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Critiques de François Guérif (35)
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Des moments de cinéma: Entretiens

Les interviews rassemblées dans ce recueil sont toujours rares, et parfois inédites.
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Du polar

Bon alors juste pour dire que c'est bon je peux vivre comme un ermite jusqu'à la fin de ma vie. J'ai un milliard de polars à lire absolument. Je pourrai remercier François Guérif d'avoir considérablement augmenté mon envie d'me calfeutrer et de parler qu'à mes bouquins, mais je vais pas vraiment le faire bicause y'a quand même d'autres choses à lire et ça va devenir un peu compliqué d'établir des listes de priorités.



Sinon pour le reste, c'est hyper intéressant d'avoir des noms célèbres pour tous les genres différents dans le polar, comme ça on peut se la péter un peu et dire : "Du roman d'espionnage ? Bien sûr, laissez tomber James Bond et plongez vous dans un John Le Carré blablabla".



Bref. Un livre pour les mordus/fanas/professionnels du livre/de l'édition, des anecdotes avec James Ellroy, Crumley, David Peace, Léo Malet, le néo polar, les serial killers de pacotille, la puissance de la mythologie Sherlock Holmes, les auteurs qui deviennent tes copains parce que t'as contribué à leur mythe en tant qu'éditeur.



DELECTABLE

A TABLE !



Attention ce livre n'est pas dangereux pour la santé, si toutefois vous ne souhaitez pas le lire, pensez à votre entourage qui se fera une joie d'en profiter mieux que vous et qui aura l'impression d'pas perdre son temps.



Voire modalités en librairies.
Lien : https://www.instagram.com/lo..
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Robert Mitchum

Dès ses débuts, Robert Mitchum joue avec un naturel remarquable, à contre-courant de la vogue Actors Studio. Sa carrure, son flegme, son ironie en font un sex-symbol, le "Jane Russell mâle". Mais le jour où la police le coince en train de fumer de l'herbe, il se croit fini. Le patron de la RKO, Howard Hughes, dégaine alors une campagne de communication montrant Mitchum purgeant humblement sa peine. L'amour du public, acquis à la cause de ce mauvais garçon, fait le reste. L'acteur enchaîne les tournages avec les plus grands cinéastes, de Minnelli à Preminger (à qui il mettra une claque !).Mitchum prenait son métier à cœur. L'échec des chefs-d'œuvre La nuit du chasseur et La fille de Ryan, réévalués longtemps après, mina ce faux cynique, disparu en juillet 2017, qui prétendait faire du cinéma "pour le fric".



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Comment faire un film

Plus une retranscription écrite d'un entretien vidéo de Claude Chabrol interrogé par François Guérif, l’intérêt seul étant d'avoir une trace écrite.

Un quatrième de couverture alléchant puisque le réalisateur annonce qu'il ne faut que quatre heures grand max pour apprendre comment faire un film! Plus que pour faire ce livre et le lire donc ;)

Blague à part, cela peut représenter un bon panorama général de l'envers du décors d'un film (courts paragraphes sur chaque étape et chaque métier ponctués d'anecdotes chabroliennes pour la plupart, certaines parties manquent d'exemples concrets à mon goût) pour les béotiens purs ou simple curieux. Peut-être aussi pour les vrais amateurs du réalisateurs qui pourront apprécier les anecdotes qui parsèment le livre, drôles et piquantes.

A lire rapidement mais sans attendre le miracle chabrolien annoncé ;) ceci n'étant que mon tout petit avis.
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François Truffaut

J'ai revu hier soir à la télévision "Le dernier métro", film multi récompensé de Truffaut. Un de ses classiques qu'on ne repasse pas souvent sur les ondes cathodiques. Un film bien fait, mais qui a considérablement vieilli à cause, notamment, de la voix off. Hormis cela, on sent une écriture solide, millimétrée, avec une vraie passion pour les comédiens et un sens des références qui abondent. Truffaut parle ici de la guerre à travers le prisme d'un théâtre parisien en proie aux restrictions, à la censure allemande et qui ... comme tout Français devait continuer à exercer simplement pour vivre, boire et manger. En filigrane, Truffaut parle de collaboration, de résistance, de ccahe des juifs, de manipulation, du droit à garder la tête haute et surtout d'art.
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Le film policier

Dans la série "Les grands genres" de j'ai lu , cet ouvrage est consacré au genre policier ( sous ses multiples formes).L'auteur ,François Guérif est particulièrement compétent étant ,à la fois , spécialiste du cinéma et du genre policier.Après une courte introduction l'ouvrage décline en quatre parties bien illustrées ( le muet/1930-1950/1950-1968/1968-1987) une histoire du genre et de ses évolutions à travers les oeuvres majeures et les grands réalisateurs.C'est bien sûr , trop court , format oblige mais constitue une bonne introduction au genre.
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Du polar

Polars en rafales.

Trônant sur un présentoir des éditions Rivages/Noir dans l’attachante librairie corrézienne « Vivre d’art », à Meymac, les entretiens, enregistrés en 2012, du pape du polar François Guérif avec le journaliste Philippe Blanchet, accroche le regard avec en couverture la belle photographie mangée d’ombres du très estimé directeur de collection chez Payot & Rivages.

Le livre est passionnant de bout en bout. François Guérif ouvre des portes qui débouchent sur des continents vierges. Ses éclairages de lecteur boulimique et d’éditeur averti sortent de l’oubli bien des œuvres mises en parallèle des auteurs dont la vitalité réciproque se nourrit. Si François Guérif expose les premières lectures marquantes de sa jeunesse avec « L’île au trésor » de Stevenson, « Le mystère de la chambre jaune » de Gaston Leroux ou encore les aventures de Sherlock Holmes, c’est à l’adolescence quand le polar se conjugue au cinéma américain qu’il est loisible pour lui de passer de l’image à l’écrit, du film à l’œuvre qui l’a inspiré. En dévidant le fil des souvenirs, un auteur en appelle un autre, Conan Doyle créant une mythologie autour de Holmes, amenant à ses continuateurs comme Rex Stout et son détective en fauteuil Nero Wolfe. Dès le deuxième chapitre, François Guérif associe son travail de libraire et d’éditeur aux découvertes majeures que sont David Goodis (1917-1967) [« La nuit tombe » (1947), « Sans espoir de retour » (1954)], James Cain (1892-1977) [« Le facteur sonne toujours deux fois » (1934)], Fredric Brown (1906-1972) [« La fille de nulle part » (1951)] ou encore Robert Bloch (1917-1994), l’auteur de « Psychose » (1959), fameux roman adapté au cinéma par Alfred Hitchcock en 1960 mais occultant par contrecoup toute une production littéraire pourtant remarquable [« La nuit de l’éventreur » (1984), « Autopsie d’un kidnapping » (1954)]. Les chapitres défilent et les auteurs jaillissent, comètes éblouissantes enrichies d’anecdotes éclairantes : Jim Thompson, Donald Westlake, Tony Hillerman, James Ellroy, nombre d’auteurs français avec Léo Malet, Paul Siniac, Frédéric Dard, Jean-Pierre Manchette, etc. Souvent, les traductions françaises ont été tronquées, fautives et il convient de revoir la copie en proposant de nouvelles traductions qui mettent en valeur les qualités littéraires. La rencontre entre Ellroy et Guérif est unique et se traduit par une confiance mutuelle inébranlable. A mesure que le catalogue chez Rivages Noirs s’étoffe, les auteurs retrouvent leur envergure à l’exemple de James Lee Burke, Edward Bunker, Dennis Lehane ou James Crumley. Robin Cook, écrivain de romans noirs anglais occupe tout un chapitre dans le panthéon de François Guérif. Le polar nordique est esquissé. L’ouvrage se conclut sur une bibliographie sélective des polars marquants. Les entretiens constituent une mine inépuisable, un auteur en hélant un autre, déployant les livres dans un tourbillon enivrant.
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Polar N°1

« Polar, la magazine du policier ». Mensuel, créé par François Guérif, "Polar "aura 21 numéros ainsi que deux hors-séries dans sa première version. On y trouve un dossier sur un auteur, des interviews, des chroniques cinéma et littéraires, sans oublier des nouvelles. Tout ce qui fait l'actualité bouillonnante du polar de cette époque est traité dans cette revue. François Guérif signe l'éditorial du premier numéro de la revue Polar qui aura connu 58 numéros si en compte les magazines paru avant 1990. Car En 1990, repris par les éditions Rivages, la revue reparait sous le titre « Polar revue trimestrielle » le directeur en est François Guérif et le rédacteur en chef est Michel Lebrun. Jean-Pierre Deloux, Stéphane Bourgoin, Alain Demouzon, Éric Libiot et Jean-Patrick Manchette sont membres du comité de rédaction. La numérotation recommence au numéro 1 et 24 numéros ainsi que 4 numéros spéciaux consacrés intégralement à des auteurs sont publiés jusqu'en mai 2001. Malheureusement, et après plusieurs tentatives, la revue s'éteindra en mai 2001, faute de distribution suffisante.



Voici donc le numéro 1 de ce magazine indispensable à tous les passionné(e)s de littératures policières.

Reprise de cette revue que les amateurs de littérature policière retrouveront avec plaisir. Dans ce numéro : un, dossier sur T. Hillermann, une enquête sur Agatha Christie, une nouvelle inédite de P. Corris...


Lien : https://collectifpolar.com/
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Du polar

Le polar vient de loin. Il n’a pas toujours relevé de cette hype tardive et opportuniste. Il n’en toujours pas revenu de loin d’ailleurs, pas tout à fait...



Quand François Guérif entame sa carrière de polardeux averti dans les seventies triomphantes, l’heure est à la SF. Présence du futur de Denoël mouline de la science-fiction pointue, K Dick est dans la place et Dune (re)prend son envol. Le polar est à la ramasse.



Guérif dans cet entretien roboratif rappelle ces temps jurassiques, avant la déferlante nordique, avant les superstars du genre, agencés en tête de gondole. Les auteurs de polar étaient des soutiers, obligés de se soumettre à des clauses léonines, qui voyaient s’évaporer jusqu’à 30 % de leur texte dans des traductions caviardées.



L’occasion ici de ne pas remercier Marcel Duhamel et sa Série Noire, ses traducteurs qui débitèrent David Goodis, tronçonnèrent Jim Thompson pour soi-disant faire avancer l’action. Ils défigurèrent des œuvres oui ! Un peu comme si on sciait le premier quart de La Joconde parce qu’on s’en fout de ses mains croisées en fait.



Guerif va s’atteler à proposer des traductions complètes et redonner leur cohérence, leur intégrité à des livres mutilés au-delà du concevable.



François Guérif livre une analyse fine et exhaustive du polar, entrelardé de ses rencontres (Manchette !) et découvertes. Cet entretien, qui se lit toujours d’une traite, se savoure à chaque nouvelle lecture, au fur et à mesure que notre expérience du roman noir s’agrandit. On accompagne Guerif dans son tamisage, et de le voir récupérer les pépites... Découvreur d’Ellroy, Robin Cook, David Peace etc. Excusez du tant et plus...



Il est toujours miraculeux de croire qu’un livre a été écrit pour soi. On sait bien que c’est une rêverie naïve, il n’empêche que j’ai la sensation tenace qu’il me parle directement Guérif (et son pote Philippe Blanchet qui n’est pas né de la dernière ondée ni de la première pluie). Savoir que de multiples lectrices, nombre de lecteurs, éprouvent la même chose, me rassure en définitive.



On peut vivre sans Bible. J’ai trouvé la mienne.
Lien : https://micmacbibliotheque.b..
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Du polar

Sans Ellroy, Bunker serait tombé dans l'oubli. Gallimard et sa fameuse Série Noire ont certes popularisé le roman noir, mais au prix de traductions massacrées, sans respect des auteurs, ce qui traduit, au fond, un vrai mépris du genre.

James Ellroy, Robin Cook, David Peace sont des écrivains de premier ordre, ils ont du style et une vraie exigence littéraire à laquelle ils ont ont beaucoup sacrifié en prenant des risques (contrairement à Crumley, par exemple, doué, auteur de 2 très beaux livres, mais trop porté sur la boutanche). Le fil conducteur de ces entretiens, c'est l'amour de la littérature la relation d'amitié de François Guerif avec les auteurs. Vous y trouverez des analyses sur les œuvres (Dora Suarez, le quatuor de David Peace...), l'évolution du polar (la place du privé et son remplacement par les flics, la mauvaise influence du cinéma avec tous ces "polar-scénarios"...), sa sociologie (à propos de la misère de certains auteurs "pisse copies"), l'histoire des maisons d'édition, mais également des portraits touchants (Robin Cook, Manchette) et de savoureuses anecdotes, comme cette ballade dans LA avec Ellroy et Bunker en liberté conditionnelle qui fume des joints dans une décapotable, la mémorable biture qui a servi de base au livre "Rue de la soif" de Michel Lebrun. Et je ne parle même pas des idées de lecture. J'en ai relevé une bonne dizaine dont vous lirez bientôt les instantanés.


Lien : http://polaroides.blog.lemon..
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Conversations avec... Claude Chabrol : Un j..

Ces "conversations avec Claude Chabrol" se concentrent sur la "très petite histoire" de ses films et comporte essentiellement des remarques superficielles (cf citation). Mais, sans doute, cet ouvrage satisfera les inconditionnels du cinéaste.
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Du polar

Un livre d'entretiens intéressant par l'un des spécialistes du genre.
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Du polar

Joie passionnante d’un parcours dans le polar en compagnie d’un grand lecteur et éditeur.



Sur le blog Charybde 27 : https://charybde2.wordpress.com/2018/08/03/note-de-lecture-du-polar-francois-guerif-philippe-blanchet/
Lien : https://charybde2.wordpress...
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Passé la Loire, c'est l'aventure

François Guérif éditeur et critique cinéma eut l'excellente idée de ce livre en compagnie du réalisateur Gilles Grangier qui nous a quittés en 1996.

Reprenant la riche filmographie du metteur en scène des "Vieux de la vieille" ou du "Cave se rebiffe", tous deux commentent chaque film avec force anecdotes et détails de tournage. Un régal pour tout cinéphile qui aime particulièrement l'univers populaire du réalisateur.

Injustement ignoré pour cause précisément de "populisme" par une bande de jeunes crétins pré-soixante huitards, il reste un auteur attachant pour avoir su faire tourner Gabin et l'avoir maintenu au mieux. Il nous a aussi offert des films tel que "125, rue Montmartre" ou "Gas oil", véritables reportages dans des milieux peu prisés des réalisateurs en général.

Quand je pense que Truffaut a osé prétendre qu'il gâchait de la pellicule !!

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Du polar

Une BIBLE pour les amateurs de polar. Une conversation passionnante entre François Guérif, fondateur et pape des éditions Rivages, sans qui nous n'aurions jamais eu Ellroy, Lehane, Lee Burke, David Peace, et tellement, tellement d'autres. Guérif s'impose en théoricien du genre policier, encyclopédie vivante des auteurs, que ce soit dans leur oeuvre ou dans leur intériorité (et c'est surtout cela qui est fabuleux, on fait connaissance, humainement, avec tous les grands), les anecdotes pleuvent, sur tous et toutes, avec une extrême facilité de lecture et de compréhension. Je pense que même les non-lecteurs de polar peuvent s'y retrouver et en faire usage.



Et parce que le polar n'est désormais plus qu'une simple littérature de divertissement, et que ses auteurs puisent dans des influences classiques, créent des styles, des langues, des couleurs, cet entretien parle aussi de grande littérature, Hugo et Dostoïevski sont mentionnés, Faulkner, Joyce, Agatha Christie et son cluedo ne sont pas en reste...



Un pur régal, à la fois comme lecture personnelle et pour les études. Guérif, avec sa soif inaltérable de nouvelles voix du noir, d'enrichissement littéraire et culturel, nous manquera, maintenant qu'il quitte le navire. Ce qui est sûr, c'est qu'on ne l'oubliera pas, et lui serons toujours, éternellement redevables.
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Du polar

Livre indispensable pour tout amoureux des polars. Une mine d'informations, de réflexions et de conseils de lecture.
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Steve McQueen

Une biographie remarquable pour ce grand acteur que fût Steve McQueen. Rendu célèbre dans le monde entier grâce à la série "au nom de la loi". En 28 films (seulement) il laisse une trace indélébile dans le paysage cinématographique mondial. J'ai adoré l'acteur, il avait un regard d'enfant.

Cette collection "j'ai lu cinéma" est un régal, très riches en anecdotes et photographies.



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Du polar

Un vrai livre documentaire sur l'histoire du polar en France, à travers la vie et les tracas de Rivages / Noir. Je vous déconseille de lire ce livre d'une traite comme un roman, sauf si le sujet vous passionne vraiment. Si vous êtes juste curieux, comme moi, vous allez sans doute apprécier les grandes lignes de cette série d'interviews de François Guérif, mais certainement anecdotes pourraient vous laisser de marbre, voire vous lasser un peu...
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Du polar

Quelques pistes de conseils de lectures mais en fait c'est plus autour du polar noir, qui d'ailleurs est le choix de Guérif pour 80%. Beaucoup d'insistances sur Hammet et Chandler dans le hard boil, plein de James Ellroy, qu'il faut apprécier et des compliments pour Manchette que je trouve très médiocre auteur. Dans l'ensemble un livre décevant qui mentionne surtout les éditions Rivages et qui aurait dû titrer "Du polar noir"
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Le Cinéma policier français, 1983

A sa place comme fond de bibliothèque comme référence utile.
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