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Critiques de François Forestier (44)
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Les injusticiers

La vérité romancée de ce texte raconte le parcours de deux procureurs qui ont traqué des innocents et fait régner la terreur aux États-Unis sous prétexte d’éradiquer le communisme, après la seconde guerre mondiale.

On y croise des grands noms du cinéma de l’époque, de la politique et de tous ceux qui ont fait briller l’Amérique.



En mêlant les histoires vraies de deux magistrats du XXe siècle, Andreï Vychinski, procureur général des procès de Moscou organisés par Staline et John Parnell Thomas, procureur de la commission des activités antiaméricaines, François Forestier sonde les dérives de la justice.

Des chasses à l’homme sont menées, incarnées par J. Parnell Thomas aux Etats-Unis et Andreï Vychinski en URSS.



Le journaliste de cinéma bien connu des lecteurs de l'Obs François Forestier s’est saisi de ces deux personnages pour les raconter .



Il s'appuie pour cela sur de nombreuses archives et sur des rencontres personnelles pour nous apporter cette tragédie romanesque, cette réflexion sur la Justice et ceux qui l’appliquaient, sur une page d’Histoire et sur la force de dénonciations qui ont bouleversé la vie et la carrière de nombreuses personnalités.



Un roman historique bien documenté qui nous fait découvrir un côté méconnu du cinéma hollywoodien



Parfois un peu plat et décousu, ces Injusticiers a le mérite de soulever un pan peu glorieux de l’histoire de l’après-guerre.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Les injusticiers

En mêlant les histoires vraies de deux magistrats du XXe siècle, Andreï Vychinski, procureur général des procès de Moscou organisés par Staline et John Parnell Thomas, procureur de la commission des activités antiaméricaines, François Forestier s'interroge sur les dévoiements de la justice.
Lien : https://www.marianne.net/cul..
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Marilyn et JFK

Argent sale, pègre, écoutes, sexe débridé, CIA, meurtres, sang, complots … Ce récit incisif et nerveux évoque ( entre autres ) la liaison devenue légendaire entre Marilyn et JFK. Mais nous sommes à des années-lumière de la bluette chantée par Vanessa Paradis . Ici, tout n’est que fange, luxure et pots de vin, noyés dans des flots de champagne, de paillettes et de barbituriques. On ne saura jamais si JFK a aimé Marilyn et inversement. En revanche, on sait que les milieux politiques de l’époque étaient rongés par le vice et la pourriture . L’auteur s‘attache à bien le montrer, dès les premières pages il est question de la cervelle explosée de JFK à Dallas, et les retours en arrière ne sont pas moins explosifs . La corruption est omniprésente, Marilyn nage dans les égouts tout au long du livre . Seul Arthur Miller sera épargné, homme discret et élégant qui pensera ( à tort ) avoir épousé un ange. Un ange certes superbe, mythique mais hélas complètement désaxé.

Marilyn et JFK, décidément toute une histoire, et sans doute pas celle que l’on croit . On ne saura jamais…

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Marilyn et JFK

J'en ai lu quelques uns des livres sur Marilyn Monroe. Je l'aime depuis mon adolescence, comme beaucoup de femmes j'imagine.



Mais ce récit m'a estomaquée, choquée parfois et dégoûtée souvent.

François Forestier nous fait naviguer dans un monde puant d'arrivisme, d'arrogance, de suffisance et de misogynie.



Jamais je n'avais lu de telles choses à propos de celle qui, encore aujourd'hui, fait fantasmer hommes et femmes.

Jamais je n'avais vu John Fitzgerald Kennedy sous un tel angle.



On ressort de ce récit complètement secoué et je dois bien l'avoue, triste pour Marilyn. CIA, FBI, KGB et la Mafia en ont fait un "dossier rouge". Tout le monde espionne tout le monde, tout le monde met tout le monde sur écoute, et tout le monde fait bonne figure devant tout le monde L'atmosphère est anxiogène à souhait !



François Forestier a un style bien à lui, probablement issu de son métier de journaliste : incisif, humoristique, ironique et cash pour ne pas dire trash quelques fois.

C'est plus ou moins fluide, il m'a parfois perdue dans des explications à propos de références politico-historiques ou encore lorsqu'il déballe des noms de mafieux dont les liens sont aussi compliqués que les liens de famille. Il faut suivre !



Néanmoins, j'ai vraiment beaucoup aimé et j'ai ressenti beaucoup de compassion pour cette femme à l'âme torturée et perdue. J'ai désormais un regard totalement différent sur JFK .

Un livre à lire.



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Les injusticiers

Dans « les Injusticiers », François Forestier raconte le parcours de deux procureurs qui ont traqué des innocents et fait régner la terreur en Amérique au nom de la lutte contre le communisme.
Lien : https://www.nouvelobs.com/cu..
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Marilyn et JFK

Récit fascinant sur la relation entre la star adulée et, au moment de son élection, le plus jeune président des États-Unis; deux icônes américaines du milieu du vingtième siècle. À travers l'histoire de ce couple, c'est aussi un regard sur le monde superficiel et vide des gens riches et célèbres; des bassesses auxquelles ils consentent pour tenter de rester dans la lumière des projecteurs à tout prix. JFK se servait des femmes pour assouvir son appétit pour le sexe rapide et expéditif, tandis que Marilyn se servait de son corps pour remplir le vide abyssal de son âme. Ils ont tous les deux eu une vie dissolue, vécue en grande partie sous les feux de la rampe, et qui s'est soldée par une mort tragique. Avec en arrière-plan la mafia, le FBI et la CIA qui les ont épiés, photographiés et enregistrés. À la lecture de ce livre, on peut se faire une nette idée des responsables de la mort de JFK.

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Howard Hughes. Ll'homme aux secrets

Le film "L'aviateur" avec Leonardo DiCaprio m'a donné envie d'en savoir davantage sur ce personnage. Voilà donc un ouvrage qui tombe fort bien pour me familiariser avec cet homme hors normes. Raconter l'histoire d'Howard Hughes (1905-1976), c'est raconter un grand pan d'Amérique, flamboyante jusqu'à l'arrogance, contradictoire jusqu'à la rupture... Aviateur, entrepreneur, dans l'aéronautique, réalisateur, producteur hollywoodien et grand séducteur, il était un nanab autant adoré que décrié. Parmi ses conquêtes, on retient : aventures avec les plus belles actrices d'Hollywood - Ginger Rogers, Katharine Hepburn, Ava Gardner, Bette Davis, ...
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Le retour des 101 nanars

Chaque début de chapitre est illustré d'une série de photographies tout aussi affligeantes et hilarantes que le texte. Après un volume UN, voilà la suite d'une sorte d'anthologie nanaresque qui recense le best-of (selon l'auteur) de ce qui s'est fait de pire au cinéma. Ma foi, ce n'est pas vrai. François Forestier y va joyeusement de sa plume pour brocarder une série de films à budgets conséquents, mais qui se targuent de côtés kitsch. Pour moi, les vrais nanars se situent dans la série Z avec les films de Mattei, Franco, Rollin, Chevalier, etc. Chacun ses goûts et son avis. Un livre pas forcément objectif et qui ne choisit pas correctement les cibles à atteindre. Moyen !
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101 nanars

Kitsch, délirant, ahurissant, "naturel" ou "cultureux", le nanar est un film raté, forcément rigolo. François Forestier, avec un mauvais goût très sûr, en propose un, chaque semaine, dans sa chronique du Nouvel Observateur. Il en a ainsi réuni 101, essentiels, regroupés en douze chapitres, allant des péplums lamentables aux chefs-d'œuvre surestimés. François Forestier s'amuse comme un fou et se délecte à commenter une série de long métrages divers, dont on se demande même ce que certains font dans ce livre. Pêle-mêle, il parle de Mario Moreno, Eddie Constantine, Jayne Mansfield, Ed Wood, John Travolta, Antonioni, Don Johnson, Jean Gabin, Charlton Eston, Johnny Hallyday, Rita Cadillac. Quant on ton, il est à la fois drôle et léger. A l'image des films qu'il illustre ?
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101 nanars

Kitsch, délirant, ahurissant, "naturel" ou "cultureux", le nanar est un film raté, forcément rigolo. François Forestier, avec un mauvais goût très sûr, en propose un, chaque semaine, dans sa chronique du Nouvel Observateur. Il en a ainsi réuni 101, essentiels, regroupés en douze chapitres, allant des péplums lamentables aux chefs-d'œuvre surestimés. De Maciste contre les hommes de pierre à Sissi en passant par l'Amour parmi les monstres (un mélo poignant interprété par des siamoises) et Terror in Tiny Town (le seul western musical joué par des nains), il a sélectionné, avec patience et mauvais esprit, le meilleur du pire et, parfois, le pire du pire. Jayne Mansfield, Ed Wood, John Travolta, Antonioni, Don Johnson, Jean Gabin, Charlton Eston, Johnny Hallyday, Rita Cadillac, personne n'y a échappé (mais seul Mickey Rourke en a fait une carrière) : l'histoire du cinéma est faite de nanars. L'auteur propose même son favori, Oh ! Que Mambo ! Où Dario Moreno danse ! A propos de ce film, François Forestier conclut : " Si vous n'aimez pas ce film, vous n'aimez pas les nanars. Donc, vous n'aimez pas le cinéma. " Chaque début de chapitre est illustré d'une série de photographies tout aussi affligeantes et hilarantes que le texte.
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Marilyn et JFK

C’est du Forestier. On est habitué. Il y a de la punchline à chaque page. Ça roule en décapotable et ça canarde. Sec. Faites rentrer les enfants. Et fermez les volets. Interdit aux -18 ans. C’est du nanan, c’est à dire : désespéré et jouissif.



En même temps : quels acteurs ! Et quelle époque ! Cette Amérique, côté coulisses, n’était pas une machine à rêves : mais celle de Donald ? Et celle à venir de Joe ? On réfléchira à la question.



Ce qu’on a vieilli tout de même. On a l’impression de parler de temps aussi lointains que la Chine du 16eme siècle.



Ce livre est à rapporter, en mineur, à l’œuvre, magistrale, de James Ellroy. Parfois, on devrait s’en tenir à la photo officielle : Marilyn chantant Happy Birthday Mister President.



Forestier ne l’entend manifestement pas de cette oreille.
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101 nanars

Il n'y a plus de nanars. Des films médiocres, oui. Des films ennuyeux, ouh là là, plein ! Des pensums qui se déroulent entre la cuisine Ikea et la salle de bain Villeroy & Boch, certes. Des plaidoyers argentins pour le sauvetage de l'herbe à bisons sur la côte Est de la Patagonie, j'en ai vu. Des trucs érotiques qui examinent la situation de la ménagère ardéchoise face à la tragédie de l'orgasme mal maîtrisé, il y en a. Pire : des chefs-d'œuvre, on en voit à la pelle. Mais des nanars ? Point. La situation est grave. Pour un Noé, film imbécile de Darren Aronofsky, ou pour un Fast & Furious 7, machin abruti de James Wan, combien de films nobles, dignes, médaillés, soutenus par Le Monde et Télérama ? Je vous le dis : le nanar, monument de la culture occidentale (mais pas que) est en péril. Le jour où nous ne verrons plus que des films à «valeur humaine ce jour-là, mes amis, n'est pas loin : fini de rigoler. L'avenir est à la qualité. Ça fait peur.
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Marilyn et JFK

Superbe livre exceptionnel
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Un si beau monstre

Marlon Brando, un bel acteur... "nommé désir " .





Vous vous en souvenez ?

Non, s'il vous plaît, pas de ciné club des Sixties, Brando était si beau...! Vous allez..

Pas de dernière séance, de dernière séquence, non ...





Brando n'a aimé que sa mère, Dorothy, alcoolique, qu'il allait rechercher dans les bars.

A 14 ans, Brando défendit sa mère contre le mari, qui la giflait. le tyran tourna les talons.

"Longtemps, le soupçon d'un amour incestueux a plané sur Dorothy".





Ceci expliqua son attitude envers les femmes?

Il séduisit des centaines de femmes et quelques dizaines d'hommes ( Stella Adler, une référence dans le milieu du théâtre, le mari tomba amoureux aussi de Brando ...)





D'autres femmes, dont Vivien Leigh ( Autant en emporte le vent! Et autant pour Sir Laurence Olivier, l'acteur cocufié) , Sondra Lee, Shelley Winters...

Et Marylin Monroe.

Toutes, il les séduira toutes!



Dans " Un tramway nommé désir ", il devient Kowalski.

Un rôle refusé par John Garfield et Burt Lancaster. Elia Kazan enrage, Brando n'apprend pas ses textes. Déjà, il aime humilier sa partenaire (Jessica Tandy/ Beignets de tomates vertes) au théâtre, au cinéma et... toutes ses autres partenaires au lit.





Brando est souvent en retard, marmonne, ne respecte pas les marques, ni Jessica. Aucune générosité, "s'il peut attirer l'attention du public en rotant, il rote".





Une actrice se penche, il se fourre une cigarette dans le nez, rires garantis. Jessica lui tourne le dos, il se gratte l'entrejambe, gloussements assurés." Il bâille pendant qu'elle parle ou il sort de scène. Il sent la sueur, il ne se lave pas...

" L'odeur est déplaisante. Ou excitante. C'est selon".

Pire, il lâche Russell, son raton laveur dans la loge de Jessica qui glisse sur les saletés...





Il est le personnage!

"Odieux, désirable, violent"

Dans la loge de Brando, des spectatrices et des spectateurs déposent la clé de leur chambre, afin que Brando le leur rapporte...





Brando a bonne réputation au lit, on se passe le mot, trois étoiles au firmament du plaisir !



Mais, on raconte que Brando aime les femmes qui ont des fêlures ( comme sa mère?):

Pier Angelo se suicide.

Ava Gardner sombre dans l'alcool.

Marylin meurt d'une overdose de calmants.





Tennessee Williams est ravi, il est la coqueluche de New York. La pièce est un succès !

Puis à Paris, Brando rencontre Jean Cocteau...

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Marilyn et JFK

Une bien belle plume pour évoquer la brève et tragique relation du couple illégitime le plus célèbre du monde : Marilyn et JFK. C'est sûr qu'on déchante quelque peu à la voir elle, star nympho et dépressive et lui bellâtre arrogant et chaud lapin... sur fond de guerre froide et d'espionnage sordide ! 2 êtres qui ne respectaient pas grand monde ni grand chose mais qui sont entrés dans l'Histoire... Mais alors, se sont-ils aimés ?? Peut-être...
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JFK : Le dernier jour

Passionnant à lire, cet assassinat de JFK.
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Chroniques de cinéma (C'est de la daube !)

C'est parfois drôle, parfois lourd. un livre intéressant mais très oubliable. Je m'attendais à un humour un peu plus fin, même si le titre laissait présager le contraire.



Malgré tout, de bons moments de lectures.
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JFK : Le dernier jour

L'auteur connaît déjà bien JFK puisqu'il a déjà écrit sur lui, mais dans un autre contexte (même si tout est forcément lié d'une manière ou d'une autre car cela forme un tout, l'existence d'un homme qui ne fut pas n'importe qui...). J'imagine qu'il a voulu continuer une démarche déjà amorcée des années auparavant (2008, année de la sortie de son autre ouvrage sur JFK).



J'ai tout de suite retrouvé le style journalistique qui m'avait happé la première fois.

C'est un récit factuel, précis, très documenté et qui donne du corps à tous les protagonistes. De manière générale, aucun n'est idéalisé ou diabolisé. Et pourtant, il y aurait matière à ...

On est donc dans un récit qui pourrait être le pendant écrit d'un reportage figurant dans l'émission "Envoyé Spécial" de France 2.



On peut avoir l'impression d'être noyé sous un flot de noms, mais c'est pour montrer le foisonnement de personnes qui étaient réellement autour du président alors en campagne / bilan de mandat et effectuant une visite dans un état hostile à sa présidence, voir sa personne. Certains détails font froids dans le dos et résonnent un peu trop actuels...



Dans ce livre, on est plongé dans le contexte et c'est un peu comme si nous y étions. N'ayez pas peur de manquer de culture ou de repères historiques, l'auteur vous donnera moults détails pour vous repérer.

Ne craignez pas non plus le côté ennuyeux de certains ouvrages historiques, tout est question de rythme et de ton. Dans ce cas présent, c'est vivant, comme un film qui défilerait devant vos yeux, mais avec une foule de détails comme peut l'offrir l'écrit.



Ne cherchez pas en revanche une réponse à vos questions sur la théorie du complot ou alors acceptez que l'auteur choisisse l'explication à cet assassinat qui lui semble la plus plausible au niveau historique et technique. On n'est pas dans le sensationnel, mais dans le rationnel et avec un regard aussi cohérent que possible face aux dernières sources qui ont pu être mise à disposition du public.



On a beau connaître la funeste issue de cette journée pour le clan Kennedy et pour les Etats-Unis d'Amérique, voir le monde entier par résonance, on est accroché comme si au dernier moment, il pouvait y avoir un rebondissement... Mais non. L'Histoire est ce qu'elle est et mieux vaut la connaître pour tirer quelques leçons.

Une lecture a ne pas négliger.
Lien : http://espace-temps-libre.bl..
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101 nanars

merci pour ce livre ; il y a longtemps que je n'avais plus ri comme ça !
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101 nanars

Je ne sais pas pour vous, mais je trouve que globalement, les occasions de se payer une franche tranche de rigolade sont assez rares.

Donc, quand une se présente, ne nous privons pas...!

Peu de livres m'ont franchement fait rire.

Certains San-Antonio, quelques passages de romans d'Alphonse Boudard..

Je dois dire, que je lis très peu "d'humoristes", et -au risque de passer pour un "pré-vieux"- surtout pas les "humoristes" actuels (guillemets de rigueur).

Voici que je retrouve dans mes (nombreux) livres celui de François Forestier, paru, et acheté en 1999...

De bons souvenirs que cette lecture. Mais d'abord, de quoi est il question ?

Qu'est ce qu'un Nanar ?

A mon avis, il en est de deux sortes : les Nanars très objectifs; séries z bricolées avec deux bouts de ficelles, des acteurs sans une once de talent, mal filmé, écrit avec les pieds, etc...

Dans le genre, la référence absolue demeure "Plan 9 from outer space" de ED Wood à qui Tim Burton consacra un film.

Et puis il y a le nanar subjectif, plus subtil à détecter, et qui n'est pas le Nanar fédérateur, celui sur lequel tout le monde s'accorde.

C'est plus dans cette catégorie que l'auteur est allé piocher.

Comme, il écrit sur un ton léger et ironique, la lecture de son bouquin est un vrai bonheur pour le (modeste) cinéphile que je suis !

Et puis, placer "Les dix commandements" de Cecil B. De Mille sur le même plan que Russ Meyer et "Faster pussy cat kill kill", il fallait oser.

Il a, et c'est pour notre plus grande joie!
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