ci, plus métaphysiques.



À tenter de relire plus tard, sait-on jamais.
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Cinq méditations sur la mort

La vraie vie, la vie ouverte, selon François Cheng, n'est pas dans l'effacement mais dans la propre figuration. Ses Cinq méditations sur la mort chantent le triomphe de la vie.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
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Cinq méditations sur la mort

François Cheng est l'un de mes auteurs-poètes préférés - l'un de mes "humains" préférés, également, avec cette sagesse qu'il a su cultiver, au fil de sa vie.

Une vie qu'il a eue rude, parfois - une rudesse nécessaire pour avoir après la douceur.

C'est là, sans doute, tout le message de cet essai : il faut l'ombre pour avoir la lumière, la mort pour avoir la vie.

Merci Monsieur Cheng, pour toutes ces jolies portes que vous ouvrez, à chaque phrase écrite, chaque pensée partagée.
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